
Témoigner est force de justice par la force de vivre.

Depuis plus de 3 ans 1/ 2 – Plaintes oubliées pour violences conjugales et sexuelles, dont des menaces de mort avec un couteau
Une plainte et le silence … L’agresseur se balade. Des années à alerter, des violences évitables, mais la justice absente a laissé encore une fois la violence détruire une vie. Les neurosciences expliquent la gravité des violences conjugales et sexuelles sur une femme, et les enfants co-victimes, pourtant l’indifférence poursuit sa triste route. Cet absurde de la haine niant la vie, celle des victimes, de leur force pour vivre, leur courage de témoigner.

Martin Luther King définit l’injustice persistant en France et ceux soutenant, excusant la violence d’ hommes de violences, quand l’objectif de l’ ONU est : Zéro tolérance pour les agresseurs.
« Une injustice commise quelque part est une menace pour la justice dans le monde entier. » Martin Luther King
Mais, la vie est là et rien n’ éteindra la paix qui a été l’ alliée pour être vivante par dessus les violences subies comme l’oiseau franchit les fumées d’usines et vole en résilience.

L’ alcool , violences, mensonges –
Le prince décharmant se balade et continue toutes ses manipulations, alimente sa haine, boit. Il s’alccolise à plaisir dès le matin et jusqu’à la fermeture des bars . Hebergé plusieurs fois chez des patrons de bar.
Ses bars, où il rit, s’amuse, fait ses conférences politiques, lui dont le journaliste Alain Leauthier a écrit « Palat connaît des « grands flics » et quelques magistrats proches du pouvoir de l’époque« , comme il connaît des politiques, journalistes, et autres de ces milieux de pouvoirs, d’argent et parfois de violences.
Son nom, Philippe Palat, étant en liste rouge du fait de maintes escroqueries, faux et usages de faux qu’il commet. Radié de la carte de presse, il continue à se dire journaliste en indiquant le nom de journaux où il n’a pourtant jamais travaillé ! Comme il se présente comme juriste alors qu’il a fabriqué de faux diplômes et mentionne une société à une adresse bidon .
Barbouze dans les milieux politiques et journalistiques depuis les années 80, où il est connu à Toulouse comme étant d’extrême droite. Il sera d’ailleurs au début des années 90 à National Hebdo et se disant grand reporter à France-Soir dans l’affaire de l’assassinat de la députée Yann Piat . Il sortira un livre sur le sujet en usurpant une identité, volant le nom d’une famille qui le découvre en voyant la couverture de ce livre qui sera un échec cuisant . Il serait « amusant », selon certains journalistes, qu’il soit à expliquer ses « investigations » dans cette affaire.
Il a 40 ans d’expérience dans l’escroquerie, les manipulations, la méchanceté à user d’un système prédateur qui lui convient à merveille.
Des articles de presse paraissent au sujet des escroqueries, faux et usages de faux qu’il commet . Libération, le Nouvel Obs, la Dépêche du Midi, le JT où sa photo apparaît à l’écran pour dénoncer le faux et l’usage de faux qu’il a fabriqué contre Hervé Bourges, ainsi que d’autres médias évoquent le nom de ce manipulateur, escroc et faussaire .
Hébergé dans un bar de trafics, il erre, navigue à droite à gauche , et il continue tout son macabre, son inhumanité . Il s’affiche sur les réseaux sociaux, en courtisant parfois un milieu médiatique , cultivant le patriarcat, la culture du viol, la notabilité, être du sérail et de l’argent, la « médiocrité rampante » pour citer Mauriac sur ce genre de bourgeois cyniques, hypocrites, et prenant les violences faites aux femmes pour un droit.
