France – les systèmes politiques déchirent la paix, mettent la démocratie en danger – Naël, sa vie belle et précieuse volée, révèle l’urgence de lutter pour la liberté

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Naël, sa vie belle et précieuse volée, révèle l’urgence de lutter pour la liberté

30 juin – Caen – Rassemblement pour Naël 

La paix sera le triomphe car c’est vivre.

La paix vivante avançant vers la liberté, des futurs possibles grâce à une jeunesse qui veut un monde juste, équitable, une société où la violence et la 1ère violence prend fin : la pauvreté. 

Un monde où le racisme, le fascisme seront anéantis. 

Une jeunesse aimant une France en paix respectant les droits humains, le droit de vivre, et où un jeune de 17 ans n’est pas tué par un policier. 

Une lutte intergénérationnelle pour la paix, pour vivre libre ! 

vidéo ©️ LiberTerra

France – Des systèmes politques déchirent la paix, mettent la démocratie en danger quand la paix est le souffle vital de la liberté

L’année 2023 est celle révélant le sens de nos sociétés : l’universalité de la paix, sa dimension de fraternité. Cette harmonie qui constitue l’équilibre de notre monde. Savoir que les hommes sont frères, et que l’ultime condamnation de l’humanité envers elle-même et la nature, c’est la guerre.

Le ciel nous apprend l’existence de l’univers, et qu’il représente l’espace gardant la vie sur Terre, une sphère où le vivant possède un équilibre parfait protégé et possédant cette frontière entre elle et l’espace. La Terre ne pouvant vivre sans l’espace et l’espace lui-même en cohérence avec notre planète.

Notre environnement nous permet de vivre et celui-ci est baigné par la paix. Sans elle, c’est l’instable qui signifie le chaos, ce qui provoque le bouleversement climatique. Celui-ci est d’une ampleur majeure et bouleverse nos sociétés, nos fonctionnements, notre adaptation même à l’environnement que nous avons modifié. C’est-à-dire que l’homme doit s’adapter aux nouvelles conditions climatiques dans un environnement qu’il a modifié et qu’il ne contrôle plus.

Nos sociétés fonctionnent dans un système prédateur qui a provoqué le réchauffement climatique et qui aujourd’hui l’accélère. La politique économique d’Emmanuel Macron qui veut faire de la France l’idéal américain, un capitalisme puissant, se trouve confronté à des impossibilités puisque ce système épuise les ressources naturelles. Les politiques peuvent mettre en avant le capitalisme vert, celui-ci n’existe pas, et l’industrie dite « verte » ne crée qu’une pollution supplémentaire.

Changer profondément nos sociétés demande de vouloir innover, partager les connaissances au niveau national et international, réfléchir ensemble pour travailler sur les futurs possibles. Être solidaire dans cette construction de l’avenir, signifie aussi décider ensemble de ce qui engage la vie de tous. Ne plus laisser personne de côté, soutenir les plus vulnérables est ce qui va permettre à nos sociétés de perdurer, et cette solidarité fondamentale exige des décideurs politiques des efforts inédits pour partager les pouvoirs, changer les gouvernements pour instaurer une démocratie durable, renforcée faisant du politique ce qui est inclusif et non plus exclusif et sur le mode monarchique.

Emmanuel Macron parle d’innovation technologique, du développement de la robotique IA en disant « La France fait rêver » car elle se constitue en startup et non plus en un peuple uni faisant grandir l’urgence de la paix.

Emmanuel macron, un homme du 20ème siècle qui raisonne avec les paramètres des propriétaires industriels ayant pour référence la production du 19ème siècle par une emprise considérable sur les populations et le maintient des injustices, de la pauvreté. La devise était soumettre en traumatisant et propagandes de fausses promesses de libération par le progrès technologique, industriel, quand il est en premier à accomplir le progrès signifiant : tous humains, tous égaux. Mettre au coeur de nos sociétés : le droit de vivre.

