Billet – Macron – Trompe l’œil d’une démocratie en deuil

Sur les murs de la ville s’affiche l’illusion de la démocratie

Le pouvoir en déclin s’accroche en trompe l’œil, la fin d’une République, la crise politique en chaos d’eux-mêmes, les politiques.

Sous le leadership de Macron, la démocratie française est en crise, affaiblie. Une réalité plus sombre qu’il n’y paraît quand le fascisme frappe à la porte, que les témoins disparus, la résistance au silence, les mots libres s’échappent prenant le large, à la force du vent soufflant dans la voile, ce drapeau de paix, blanc et déchiré, plein de poussière, quand il atteint les rivages lointains, les pays en conflit, la Palestine blessée.

« Indignez-vous ! », a écrit Stéphane Hessel. La liberté n’a pas été conquise, un répit, cependant, laissant le monde reprendre sa lutte pour elle, la liberté !

À quelques jours d’ici, Emmanuel Macron a lancé les dés, l’IA interprétant les jeux politiques, les configurations possibles, la manipulation des émotions, traumatiser, l’action politique fait du peuple l’artifice, le spectateur, et l’objet du jeu.

À quelques jours d’ici, l’extrême droite est dans ce temps qui aujourd’hui signifie peut-être, quand il devrait être affirmé que l’extrême droite ne sera pas au pouvoir.

À quelques jours d’ici, l’extrême droite pourrait monter les marches du pouvoir et gouverner auprès d’Emmanuel Macron. Son image, le trompe l’œil présidentiel, quand au lever du jour, le soleil marquera de teintes rouges les murs de la ville, que la guerre civile grondera en ombre, prête à éclater, que le nouveau Front populaire retriendra la haine, mais combien de temps encore à quelques jours d’ici.

Ne jamais oublier, force à la liberté !

©️ LiberTerra

Jamais une élection a eu un tel impact sur moi. Les traumatismes de la violence de ceux portant les thèses fascistes, frappent inlassablement, et savoir les corruptions régnant à droite.

La droite conservatrice se présente vertueuse, moralisatrice. Elle forme les extrêmes droites sectaires, dans le mensonge, le narcissisme, jugeant l’autre sur des critères bourgeois d’argent, de titres, d’apparences, de religion, en oppresseurs contre les femmes.

Le mensonge destructeur, qu’ils tiennent sans limite, ils se pensent sécurisés par un système qu’ils alimentent depuis plus de 40 ans et plaçant aux points stratégiques leurs pions.

Excluant ceux qui sont différents de leur monde. L’omerta dans leurs rangs est puissante, et l’injustice y triomphe obstinément. Quelques magistrats politisés comprennent ces phrases et savent les méthodes de barbouzes ayant terni le journalisme, des médias dont les extrêmes droites se servent pour faire leurs coups bas, l’appât lancé par le faux, l’opacité, le rejet du partage des pouvoirs, d’une démocratie véritable.

Et, là, on quitte le domaine politique, car leurs actions sulfureuses touchent l’humain, la nature. La symbiose de la vie que leur conscience malade a oubliée.

La Gauche n’a pas su protéger suffisamment les droits humains, n’a pas fait les efforts nécessaires à la préservation de la liberté.

Les sociaux-traîtres, l’histoire les regarde. Rangés dans la manipulation, la cupidité, et certains sont assis dans les rangs macronistes, indifférents à la montée du fascisme, du moment qu’ils seront réélus en députés, es de la préfecture. Les serviles des notables, les flatteurs répétant la propagande gouvernementale, comme la criminalisation de jeunes militants écologistes. Les députés 49.3, pour un salaire et des privilèges.

Emmanuel Macron, il faut vouloir autre chose que ceux sans dignité pour gouverner et garnir les rangs de l’Assemblée nationale ! 

Le résultat, la montée du fascisme européen, par aussi la valeur augmentée de l’armement. Le réarmement capitaliste, d’une industrie en machine de guerre, dont la nature souffre, et mettant l’humanité en détresse, avançant par ce qui détruit, ne peut que briser la paix au niveau mondial.

Ce sont actuellement 55 conflits à travers le monde qui blessent chaque jour le droit de vivre d’enfants. La préoccupation de certains Français, c’est d’élire l’extrême droite, le souci de millions d’enfants dans le monde, c’est de pouvoir vivre en paix.

Les thèses délirantes, extrêmement racistes du « grand remplacement » font de l’avenir de l’humanité, ces enfants pauvres, les coupables de vouloir vivre en paix et libres.