Hautain, méprisant, cynique , et ne servant que ses intérêts, il va jusqu’à simuler avoir de la peine. Il pleure de manière récurrente sans aucune sincérité. Comme il fait des chantages au suicide . Il fait en sorte de faire pitié, d’accuser les autres de ces échecs et abandons. Quel gâchis que de réduire sa vie à être insensible et méchant, de mettre toute son intelligence, son énergie à prendre plaisir à faire du mal, à exister par le pouvoir de la manipulation et de sa capacité à être violent et cruel. La vie est précieuse, il faut savoir en prendre soin et c’est en prenant soin des autres, de ceux fragiles que l’on se donne la chance de vivre tout son bonheur, sa générosité.
Voler le coeur d’un être humain, l’amour donné, ruiner à plaisir les pardons offerts par la victime pour que la paix soit vainqueur, que l’amour soit toujours à notre humanité, c’est certainement le plus tragique que cet homme a commis. Et, le viol est ce crime qui tue l’humain, une femme, son corps, son esprit, son coeur, sa vie et aujourd’hui il est de vouloir profondément éliminer toutes les violences faites aux femmes. C’est incompréhensible cruauté à l’égard des femmes.
Briser gratuitement un être humain car il est une femme, car le mariage a ce sens pour un homme malintentionné de posséder une femme, de prendre le droit de détruire sa vie, de penser qu’elle lui appartient par ce patriarcat psychotique sorti de l’obscurantisme, de la démence du pouvoir, de mettre des êtres humains en esclavage, de les plier à sa volonté par des mensonges destructeurs, que l’on appelle : la manipulation.
Légitimer la violence commise en faisant référence à la culture du viol, des viols conjugaux, à la brutalité du patriarcat, ce qui persiste, c’est renier notre fraternité, ainsi que notre solidarité universelle. C’est également nier une femme, effacer la victime dans cette optique que de toutes les manières le but était de tuer sa vie. C’est abandonner les droits des femmes, qui sont des droits humains et c’est se séparer de la solidarité internationale luttant pour l’élimination des violences faites aux femmes. L’ONU prend l’engagement d’éliminer les violences à l’égard des femmes durant la décennie dans le cadre du développement durable, ce qui signifie que le respect des droits des femmes est primordial pour que notre monde perdure.
Ne séparons plus notre humanité de l’humain, et cela est possible par la réconcialtion , car nous sommes une famille qui ne peut-être désunie. Les hommes violents brisent la paix, sa chance de vivre. Qu’elle puisse bâtir un avenir serein. La mémoire construit le futur et la violence le blesse, inscrit en lui ce mouvement destructeur.
Il faut que les hommes violents aient la dignité de reconnaître leurs victimes, car c’est reconnaître leur propre humanaité et nos communautés solidaires qui ont besoin de la paix pour survivre.
L’élimination des violences faites aux femmes est un engagement primordial, aucune vie paisible pourra être sans ce fondamental. Un homme violent interdit tout refuge, toute vie paisible à sa compagne. Le domicile devient ce lieu qui terrorise. L’homme violent empêche tout repos, développement possible à sa victime qu’il poursuit de sa haine.
Le prince décharmant cité, poursuit sa rage dans la rue, devant les écoles, il n’est plus aucun refuge pour sa victime. Il s’acharne à détruire une vie. Il brise le droit au bien-être, à la santé avec un grand mépris et froid il part fuir, oubliant ceux qu’il a traumatisé, mis en état de choc. Il part ailleurs commettre des actes malveillants, manipule et ne laisse pas sa victime vivre en poursuivant ses manipulations, diffamations, ainsi que ses agressions.
C’est ce mouvement destructeur que génère cet homme violent qui devient ce permanent qui détruit. Puis, il enlise sa vie dans ce macabre, perd son humanité, et se contente d’être cet ennemi qu’il a choisi d’être. Il hurlait toujours « Je ne changerai jamais » .
Un homme est ce frère; tromper, trahir, voler la sincérité de l’autre pour vicieusement lui nuire, comme ça gratuitement, ce n’est pas ce que nous pouvons concevoir pour perdurer sur Terre. Le respect de la liberté doit être véritable et la liberté doit être protégée.