Le 20ème siècle propulsant la technologie, autant que le réchauffement climatique – Le monde libéral et colonial est d’une violence extrême par deux guerres mondiales, les guerres coloniales, des révolutions politiques majeures à travers le monde. Ces événements seront suivis de grands mouvements pour la paix faisant la révolution de nos sociétés, de combats inédits par leur ampleur comme le féminisme, la lutte contre l’apartheid, le racisme, mai 68 . Puis, apparaîtront des artisans de paix, comme Nelson Mandela, Martin Luther King, Desmond Tutu, l’Abbé Pierre demandant l’anéantissement de la pauvreté, un logement pour tous, et leurs paroles, leurs actes exceptionnels sont ce rayon des uns aux autres. Mais, ce qu’ils ont créé est inachevé et ils nous ont confié le flambeau : transmettre la paix, poursuivre sur son chemin, œuvrer pour la liberté.

Les oppresseurs toujours présents mettent en souffrance des populations et menacent la paix au niveau mondial par le mondialisme agissant comme une traînée de poudre.

Emmanuel Macron sait qu’il a peu de temps pour arriver à ses fins, et l’idée d’un troisième mandat est pour conduire un système politique au sommet et transformer la France en une plateforme des États-Unis, une startup garantie par un régime autoritaire axé sur l’homme surveille l’homme, le concept de dominant.

Emmanuel Macron voulant faire entrer les enfants dans les rouages du système le plus tôt possible pour fabriquer un peuple conforme à un programme politique mondialiste le posant en chef de l’Europe. L’école en conditionnement méthodique par des réformes constantes, comme des lois voulant fonder en quelque sorte la « police » laïque du vêtement porté par les filles dans les établissements scolaires. Les enseignants ont-ils envie de participer à ce système qui déjà par le renforcement de parcoursup bloque des projets, des rêves, impose une sélection par l’injuste.

Le Président Emmanuel Macron serait-il à la volonté d’ un système d’empire nommant un chef dans un capitalisme dictatorial en réponse à la Chine et à la Russie qui se constituent en empire, et Emmanuel Macron pourrait vouloir être le chef d’un empire européen allié à l’empire américain.

Un monde extrêmement divisé, aux alliances incertaines dans un système géopolitique toxique où la guerre domine et construit une paix artificielle.

Nous sommes aussi avec des hommes politiques en enfants gâtés comme l’est une partie de la population et qui n’ont jamais eu à se battre pour la liberté et la paix, comme ils n’ont pas lutté contre la pauvreté et se sont reposés sur les acquis obtenus par la résistance, par ceux donnant leur vie pour la liberté, ceux connaissant la vie, sa réalité et luttant réellement pour la paix.

N’est-ce pas le cas d’Emmanuel Macron qui a grandi dans le modèle giscardien, de l’argent roi porté par quelques anciens du RPR et de la gauche dite « caviar » finissant par le conseiller, lui donner une structure politique qu’il n’a pas et formant une cohabitation déguisée avec les vieux de la vieille politique qui étaient dans les années 80 à leur arrivisme, opportunistes faisant leur beurre pour leurs intérêts de carrière.

Les années des affaires des années 80-90 avec un socialisme devenant la droite et la droite l’extrême droite admise car servant l’élite, les corruptions de toute une société, du monde de la culture à son économie dans un monde de pouvoirs marchands et cupides réservés à une minorité.

Emmanuel Macron n’est pas apparu seul en 2017, il a permis aux extrêmes droites de se renforcer, de revenir au pouvoir, d’en posséder les clés sans qu’elles soient élues. Les lois sécuritaires renforcées pour maintenir toutes contestations envers un programme de réformes se faisant la prolongation de la loi travail de 2016 sous la présidence de François Hollande.

