
Les politiques responsables aux décennies de manipulations, de violences servant leurs intérêts
La politique glisse vers l’absurde, s’enfonce dans la fin de son règne, tente de ralentir sa chute. C’est la fin des gouvernements tels que nous les connaissons, tels que l’histoire nous les a livrés.
Les systèmes politiques actuels sont la continuité des empires de l’antiquité qui se transforment mais non pas pris fin. Le temps cette première donnée insaisissable, nous pensons tout fini, et rien n’est accompli. Nous sommes les héritiers du chemin pris par l’humanité, nous ne sommes pas sur une route inconnue et pour la 1ère fois de notre histoire, nous possédons une connaissance historique qui se révèle également fragile.
Nous interprétons une réalité passée avec un regard présent et se projetant dans l’avenir de manière instantanée. Tout nous échappe si rapidement, s’évalue sur une échelle temps paraissant accélérée par l’IA, la pensée mathématique s’imposant en référence universelle. L’homme est dépassé par ses propres connaissances, la multitude d’informations qu’il reçoit et qui sont totalement différentes entre elles d’une culture à une autre, d’un territoire à un autre.
La communication se complexifie, s’enferme sur les réseaux sociaux se faisant un écran de fumée pour la liberté. Des millions de publications, l’argent et les politiques dominant l’espace, et tout se perd à l’infini du temps qui enclenche le sablier pour l’humanité.
La Terre change de visage sous nos yeux, ce bouleversement immense pour une humanité vivant pour la 1ère fois des évènements échappant au contrôle des hommes. Plus rien ne sera comme avant et pourtant c’est ce temps que les politiques retiennent car il contient le pouvoir des oppresseurs, la puissance de l’État, quand tout chavire, demande la liberté. Elle qui appelle et veut vivre.
Rien ne retiendra sa source car elle est la vie. Le cri de révolte, c’est elle et les politiques pour la 1ère fois ne la mettront pas en cage. Ils se rappelleront qu’ils sont des êtres humains et qu’ils ne sont supérieurs à aucun, que le démocratie n’est pas un outil de pouvoir, mais la 1ère pierre posée par le souffle de la liberté.
Se libérer de la politique
Ce vent puissant fouettant nos visages, les peines de l’histoire qui sont les nôtres, que le futur dessine avant de nous laisser entrer dans la demeure de sa dimension. L’esprit humain à la lumière des millénaires, du mystère, le cœur d’aimer retenu prisonnier par les systèmes politiques ordonnant nos vies, les pliant aux puissances industrielles qui elles aussi prendront fin.
Le bouleversement climatique, tout est aux ressources de la Terre, et son air nous chantant notre respiration, l’eau coulant dans nos veines, du rouge de sa terre, nous sommes issus d’elle unie à l’univers, à cette conscience et connaissance infinie que nous offre la vie.
Prenons le temps d’écouter la liberté
Résister pour elle, dépasser les violences subies, l’atroce des guerres, la cruauté, pour conquérir ce monde que l’humanité s’est interdit, aimer.
La racisme frappant, les institutions dominantes, la justice véritable reprenant ses droits et effondrant les systèmes judiciaires condamnant le pauvre et non la pauvreté, le migrant, l’exilé, et la justice qu’elle abandonne à l’exil. Les mères portent les blessures et leurs enfants au silence. L’injustice ordonnée par les puissants brisant, traumatisant.
La police et la confiance rompue quand une mère sous leurs yeux tremblait, la détresse tuant son cœur et l’injuste frappant, hurlant. Combien d’enfants ont subi l’injuste des systèmes judiciaires se faisant le reflet de prédateurs, leur justice ne se faisant jamais plus petite que et ce sont des vies disparues sans plus de refuges.
Les politiques en France doivent se questionner sur le système prédateur qu’ils ne cessent d’accélérer.
L’absurde, ce sentiment que tout devient incohérent, avaler par le mensonge, les manipulations politiques, c’est en premier des systèmes qui oublient l’humain, symbolise ce qui le constitue comme l’incompréhension.
L’humain devenu l’incompréhension dans cette réalité de la politique dépossédant nos sociétés du verbe aimer, retirant la valeur suprême de la vie, sa conscience et les plus vulnérables blessés, traumatisés par la violence, leur humanité est oubliée, l’amour vital laissé pour mort et tout s’effondre dans l’absurde.
Nos sociétés manquent cruellement d’amour, et tout alors se déconstitue.
La haine première prend place, les manipulations politiques occupent l’espace, les discours à leurs mensonges par cupidité car le pouvoir politique tient par la virtualité des pouvoirs financiers.
