
Ils s’appelaient les jours tristes
Geoffroy Lejeune devient le n°1 du JDD, Pascal Praud est promu, les extrêmes droites se portent à merveille en accord avec l’extrême droite catholique régnant dans les cercles de pouvoir, la culture, le journalisme, les oligarques milliardaires, et creusant le fossé d’une France devenant celle où en 4 jours après la mort de Naël, il a été au moins 8 personnes éborgnées, une personne mutilée ayant la main arrachée, 2 dans le coma et 1 mort. Sans oublier Hedi ayant eu la moitié du crâne amputé dans l’indifférence magistrale qui devient la compagne fidèle de la France.
Un système politique effondrant les droits humains de ceux dont la politique et les dialogues de haine décident que leur vie n’est pas précieuse. La cupidité cachée sous l’idéal d’extrême droite, l’argent fait la soupe du fascisme.
L’indifférence toujours et la propagande de droite représente sur TikTok 80 % des diffusions politiques. Sur les réseaux sociaux, les commentaires racistes n’en finissent pas et les personnes décédées à cause de violences sont comparées entre elles, et tout à l’abject.
La France entre tranquillement dans le fascisme et il faut féliciter ceux étant de jeunes politiques de droite dans les années 80 et étant devenus l’horrible poids dominant, le mensonge, les manipulations, la surpuissance de la haine et l’ONU peut alerter, ça tombe dans un puits, dans des effets d’annonces politiques, comme si la France portait une malédiction.
Le témoignage bouleversant de Hedi, la France pleure en silence derrière les barreaux dressés par l’extrême droite, la froideur des politiques, d’un gouvernement au garde à vous des hommes d’hier cachant leur biographie au secret de l’omerta, dessinant le joli portrait plaisant à la République des oligarques, des bonapartistes, des frustrations d’avoir dû abandonner leurs ambitions de pouvoir, de régner en maître et chacun d’entre eux devant leur glace, ils se sont rêvés président. Obtenir l’incontestable pouvoir, le masculin agressif, dominant, les femmes pleurant les douleurs que laissent ces hommes sur la route fracassée par la violence des systèmes qui les possède, et dociles soudain ceux puissants se plient en conditionnement.
Police, la peur devient l’ombre, la séparation, la profonde division, tout est à l’obscur sans champ de lumière pour la paix. Tout se confond, le pouvoir est armé, chacun à son business, le monde n’est pas gentil, la vie est une vacherie, il faut accepter le marché du système.
Emmanuel Macron tient en politique par les réseaux chiraquiens, on est tous la marionnette de quelqu’un, avant la libération, de couper les fils et le marionnettiste devient son propre pantin désarticulé en jeu d’échec. Certains occupent déjà le sommet du pouvoir se comptant en milliards, comme à la puissance des ventes d’armes. Le monde n’est pas joli, la vie brisée par les mensonges meurt en silence et les yeux clos par trop de larmes, l’Abbé Pierre en fiché S. Les tapis rouges tissés aux gouttes de sang des larmes des pauvres, des blessures de guerre politique mutilant. La France en guerre, la paix écorchée aux barbelés des pandémies de souffrance, la liberté avançant, combattant sous un ciel d’orage et la lumière en force, le pouvoir politique murmure à l’oreille des puissants, l’ordre : abat la paix.

Les policiers armés de LBD et le tir éclate en pleine tête, un homme comme mort à terre. Le sol des villes, le bitume change de couleur au rouge sang. L’ONU relie son rapport sur les violences policières et écrit le nom : France.
La vie n’est plus précieuse, elle chavire sur le radeau des violences politiques qui légitiment les violences policières au contraire de François Mitterrand qui a déclaré le 8 juin 1983, « Si certains policiers, une minorité agissante, ont manqué à leur devoir, le devoir de responsables de la République, c’est de frapper et de faire respecter l’autorité de l’État ». Une fermeté que le président Mitterrand récemment élu affirme en direct à la télévision soutenant ainsi une République humaniste ayant abolie la peine de mort et ne cédant pas aux mensonges politiques de la droite s’accordant avec l’extrême droite.
1983 – Le décès dramatique de policiers agissant face à des cambrioleurs est détourné pour servir des intérêts très politiques de certains syndicats de police et de Chirac accusant le gouvernement de l’époque, au cri manipulé de « laxisme ». C’est M. Badinter, ministre de la Justice qui lui répond, « On a mis en cause la justice française trop facilement et trop aisément ces derniers jours et cela je ne l’accepterai pas. Je marque aussi pour faire savoir que l’on parle de terme de laxisme, on dit n’importe quoi et des mensonges« .
