
Une jeunesse sacrifiée pour un système politque absurde, destructeur
Nahel, 17 ans, a été tué par balle par un policier lui disant « Je vais te mettre une balle dans la tête ».
La France de paix en état de choc, la France en paix révoltée par un acte d’une violence terrifiante ne semant que la douleur, le cri des innocents, de femmes, de mères, de citoyennes versant les larmes brûlantes d’une mère à une mère, la mère de Nahel dans nos pensées les plus chères.
Des hommes frères et cette balle fratricide abattant un de nous, un des enfants de notre pays, de la paix, de la liberté qui aujourd’hui versent des larmes de sang. Et, la colère bat les rues comme le désespoir parcourt les rangs des plus vulnérables, de toute une jeunesse qui étouffe sous les répressions, discriminations, sous les traumatismes de la précarité.
« Je suis sœur et frère », nos communautés fraternelles vivent par la solidarité, le respect des droits humains, du droit de vivre que les systèmes politiques et économiques brisent comme s’il était de tuer ce qui est vie pour satisfaire la folie économique, des pouvoirs en dominant, des discours politiques de circonstances, quand tout continue et l’arbre abattu est un morceau de notre cœur mis en miette.
J’ai mal d’une France qui bascule dans la violence, la haine, les injustices marquant au fer rouge des vies, les traumatismes de la pauvreté, d’avoir la mauvaise adresse aux yeux d’une bourgeoisie coupable aux lignes bonapartistes, cupides, servant le narcissisme d’un roi soleil aux napoléoniens codes et lois persistant en malédiction et peignant le visage d’une France injuste qui sombre, qui risque de franchir la ligne et de devenir le fascisme.
Depuis Nicolas Sarkozy jusqu’à Emmanuel Macron la liberté n’a pas cessé d’être gravement affaiblie par des mesures sécuritaires mises en place dans les années 90 par aussi les lobbies de la sécurité, les profits à faire, car il est aussi la raison de cupidité. La thèse sécuritaire développée par l’extrême droite dès la fin des années 70 et reprise par les droites dont le RPR au courant d’extrême droite chic de salons mondains. Le RPR, devenue LR se souviendra des affaires des années 90, des guerres de pouvoir et d’argent comme la Gauche dite caviar laissant le goutte à goutte d’un système prédateur inonder nos sociétés.
Tous frères et sœurs, un pays, c’est un peuple, un peuple est une famille. La démocratie utilisée en outil politique n’est pas la liberté du peuple, et son absence creuse le vide, ce fossé qui enterre les droits humains fondamentaux au profit d’une civilisation marchande faisant de la vie un produit, et tuant son sens – une balle en plein cœur de la paix.
La France de la liberté est en deuil
Tous humains, tous égaux – Le devoir d’un décideur politique, c’est de ne pas diviser des frères d’un même pays, de faire qu’ils soient ennemis. Diviser un peuple, c’est d’une violence politique inouïe. Les donneurs d’ordre doivent veiller à ce que personne ne soit blessé, tué. Ni de jeunes militants écologistes, ni des jeunes, ni des policiers. Ce qui doit primer, c’est notre humanité, le droit de vivre pour tous en réalisant un mode juste sous l’engagement : tous humains, tous égaux.
La diplomatie est la voie, pas la guerre, ni ce qui est : l’homme surveillant l’homme. Le pouvoir politique qui doit être protecteur de la paix et du droit de vivre en sécurité pour tous, est responsable devant le peuple.
La politique en France doit être profondément refondée, autant que les institutions comme la justice, la police, autant que la culture elle-même. C’est ensemble, un peuple uni qui doit travailler à un changement concret de société.
La violence terrifiante qui a tué Nahel marquera la mémoire collective bien au-delà de la France. Une France qui montre l’obscur de son visage, celui d’un pays qui n’est pas celui de la paix.
Des contrôles de police récurrents effectués dans les quartiers populaires et non dans les quartiers aisés, bourgeois, où les jeunes ne vivent pas la violence politique et économique. La jeunesse divisée en riches et pauvres, les quartiers et la politique dressant des murs en frontières contre l’unité, la réconciliation.
Les beaux quartiers doivent être pour tous et non réservés au pouvoir de l’argent. La paix est universelle, ce que les pouvoirs ont oublié, transformant tout en instrument politique.