Pas d’argent, pas de Président – le pouvoir politique doit posséder les richesses pour dominer. C’est le socle de la monarchie devenue une République monarchique. L’argent dominant, se faisant le moteur de nos sociétés, va installer l’absurde en goutte à goutte infiltrant dans nos cultures : le racisme.
Le racisme est aussi issu de la conception de dominer, de posséder une puissance et les extrêmes droites se servent de ce mental pour accuser, et ceux ne possédant pas, ceux abandonnés sur le bord de la route dans leur propre pays pourront adopter les arguments des extrêmes droites, dites Droites en bourgeois hypocrites se tournant en tournesol vers Emmanuel Macron et manipulant. Peu importe leur nom, la politique est la politique. Tout est à l’arène, le triomphe au balcon. Les extrêmes droites en force, le nationalisme pour vertu, le pouvoir aux théories archaïques.
M. Éric Dupont-Moretti se prononçant contre l’extrême droite, cela pourrait être une bonne nouvelle, mais il revient au rang du gouvernement, des systèmes judiciaires unis à ceux politique, la boucle est bouclée.
Le racisme s’étale fier sur les réseaux sociaux, et en politique depuis des décennies. Les actes terroristes marquant des choix politiques désastreux. Les blessures ouvertes de la guerre d’Algérie, la France n’a pas fait son histoire, et ne peut avoir d’avenir serein. Puis, les manipulateurs en décideurs politiques ont en opportunistes décidé des politiques sécuritaires, des discours de haine aux manipulations électoralistes, la cupidité du pouvoir politique.
La culture des maltraitances, des manipulations, tout achève la liberté, sa paix dans l’indifférence terrifiante.
Puis, il est plus facile d’accuser celui migrant que de refondre profondément nos sociétés et d’instaurer une économie saine et de partage. Plus aisé pour de nombreux politiques de courtiser un système qu’ils maîtrisent et qui leur assure une puissance. Ils ne peuvent quitter ces rives, pris au piège eux-mêmes par ce qui les envahit, se font leurs pensées, leur mental construit au fur et à mesure de la violence qu’ils ont acceptée, et pour quelques politiques, commise.
La violence en écho, reflet des systèmes politiques construisant la guerre et le monde actuel semble l’avoir oublié, les pays riches ont-ils perdu leur conscience ? Puis, ce sont des hommages aux résistants de la première heure qui sont devenus des cérémonies obligatoires mais pas le cœur, la sincérité du monde politique.
Les longues plages du débarquement en Normandie où le sang des martyrs coule encore et se mêle aux vagues emportant avec elles le drame qui marque notre civilisation, nos mémoires. L’Histoire qui a besoin du présent pour vivre, de notre dignité pour être reconnue, de notre courage pour ne pas être effacée.
Il y a 80 ans, Jean Moulin nous quittait le 8 juin 1943. Son combat contre la barbarie nazie sonne comme l’élan de la liberté que Jean Moulin, résistant, torturé par la Gestapo, a confié aux générations futures, à chacun d’entre nous.
Le train emportant Jean Moulin n’avait aucune autre destination que celle de la paix en force de justice qu’il a offerte à la France. Martyr offrant son éternel voyage à l’humanité tout entière, nous délivrant tous par l’amour qui fut son arme. Nous ne croyons plus à la paix, la violence prenant notre pays et le laissant sur les chemins de défaite.
Il aurait été d’espérer une voix montant des cieux et criant aux pouvoirs enchaînés, « La liberté ! Elle périt ». Il aurait été aux ministres, députés, à Emmanuel Macron de venir la secourir, d’être là au cœur des places où elle tremble, où les forces policières s’élancent, quand eux décideurs ont quitté leur devoir de la secourir, la liberté fragile et des enfants aux rues, la colère pour errance, la violence de la société coupable.
Il aurait été une mère fidèle criant révoltée la souffrance prenant l’être, et les puissants regardant son corps succomber. Il aurait été de ne jamais entendre la haine, le racisme salir un enfant tué par une balle. Il aurait été d’arrêter le temps, de revenir au printemps, avant. Mais, il est toujours la liberté engloutie par le politique et la jeunesse livrant sa vie pour l’espérance de fonder de ses mains, le monde nouveau.
Mais, trop tard, et s’écrit : il a été encore une fois, la mort au petit matin avant que ne s’éveille les enfants et une mère. Nahel, les yeux fermés et nos fils portant le chagrin, la liberté s’échappant, ils ont moins de 20 ans, et leur mémoire retient la France de violences, le sourire attendant l’amour, et le politique sourd.
Les réseaux de la résistance, les paroles des anciens résistants et aujourd’hui l’histoire vivante nous quitte, et nous demande d’être des passeurs de mémoire, nos larmes émues pour ne pas oublier, nous battre à notre tour pour la liberté, pour la justice véritable qui est un don de paix, et le dire encore.