« C’est à moi de décider ce qu’il convient de décider », exprime très fermement M. Mitterrand, rappelant que c’est à lui d’assumer, de prendre ses responsabilités. Force est de constater que les milieux de droite d’hier prennent le pouvoir aujourd’hui par la responsabilité d’Emmanuel Macron dominé par M. Darmanin, et plus que lui, par des préfets et donneurs d’ordre, qui se souviennent de la fragilité d’Emmanuel Macron, qui devient son acceptation de l’inquiétante fragilisation de la démocratie, de la violence brisant des vies, laissant la liberté tomber dans une faille sans la secourir.
L’ONU alerte – Quand les droits humains sont en danger
Emmanuel Macron devrait lire avec attention la Déclaration des experts des Nations Unies s’exprimant le 15 juin 2023, « Le manque de retenue dans l’usage de la force à l’encontre des membres de la société civile qui revendiquent de manière pacifique leur participation aux processus décisionnels concernant leur avenir, l’accès aux ressources naturelles, la protection des droits humains, la dignité et l’égalité, serait non seulement anti-démocratique, mais profondément inquiétant pour l’État de droit ».
Ce sont les droits humains qui ont été mis en danger, ce n’est pas un futur, un ressenti, c’est une réalité qui s’est passée, et Hedi en est douloureusement une des victimes.
Le gouvernement reste à son indifférence et satisfait quand ce sont des gaz lacrymogènes abondamment utilisés lors de manifestations pour faire « dégager » les citoyens manifestants, sans engager un dialogue de confiance, penser à la diplomatie, au respect de la démocratie que les politiques en place ont placé dans un placard verrouillé par le code 49.3.
La justice sociale éprouvée par les mensonges élisant la réforme des retraites appliquée et le silence des rues où les Marches pour la Paix ne sont pas, semble être l’espoir perdu.
Le capitalisme fait rage et en rage, il tient sans lâcher prise le politique, le système bancaire, les lobbies dégradant l’état de la nature, et les droits humains si unis au droit de vivre de tout le vivant.
La police dont en qui nous devons avoir confiance, qui doit être cet artisan de paix, ceux qui protègent, et qui finit par perdre son sens. Nous ne pouvons pas être un pays fraternel par la division, l’injustice. Avoir confiance les uns envers les autres, savoir que des policiers et des gendarmes s’engagent pour protéger, pour la paix. Une société sombrant dans la violence, c’est l’injuste qui domine pour tous. La souffrance des victimes, comme il est une souffrance que subissent aussi des policiers. Ce sont des tentatives de suicide par la responsabilité de la politique du chaos, courtisant ce qui détruit, voulant acquérir un pouvoir surdimensionné par la maltraitance soumettant, saccageant la paix et par cette arme des mensonges très politisés.

Les violences policières sont les violences politiques, l’autoritarisme qu’ Emmanuel Macron met en place. Il élabore une stratégie de violences et de peur et pense que par la maltraitance , il acquiert une puissance internationale, démontre qu’il est le chef. « La police aurait dispersé les foules à l’aide de gaz lacrymogène et de grenades de désencerclement, munitions que la France est le seul pays européen à utiliser lors des opérations de maintien de l’ordre » précise les experts de l’ONU.
« La France est le seul pays européen à utiliser », sans oublier les LBD et les tirs en plein visage mutilant gravement, et il est aussi les personnes tuées lors d’opérations du maintien de l’ordre. On ne peut oublier Zineb Redouane, 80 ans, tuée par un tir de grenade lacrymogène la touchant à l’œil.
« Nous appelons les autorités à entreprendre un examen complet de leurs stratégies et pratiques du maintien de l’ordre afin de permettre aux manifestants d’exprimer leurs préoccupations et à faciliter une résolution pacifique des conflits sociaux », ont souligné les experts.
L’ONU rappelle les manifestations contre la réforme des retraites et contre les politiques de gestion de l’eau en pleine crise climatique et on pense à aux méga-bassines, à la terrible violence policière s’étant abattue à Sainte Soline.
