Fascisme en ascension : Urgence de la Paix en France

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La vie se conjugue avec liberté

Si aujourd’hui, il doit être quelque chose, c’est la valeur de liberté qui domine le vivant sur Terre, et bien au-delà dans le fragile des découvertes scientifiques apprenant l’univers, quand notre planète, et son monde, l’océan, gardent le secret sur l’immensité splendide de vie.

Je voudrais que chacun d’entre nous regarde la beauté de la nature, se pose un instant et ressente la force de la nature, respire, écoute, touche la terre, et se demande, est-ce qu’ici, l’on ne voit rien qu’une seule seconde, autre chose que la paix, que l’unité parfaite ?

L’humanité est issue de cette plénitude, est une unité, un corps. Nous sommes une famille, un monde. 

Les régimes autoritaires brisent la réalité de la vie et imposent leur néant. Aujourd’hui, nous devons nous investir dans la résistance contre les discours de haine, les jeux politiques, et croire l’histoire témoignant, du drame terrible qui s’impose quand l’extrême droite domine.

Faut-il avoir souffert de la violence du racisme, de l’antisémitisme, du patriarcat, du néocolonialisme, des hommes de violences prônant les thèses fascistes pour avoir conscience, savoir la haine qui s’intensifie toujours à leur passage ?

Ce qui détruit, ne sauve pas. Retenir cela, ceux qui pensent que l’extrême droite est la solution, que le fascisme gardera leur confort, les laissera avancer sans l’ombre déjà de la honte, des détresses, des pleurs qui résonnent à la nuit, des cris s’échappant quand la violence surgit, brise, déchire. 

Les politiques ont une lourde responsabilité, et j’aurais souhaité que Gérald Darmanin ne soit pas au pouvoir. Je l’aurais souhaité quand j’ai recueilli des témoignages et écrit des articles sur le calvaire que subissent de jeunes migrants Soudanais, les violences policières, les jeunes militants écologistes criminalisés. 

J’aurais souhaité ne pas entendre Bruno le Maire, une bourgeoise pour enfer des pauvres, et que la lutte pour mettre fin à la pauvreté soit l’engagement d’Emmanuel Macron se devant de respecter les Objectifs de développement durable des Nations Unies. ODD 1 : Pas de pauvreté. 

J’aurais souhaité que les violences faites aux femmes et aux enfants soient combattues, car protéger la vie des plus fragiles, c’est vivre en conscience et préserver le monde vivant dans sa globalité. Qui ne protège pas une rivière, ne peut protéger l’humain. 

Sans eau pas de vie

C’est un mouvement, une force en symbiose avec les éléments et l’océan en est sa puissante représentation. 

Aujourd’hui, à travers le monde, des enfants sont victimes de pénurie d’eau potable, l’eau en arme de guerre aussi, les enfants de Gaza en souffrance, l’eau de vie entre les mains des tyrans, confisquant le droit de vivre, et le silence du monde, pendant qu’inlassablement, l’extrême droite en Israël ôte la paix du monde en arrachant les racines de l’olivier de Palestine. 

« Depuis plus de sept mois, nous assistons à cette tragédie, qui fait des milliers de morts et de blessés, dont des enfants », a déclaré Catherine Russell, Directrice de l’UNICEF.

Selon les estimations de l’UNICEF, à Gaza, un enfant est blessé ou tué toutes les dix minutes. Les femmes et les enfants représentent 70 % des victimes. « Les survivants, eux, vivent un exode sans fin », alerte l’UNICEF. 

Gaza, ce sont 1,7 million de civils qui sont contraints à des déplacements forcés incessants. Démunis de tout, des familles sont lancées sur les routes de fortune. Les bombardements en décor des ruines, ont saccagé les infrastructures routières, laissent un paysage de désolation, foudroyé encore par des bombardements encerclant les civils sans refuge. 