La violence politique, la violence policière, les fortes inégalités, injustices, discriminations nous pouvions encore les lire dans les commentaires abjects, racistes déferlant sur les réseaux sociaux, et les propos LR fidèles à une culture d’une France bloquée dans un 19ème siècle monarchique oubliant la République et faisant celle de la bourgeoisie aux riches propriétaires, ordres s’achetant une noblesse. Un 19ème siècle, et de l’autre côté le socialisme naissant, incomplet et la force du peuple ouvrier, de son courage, peinant et mourant à la tâche dans l’indifférence des pouvoirs infériorisant des êtres humains, voulant faire les nouveaux esclaves dans le sombre des politiques colonialistes. La moitié de l’humanité est soumise pour servir la folie consciente de quelques oppresseurs dessinant les cahiers politiques où aujoird’hui, les mots se retracent dans les manipulations visant à toujours maintenir la pauvreté, et par elle les fortes inégalités et discriminations.
La division profonde de notre humanité à travers le monde persiste, se fait dangereuse et les conflits armés, guerres se durcissent, s’inscrivent dans la durée, modifient gravement la réalité et donc nos futurs.
Le temps pris par la guerre est un temps imposant la mort et en prenant ce chemin nous pensons construire la paix, l’apaisement ? Labsurde dominant et les politiques laissent la diplomatie aux rangs des armes pour négocier, aux armes pour le maintien de l’ordre, cet ordre du chaos dans un monde à l’envers où la justice est l’injustice et ne protège que les puissants.
Le pouvoir judiciaire conçu par la politique aux inspirations napoléoniennes forme le système qui n’est pas la justice. Les vies innocentes brisées, des femmes, des mères, des enfants que le système humilie, abandonne, laisse sur le bord de la route, et mettant en état de choc, traumatisant encore et encore en regardant des hommes de violences détruire des vies.
Les témoignages des victimes sont oubliés, et sur la tombe de la justice, les survivantes fleurissent la paix de leurs prières, pendant que le système félicite des prédateurs par l’impunité, quand les prisons enferment les indigents, ou pour du cannabis.
Refus d’obtempérer, « racaille », des politiques imposées par les droites extrêmes méprisantes, un conservatisme servant la cupidité et l’ego, autant que le mensonge et introduisant également le LBD sous Nicolas Sarkozy et des politiques sécuritaires renforcées par Emmanuel Macron.
Les discours de haine de politiques d’extrêmes droites, les manipulations politiques, et les mots des mensonges comme » islamo-gauchiste « , « écoterrorisme » ont une responsabilité.
Et, je pourrais qu’espérer la démission du RPR Gérald Darmanin, comme je pourrais souhaiter que LR, RN, Horizons, Zemmour, LREM, soient ceux qui formant la droite, toute la violence politique, n’aient plus un vote car les Français auront voulu profondément changer pour créer un pays progressiste, respectueux de l’humain, du droit de vivre, un pays en paix.
Les versions des policiers capables de dire autre chose que la vérité brisent toujours plus la confiance.
Des hommes et des femmes, le système a-t-il tout fait sombrer, séparant les êtres humains, faisant l’homme surveillant l’homme. Un système s’alimentant du narcissisme de générations de politiques, de pouvoir dominant et finissant par être tyrannique, voleur de vies.
Les systèmes judiciaires se sont faits eux-mêmes la violence, l’injustice – la France étant le pays de l’Union européenne où l’on incarcère le plus, où les rapports de la Contrôleuse générale des Lieux de privation de liberté sont accablants, et expriment la réalité de la France et le fait d’une administration bloquante, brimant, ayant un pouvoir surdimensionné, et très politisé. Une chape de plomb étouffant la liberté et mettant toute chose sous le joug d’interdictions, de normes, de codes ne créant que l’absurde, l’épuisement.
Faire table rase, la France a besoin d’air frais, d’une culture nouvelle, de bâtir la paix forte et durable, de mettre fin aux systèmes politiques séparant gravement, et régnant par les manipulations électoralistes. Des politiques n’aiment pas leur pays pour que les larmes ravages le visage de femmes, de mères, d’enfants comme la nature est blessée, comme un jeune est tué de manière dramatique par la violence avalant des hommes, leur esprit, leur cœur et il est aussi la peine de savoir échouée cette parole, « N’en perdre aucun ».