L’exploitation de l’humain par son propre frère se faisant l’ennemi, le colonialisme demeure un point fondamental du capitalisme, et certains se disent que les pays en voie de développement sont une menace, que leur formidable jeunesse est ce qui bouleverse la continuité d’un empire romain. Les extrêmes droites en César qu’elles voudraient être, exploitant la misère pour l’enrichissement de quelques-uns.

N’être pas demain, ce qui coule la paix, ce que la France devrait vouloir être, libre. Emmanuel Macron flattant Pétain, et dans une mégalomanie napoléonienne, instaurant une économie de guerre, auprès de laquelle s’enrichissent les oligarques, maintenant l’emprise de la pauvreté, d’un certain patronat épuisant l’être par avidité, et trouvant auprès de Macron, lui aussi, une oreille attentive, le citoyen devenant le soldat d’une politique mortifère.

Le nouveau Front populaire sera une bouffée d’air, mais rien ne sera encore gagné, le système restera de pierre, l’administration en machine obéissant à n’importe quel diktat oppresseur.

Le système judiciaire, qui n’est pas la justice, les réformes oppressantes, sécuritaires en manipulations, en l’homme surveillant l’homme, en rompant avec la paix, en renforçant un système prédateur, continuera en assurant la perversité des lois, les fortes inégalités, quand les dossiers de puissants et riches se règlent dans le secret de luxueux cabinets d’avocats. Les prédateurs sont garantis par l’impunité accordée en mémoire d’une machine royaliste, donnant aux princes, le droit du crime, des violences faites aux femmes, du viol en arme de puissance.

Maltraiter son peuple a été la loi politique pour devenir puissant sur la scène internationale, et la guerre, jamais condamnée, les massacres peuplant les livres d’histoire, dont on ne retient pas les pages, et en Palestine, le pire est arrivé, la cruauté blesse et tue toutes les dix minutes des enfants palestiniens.

L’extrême droite en Israël, c’est le monde capitaliste, colonialiste, félicité par les États-Unis, et Emmanuel Macron reste à l’ambiguïté, n’est pas un homme libre, et il ne peut pas protéger la liberté.

La liberté en peine, l’augmentation de la pauvreté, la sérénité perdue, il ne faut pas fabriquer de l’argent, mais il faut fabriquer de la vie !

Emmanuel Macron n’a pas compris, n’a pas su se défaire de la finance internationale indigne, n’a pas eu le courage de gouverner sans s’entourer des ombres du RPR, des marchands d’armes, de manipulateurs depuis 40 ans dans le système, de ceux ayant usé de méthodes de barbouzes, de certains médias véhiculant les discours de haine, d’oligarques bâtissant leur fortune, quand il était un jeune enfant, et il aurait dû faire de cette innocence une force. Il a choisi d’être de leur clan, des systèmes bancaires obsolètes ruinant un avenir juste et équitable.

Il s’est invité à la table des puissants en maltraitant son peuple, en affaiblissant les droits sociaux, en accusant les pauvres, en aggravant les conditions de vie de mères isolées précaires, souvent survivantes de violences, qu’il a trahi en ne respectant pas sa décision de nommer cause nationale, la lutte contre les violences faites aux femmes.

Il peut se rappeler son conseiller Jérôme Peyrat, et tout est dit.

Les réseaux RPR, leur violence, et le décor de costumes et titres, Emmanuel Macron a suivi ce qui est figé, immobilise la France depuis 40 ans de politique toxique, d’omerta, du malsain, de violences inouïes envers les femmes et les enfants, leur mémoire et vie effacées, dans les méandres du monde politique, d’hommes de violences, leur mental enfermé dans la perversité narcissique.

Le chaos venant, l’effondrement climatique, et le capitalisme arrive à conquérir ce qui le comble : la folie consciente, l’argent en valeur augmentée, devenant le but de vivre.

Emmanuel Macron peut flatter la franc-maçonnerie grandissante depuis le XVIII ème siècle, qui ne fut pas des lumières, mais la progression de l’esclavagisme.

Rien n’a véritablement changé, l’exploitation de l’humain, des ressources naturelles. Il est primordial d’instaurer le partage, la fraternité, la dévalorisation de l’argent, de le remettre à sa place de cailloux, et de penser l’universalité de la paix pour que la liberté puisse vivre.

Laisser agir la liberté, l’humain a besoin d’apprendre, d’être en paix, de regarder la force de la nature, de savoir se retirer, de ralentir de manière importante l’industrie, les exploitations d’énergies fossiles.

L’humanité doit apprendre à vivre autrement si elle veut perdurer. La bonté sera sa chance, le partage sa survie, aimer, sa raison de vivre.