Des obus, des éclats brûlants, des mines, font des routes traversées par les civils, dont des enfants, celles de tous les dangers. La peur traumatisante, le cri des enfants lors d’explosions de missiles. Les pleurs, les appels au secours, les enfants se demandent où est le monde, il ne voit plus que cet enfer. 

Aujourd’hui, à travers le monde, des enfants sont victimes de guerre, de déplacements forcés, de crises humanitaires, sont exploités, leurs droits humains bafoués. 

La haine d’un monde géopolitique toxique regarde Gaza mourir, être détruit. Les populations indifférentes, la conscience coupable, votent pour l’extrême droite, dans cet archaïsme laissant la moitié de l’humanité opprimée, les femmes, et près de 3 milliards de personnes sans accès à l’eau potable de manière régulière et facilitée. 

Le droit de boire est détenu par des populations riches, celles de l’industrie ayant provoqué une pollution sans précédent de l’eau par les produits chimiques, et qui aujourd’hui, comme en France, ont pour souci d’élire les extrêmes droites, et faisant alors, le choix d’aggraver les détresses. Une pandémie de souffrances, et la liberté supplie pour qu’un enfant pauvre soit sauvé. 

La perversité narcissique en culture, est la justification du vote d’extrême droite. Rien ne pourra le justifier, excuser un monde politique se pensant en dominants créant leur Olympe dirigeant le monde. Il reste l’incompréhensible, l’ignorance, la conscience noyée, la justice perdue. 

Emmanuel Macron aurait dû lutter pour la liberté, il a appauvri les droits humains, l’universalité de la paix, a augmenté la violence de la pauvreté, le déséquilibre, un patronat aux raisons du 19ème siècle, l’injuste, les discriminations. Il a donné la gouvernance à l’extrême droite LR, les réseaux du RPR, devenus UMP, LR et à un socialisme de trahisons, d’opportunistes prêts à tout pour un titre, un salaire, des privilèges dans une bourgeoisie aux habitudes d’acheter leur appartenance à un pouvoir.

Emmanuel Macron, décidant de dissoudre l’Assemblée nationale, pour ne pas démissionner, a écrit une « lettre aux Français », publiée dans la presse dimanche 23 juin, aux paroles manipulées, celles de l’emprise, tentant sa chance de séduire. Il dit « entendre » les Français, et promet de changerla manière de gouverner. Il restera invariablement similaire, et allant vers le pire, encourageant, à demi-mots, le RN, dans ses réflexions de campagne électorale pour les législatives. Il courtise l’extrême droite d’oligarques, la bourgeoisie financière,néocolonialiste, marchands d’armes en financiers du système conçu par la puissance de la guerre, la sacralisation de l’industrie, et la folie consciente de déclamer l’industrie de l’armement, comme première. 

Les méthodes de barbouze ont 40 ans d’expérience dans la prédation, les manipulations politiques endoctrinant les foules, servant l’avidité, les frustrations et haines. Emmanuel Macron peut constater que sur la scène politique des extrêmes droites, se déversent les salons mondains d’une certaine presse de propagande, des affaires, des barbouzes, ayant acquis du pouvoir en s’alliant avec les sphères du monde financier, politique et judiciaire. 

Quelques magistrats ultra politisés de l’extrême droite à la gauche de circonstances, leurs liens avec une certaine presse abreuvée d’argent, de politique corrompue, de manipulations, emprisonnant la liberté et faisant de la violence, leur loi. La violence acceptée des mensonges, des combines, et au tapis rouge, les cercles sectaires de l’extrême droite catholique.

La haine forte prend place, envahit l’espace politique, s’accroche à sa matrice et se déverse inlassablement dans les arcanes du pouvoir, dans les villes et campagnes, plongeant le pays, l’Europe dans cette obscurité venant et portée par les extrêmes droites. 

Les jeux politiques révèlent leur dangerosité, abandonnent la paix, laissent s’échapper la violence autoritaire capable de traumatiser, de blesser, de terrasser la liberté, et ainsi la démocratie en deuil, ce sont des vies innocentes qui subiront le pire que prédit le fascisme, les promesses politiques de guerre civile. 