Le rapport établi par la Ligue des droits de l’Homme souligne le nombre de grenades lancées en quelques heures, soit plus de 5 000 grenades. Article – « Puni de 14 juillet ! … » sur LiberTerra, et l’ONU souligne qu’ « À Sainte Soline, la police aurait tiré au LBD 40 depuis des quads en mouvement et les secours auraient reçu l’interdiction d’intervenir pour secourir un blessé grave. Des personnes auraient été arrêtées arbitrairement dans plusieurs villes ».
Les experts onusiens notent également que la répression des forces de l’ordre « aurait fait des dizaines de blessés, dont des manifestants, des journalistes, des élus, des passants ».
Des passants, Hedi est un passant, comme il a été des victimes qui ont le tort de marcher sur le trottoir avant de subir de graves violences. C’est le cas d’une jeune femme de 19 ans grièvement blessée à la tête par des policiers à Marseille le 8 décembre 2018. La jeune femme a voulu porter plainte, mais deux commissariats différents à Marseille ont refusé de prendre sa plainte. La jeune femme a dû avoir une trentaine de points de suture sur le crâne et subit 4 ans après son agression des séquelles douloureuses. En 2023, après deux non-lieux, l’information judiciaire est réouverte pour identifier les agresseurs. Pour la jeune femme, les traumatismes, la douleur physique et psychologique sont toujours présents et appellent à une reconnaissance urgente de la victime, et la fin de l’impunité des auteurs de l’agression.
La France glisse sur la mauvaise pente depuis plusieurs années et le risque est que le pays devienne une démocratie défaillante. D’ailleurs, un régime autoritaire se renforce par la position du gouvernement pour répondre au rapport de force établi par des pointures de la police, ceux de l’ombre de cercles de pouvoir, et voulant être le pouvoir. Le directeur général de la police nationale ayant déclaré « Avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison », propos tenus lors d’un entretien dans Le Parisien , alors que la colère gronde au sein de la police et que des policiers marseillais demandent la libération d’un policier de la BAC mis en examen et écroué, tandis que trois autres policiers sont maintenus sous contrôle judiciaire suite à l’agression de Hedi.
Les noms de deux policiers de la BAC Centre de Marseille apparaissent également dans deux autres affaires de violences, selon les révélations faites par Médiapart : « l’affaire Angélina », une jeune femme de 19 ans agressée en 2018 en marge d’une manifestation des Gilets Jaunes et surnommée « Maria », évoquée précédemment, et l’affaire de violences envers un jeune couple dans le quartier St Charles en 2021. Et, les policiers avaient rédigé un faux procès-verbal d’interpellation du couple. La première plainte déposée par les victimes a été classée sans suite et une autre est en cours.
Des faits de violences répétées et les propos tenus par Frédéric Veaux, soutenu par le préfet Laurent Nunes déclarant sur Twitter « je partage les propos du DGPN », sont ce dangereux de la mise en danger des droits humains, de l’État garant du droit de vivre en paix et sécurité, et confirme les inquiétudes légitimes de l’ONU.
M. Darmanin, ministre de l’Intérieur qui n’aura pas un mot pour apaiser la souffrance de Hedi, reste ce froid couvrant la France d’indifférence.
« Il est des attaques auxquelles on ne doit jamais s’habituer » écrit le Syndicat de la Magistrature dans un communiqué. La liberté, c’est elle qui est attaquée et au cœur d’elle la paix. Quel regard le monde international devant aujourd’hui plus qu’hier évolué en solidarité porte-t-il sur cette France traversant des heures difficiles parce que la minorité, comme aurait pu le signifier François Mitterrand, abîme la démocratie, impacte le droit de vivre, et qu’il est ces armes du maintien de l’ordre qui se pointe contre nous tous car blessé un de nous, c’est blesser le peuple tout entier.
C’est notre mémoire collective, notre histoire, notre peine, ce que n’a pas compris Emmanuel Macron, ce qu’il n’a pas écouté avec empathie, pris au piège d’une histoire qu’il ne maîtrise pas dans son entièreté car notre mémoire se constitue aussi par les témoignages reçus, les secrets confiés, les analyses, mais il demeure cet essentiel : ce qui a été vécu, ressenti au plus profond de soi, le souvenir des êtres, des regards, de la vie.