Puis, donnant des réponses de répression aux problématiques et laissant progresser le racisme et les discriminations par le conservatisme si pratique pour enterrer le progrès social, maintenir les traumatismes collectifs comme celui apparaissant avec les attentats terroristes. Manipuler les émotions humaines, provoquer la mémoire traumatique, diviser un peuple, c’est d’une violence politique inouïe qui épuise les populations concentrant alors tous leurs efforts pour se protéger des risques amplifiés par les politiques accumulant les effets d’annonces, les réformes coup sur coup, modification constante des lois que plus personne ne comprend, ni ne maîtrisant quoique ce soit. La population se trouve dans un état de confusion, devant manifester constamment, subir des violences policières à répétition dans un système de division et de culpabilisation.

Emmanuel Macron et son gouvernement pratiquent cette politique toxique de pressions qu’ils renouvellent en réponse aux émeutes actuelles. Un système de punition collective, de privation de libertés comme si la guerre civile avait commencé à cause d’émeutiers. C’est absurde autant que l’analyse faite par Emmanuel Macron accusant les jeux vidéo d’avoir intoxiqué des jeunes.

Il utilise la technique de l’évitement en détournant la cause réelle : la violence politique en symbiose avec la violence policière puisque les systèmes ne sont pas séparés.

L’art de la politique est le calcul et la manipulation. Le discours du gouvernement d’Emmanuel Macron aurait dû être en premier sincère, et annoncer l’abrogation de l’article 435-1 du Code de sécurité intérieure (CSI) – modification en février 2017. « La loi de 2017 a presque été interprétée comme un permis de tuer » alerte Henri Leclerc, Président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme dans Public Sénat. Il appelle à réformer la loi et souligne que « la situation de révolte » est une « immense manifestation spontanée de solidarité » aussi bien des jeunes de quartier, que des citoyens bouleversés « par la mort de cet enfant » confie-t-il à Public Sénat.

Naël, 17 ans de vie sur Terre et une balle en plein cœur, c’est le déchirement de la paix, un effondrement civilisationnel qui se révèle au grand jour par la violence terrifiante d’une certaine police.

Henri Leclerc a exprimé dans Public Sénat que « On a créé une situation de tension avec des contrôles d’identité au faciès. Le rapport du Défenseurs des Droits attire l’attention là-dessus et on sent dans ce rapport ce qu’elle craint d’une éruption. La mèche était déjà presque allumée ».

L’ONU souligne l’urgence en France de lutter contre le racisme qui persiste dans la société et qui par conséquent est aussi présent dans la police faisant partie de la société. La police étant aussi en lien avec les pouvoirs politiques et comme tout le système judiciaire. Tout est issu de la politique depuis des décennies. Dans ce même temps, cela ne signifie pas que tous les professionnels dans le domaine de la justice adoptent des comportements discriminants. Cela signifie qu’un système est dominant et provoque une souffrance, une violence dans nos sociétés que des policiers subissent aussi. 

Puis, intervient la problématique des politiques ordonnant, les donneurs d’ordre qui sont à changer. Ce sont des contrôles récurrents dans les quartiers qui stigmatisent une population, sont discriminants et oublient les beaux quartiers comme si tout y était parfait.

L’argent n’est pas une preuve d’honnêteté et d’ailleurs ce mot n’a aucun sens dans les milieux très aisés où il est de garder et d’amplifier la fortune souvent héritée. L’argent est par principe une donnée corrompue car c’est un système fracturant l’humanité. Posséder, ce n’est pas non plus une valeur d’intelligence si ce n’est celle s’accordant avec un système prédateur.

Les oppresseurs politiques appartiennent au monde de l’argent, alimentent ce qui détruit, privant la société de l’air vital : aimer. Notre société manque cruellement d’amour et l’humain y est alors perdu, sans sens que l’absurde, où tout se rattache à la violence, s’écroule par les injustices, fortes inégalités.

Une jeunesse qui dans une révolte se perd dans des pillages, le saccage d’écoles, d’églises ou un incendie volontaire brûlant le Bus d’Agir pour le Cœur des Femmes lors de son passage à Bobigny dans la nuit du 28 au 29 juin.