Emmanuel Macron a fait le choix de son intérêt personnel voulant devenir président de l’Europe, et voulant rendre coupable un peuple le désavouant, les Français face à la crise politique qui n’est que l’écho du chaos de la politique. 

Les multiples présidents locaux, l’État brisant la démocratie et instaurant ses marionnettes en marionnettistes en présidents.es au niveau régional, départemental, local, auxquels s’ajoute les postes politiques des préfectures, et postes clé du monde judiciaire. 

L’empire en architecture politique, renforçant le carcan des notables, des inégalités, le caractère d’opacité, l’omerta et les corruptions. Les manipulateurs choisis, les prédateurs du système veillant sur l’argent roi, car tout est folie consciente, la méchanceté se parant de cupidité, c’est plus noble si la raison est de devenir riche. 

Des villes aux campagnes, ils déclarent fièrement, « on préfère voir des vaches, que des Arabes ». Emmanuel Macron leur laisse le choix, celui du pire, des décennies de provinces enfermées sur elles-mêmes, où règnent les humiliations sociales, les déserts culturels, les discriminations, le racisme accepté, loué. Ce sont ces gens qui s’ennuient, ceux tournant la tête quand une femme est agressée en pleine rue sous leurs yeux, quand un prédateur maltraite un enfant.

Les mêmes qui réclament toujours plus de prisons, le malsain terrible, cet obscur pesant, ce ciel aux teintes inquiétantes, au-dessus de la France. 

La paix s’éloigne, un pays délaissant la justice, l’extrême droite aux discours de haine identiques depuis les années 80, s’installe dans les médias en produit commercial, en tête de gondole des élections. Depuis près de 30 ans, les politiques utilisent le FN pour manipuler les émotions, se faire élire. L’extrême droite au deuxième tour des élections présidentielles, et l’histoire revient en ombre, la France Vichyste, comme Stéphane Hessel l’a rappelé. 

Il ne peut être d’avenir en paix quand un pays ne fait pas son histoire

La douleur profonde des heures sombres, la Seconde Guerre mondiale, et le bruit des bottes frappent, la nuit, elle-même, s’évanouit, il reste le cauchemar de la barbarie nazie, la cruauté. 

Le long sanglot, les témoins disparaissant, il demeure leurs paroles, leur regard racontant, l’histoire visible aux portes de la mémoire, le traumatisme renaissant, ne jamais oublier. Mais, la France du côté de la collaboration, et du pire séduit par l’idéal nazi, revient jeter le sel brûlant sur les cultures de liberté, la paix résistante. Une France demeurant au clair-obscur, tirant la haine vers le haut, ancrée dans ce chaos, et faisant d’elle, encore, une possible version du fascisme, de ce qui ruine. L’inquiétude grandissante, les larmes, et si l’extrême droite monte les marches du pouvoir, on chantera le jour de tristesse, et la résistance, où sera-t-elle ? 

La trahison est le mouvement politique, lecourant fertile de toutes les obsessions de pouvoir

Serge Klarsfeld, avocat ayant traqué les nazis après la Seconde Guerre mondiale, et la terrible nouvelle, il appelle à voter pour l’extrême droite.

L’ambiguïté terrible cultivée depuis des années où l’extrême droite a été soutenue par des Juifs. Incompréhensible, hautement choquant, l’humanité toujours vacillante, au bord du précipice, et la paix universelle retient son souffle, passe en silence, se protégeant de ces hommes causant les peines. La haine de la Palestine, conduirait-elle au pire ? 

Ils oublient le terrible de l’ambiguïté, la violence de ce système qui ne doit jamais être sous-estimée, le mensonge qui est sa parole. Et, par l’ambiguïté, Papon a été promu Préfet de Paris et il sera le massacre du 17 octobre 1961. Papon devenant ensuite ministre de Valery Giscard D’Estaing. 

