UNESCO – Préserver la biodiversité mondiale, la beauté de la Terre

Le monde – La Terre révèle la splendeur de la vie

Les couleurs merveilleuses existantes dans la nature sont le reflet de la biodiversité, de la multiplication du vivant s’épanouissant grâce à la liberté. Ce que l’humanité se doit de protéger, en gardienne de la Terre pour sens de vivre et ce possible par la vie, ce miracle naissant dans la sphère de notre planète, cette île dans l’univers.

Protéger le vivant par ce bien commun à l’humanité : notre conscience. L’être humain a conscience de son savoir, de sa dimension de vie et de mort, comme il possède la connaissance du verbe aimer, est ce protecteur par son empathie, sa générosité en harmonie avec celle de la Terre nourricière.

La culture de la guerre, du verbe posséder en système prédateur, à créer un système d’inversion imposant à l’humain son autodestruction exprimée par l’invention d’une économie aux failles de la corruption, des profits sans fin, de la volonté de croissance économique qui ne peut exister quand les ressources naturelles s’effondrent, que la crise climatique est en premier la détresse de l’eau. L’eau essentielle à l’équilibre de la vie, à notre souffle car elle n’est pas uniquement celle qui abreuve, elle est aussi celle qui respire et garantit notre oxygène.

Une eau polluée est un air pollué. Notre possibilité de vivre est par notre corps. Si celui-ci est affaibli car confronté à une grave pollution de notre environnement, une pollution impactant la sphère qui est le globe terrestre en ses veines d’eau, c’est le risque d’une extinction massive d’espèces végétales, animales, et la mise en péril de l’humanité.

Une révolution climatique est en valeur accélérée. La biodiversité est en danger, les couleurs s’éteignent les unes après les autres. Le silence dramatique des forêts victimes d’incendies dévastateurs, le silence des oiseaux, un ciel et le silence. Notre Terre est un chant et les activités humaines, l’acharnement d’un système économique et politique impose le silence témoin de la souffrance du vivant.

La paix protégée par le sens de justice, est l’urgence qui appelle les décideurs politiques à respecter le droit de la vie. La vie de notre humanité ne peut-être sans celle de la Terre. L’absurde de la guerre contre la nature en pensant dominer, s’enrichir, comme la réalité est que l’on court vers notre perte.

Un mondialisme en économie destructrice devrait prendre fin avec une industrie construisant un empire virtuel et la vie au-dehors en péril. Les choix politiques à la folie de la croissance économique, au profit de profiteurs de guerre, excluant chacun d’entre nous quand le droit de vivre est pour chacun de nous. Les populations ont ce droit à la parole, ce droit de conscience et d’exiger des politiques que cesse un système oppresseur étouffant le chant de la vie.

Écoute la liberté, ce chant de la vie.

Terre – Patrimoine mondial pour la protection de la biodiversité – L’UNESCO appelle à la protection du vivant

La Convention du patrimoine mondial de l’UNESCO réunit les accords internationaux et forme le plus haut niveau de protection du patrimoine naturel et culturel reconnu par 195 pays.

La protection de la biodiversité, des écosystèmes essentiels à la vie, les sites du patrimoine mondial de l’UNESCO qui représentent plus de 1/5 de la richesse mondiale des espèces cartographiées, est le cœur d’un rapport publié le 31 août 2023 et intitulé « Patrimoine mondial : Une contribution unique à la biodiversité.

« Cette étude témoigne de l’importance des sites du patrimoine mondial de l’UNESCO pour la protection de la biodiversité. Ces 1 157 sites ne sont pas seulement exceptionnels sur les plans historique et culturel, ils sont également essentiels à la préservation de la diversité de la vie sur terre, au maintien des services écosystèmes vitaux et à la lutte contre le dérèglement climatique » déclare Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO.

Les sites naturels du patrimoine mondial de l’UNESCO représentent moins de 1% de la surface terrestre, et plus de 75 000 espèces de plantes et plus de 30 000 espèces de mammifères, d’oiseaux, de poissons, de reptiles, et d’amphibiens y vivent. Un refuge indispensable se situant pour 20 % des sites dans des zones clé pour la biodiversité (ZCB).