La justice véritable est un don de paix. La pauvreté en constante augmentation en France, comme tous les efforts pour lutter contre sont mis en détresse par des politiques préférant la virtualité de la croissance économique à la réalité de notre humanité.
Emmanuel Macron s’éloigne chaque jour un peu plus des chemins de paix et le drame terrible, Nahel tué, doit faire un choc politique et sociétal pour qu’il soit fait plus qu’une minute de silence à l’Assemblée nationale, c’était la moindre des choses. Il doit y avoir un changement politique profond, et si les appels à la démission d’Emmanuel Macron vont dans le sens de servir la paix, elle peut être en sachant que la France subit une extrême droite renforcée par les manipulations politiques et il est le risque du pire déjà présent, toujours plus de pouvoirs aux extrêmes droites.
Des vies innocentes sous le seuil de pauvreté, des quartiers discriminés, ce ne sont pas que les politiques, ce sont aussi ceux votant pour eux. Une France figée plaçant depuis 20 ans l’extrême droite au 2ème tour des élections présidentielles, puis votant contre et non pour un candidat, et donnant l’impression que les votants sont devenus les pions de marionnettistes politiques.
Les violences politiques et économiques aggravent les crises touchant l’être humain et la nature, les discours politiques plus mensongers les uns que les autres, semant la haine, l’injustice, tous leurs mots traumatisant, imposant, volant des vies, agissant pour manipuler, détruisent des futurs en paix.
Une France qui s’enferme dans le néo-libéralisme, le néo colonialisme, dans un narcissisme syndrome du roi soleil, ainsi que par la continuité du système napoléonien formant la justice elle-même enfermant les indigents pendant qu’être un prédateur, un grand manipulateur est considéré comme étant le privilège d’une pseudo élite méprisante, et comprise comme étant l’intelligence dominante.
Un système destructeur ne sauve pas. Un système industriel monarchique, d’héritiers ne pouvant être l’honnêteté qui est ce leurre imposé aux pauvres pour qu’ils le restent, pendant que les riches s’enrichissent avec un jeu de cartes triché et les systèmes judiciaires gardent le pouvoir en premier, le protégeant car conçus par la politique.
La justice n’est pas l’alliée du juste, et ne sert que les très riches, les pouvoirs, pendant que le peuple attend au dehors et subit les traumatismes des systèmes judiciaires.
Une justice servant des courants politiques, des guerres internes, et pouvant être au service de gens malveillants prenant ce système pour nuire, menacer comme quelques riches l’utilisent en moyens de pression et glissant qu’ils ont les moyens financiers, des relations en agitant en chiffon rouge la peur que la justice impose aux plus vulnérables.
La véritable justice se fait plus petit que, écoute ceux blessés, traumatisés, et ce sont des professionnels qui chaque jour tentent de le faire, font ce métier par vocation, et qui souffrent d’un système devenant l’absurde car nos sociétés ont besoin de la cohérence de la fraternité, de l’égalité, de l’équilibre de l’amour pour vivre. Tout acte fait avec cœur est vie, tout acte fait sans cœur est mort.
Le cœur de Nahel s’est dramatiquement arrêté, et notre peine est immense. Nous avons tous besoin de paix pour vivre et elle doit être vivante. Un appel à la paix, à des marches blanches, à lutter pour un monde juste. Ce n’est pas ce détruit qui doit triompher, la France doit profondément changer, renouveler la classe politique qui perdure depuis 40 ans, de longues années à subir ceux épris d’arrivisme, de pouvoir, de goût pour l’argent, de leurs manipulations et hypocrisies pour ne servir que leurs intérêts, et arrivant aujourd’hui aux clés des pouvoirs. Coluche et Balavoine ont dénoncé ces politiques sacrifiant la jeunesse.
Un pays qui n’aime pas sa jeunesse n’a pas d’avenir. La France a besoin de devenir progressiste, de mettre fin au racisme, aux discriminations, à une culture patriarcale, de violences qui s’imposent en maître. Et certains médias ne sont pas du journalisme, mais des agents politiques, des propagandistes servant leurs intérêts autant que des politiques le font.
Une justice véritable pour une paix durable par une économie saine, une démocratie directe mettant la liberté au cœur des actes, ne laissant personne de côté, et chacun devant participer aux décisions qui engagent leur vie et l’avenir de leurs enfants.
La paix est possible, c’est la violence politique, économique, culturelle qui est l’impossible.
Fédora Hélène

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