Le RPR en ombre, les héritiers de l’ambiguïté, la droite, les affaires, l’argent plus puissant que tout, la raison qui se perd entre les pouvoirs, du système judiciaire aux liens politiques, tout se trouble aux marécages de la République, la démocratie manipulée, comme une femme mise à nu, les prédateurs en loups civilisés aux parures des costumes, mensonges et violences des oppresseurs.

Papon – L’on doit la possibilité de « rendre justice » à un avocat et militant de gauche, l’admirable Gérard Boulanger. Il fut qualifié d’extrême gauche. Il était simplement humain, profondément amoureux de la liberté, blessé par les traumatismes de l’histoire, la violence de la guerre, l’antisémitisme et le racisme qui cesseront ensemble leur violence, indissociable l’un de l’autre. 

On ne peut pas avoir le cœur en joie et fraternité et la seconde suivante à l’obscur de la haine.

Le racisme et l’antisémitisme forment un lien commun, l’autodestruction, que l’être humain peut porter, et devenir le pire, fermant les yeux, et laissant seule, son âme, se ternir au contact de la cruauté. 

Ils oublient le négationniste présent au sein de l’extrême droite. Aujourd’hui, il est toujours le devoir de plaider la cause de l’humanité contre l’ombre pressante du fascisme européen. L’histoire effacée, non transmise, elle est restée au point mort dans l’esprit Vichyste se ravivant en 2024.

C’est très choquant de soutenir les thèses d’extrême droite, d’appeler à voter pour ce qui achemine la défaite de la paix, ce qui efface le terrible de la haine, et abandonne les enfants de Gaza. L’extrême droite en Israël et des enfants palestiniens sont blessés, tués, assoiffés, affamés, traumatisés à vie. 

L’ombre, l’histoire est parfois ce qui plonge le présent dans la continuité de l’injustice. Les résistants si peu nombreux, et pourtant, ils ont gagné la liberté pour la France et l’Europe. 

Pétain, et Emmanuel Macron prononce son nom, il devrait être célébré, selon lui, rendu au patrimoine culturel, serait-il alors le brouillard de l’ambiguïté, des manipulations, des séductions politiques gardant fort ce qui ruine la liberté ?

L’autoritarisme, et « ce qui a changé » en faveur du RN, a exprimé Serge Klarsfeld, invité de LCI, quand en réalité, rien n’a changé, que la barque est chargée de racisme, d’antisémitisme, de poujadisme dormant, de frustrations et de haines, du discours commercial disant que l’immigration coûte cher, en discours de haine affirmant que le « grand remplacement » marque la fin de la France. 

Le « grand remplacement », la théorie du mensonge destructeur, de la haine de l’autre, du refus d’une humanité réconciliée formant une famille unie et solidaire. Migrants, nous le sommes tous, d’un territoire à un autre, d’une région à une autre, et demain le bouleversement climatique mettra sur les routes les migrants de l’avenir, et ainsi sera le nouveau paysage du monde, l’humain parcourant la Terre, comme il fut, puisque l’homme marche.

« Le grand remplacement » cette idée délirante et très raciste

En Europe et en Amérique du Nord, la thèse du « grand remplacement », « ces idées délirantes et profondément racistes », a souligné Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, lors du Conseil des droits de l’homme. 

« Le grand remplacement », issu des théories complotistes fondées « sur l’idée fausse que les juifs, les musulmans, les personnes non blanches et les migrants cherchent à « remplacer » ou à supprimer les cultures et les peuples des pays », souligne Volker Türk. 

Les médias propulsant les extrêmes droites par la voix d’oligarques milliardaires ayant besoin du chaos du monde pour assurer leur puissance, vendre leurs produits, s’instaurer dominant quand la paix meurt, chantant en sirènes aux oreilles de politiques, ont diffusé largement la haine se parant de vertus aux allures de manipulations avec la religion, comme l’extrême droite catholique voulant s’imposer en unique référence culturelle, et fustigeant le wokisme, dans leur ennui, perversité narcissique, vision psychotique de la société, dont ils font leur exclusive propriété. 