Des sites refuges pour les espèces les plus menacées estimées à plus de 20 000 à l’échelle mondiale. Parfois, ne survivent que quelques individus, leur famille ayant été disséminée. Ce sont jusqu’à un tiers des éléphants, tigres, pandas y survivant en dernier refuge. Une arche de Noé terrestre, sur ses sites demeurent un grand singe, une girafe, un lion et un rhinocéros sur dix.

Des sites hautement protégés, mais qui ne peuvent échapper à la révolution climatique, un bouleversement planétaire qui n’épargne aucun territoire.  Des sites refuges menacés également par les pressions économiques, le braconnage, la surexploitation des ressources et à l’inverse de l’équilibre : la prolifération d’espèces envahissantes.

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Protéger, c’est le rôle de l’être humain et les pays doivent s’engager sur ce chemin de paix, axer leur politique et stratégies de préservation de l’environnement en faisant des plans nationaux pour la biodiversité (SPANB), leur voix car ainsi que le souligne l’UNESCO, « Ils sont essentiels à la mise en œuvre du Cadre mondial pour la biodiversité (CMB) de Kunming-Montréal.

« Les sites du patrimoine mondial de l’UNESCO comptent parmi les lieux les plus riches en biodiversité de la planète et il est de notre devoir collectif de les protéger », exprime Audrey Azoulay.

« La biodiversité est essentielle à la survie de l’humanité », indiquent les scientifiques ayant établi l’étude sur le patrimoine mondial de la biodiversité

La nature inspirant notre humanité, donnant à notre esprit cette dimension unique de visible de la beauté du monde, à l’invisible des émotions, de la spiritualité en osmose avec la nature, en discours intime entre elle et nous, et forgeant nos cultures, comme les marais d’Ahwar du sud de l’Iraq ont « façonné la vie religieuse, publique, économique, culturelle des grandes villes mésopotamiennes pendant plus de 5 000 ans » souligne l’étude.

Une Terre vide est-ce envisageable ? Notre planète est riche de vie et par évidence nos sociétés fondent leur architecture culturelle en s’inspirant de la nature, en apprenant d’elle, en imaginant son langage, et devenant l’arbre dont les racines sont plongées en la terre féconde. L’humanité tient debout par cette colonne vertébrale de l’arbre et la multitude de ses branches représentent chaque famille, les cultures unies entre elles, cette solidarité innée, la naissance de la paix qui vit en nous et nous donnant la possibilité de perdurer.

C’est cette source qui est la nôtre qui doit inspirer nos choix, décisions, et notre chance est de donner vie à ce monde juste, équitable, fraternel. Notre époque devient celle de l’extraordinaire chance si nous devenons ce que nous sommes : les protecteurs de la nature. C’est cela la signification de posséder, ce don de ressentir la Terre, être issu d’elle.

« Une ville dans un jardin », Singapour fait corps avec la nature. Les Jardins botaniques de Singapour issus d’un jardin botanique tropical britannique de l’époque coloniale créé en 1859, se sont transformés par les efforts innovateurs de Singapour en une valeur d’universalité et d’espace de recherche scientifique.

La ville laissant vivre la nature et ne se faisant plus ce béton armé contre elle, ce sont environ plus de 300 sites dans plus de 100 pays reconnus villes du patrimoine mondial. Une ville en valeur de bien-être, alliant lieux historiques et culturelles avec créativité.  L’imagination de ceux l’habitant aujourd’hui construit l’espace, l’harmonise avec la nature.

Montagnes – univers naturel grandiose fascinant et inspirant nos culture

Le mont Emei en Chine, un paysage exceptionnel inspirant et devenant le site du premier temple bouddhiste chinois fondé au 1er siècle et s’enrichissant au cours des siècles en érigeant notamment la plus grande statue de Bouddha au monde, le grand Bouddha de Leshan taillée à flanc de colline au VIIIème siècle.

Le mont Emei, haut lieu de pèlerinage bouddhiste, possède une flore très diversifiée, dont certains arbres ayant plus de 1 000 ans. L’humain y puise la force de la nature, sa promesse de perdurer nous offrant un sentiment de confiance en l’avenir.