©LiberTerra Photos

Témoigner – La force de vivre
– Une nuit , une autre marquée par la violence, les hurlements, chantages au suicide récurrents du prince décharmant
Les gendarmes, le samu et son épouse le cherchent en pleine nuit et plein hiver suite à un de ses chantages au suicide. Il avait encore une fois fait semblant d’avaler des comprimés.
Puis, extrêmement méchant, il hurlera des injures à l’égard de son épouse qui a passé une partie de la nuit à le chercher avec les services de secours . Sans compter la souffrance des violences et viols qu’elle subissait.
Les alertes faites concernant les violences qu’il commet et il sera à son encontre : une condamnation pour violences conjugales et menaces de mort à deux ans de prison avec sursis.
Une condamnation dont il se venge sur son épouse qu’il plonge dans la précarité et l’isolement.
Écrire pour vivre, la liberté se colorie à l’encre libre de l’espérance
Il est cette pluie qui frappe au carreau. La fenêtre reste fermée. C’ est ce regard qui rêve au dehors. La pluie tombe sur ce sol de Paris. C’est l’hiver, ces jours courts et court le vent . Mes ailes , je voudrais m’envoler, aller, me poser sur les toits , que personne n’attrape mes rêves pour les enfermer.
La cage . La cage et une rose posée dans un vase. Il met un peu d’eau . Juste un peu, un baiser, » Ma chérie, tu es la femme de ma vie. »
Il met un peu d’eau dans le vase pour que la rose ne meurt pas . Puis il hurle, les pétales tremblent . Où sont mes ailes, l’envol, la promesse de bonheur ?
Mon enfant dort paisiblement. Je l’aime, il est mon cœur plus que tout, mon rêve, le précieux, tout . Et, lui, le père, il hurle, crie si fort .
Dans les couloirs politiques, rédactions se faufile l’ombre à
Escroc et faussaire





Des victimes des escroqueries qu’il fait – Une d’elle est journaliste
Élisa* est journaliste dans un quotidien national, celui que tentera de manipuler le prince décharmant en 1993, en y faisant parvenir un faux document accusant alors Hervé Bourges. Elle explique qu’elle est victime du prince décharmant .
Le prince décharmant qui sans aucun respect de la vie d’autrui, faisant un mal fou à ceux qu’il voudrait être tant il sait sa criminalité et son incapacité à aimer, à être vrai, sincère, honnête.
Il a fait le choix de tisser toute sa vie à travers ses mensonges, ses manipulations vicieuses, lâches. Il se venge de ses frustrations, aigris, jaloux et tente toujours de détruire comme ça gratuitement pour exister, pour qu’on parle de lui, pour marquer au fer rouge les vies de ses victimes.
En 1993, c’est également un autre jeune journaliste qui est pris au piège de ses odieuses manipulations. Le prince décharmant est seul coupable du faux contre Hervé Bourges. Il est condamné, mais en réalité rien ne se passera, si ce n’est des articles qui paraissent dans la presse, si ce n’est son visage qui apparaît au journal de 20 heures.
L’escroc , le faussaire se fait plaisir. On parle de lui, il est dans la presse. Les journalistes savent qui il est, celui qui s’introduit dans les rédactions à Toulouse, celui qui vole des dossiers , celui qui manipule à la mairie de Toulouse, vole des tampons, vole ce qui va lui servir à manipuler, à se fabriquer un personnage.
Ses dossiers qu’il prend en endormant celui ou celle dont il va abuser. Il se joue de la fragilité d’une personne, manipule son point faible, met la personne sous son emprise, se dit être son » sauveur », l’ami, le frère que l’on a pas eu et il détruit.
1992 – La rose et l’amour chante en elle, il la casse