Politique en boîte à fric

Emmanuel Macron, le mot guerre toujours à la bouche et qu’il associe cette fois-ci à « guerre civile ».

Macron joue sur l’emprise, la manipulation, n’apporte aucune solution de paix et lance ses ministres sur les routes des législatives, où Gabriel Attal tente de défendre la politique mortifère d’Emmanuel Macron, en proposant une mutuelle à 1 euro, quand le monde de la santé est en crise, car l’argent est le dominant.

Emmanuel Macron, acteur et manipulateur, affligeant, quand son devoir aurait été de réaliser des engagements pour qu’il soit : Pas de pauvreté.

Il a perdu le sens de justice, s’initie dans la campagne électorale pour tenter de ralentir sa chute.

Emmanuel Macron – François Hollande, Premier ministre. Une position intenable pour Emmanuel, dont le narcissisme serait profondément touché, se retrouvant sous la tutelle d’un de ses mentors ayant fait la loi travail.

Alain Roussel, Président de la Région Nouvelle-Aquitaine, aux frontières décidées sous Hollande, se souviendra de son soutien à un capitalisme ayant besoin des violences policières, de l’indifférence d’une bourgeoisie avide, de leur entre-soi et violence, pour s’imposer en affaiblissant les droits sociaux et la liberté.

Il y a eu l’avocat Gérard Boulanger, la véritable gauche, qui s’était présenté à la présidence de la Région, mais les citoyens sont abreuvés au monde de l’argent, de l’industrie, la consommation sans limite, et ils ont choisi l’augmentation de la pauvreté.

Aujourd’hui, à Bordeaux, la gentrification, mise en place par le RPR Juppé, a considérablement aggravé les inégalités, le nombre de personnes vivant dans la rue.

Le RPR, les affaires, l’extrême droite bourgeoise, ayant porté Macron, et le silence coupable d’une gauche embourgeoisée qui a eu besoin du verbe de manipulateurs en politique, de leur titre, cupidité, violence, sans aucune empathie, pour assurer la continuité d’un pouvoir politique.

Jérôme Peyrat, RPR, conseiller d’Emmanuel Macron, en région Nouvelle-Aquitaine, un des berceaux de la franc-maçonnerie depuis le 18e siècle, et quelques ministres et députés devenus macronistes par opportunisme, quand tous se connaissent, fonctionnent en réseau et en omerta, ayant aussi permis à des écolos de se faire élire.

Tout ne serait que mensonge en politique, leur conscience malade, et sauraient-ils qui ils sont sans le faux, sans certains médias de propagande, de préfecture, et servant l’intérêt financier de certains journalistes ne méritant aucunement ce titre.

La politique parle d’argent. Il est au centre de tout. Les politiques comptent un argent virtuel, jouent la vie pour quelque chose qui n’existe pas.

Ainsi, Emmanuel Macron ne parle pas du monde vivant, mais de guerre. Il cultive une obsession pour la guerre, banalise le mot, quand la menace nucléaire est utilisée en géopolitique.

La guerre, instrument politique, et Emmanuel Macron se sert déjà d’une de ces armes : la pauvreté.

Un système, ils en sont devenus les marionnettes et se veulent marionnettistes. La politique les emprisonne et fait leur fortune financière. Ils vendent ce qu’ils connaissent, le chaos d’eux-mêmes. La crise politique n’est que cela.

Pour manipuler les foules, en politique, il faut en premier s’être manipulé soi-même, avoir accepté de vivre dans le mensonge, de ne pas être ému pour jouer avec les émotions.

Une partie de la population devient semblable et vote sans réfléchir pour des oppresseurs, par cupidité, et racisme. Ils sont capables de fêter le 80e anniversaire du D-Day et de voter en majorité pour l’antithèse de la liberté : les extrêmes droites. La Normandie en a été témoin le 9 juin. Des provinces enfermées sur elles-mêmes, où les discriminations, humiliations sont considérés comme étant l’ordre social.

La droite conservatrice flattant Emmanuel Macron, et leur inhumanité à l’égard de jeunes migrants Soudanais, dont à Ouistreham, comme ils seront de pierre pour lutter contre les violences faites aux femmes.

La culture de la maltraitance, du mensonge, une violence extrême contre l’humain, la France perd sa paix.

Des défis immenses nous font face. L’effondrement climatique et civilisationnel, et la société cherche l’ennemi, quand en réalité, il s’agit de l’humanité contre elle-même. Nous avons besoin de la paix durable, du miracle de la liberté pour vivre.


Fédora Hélène

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