Pour que cette confiance soit l’espoir, il est essentiel de préserver le patrimoine mondial, d’investir pour un futur en paix nous garantissant la possibilité de vivre en bien-être, de respirer un air pur.

Plus de 120 sites sont inscrits au patrimoine mondial et forment des paysages en harmonie avec la nature et la culture en utilisant des techniques favorisant la diversité biologique.

La Convention du patrimoine mondial de l’UNESCO en 1972

Préserver la nature et le patrimoine culturel mondial, un traité international puissant, reconnaissant notre interaction avec la nature, notre union fondamentale protégeant l’équilibre de l’un et de l’autre, permettant l’épanouissement de tout le vivant et lui assurant une sécurité par la conscience de posséder cette extraordinaire chance de la vie.

Une chance existant par des efforts constants pour protéger la Terre et notre humanité par une prise de conscience que nos actes ont des conséquences sur la nature, et déterminent notre futur commun. On avance ensemble, et non de manière séparée. Exclure la nature, mener une guerre contre elle, c’est nuire à nous-mêmes de manière irrémédiable. On ne peut créer la vie disparue.

Une prise de conscience nécessaire, et ce fut une conférence à la Maison-Blanche à Washington, D.C, en 1965, qui a ouvert la vois pour la création d’une « Fondation du patrimoine mondial » pour protéger « les lieux, les paysages et les sites historiques les plus extraordinaires pour le présent et l’avenir de toute l’humanité ». Une volonté soutenue en 1968 avec des propositions énoncées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

La Conférence des Nations Unies sur l’Environnement humain à Stockholm en 1972 fonde un accord unique rassemblant les différentes parties et la Convention du patrimoine mondial, culturel et naturel a été adoptée le 16 novembre 1972 par la Conférence générale de l’UNESCO.

Une prise de conscience qui doit revenir au centre de nos sociétés si nous voulons que des sites inestimables soient préservés, si nous voulons que le bouleversement climatique ne devienne pas l’avenir catastrophique.

Les sites naturels protégés par la Convention du patrimoine mondial représentent la majorité des grands écosystèmes couvrant une superficie de 3 500 000 km².

L’eau signe de vie – Ce sont près de 100 zones humides vitales pour préserver la qualité de l’air et accueillir une biodiversité exceptionnelle, des espèces innombrables du monde végétal et animal. Plus de 150 sites bénéficient de la protection de la Convention sur les zones humides : Ramsar. Protéger les ressources des zones humides et savoir les utiliser sans perturber leur équilibre.

L’eau vitale et les écosystèmes marins et côtiers cités au patrimoine mondial couvrent plus de 2 millions de km², soit deux fois la superficie de l’Afrique du Sud, rappelle l’étude, et sont des espaces indispensables à la régulation du climat en stockant 15 % du carbone bleu de la planète dans des herbiers marins, les marais et le mangroves, établit le rapport.

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Le Cerrado brésilien faisant partie des grandes régions de savane du monde abrite deux sites essentiels et protégés, les parcs nationaux Chapada dos Veadeiros et Emas. C’est un écosystème tropical les plus anciens et durant des millénaires, ils ont été le refuge de nombreuses espèces lors des périodes de changement climatique. Un site qui est également très important pour le maintien de l’approvisionnement en eau, zone-clé pour l’alimentation de nombreux cours d’eau, le cycle des nutriments des sols. En sachant, que nous ne connaissons que 2 % de la constitution de la Terre, de ses richesses, de sa complexité. C’est la vie ! Ce qui semble être oublié, la vie.

Les forêts – un univers époustouflant menacé

Les forêts classées patrimoine mondial s’étendent sur plus de 69 millions d’hectares, soit deux fois la superficie de l’Allemagne. Les forêts absorbent 190 millions de tonnes de CO2 chaque année, soit environ la moitié des émissions annuelles de CO2 du Royaume-Uni

Des chiffres qui au cœur du quotidien des villes sont noyés, et que de nombreux gouvernements oublient, alors que depuis 1972, la Convention du patrimoine mondial est ce qui pose par écrit notre conscience.