La journaliste Élisa* qui témoigne être victime du prince décharmant, déclenche sans le savoir toute sa haine, sa violence
La journaliste explique que le prince décharmant lui a pris un chèque et qu’il l’a falsifié et encaissé. Élisa a une personne au téléphone et lui raconte que ce prince grand manipulateur et escroc professionnel l’a volé. Il a abusé de sa confiance, à jouer l’ami, et il a falsifié un chèque lui appartenant qu’il a encaissé la mettant ainsi en découvert. Il a écrit sur ce chèque une somme importante qu’elle ne possédait pas sur son compte .
Le prince décharmant n’accorde aucune considération à cette journaliste qu’il a volée. Au contraire, il l’insulte, dit qu’elle ment, qu’elle n’a rien compris. Cet escroc multiricidiviste piège faisant croire qu’il aide, apporte un soutien, et plante son poignard dans le dos.
Le prince décharmant se venge de son appel dénonçant son escroquerie sur sa compagne, une jeune femme de 24 ans , la rose dans le vase . Il se précipite sur elle, il hurle, insulte. Il insulte également la journaliste .
Puis il se dirige vers la chambre où il est un berceau. Une petite fille, nourrisson, si belle, si paisible et lui, en rage. Sa rage – d’un seul coup, il saisit la table à langer et détruit toutes les affaires de l’enfant .
Très vite, tout ça se passe très vite. Sa rage, il hurle, casse. Sa colère folle, démente qu’il calcule toujours responsable et conscient de toute sa violence. Le berceau près de lui. Juste derrière sa masse sombre, terrifiante, son regard d’une haine extrême, tout son visage exprime sa violence. Il veut être le maître.
« Je saisis mon bébé et une seconde plus tard, il balance le berceau de toutes ses forces à travers la pièce. Puis, il se retourne et voit le bébé dans mes bras . Il poursuit sa rage. Il se dirige vers moi, me pousse, hurle, et crie « chienne » , « chienne » » Chienne , rentre dans la chambre ! » Il pousse , tire, secoue, me balance dans la chambre qu’il vient de dévaster. Je serre fort mon enfant. La chambre est au chaos. Il a tout renversé, cassé. Il ferme la porte et il quitte l’appartement sans un mot, froid, glacé. Je ne sais plus parler. Je suis immobile, inerte, morte . Je sers mon enfant. Il va bien . Il est là.
Je ne sais plus parler. Reste immobile, puis range toute la chambre. Le temps n’existe plus. Tout a disparu. Le prince décharmant rentre, ne dit pas un mot, froid, cruel . Fier et puissant, il traumatise, humilie. Il aime mettre en état de choc, prend plaisir à faire du mal. Il se dit pigiste à Paris Match. Puis il ne le sera plus . Il part, ne dit jamais ce qu’il fait. Il ment, froid, indifférent. »
Il brise une vie, détruit une mère par sa violence quotidienne, harcelante. Il est très autoritaire, se pensant être très supérieur aux autres. Il dit que les personnes qui ne lui obéissent pas , lui répondent sont « des grenouilles décérébrées » et que le petit peuple est « la valetaille » . Ce qu’il écrit également dans ses courriers depuis sa cellule de la prison de Toulouse fin des années 80 après avoir été condamné pour avoir escroqué des banques et plus de 60 personnes. Un article avec sa photo paraît alors dans la Dépêche du Midi .
Il garde secrètement un exemplaire de cet article, comme une personne garde des chèques que le prince décharmant a volé, falsifié, et autres documents prouvant la perversité et dangerosité du prince décharmant, qui manipule son épouse, ses propres enfants en se disant diplômé de Sciences Po Toulouse, mention Très bien, et de la Faculté de droit. Le prince décharmant invente son passé, se crée un personnage qui n’existe pas et qu’il tisse avec ses mensonges, manipulations.
Son père révèle plus de 20 ans après que son fils a fabriqué de faux diplômes, de faux CV, qu’il amène ses proies là où il veut, ment en permanence. Son père avoue également avoir eu des perquisitions à son domicile concernant les vols, escroqueries et divers que son fils a commis alors âgé de moins de 25 ans. Un escroc qui recommence sans cesse ses escroqueries qu’il l’amenait devant un juge pour enfants dès l’âge de 16 ans, en 1980.
Ses parents l’ont toujours soutenu , abandonnant leurs petits-enfants et leur maman à la violence inouïe de leur fils, une violence qu’il connaissait. Ils répondaient ne rien savoir, ne rien comprendre et ils hurlaient comme leur fils sur l’épouse traumatisée.