Et, je ne peux que me rappeler les appels à la paix, les appels à réaliser Les Marches de la Paix publiés dans LiberTerra ces derniers mois. La paix vitale, chaque seconde compte pour elle – comment pourrais-je ne pas l’écrire à nouveau.

Un monde en crises et la France suit un mouvement accélérant le bouleversement à cause de politiques capitalistes, d’un néolibéralisme fou au risque d’un régime autoritaire

La guerre en Ukraine, au Soudan – la guerre lourde de bombardements tuant et blessant des enfants ayant leurs droits bafoués en zone de conflit, les crises alimentaires s’aggravant, la crise de l’eau commandant une menace imminente pour l’humanité a alerté l’ONU, ce contexte extrême à la sortie de la pandémie de COVID, et cette certitude de la fraternité qui fait que rien n’est séparé, mais que tout est uni, influencent nos pays sous le choc aussi d’une forte instabilité mondiale qu’Emmanuel Macron aurait dû prendre en compte.

L’inflation, la grave augmentation des prix de l’alimentation, l’appauvrissement de populations, l’aggravation des conditions de vie des plus vulnérables, les systèmes judiciaires tournant le dos à la paix, comme les politiques toxiques et d’emprise, de culpabilisation où une certaine population fragile est humiliée, accusée car démunie, sur traumatisée, tout cela ne pouvait aboutir qu’à une explosion, une colère, révolte qui éclatent.

Des émeutiers très jeunes car les adultes, dont ceux se considérant comme l’élite, sont des enfants gâtés consommant, indifférents, absents, brisant la confiance et ils auraient dû marcher pour la paix, comme il y aurait dû avoir des Marches blanches pacifiques et très importantes dans toute la France et en présence d’élus pour Naël, un enfant tué par un policier.

Où étaient ceux manifestant pour la Réforme des retraites qui passée, le silence des syndicats se fait pesant, comme ils finissent par déposséder les populations de leur liberté.

Manifester, c’est en premier une valeur de solidarité. Une solidarité que possède la jeunesse des quartiers et la jeunesse donnant sa générosité. Une solidarité qui n’est pas celle au silence coupable, quand notre pays sombre dans l’injuste, la violence, que des enfants manifestent, deviennent des « émeutiers » car les adultes les ont laissé tomber.

Gérald Darmanin, Éric Dupont-Moretti, Emmanuel Macron n’ont pas su porter des appels à la paix, à l’apaisement. Ils n’ont pas su être légitimes, établir un dialogue de confiance. Ils se sont éloignés des chemins de paix, sont au désordre des injustices qu’ils ont provoquées, font subir.

La haine semée seul l’amour peut l’arrêter, comme il peut exiger un profond changement politique et économique. Hypothèse : la dissolution du gouvernement d’Emmanuel Macron pourrait être la conséquence de la dissolution de l’Assemblée nationale, mais les oppresseurs ont une logique, avancer « coûte que coûte » selon l’expression d’Emmanuel Macron.

@liberterradaily

Il est d’espérer que les adultes marchent enfin pour la paix, descendent dans les rues de manière pacifique pour exiger un changement politique, la fin de politiques autoritaires, sécuritaires à outrance, de réformes toxiques qui entraîneront des conséquences sur le droit de vivre en bien-être et sur le climat.

La population ne doit pas se positionner contre mais pour un mouvement de paix, reprendre les chemins de paix, tenir et transmettre ce flambeau que la politique éteint.

Des scènes de violences dans des villes de France, des hommes se déchirent entre eux. Des blessés sont de part et d’autre, comme des policiers entravent le travail de journalistes, selon des vidéos postées sur les réseaux sociaux, comme celle où le journaliste Rémy Buisine est mis en danger, comme il est également des arrestations brutales, des violences policières et violences urbaines. tout se conjugue au temps de la violence. Un changement politique est essentiel. 