Les pseudos élites inspirent des actes de violences, comme ils ont toujours soutenu la culture du viol, eux les moralisateurs, tenant le bonapartisme pour devise, la folie consciente de la méchanceté. 

Les extrêmes droites mènent en réalité « une guerre contre l’inclusion », prévient Volker Türk, « ces idées visent à exclure les minorités raciales, en particulier les femmes issues des minorités raciales, et les personnes LGBTQ+ de l’égalité totale ».

Un triste exemple d’exclusion est à déplorer, « je regrette également la récente décision de justice rendue à Saint-Vincent-et- les- Grenadiens, qui maintient la criminalisation, datant de l’époque coloniale, des relations consenties entre personnes de même sexe, sur la base d’arguments discrédités depuis longtemps et de stéréotypes préjudiciables ». 

Le colonialisme pesant, et l’envie d’une Europe fasciste est aussi la volonté du néocolonialisme.

« La reconnaissance des droits des personnes LGBTQ+ va dans le sens de l’égalité et du droit de chaque personne de vivre à l’abri de la violence et de la discrimination », a-t-il déclaré. 

Le rêve collectif de liberté doit faire partie de l’ambition de chacun d’entre nous, car peut-on réaliser ses propres rêves au sein de l’ivresse des injustices, de la cruauté, de la guerre ?

Les politiques au culte des manipulations dans un jeu électoral sinistre, le peuple s’abandonnant, sans réfléchir, lors d’une élection, et oubliant de participer aux choix et aux décisions, de prendre place au sein du pouvoir, de ne pas refuser une démocratie épanouie.

Cesser de penser les politiques en Dieu, se rappelant qu’ils sont des êtres humains. Ilss’instaurent dominants, quand la royauté absolue est leur fondatrice, et que rien des ordres n’a été réellement rompu. 

La démocratie, « elle vit, ou meurt, avec le droit des citoyens de participer à la conduite des affaires publiques, en permanence », assure Volker Türk.  

Les politiques attisent la haine, elle devient l’alliée, la colère vote bercée par les beaux parleurs, « dans de nombreuses régions du monde, de nombreuses personnalités politiques attisent délibérément les antagonismes et la xénophobie pour s’assurer un soutien, en particulier en période électorale », explique Volker Türk, ajoutant, « Dans cette fuite en avant qui consiste à abandonner le bien commun au profit d’un bénéfice personnel à court terme, elles réduisant à néant les principes fondamentaux des droits humains qui peuvent tous nous unir ».

Les droits humains universels sont le ciment de la paix 

Les droits humains universels, les ennemis des extrêmes droites, comme le patriarcat est leur allié. « Au rythme actuel, la parité hommes-femmes dans les parlements nationaux ne sera pas atteinte avant 2063 », affirme Volker Türk. Quand l’égalité de genre sera appliquée dans 300 ans, alerte ONU Femmes.

La maltraitance rendue légitime, les droits des femmes écroulés sous les extrêmes droites, le droit à l’avortement brisé, le corps des femmes devenant un acte de propriété de la criminalité masculin. Les femmes d’extrême droite se faisant les reines du bal sans fin s’opposant au féminisme, humiliant les survivantes, flattant les agresseurs, grandissant dans la haine par leur absence de courage et préférant se fondre avec la violence, la culture du viol, le racisme, alimentant ce qui domine au rang politique, la perversité narcissique.

Une France très sexiste a révélé le rapport du Haut Conseil à l’Égalité (HCE), un système judiciaire renforçant les injustices à l’égard des femmes, se faisant protecteur à l’égard d’agresseurs, des discriminations persistantes, de l’augmentation de la pauvreté pour les mères isolées précaires mises en état de survie par la violence inouïe des injustices, fortes inégalités. 