Cartographie des espèces animales et végétales protégées par le patrimoine mondial.

L’étude a réalisé une cartographie des espèces végétales et animales vivant dans les sites du patrimoine mondial de l’UNESCO –

La valeur inestimable du vivant est en mémoire, celle appartenant à chacun d’entre nous, notre bien commun, la Terre nous donnant la possibilité de vivre. Nous ne sommes pas sur une pierre aride, mais dans un monde où les plantes s’épanouissent, où le grandiose vit grâce à une multitude de plantes, d’arbres, d’animaux donnant à notre planète bleue cet unique merveilleux s’offrant à nos yeux, mais surtout à notre vie en sens profond de son existence.

Le parc national de Manu au Pérou possède plus de 200 espèces de mammifères, 800 espèces d’oiseaux, un nombre important de poissons, de reptiles, d’amphibiens et plus de 1 200 espèces de papillons.

Chaque enfant dans le monde devrait pouvoir découvrir sa Terre, les paysages, les animaux, plantes y vivant, cela serait le progrès en adéquation avec l’humain et la nature. Le monde industriel sera celui connu de la majorité des enfants. Il envahit les territoires, dirige l’économie, prend les ressources naturelles, crée la virtualité de la consommation, organise la puissance politique, laisse le monde en peine par une évolution excluant la vie et prenant d’elle.

Le merveilleux des parc naturels que nous devons protéger

Le gorille de montagne, le gorille des plaines de l’Est et le chimpanzé de l’Est vivent au cœur du seul parc au monde les abritant ensemble, le parc national des Virunga en République démocratique du Congo.

Les terres et mers australes françaises s’étendent sur 670 000 km² est le territoire de plus de 50 millions d’oiseaux dont la plus grande population de manchots royaux et d’albatros à nez jaune au monde.

Puis, repartant à l’autre bout du monde, en Russie, la réserve de l’île de Wrangel abrite la plus grande population de morses du Pacifique et la plus grande présence de tanières ancestrales d’ours polaire. La paix venant de la Terre est un privilège donné par la nature qui subit elle aussi le désastre de la guerre qui est menée contre elle, comme celle contre les hommes.

Puis, en allant en Inde, l’on peut découvrir un paysage magnifique, les Ghâts occidentaux, où vivent la plus grande population de tigres au monde, soit jusqu’à 900, ainsi que jusqu’à 10 000 éléphants d’Asie.

En Pologne, ce sera la forêt Bialowieza âgée de plus de 200 ans abritant des organismes tels que les champignons, les mousses, lichens et des insectes.

La vie a fait de la Terre l’élue, et l’homme l’oubli

La Chine détient un fabuleux trésor, le site fossilifère de Chengjiang datant de 530 millions d’années et qui est le témoin de l’apparition de pratiquement tous les grands groupes d’animaux peuplant aujourd’hui la planète.  

Puis, il y a 370 millions d’années apparaissait ce qui est aujourd’hui le parc national de Miguasha au Canada considéré comme l’illustration la plus remarquable de « l’âge du poisson », indique le rapport.

Plus près de nous, il y a 40 millions d’années dans le désert occidental de l’Égypte se trouve le témoignage le plus incroyable de l’évolution grâce aux fossiles de Wadi Al-Hitan, la vallée des baleines : le passage des baleines de la terre à la mer.

Et, bien sûr, il y a les dinosaures dont les vestiges les plus anciens d’entre eux et les plus complets ont été découverts dans les Parcs naturels d’Ischigualasto et de Talampaya en Argentine.

Plusieurs sites ont été découverts et détiennent la mémoire de la vie sur Terre, comme le Parc national du lac Malawi (Malawi) étant un des plus grands sites au monde pour l’étude de l’évolution.

Sauvegarder les espèces les plus menacées

L’étude alerte que chaque augmentation de température de 1°C pourrait doubler le nombre d’espèces exposées à des conditions climatiques dangereuses.

Les scientifiques ont établi que le réchauffement climatique devrait s’intensifier à mesure que les hommes poursuivent les constructions, le bétonnage, l’expansion de tout ce qui sert la croissance économique, comme les terres agricoles, l’expansion des villes, la surexploitation des ressources dans un monde industriel, le braconnage et le commerce, par exemple.