Après des années à alerter, en vain – Une plainte en septembre 2019 pour les viols, violences que le prince décharmant a commis sur sa conjointe dont ceux extrêmes lorsqu’elle était enceinte. Une grossesse à risque du fait des violences récurrentes qu’il commettait. Le prince décharmant agresse sexuellement , maltraite sa compagne enceinte et alitée du fait d’une grossesse à risque.

Une rose à terre , maltraitée, violée
Ce poing qu’il lève, serre , prêt à frapper sa femme enceinte en plein visage. Puis, le prince décharmant menace son épouse de mort avec un couteau à la main . Il fixe la fleur cassée, son regard est déterminé, exprime une terrible méchanceté, avance son couteau vers elle, et il prononce les dents serrées , plein de rage, « Je vais te tuer, je vais te tuer » .
La rose est immoblie, paralysée, n’ose prononcer un seul mot, reste calme, elle n’est plus là, il l’a déjà tuée . Le prince décharmant joue à menacer de mort , il aime torturer mentalement sa proie, la brise puis il remet un peu d’eau dans le vase et appelle la rose, « Chérie » .

Puis , il est cet autre jour où la violence du prince décharmant éclate encore. Sa compagne enceinte est assise sur le canapé , elle est dans ce silence des grandes souffrances. D’un coup le prince décharmant entre dans le salon, se fige devant elle et dresse son poing. Le fils aîné rentre à ce moment-là, le prince décharmant tourne la tête, croise le regard de son fils et baisse son poing. Il sort de la pièce sans dire un mot et part rire dans ses bars où il diffame gravement la femme qu’il maltraite.
Le prince décharmant s’acoquine avec des femmes à sa ressemblance , les prend en soutien, les flatte, les manipule, il en fait les reines du bal, leur donne le pouvoir de rire de ses jouets, ses enfants et leur mère qu’elles savent être maltraités.

Violent et cruel , il est sans fin une machine de violences
Il recommence toujours son mode opératoire, le reproduit sans cesse. Il sera cet homme cruel jusqu’à son dernier souffle. Il flatte le narcissisme, la perversité de personnes cultivant le patriarcat, la culture du viol et il se réjouit d’être à faire du mal, terminant sa tâche, enterrant sa proie qu’il salit auprès de ces mauvaises personnes lui tendant l’oreille, se roulant dans sa perversité.
Le prince décharmant joue les victimes, les bons « pères de famille », utilisant le noms des enfants qu’il a traumatisé pour manipuler. Il joue le personnage du bon catholique citant l’épître de Paul, citant des noms d’évêques, manipule avec la religion de manière récurrente.

2021 – Il continue sûr de son impunité, ayant préparé ses odieuses manipulations , certain dans son mental toxique que la justice abandonnera les victimes et le plaindra, lui, le grand manipulateur, sa fierté. Il prépare son cinéma, son jeu d’acteur qu’il peaufine auprès de son public prêt à applaudir avec une indifférence de mort à l’égard des enfants, de leur mère que cet homme cruel à gravement traumatisés.
Philippe Palat hurlant sur sa conjointe des heures entières et en pleine nuit des injures obscènes, comme il les écrit à sa victime
⚠️ TW – Attention extraits des messages violents de Philippe Palat, qu’il envoie à sa conjointe qu’il n’a jamais cessé de maltraiter.
Il menace , manipule, fait pression , harcèle et intimide, fait du chantage sur sa victime en évoquant des noms de préfets en poste, de juges, de policiers ! Il manipule en disant dans divers messages « donner consignes » à une préfète actuellement en poste !
Comme il a harcelé sa victime en tous lieux, ne lui laissant plus aucun refuge et sans qu’une plainte ne fut prise.
Philippe Palat injurie, crache, menace de mort , agresse sa conjointe, puis ex- conjointe dans la rue et devant des passants qui n’ont réagi qu’une seule fois , donnant lieu à une condamnation de Philippe Palat pour violences conjugales à deux ans avec sursis. Il s’est vengé de ce jugement sur sa proie et de manière horrible !
Ce sont également des agressions qu’il a commises devant les écoles, à l’intérieur d’une école maternelle ! La directrice a appelé la police. Mais, il ne fut pas encore une fois, une plainte contre ce dangereux prédateur et sa terrifiante méchanceté.