Mitterrand possédait une histoire politique par son expérience, par sa connaissance de son présent, des réseaux, mais aussi de ce qui se cache et ne se délivre pas. Emmanuel Macron n’a pas l’expérience de ceux qui le dominent par cela. Il ne peut posséder ces instants politiques qui se passent exclusivement entre deux hommes, ces évènements au secret des mots, des dossiers, mais qui sont avant tout une histoire d’hommes.
« Nous attendons du Président de la République qu’il dénonce fermement cette attaque inédite à la séparation des pouvoirs. Il en va de la sauvegarde de l’État de droit », conclut le communiqué du Syndicat de la Magistrature.
La fermeté de François Mitterrand, Emmanuel Macron ne peut l’avoir. Il ne tient pas à affronter ceux le portant, ne tient pas à affronter ceux le défiant au sein de son propre camp. Il se met en retrait, et se justifie dans les colonnes du Figaro magazine du 2 août, en vase clos des relations et réseaux dont là encore l’histoire réelle lui échappe. Il ne choisit pas de s’exprimer en direct face aux citoyens, il fait presque par cet entretien, ses confidences en privé dans le salon de son camp. Emmanuel Macron courtise le Bonapartisme, voudrait être l’empereur de l’Europe, court par monts et par vaux, explose le budget voyage de l’Élysée, le coût de la pollution par ses trajets en avion, et la stratégie est de dire que le capitalisme vert est un atout politique, la solution, l’écologie. La réindustrialisation verte, le mensonge qui ne créera qu’une aggravation de la pollution qu’ils ont tous votés.
Les Verts bien silencieux, tout appartient au système qu’il ne faut pas déranger. Tenu par l’argent, quel politique est sincère ? Et, finalement, Emmanuel Macron a le champ libre et les oligarques profiteurs mènent la danse.
Face aux événements très importants, Emmanuel Macron déclare « Je me suis gardé de réagir à chaud », « dans les moments d’émotion on est sommé de choisir son camp, et donc on dit toujours des bêtises ». Premièrement, il est président et ses silences sont des mots. Puis, c’est une technique de manipulation, se faire attendre, être cette indifférence par l’absence, le calcul de tout et le silence peut être une violence.
D’autre part, on ne choisit pas son camp quand on représente le peuple tout entier. On choisit la démocratie, la fidélité aux droits humains. On instaure la diplomatie pour lien entre frères du même pays. On ne dit pas des « bêtises », on « assume » comme Mitterrand l’a affirmé en 1983.
Puis, il revient sur la « décivilisation » en manipulations politiques choisissant son camp côté droite dure. puis, il prend l’expression: « crise de civilisations » quand il est la défaite de la politique, de la responsabilité de 30 ans de passivité politique, d’affaires, de corruptions d’intérêts, de langage aux mots redoutables de conséquences formant des actes marquant l’avenir de ce terrifiant, comme nous le vivons actuellement : des personnes ont été mutilées, éborgnées en France par la responsabilité des stratégies du maintien de l’ordre, de l’incapacité à refonder profondément la police pour le bien de tous, pour la valeur de la paix.
C’est la politique qui provoque un effondrement civilisationnel, ce sont les oppresseurs qui imposent l’instable, les crises politiques et c’est au niveau international que cela se déroule, et la France n’est pas le phare de la paix.
Enfin, Jacques Chirac lui-même n’aurait jamais accepté d’être autant dépassé par son ministre de l’Intérieur, par Frédéric Veaux, par Laurent Nunez, par Gérard Larcher. Cela n’aurait eu aucun sens politique, aucune possibilité de tenir.
Pour qu’Emmanuel Macron rappelle qu’il est le chef, il observe un mépris considérable envers ceux s’opposant à la République d’Emmanuel Macron qui devient l’extrême droite modérée qui n’exclut pas l’utilisation encore une fois du 49.3 pour la loi « immigration ». Puis il confirme sa volonté « d’un temps nouveau », qu’il imposera par un « arc républicain » fantoche, qui ne révèle que des manipulations politiques, gouvernance avec Les Républicains, la droite conservatrice à l’extrême droite mondaine jamais élue, et opérant une division de la Gauche en excluant la France Insoumise de son manège.
Puis, il évoque une « crise de civilisation », en reprenant les termes politiques des années 30, oubliant de compléter sa phrase par une « France démoralisée » par les fortes inégalités décidées par les « oligarques profiteurs » déjà dénoncés en 1933 et discours soutenu alors par un certain De Gaulle.