Le pouvoir politique est dépassé, face à son terrible échec, les extrêmes droites et les discours de haine ont une lourde responsabilité. Un renouvellement de la classe politique est nécessaire. Le narcissisme de quelques politiques des années 80, où jeunes, ils n’ont servi que leurs intérêts, leur goût pour le pouvoir, se servant aussi pour certains de barbouzes, d’hommes de violences dans leur guerre des pouvoirs, de partis politiques et de certains médias complices, comme les violences faites aux femmes, la culture du viol étaient un privilège d’hommes faisant le choix d’être des prédateurs sous leur masque, costumes et cols blancs à l’omerta, se sentant puissants par la dangereuse impunité qui perdure dans les milieux de pouvoir.

Ils ont causé les injustices, la violence, ont alimenté la violence d’escrocs et faussaires, de voyous sous les apparences des systèmes politiques liés aux systèmes judiciaires, comme à certains médias et élites suffisantes, méprisantes et corrompues.

Aujourd’hui, la France en paie le prix sans que ces quelques politiques dont certains élus, journalistes, avocats politiques, et d’autres milieux soient face à leur responsabilité. Ils joueront encore les moralisateurs oubliant leur réalité, culpabilité.

La politique saccage la paix, manipule les technologies en fonction de la propagande diffusée. Le régime des oligarques milliardaires ordonnant le politique pour le business, le monde de l’argent détruisant le sens de vivre, la valeur suprême de la vie pour le profit, amasser des richesses, être au sommet des pouvoirs, éteindre leur propre humanité.  

La liberté est en danger et les enfants ne connaissent pas un monde sans surveillance IA permanente, un monde coulant la liberté vitale. Nombreux jugent en fonction du monde qu’ils ont connu, il y a 30 à 20 ans et qui a disparu au profit de ce que les politiques de cette époque ont conçu : un système destructeur.

Avoir connu les quartiers ne signifie pas comprendre l’amplitude de ce qui s’y passe aujourd’hui, comme il est des familles vivant en paix, et la grande majorité n’ont qu’un cri qu’ils lancent en désespoir, révolte : vivre !

J’ai grandi à la Courneuve en étant issu d’une famille pauvre et de migrants ayant adoré la France, et mon grand-père migrant s’est battu pour elle comme engagé volontaire et il a été blessé au combat en sauvant la vie de son capitaine.

Pour autant en tant qu’enfants de migrants nous avons subi des violences graves en France et tout ce qui est entrepris, les études, une volonté par l’amour de la vie, par la sincérité de la paix ne sont pas à une reconnaissance juste nous permettant de vivre tout simplement, et non de survivre.

En revanche, une barbouze, un homme extrêmement violent d’extrême droite sera proche de quelques politiques de droite à extrême droite dont ceux tournant la tête face à la pauvreté, la violence qu’ils ont provoquée, et oubliant leurs actes novices par la technique politique utilisée en France, l’effacement.

La manipulation détruit et elle est l’art des cercles de pouvoir. Il doit être aussi la volonté d’un peuple de sortir de l’extrême droite, d’une monde industriel en profit dont l’industrie de l’armement considéré comme un fleuron.

Une civilisation marchande et guerrière ne peut pas porter la paix, elle devient uniquement un moyen puissant de pouvoir, de décider du sort de populations, de ceux traumatisés par l’absence de paix quand elle est en abondance offerte aux milieux très aisés, aux tenanciers des pouvoirs politiques à la matrice de l’État.

C’est une profonde douleur de savoir des enfants dans les rues abandonnés à la violence depuis des décennies, et celle qui se fait invisible par l’humiliation, la dévalorisation de leur vie belle et précieuse, tout cela pour satisfaire la démence politique ne construisant pas la paix qui est valeur de vie.

Diviser les enfants en riches et pauvres, séparés par cette frontière dressée par l’inhumanité. Des jeunes qui ne se rencontrent pas, qui ne se connaissent pas et qui grandissent dans l’ignorance et parfois dans la haine des uns et des autres faisant perdurer la division si importante pour la politique. Mais, il est des enfants malheureux de part et d’autre, des jeunes riches aux drogues et alcools, mais là le pouvoir politique s’en moque, ça ne sert pas les manipulations, propagandes, le racisme que les systèmes politiques laissent latent, alors qu’il est à anéantir.