Le prince décharmant – Le flatteur charmant des personnalités politiques
Le prince décharmant manipule également le nom de Jean-Edern Hallier de l’Idiot International où il s’était auto-attribué le titre de rédacteur en chef , manipulant et mettant comme toujours sous son emprise. Ce sera ce soir où Jean-Edern reçoit des invités. Le prince décharmant arrive ivre, faisant un scandale, hurlant, injuriant et jouant les malades, les dépressifs pour être excusé et plaint.
Cela lui permet de se moquer de ceux à qui il fait subir son pitoyable rôle. Il continue son scandale dans le hall de l’immeuble parisien. Les voisins alertés par le bruit de ses hurlements d’injures sortent et il continue sa pièce devant eux. Il balance son portefeuille, son agenda, ses documents, et hurle toujours ses horreurs. Puis, il menace de se suicider, fait semblant de pleurer. Un voisin ramasse ses papiers , lui tend avec une parole rassurante, et le prince décharmant les saisit et les jette violemment à travers le hall de l’immeuble en regardant le voisin avec son habituel regard noir et en l’injuriant.
Le voisin est choqué et commence à avancer vers le prince décharmant qui prend la fuite. Nous sommes avenue de la Grande Armée à Paris, où après sa fuite. il singe de se suicider et met en danger des personnes en se mettant en plein milieu de l’avenue. Les voitures freinent brusquement et il continue son manège en fixant les invités très choqués restés sur le trottoir et ceux avançant pour tenter de l’arrêter. Les pompiers sont appelés et dès que le prince décharmant les voient arrivés, il s’enfuit !
Bouffé par sa haine, sa cruauté, ses manipulations odieuses, il rentre chez lui et se défoule sur son épouse qu’il accuse, rend responsable des violences qu’elle subit. Le prince décharmant appelle la rose entre ses « chérie » : « l’araignée », « la mante religieuse » et autres injures .
Puis, le prince décharmant reviendra quelques jours plus tard, pour jouer son rôle du grand journaliste à l’Idiot International . Un rôle dont il se vante toujours en beau parleur devenant soudain « charmant » et jouant les politologues flattant en tartuffe le catholiscisme, Napoléon ! … Tout ce qui lui tombe sous la main en utilisant le subjonctif de l’imparfait dans ses grandes phrases et diatribes. La misogynie de Napoléon ne peut que le flatter ! « La femme est notr propriété, nous ne sommes pas la sienne; car elle nous donne des enfants, et l’homme ne lui en donne pas. Elle est donc sa propriété comme l’arbre à fruit est celle du jardinier« , Napoléon .
Il décrit avec quelle perversité le prince décharmant a eu des enfants ! Il a fait d’une femme sa propriété, la possédant comme une chose. Posséder, ce n’est pas aimer.

Le prince décharmant s’applique à briser un être humain
Il manipule la fragilité de son épouse, les drames qu’elle a vécu adolescente et il commet sans cesse des violences psychologiques graves en utilisant des blessures passées alors qu’il ne la connaissait pas.
Le prince décharmant l’injurie de « sale » car avant de connaître ce diable , elle avait souffert de la perte douloureuse d’une grossesse. Durant plus de 10 ans , il la martyrise avec ses injures graves et la diffame auprès de personnes en mentant, salissant gravement la souffrance de cette jeune femme qui avait eu avant de la connaître, une grossesse à la fin malheureuse dans des conditions dramatiques.
Il met sur la place publique l’intimité, la vie privée de sa jeune épouse, qu’il manipule horriblement , inventant tous ses mensonges pour faire du mal, détruire, l’emprisonner dans une intense souffrance.
La rose se teinte du bleu du ciel , sourire à la vie, et les larmes . Juste un peu d’eau pour que la rose ne meurt pas .