Ne pas laisser les mots à terre mourir sur le sable, et emportés par la marée, disparaître en abandonnant la vérité que le temps venant laisse muette. Sur la plage, quelques vestiges de la guerre, et plus rien.
La Terre efface notre mémoire, donne une renaissance entière, et nous laisse orphelins de nos passés, des nôtres. Le soldat inconnu, sa jeunesse volée par un tremblement de Terre, les bombardements. Tout chavire, on a oublié. La guerre détruit, on a oublié. La haine tue, on a oublié. Se déchaîne les extrêmes droites en ordre politique, les foules criant sur les réseaux sociaux au soutien de leurs fidèles votes pour la haine.
La politique – casseurs des droits humains , du droit de vivre
La République a perdu, elle a laissé le cauchemar, la misère, la guerre et les enfants pauvres, les enfants migrants isolés sur cette île trop petite veillant sur eux, les droits humains. La politique continue, n’a jamais cessé. Elle a changé les mots, les hommes, mais le système perdure et tout peut revenir sur ce sable des douleurs, les grains au sablier, un à un, en chapelet, rivières de prières, ils gardent en mémoire celles des jeunes tués ce jour du mois de juin 1944 en Normandie.
La guerre, elle sera aussi contre l’Algérie. Les actes de torture contre des Algériens durant la guerre d’Algérie, l’horreur de la guerre revenant, le désert avance doucement en suivant le pas de nos sociétés brisant la paix et jetant sur son sol brûlant les plus démunis. Notre pays n’a pas fait son histoire et ne peut avoir d’avenir radieux quand domine l’interdit, l’histoire effacée, les blessures demeurant béantes de génération en génération.
Les tribunes de gens importants se publient dans la presse, et des millions d’êtres humains, leur vie est au brouillard loin dans la nuit. L’ultra droite se hisse en danger, la droite, l’hypocrite, et la gauche se rattachant à l’ancre d’un bateau sombrant, la politique.
L’Ultra gauche jetée en pâture dans les propagandes politiques et médiatiques. Qui sont-ils ces jeunes qualifiés d’extrême gauche ? Des jeunes pacifiques, des jeunes ayant subi la violence des systèmes, le mépris. Des jeunes ne voulant plus survivre, mais vivre. Des jeunes voulant créer leur société et s’unir à leurs parents qu’ils ont vu pleurer, tenir le choc, et s’effondrer dans les sociétés d’argent aux ors des puissants ensauvagés qui dressent l’indifférence pour expression de leur inhumanité.
Le droit à la révolte pour droit à la liberté, les rassemblements pacifiques et la colère éclatant. Les vitres d’un tribunal brisées comme leur vie, comme cet enfant traumatisé par les systèmes judiciaires. La grave responsabilité d’une justice alliée des systèmes et parfois la foi et l’abnégation de professionnels de justice qui tombent de chagrin, de dépression en dépression à l’absurde du système, des condamnations, des prisons, des souffrances humaines.
Plus rien n’est en équilibre, trop de souffrances imposées aux plus vulnérables, trop de pauvreté, ceux mangeant à leur faim et ceux se couchant le ventre vide. Ceux au luxueux logement, et ceux dans la rue, des familles emprisonnées par la pauvreté, des ministres insensibles comptant les bénéfices de la démence de la croissance économique et laissant l’augmentation des prix de l’alimentation affaiblir des vies fragiles.
Les politiques du gouvernement ne partageant pas le pain des démunis et jugeant, imposant, faisant subir aux plus vulnérables ce qu’ils ne pourraient pas dépasser eux-mêmes.
La France et la guerre civile grondant dans les cœurs, se taisant dans les rues, les pouvoirs à leur violence, et tout s’efface, tout continue. Le ciel se couvre d’orages, l’eau manquant les révoltes seront. Les réfugiés climatiques, les champs de culture asséchés, les rivières taries, les industries épuisant la vie pour gagner des milliards de gains, flattant les gouvernements, les oligarques milliardaires à la matrice, et donnant pas un regard à ceux qu’ils écrasent, qu’ils soumettent toute leur vie donnant un prix à la liberté.
On ne l’aura jamais, on mourra sans avoir vu son immensité, notre temps compté en monnaie, à l’artificiel, aux instants de bonheur que chérit notre cœur. Politiques, voleurs de vies. Quand le monde sera libéré de la politique, il connaîtra la paix.
Mais avant, le chaos de la pauvreté, des violences s’abattant sur les plus vulnérables, sur ceux subissant les coups des injustices, du racisme, de la culture s’éloignant d’eux, l’art aux élites. Rien, les démunis ne possèdent que leur vie. Elle que les puissants leur prennent aussi.