Le secret politique, cet ennemi de la liberté
Le fascisme montant et l’extrême droite du parti de Marine Le Pen entre dans les jeux des concurrences aux normes se correspondant avec la macronie. Cela rappelle ce jeu tragique des pouvoirs conduisant le FN au deuxième tour des présidentielles face à Jacques Chirac dont l’erreur a été de l’élire Président de la République dès sa première élection. Les droits humains s’affaiblissaient déjà sous le poids de la droite d’arrivistes, des affaires, de barbouzes à l’ombre des couloirs, des informations passant des RG à des journalistes en agents politiques, à celui voyou naviguant de politiques du RPR à leurs avocats, règlement de compte, pouvoir à maintenir ou à faire tomber, faux documents pour mettre le feu aux poudres et faire basculer certains réseaux dans la tourmente, le bien être du pays, la conscience pour le respect de la nature, la Terre notre « maison » qui brûle, résolument ignorée.
Le secret politique est néfaste et appelle l’introduction de la police au sein des gouvernements en stratégie de défense pour garder la connaissance enfermée, ce qui fait reculer le progrès de l’humanité en l’éloignant de l’universalité de la fraternité.
Le peuple ne sait pas, il est maintenu à l’écart et ne peut alors prendre les décisions et avoir le courage de mettre fin à la toxicité de la politique faisant du partage l’interdit. À partir de là, la liberté ne peut pas exister, la démocratie est fragile et la guerre puissante.
Le gouvernement doit informer, doit permettre à la connaissance de s’émanciper pour que le peuple puisse prendre des décisions, puisse véritablement prendre conscience de l’importance de la paix, de ne pas céder tout pouvoir aux politiques, de ne pas oublier qu’ils sont avant tout des hommes, et que leur devoir est d’aimer le peuple, d’aimer chacun et de veiller au droit de vivre.
Un gouvernement qui échappe à cela, devient ce qui est mauvais pour tous, pour le pays , et pour cette cause de solidarité internationale. Si on enferme le peuple dans l’autoritarisme, on met en péril les relations internationales positives, les dialogues de paix.
L’argent au centre des pouvoirs, les ventes d’armes, la presse manipulée, les copains d’hier qui se retrouvent aujourd’hui et se tiennent par les corruptions restant à l’omerta, pendant qu’Emmanuel Macron fait son cinéma, occupe les foules qui finissent par être maltraitées pour que la politique en place s’impose à tous, gardant sous sa coupe les traîtres, tirant la haine vers le haut, les agitant en pantins, les marionnettistes manipulés comme l’arroseur arrosé.
Les enfants pauvres victimes du désastre de la démocratie tombant, des familles vulnérables, des mères isolées représentant 35 % des personnes vivant sous le seuil de pauvreté, affaibli et humilié, le peuple découragé regarde inquiet le triste gouvernement.
L’extrême droite s’agite et pense tirer son jeu de l’épingle, d’influencer le pouvoir en place, mais ils ne feront rien d’autre que d’animer des émissions télévisées, d’occuper les réseaux sociaux, de réciter un racisme épouvantable, pendant qu’Emmanuel Macron applique son « coûte que coûte » que lui souffle aussi les oligarques milliardaires tirant les ficelles.
« Je ferai tout ce que je peux faire jusqu’en mai 2027. Et, je vais faire beaucoup, croyez-moi » affirme Emmanuel Macron ce 2 août sombrant comme une bouteille à la mer par cette affirmation présidentielle pesant comme une menace.
C’est la liberté qui peut faire beaucoup et qu’elle quand tout est à l’instabilité d’un bouleversement climatique. Et Emmanuel Macron a pu ressentir un tremblement de terre, cette terre bouillonnante qui a besoin de la force de la liberté au sens du vivant, de sa possibilité de naissance, de créer la nature du futur, quand les paroles d’Emmanuel Macron seront à l’oubli, mais ayant effondré des rêves, des vies, et cet espoir qui n’est rien sans la réalité et elle est la vie, la vivre.
On peut espérer un peuple fort organisant les Marches pour la Paix et s’opposant au fascisme, ne cédant pas à la peur, aux mensonges politiques et à sa violence destructrice.
La liberté, Emmanuel Macron en fait une illusion quand elle signifie vivre !
Fédora Hélène

Copyright © LiberTerra – 2023 – Tous droits réservés – Tous droits de production et de diffusion réservés