La beauté de l’amour paraît toujours, dépasse toutes les souffrances, la vie est là, belle , magnifique.
Il est ce bateau à la voile blanche qui s’éloigne des hommes martyrisant une mère et un enfant, celui au cœur de pierre et de mensonges qui n’éteint que son âme.
Le prince décharmant se moque des condamnations à son encontre – Pour lui, elles font partie du jeu . Il se venge de celles-ci sur sa conjointe
Ce prédateur escroc et faussaire multiricidiviste, a déjà été condamné pour violences conjugales et menaces de mort à deux ans de prison avec sursis et deux ans d’obligation de soins qu’il n’a jamais respecté. Condamné également pour avoir menacé une école à Bordeaux. Il n’ aura qu’ une simple amende pour ce fait.
Il se venge de ses condamnations sur la victime.
Les actes de violences qu’il a commis sont bien au-delà puisque le viol est un crime. Les menaces de mort avec un couteau et autres violences pourtant dénoncées dans un long témoignage fait devant la police ont été oubliées par la justice lorsqu’il paraissait pour avoir menacé une école.
Les hirondelles chantent en hiver et voir la paix

Il est ce matin frais, cette douceur de la vie, ce jour qui s’offre à nos yeux, le voir et l’aimer et c’est ainsi que la justice se révèle. Ressentir la paix en soi , dépasser les peurs qu’un homme violent impose en terrorisant et menaçant de manière récurrente la vie de sa compagne en commettant des violences conjugales et sexuelles qui impactent la vie d’une femme dans toutes ses dimensions.
Des violences capables de tuer un être humain, des actes cruels qui détruisent le merveilleux de la vie. La vie qui de toutes ses forces offre toujours son sourire à la rose libérée.
Les injures très obscènes que le prince décharmant hurlait des heures entières en pleine nuit en renversant les meubles , en tirant les cheveux, en poussant avec son ventre, en serrant brutalement le corps de sa femme enceinte, en lançant de l’alcool dans ses yeux, comme il lançait des cigarettes allumées sur elle , enceinte – des violences et des violences qu’il commet sans fin et son regard pris par la haine.
Sa conscience, il regarde sa compagne souffrir et son regard froid analyse la peur , une femme paralysée, tremblant de tout son corps. Il voit sa souffrance et hurle alors plus fort sur elle en l’injuriant, en jetant des objets sur elle, en prenant cette serviette qu’il roule, sert fortement et il frappe le visage de sa compagne avec .
« Tout le monde a le droit à un foyer sûr et aimant » ONU – Les droits des femmes sont des droits humains
La mémoire traumatique et les violences subies se font ce présent douloureux
Le prince décharmant tente d’abattre la générosité, l’amour de la vie d’un être humain – son cœur, son esprit . Il veut mettre l’amour en lambeau et déshumanise sa proie .
Une proie, un être humain n’est plus que sa proie qu’il attaque, qu’il manipule et il offre un bouquet de fleurs de temps à autre après ses crises de violences, sa rage . Un bouquet de fleurs qu’il présente comme étant le sien, insistant sur le fait que c’est lui qui l’a composé. Comme cet autre bouquet de fleurs qu’il volait alors âgé de 16 ans et qu’il offrait à une fille de son lycée.
Mais, la rose est libre et non prisonnière d’un bouquet, celui sombre des fleurs arrachées que tient le prince décharmant .
Il est ce matin et l’oiseau chantant . Tiens, voilà le sourire de la vie qui console des pires chagrins et qui se pose doucement sur la rose libre .

© Fédora Hélène ( extrait de « Les hirondelles chantent en hiver » © )
*nom d’emprunt

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