Je laisserai les mots d’un ancien de la DGSE parler seul dans les colonnes du Figaro, rejoindre les pouvoirs qu’il a choisi pour vie, son public conquis depuis des années où il était appris à l’école la puissance coloniale française. La jeunesse nouvelle et pacifique veut marcher, mais les Marches de la Paix sont au vide des rues. Ce monde sourd, et le rassemblement pour Adama Traoré finissant aux images de violences. La Brav- M au comportement choquant et la confiance encore rompue avec le système politique et la police.
Nahel, aujourd’hui, enfant de lumière, à l’éveil de la paix, son cœur s’est arrêté pour faire battre le nôtre. Mais la machine politique ne veut pas de la paix, elle n’a pas intérêt à aimer la liberté, mais à maltraiter son peuple pour acquérir une puissance.
Le fascisme progresse !
Le fascisme montant et l’indifférence, il n’y aura aucune prise de conscience, la politique vend des programmes, des effets d’annonces et non la réalité de ses actes. Emmanuel Macron s’ applique à faire de la France le parfait élève capitaliste appartenant aux systèmes politiques faisant du climat un marketing, du commerce. Les industries de l’armement et du nucléaire en première importance, l’humain en dernier surtout pour ceux considérés comme rien par Emmanuel Macron si fier de ses phrases qu’ils pensent très importantes. Elles passeront et seront oubliées et seule la paix qu’il a manquée se souviendra de son nom.
La présidence au business, au bon vouloir d’oligarques milliardaires, jeux de rapports de forces, de guerre, de ventes d’armes, de fausses promesses climatiques, de fausses promesses pour protéger des femmes et des enfants de barbares rois au sein des systèmes, ce n’est pas uniquement en France. Le mondialisme forme un commerce en guerre froide, et le traitement des événements actuels n’est pas uniquement à portée nationale, mais géopolitique.
Les investisseurs, la guerre financière entre l’Occident et l’Orient, le climat politique international très instable avec différents conflits armés sur des régions sensibles comme au Sahel, les fortes tensions entre Israël et la Palestine, la guerre en Ukraine, influencent considérablement la politique nationale.
La politique a formé la guerre et tout continuera demain et encore sans fin. Le racisme culturel restera fidèle à lui-même, les violences faites aux femmes, la pauvreté, les ordres cinglants du pouvoir envers les plus démunis, et l’indifférence maître du jeu imprimera l’absurde, le terrifiant de l’injustice.
Plus de 3 millions d’enfants pauvres en France, ce n’est pas très important aux yeux de la bourgeoisie, des pions politiques, du marchand, des corruptions. Il faut être né du bon côté de la barrière, être héritier, et l’honnêteté n’a aucun sens aux jeux de milliardaires et de leurs amis politiques, du monde culturel, de tous les domaines de la société dominés par le profit, le commerce.
L’honnêteté c’est une invention faite pour tenir les précaires, le peuple à une obéissance vertueuse, dont se fiche les puissants. Être un prédateur est une preuve d’intelligence dans les réseaux politiques. Il faut être un agresseur, un manipulateur sans scrupule, riant de ses proies, défier le bien et préférer ce qui détruit. La force des puissants est dans la prédation, en homme au sommet de l’olympe qu’ils ont créé. Leur paradis sur Terre pensant que les pauvres devront le rester et contempler la vie depuis la prison de pierre bâtie par les tyrans se nommant dans les hautes sphères de la société.
Le gouvernement continuera à organiser la société sans aucun problème. La réforme des retraites passées, les syndicats muets, les manifs au placard, et tout a repris son cours. Tant pis pour ceux et celles épuisés, ceux qui y croyaient et qui reviendront demain manifester.
Il faudrait apprendre à vivre sans un État autoritaire, ce que les français ne veulent pas. L’État s’occupe de tout, gère tout à la place du citoyen qui au bout de cinq ans ira voter pour tout continuer, et dire qu’il est libre. La démocratie aux votes manipulés, mais peu importe. La France est un pays riche avec une majorité de bourgeois aisés, et les autres, ceux en détresse, ceux aux rêves résistants, ceux pris pour des Riens, leur vie volée, sont la belle espérance.
La liberté, les politiques la retiennent, la privent de son envol majestueux, l’interdisent aux résistants qui ont succombé pour elle, aux soldats combattant sur les plages de France, aux enfants qui ont tous besoin de sa joie pour grandir. Les Assemblées balançant le 49.3, la démocratie en deuil, comment aurait-elle pu être là dans la rue, comment aurait-elle pu sauver Nahel, comment aurait-elle pu protéger des enfants devenant émeutiers, comment pourrait-elle secourir en se nommant aujourd’hui Justice !
Fédora Hélène

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