« Je demande instamment à tous les États de faire davantage pour lutter contre la discrimination et la violence à l’égard des femmes et pour démanteler les lois et pratiques qui empêchent les femmes d’accéder au pouvoir », exhorte Volker Türk. 

Un système politique corrompu ne peut lutter pour la paix, puisqu’il se nourrit de l’instable, du désastre du mensonge, des méthodes de barbouze. Des hommes de violences exerçant leur prédation en détruisant la vie de femmes, manipulateurs dangereux, comment pourraient-ils vouloir la clarté d’un pouvoir partagé, autre chose que l’effondrement d’eux-mêmes, autre chose que la guerre civile à l’oracle des extrêmes droites que hisse en drapeau de défaite Emmanuel Macron ne supportant pas d’être désapprouvé, rendu illégitime par les élections européennes, ne voulant démissionner, reconnaître sa faiblesse.

La corruption, mère des faibles 

« La corruption est également un défi majeur pour la démocratie et les droits. Son principal objectif est de détourner les décisions et les ressources publiques du bien commun au profit du privé, générant des inégalités sociales et économiques qui peuvent être si importantes qu’elles vident les institutions de l’État de tout sens et privent les personnes pauvres et démunies de leurs droits à déterminer leur avenir » a déclaré Volker Türk.

La guerre est la machine de la corruption, élisant l’économie de guerre qui appauvrit les plus vulnérables, enrichissant les oligarques augmentant leur fortune, la virtualité des milliards, des prétentions en puissanced’empire entre euros et dollars, et l’un, et l’autre, en dominance dans une spirale sans fin de la dette volant aux peuples leur liberté et organisant l’esclavage moderne, emprisonnant la paix.

Ce sont actuellement 55 conflits armés à travers le monde, formant les fortes pressions sur la menace nucléaire, quand se déchaînentles ventes d’armes à Israël faisant pleuvoir des bombardements sur les civils, dont des enfants.

La corruption politique, César a vendu sa puissance aux marchands de guerre, fabriquant ce qui détruit. La France, en deuxième puissance de l’armement au niveau mondial, c’est uni à l’infinie obscurité des richesses par ce qui détruit, et d’elle que sauvera-t-elle à l’aube du fascisme qui ne disparaîtra pas avec l’élection du nouveau Front populaire. 

La France aurait dû recueillir les larmes de mères protégeant seules leurs enfants de ce monde politique en furie, d’un système judiciaire pervers, ayant noyé la justice.

Peut-on protéger son pays en laissant au désert la rivière ? 

Le monde vivant flamboyant, la nature en source de vie, l’humain, son souffle vivant près d’elle, quoi du trouble de la politique se pose sur les rivages à la liberté des vagues, de l’océan splendide qui nous appelle à le protéger, à préserver le vivant. Plus que tout autre, la paix est ce chemin, quand les peuples devraient s’éloigner de la politique, être rassemblés pour défendre l’avenir, se mêler à la nature, ne plus exploiter les ressources naturelles pour une industrie comptant le temps qui nous sépare de la chute de l’empire capitaliste. 

Le Front populaire, demain, et l’inquiétude demeure entre les jours qui nous séparent des élections législatives. 

Emmanuel Macron, responsable, proclame en devise : « Après moi le déluge », quand en réalité, il est : « Avec moi le déluge ».

Fédora Hélène

Une volonté de liberté, une volonté de paix : Droits humains universels

Une école gratuite pour tous, vraiment gratuite.

Le Front populaire : un enfant de 12 ans n’était plus un ouvrier, mais un élève.

Jean Zay, ministre de l’Éducation nationale du Front populaire, a voulu une université pour tous et libre. Parcousup est une trahison !

Hommage à Jean Zay assassiné par la milice le 20 juin 1944.

Fidèle, soyons fidèles au Front populaire, à ces femmes et ces hommes qui se sont battus pour un monde plus juste, plus équitable.

Ne séparons plus les enfants en riches et pauvres. Tous les enfants sont précieux, sont l’humanité, citoyens du monde.

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