Concernant les addictions, les politiques devraient penser en premier à leur propre milieu, et en priorité aux centres de soins manquant cruellement de moyens, et là aussi refondre la santé mentale, les hôpitaux psychiatriques est une urgence dans une France sombrant dans son archaïsme et au risque de s’abandonner à un régime autoritaire coupant les réseaux sociaux, appliquant la censure par communiqué de presse et bloquant ainsi également les potentielles vidéos démontrant des violences policières, des violences urbaines, des jeunes, des jeunes vulnérables ayant qui pour leur offrir en dialogue la diplomatie, la paix, le respect de leurs droits humains fondamentaux ?

Il est à rappeler que la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) jeudi 4 mai 2023 concernant la rétention de mineurs étrangers en centre de rétention dans deux affaires. La CEDH retenant un placement en rétention administrative contraire aux articles 3 et 8 de la Convention : « interdiction des traitements inhumains ou dégradants et droit au respect de la vie privée et familiale » et contraire au « droit à la liberté et à la sûreté », comme au droit à un examen rapide de la légalité de la détention, d’autant s’agissant de jeunes enfants âgés de 7 et 8 mois.

Il est à rappeler les rapports accablants rendu par la Contrôleuses des Lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, dont celui publié le 22 juin 2023 et portant sur les centres de rétention administrative, comme le précédent rapport a alerté sur les conditions catastrophiques de garde à vue, dont de jeunes militants.

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Un gouvernement qui a rompu les liens de confiance avec le peuple, indispensables à la démocratie, et elle se trouve déstabilisée, en danger.

Démocratie en danger  

Réseaux internet coupés, forces spéciales, fusils à pompe avec balles en caoutchouc, contre des jeunes et des enfants au désespoir de la révolte ayant un cri premier : le droit de vivre. 

Appel aux jeunes et aux adultes à organiser des Marches pacifiques pour la Paix, la démocratie. L’urgence de lutter contre des systèmes politiques déchirant la paix, sur traumatisant les plus vulnérables, imposant les injustices, fortes inégalités, précarité. 

Refus de la mise en détresse des libertés fondamentales, du droit de vivre sereinement, de la liberté d’expression et de l’instauration de la peur par des violences politiques. 

Les dialogues de confiance, de paix, la diplomatie doivent primer, surtout envers des frères d’un même pays, toute une jeunesse entrant dans un monde vivant une révolution climatique qui dessine le nouveau visage de la Terre. C’est d’une ampleur sans précédent et certains politiques sont à leur déni, inconscients et faisant perdurer un système prédateur que des enfants pauvres subissent de plein fouet. 

Chaque seconde compte pour la paix véritable, durable : elle sauve des vies 

En tant que mère, citoyenne et journaliste indépendante, je pense à tous les enfants des quartiers, ceux auprès desquels j’ai grandi, je leur demande de ne pas se perdre dans la violence, de savoir qu’il y a des artisans de paix, tout un peuple bouleversé par la mort brutale de Naël, un enfant, 17 ans de vie sur Terre et sa vie précieuse partie, et que nous sommes un rayon des uns aux autres, un lien par la solidarité, la fraternité, que nous devons travailler ensemble, exiger de participer aux choix et décisions qui engagent la vie de tous. Et, que les mots de l’Abbé Pierre sont en force pour la paix, pour anéantir la pauvreté, bâtir ensemble des futurs possibles en paix.

Emmanuel Macron ne doit plus gouverner seul avec un gouvernement ayant perdu la confiance des plus vulnérables, d’enfants qui tiennent fort leurs rêves comme nous tenons les nôtres dans un monde ayant besoin de réconciliation, de liberté, de paix , d’une économie équitable et de partage pour perdurer. 

Fédora Hélène 

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