D’ici 2030, la chute de la biodiversité devrait être généralisée dans les océans tropicaux et dans les terres tropicales d’ici 2050, souligne l’étude.

L’Arctique pourrait être une des parties du monde les plus impactées par le bouleversement climatique et voir ses territoires rapidement touchés par le réchauffement climatique. L’étude a établi un pronostic sur une évaluation de +2°C à +4°C jusqu’à 2100.

En perdant la biodiversité, la mémoire culturelle, les langues, le patrimoine de l’humanité par son extraordinaire diversité sera également menacé. C’est un effondrement civilisationnel sans précédent. Des décideurs politiques dans l’impasse, le déni qui devraient avoir à cœur de protéger la vie !

Plus la nature s’épanouit, plus le bien-être des populations est assuré, plus il y a un essor culturel, plus la créativité se développe. Il se créent des modes de vie en accord avec l’environnement. Les croyances, tout l’imaginaire humain, la musique, l’art culinaire, les arts dépendent de l’environnement.

50 % des sites archéologiques se trouvent dans des zones de grande diversité biologique, comme 30 % des sites de pèlerinage, des lieux spirituels et 20 % des zones urbaines.

Peuples autochtones, protecteurs des sites de diversité biologique et culturelle

Le site du patrimoine mondial de l’UNESCO confie aux peuples autochtones la confiance pour protéger la richesse inestimable de l’environnement. L’Alliance avec la Terre mère prend tout son sens en cette période instable liée à la crise climatique.

C’est l’histoire de l’humanité, son cheminement à travers la nature, et s’inscrivant au cœur de paysages grandioses comme ces étendues entre mer et glace au Danemark, terres de chasse inuites appelées Aasivissuit-Nipisat. Un musée à ciel ouvert de 4 200 ans d’histoire humaine dans l’ouest du Groenland.

Les inuits vivant en accord avec la nature, et élaborant des techniques de pêche et de chasse, apprenant de la nature les plantes médicinales, la médecine traditionnelle en lien de confiance avec la nature. Elle n’est pas l’ennemi, ou celle à exploiter pour gagner de l’argent et un pouvoir. La nature est aimée, c’est une valeur indispensable pour protéger réellement la biodiversité.

Une culture en communion avec la nature que l’on retrouve sur le site des Montagnes bleues et monts John Crow en Jamaïque. Le Delta de l’Okavango (Botswana) peuplé durant des siècles par des peuples autochtones, puis par des immigrants. Toute une vie culturelle est née de l’environnement naturel. Une économie en équilibre avec les ressources exploitées.

Le premier site naturel inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO a été sur les Îles Salomon, le Rennell Est. Environ 1 200 personnes d’origine polynésienne y occupent quatre villages. Ils vivent de la pêche, de la chasse et d’une agriculture à taille humaine.

Une priorité : protéger ces sites exceptionnels mémoire de notre histoire unie à la nature

Partager, chacun fait quelque chose pour protéger la nature. Les décideurs politiques ayant la responsabilité d’investir dans le capital vie de la nature, qui demande de sortir d’un système qui détruit au moment où nous avons besoin d’une multitude de miracle pour la protection de la nature menacée.

Les stratégies et plans d’action nationaux en matière de biodiversité (SPANB) représentent le moyen fort pour préserver la biodiversité à travers la solidarité internationale. Le Cadre mondial pour la biodiversité (CMB) de Kunming-Montréal permet de rassembler les actions pour renforcer la protection de la nature. C’est aussi l’Accord de Paris et d’autres instruments conçus pour la préservation de la biodiversité, comme pour contrôler le commerce des espèces en danger (CITES).

C’est apprendre, transmettre, partager les connaissances, recherches scientifiques, prendre conscience comme remettre l’ouvrage sur le métier, travailler pour la nature et non contre elle. Gagner des richesses pour les enfants, générations à venir, et pour chacun d’entre nous, c’est gagner un patrimoine naturel mondial préservé. C’est l’héritage véritable que nous possédons. 

Fédora Hélène

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