Urgence Paix – La civilisation de l’effacement – Ils ont oublié la vie !

110 millions de personnes déplacées, un effondrement climatique, des centaines de millions de personnes basculent dans la pauvreté depuis 2020 et les milliadaires « prennent le soleil » avec la bénédiction de dirigeants – ils ont oublié la vie !

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La civilisation de l’effacement – Ils ont oublié la vie !

Libye, les corps échoués et l’indifférence des milliardaires, de l’oligarchie gouvernant, de la guerre rouge sang, le droits humains noyés, les violences terrifiantes que subissent les femmes à travers le monde, et la politique, celle sale, empoisonne l’air, incompréhensible de cruauté, les oppresseurs rois, et tout est à terre, la paix, elle aussi échouée.

Les enfants déshérités, le droit à la vie n’est plus. La souffrance des pauvres, des migrants en Libye, la liberté persécutée, les corps blessés, les actes de tortures et aujourd’hui cette vallée de larmes est le paysage.

Des torrents de boue détruisant tout et l’innocence, la politique laisse cet héritage, les milliardaires et dirigeants comptant l’argent, ce néant qu’ils ont créé.

Aujourd’hui les pauvres se noient. La méditerranée est devenue le cimetière bleu, notre mémoire au fond de l’eau.



Restera-t-il donc que le sable et l’eau de notre civilisation ?

L’amour, comme cet oiseau posé sur la branche au-dessus des eaux, échappant au brouillard de poussière, quand il y a un matin il était cette brume blanche se levant au-dessus des sols, couvrant les champs et les rayons venant doucement ce jour clair, ces heures de paix.

La paix évanouie à l’aurore naissante, un enfant martyrisé, la violence brisant notre monde, voilant les chemins de paix allant vers une quête, ce trésor d’aimer, ce qui constitue le sens de notre vie.

L’enfant blessé par les guerres que mènent sans relâche les hommes de violences, haïssant la vie, se voulant être son ennemie, celui fracturant notre humanité, celui créant le néant, abandonnant la beauté d’un matin clair, le chassant, lui opposant le voile noir des deuils des droits humains, de la liberté, la paix souffrant et dépassant les douleurs par nos cœurs unis, les artisans de paix. L’espérance des plus fragiles, cette flamme plus puissante que tous les pouvoirs, ne faiblissant pas, se faisant la voix visible du silence des souffrances, éclairant la vérité et ne quittant pas notre volonté œuvrant pour que triomphe la vie, l’innocence.

Un être humain ne peut être considéré comme une proie, il ne peut être traqué par l’injuste se faisant cruauté entre les mains d’hommes assassinant en voleurs de vies, le droit de vivre et traumatisant à vie la liberté de leurs proies.

Victime, ce nom compris comme étant la faiblesse, et les systèmes infériorisent ceux qu’ils ont mis en état de vulnérabilité, accusés d’être faibles, quand leur courage immense dépasse la cruauté subie marquant à jamais leur mémoire, quand le prédateur et les systèmes le concevant fuient, nient, accusent ceux qu’ils maltraitent, violent, tuent.

Les intimidations, menaces, accusations envers les personnes victimes d’auteurs de violences sexuelles, de violences conjugales, sont établies par les systèmes se protégeant de ce qu’ils sont, de leurs actes, de leurs responsabilités et culpabilités. En protégeant des prédateurs, les systèmes se protègent eux-mêmes et garantissent aux puissants l’impunité, les privilèges de violences quand maltraiter son peuple est compris comme étant une puissance. Prouver au monde sa capacité à dominer sans faille. En traumatisant leur propre famille, des femmes, leurs communautés, leur pays, des dirigeants s’imposent à la table des puissants de ce monde.

Ce monde au chaos brisant la paix, la conscience, bien commun à l’humanité, s’alignant sur un mouvement destructeur et ne pouvant plus le quitter. Le risque de se perdre à jamais, la crise politique est une crise civilisationnelle. Les puissants craignent de se perdre. Notre humanité a envie de jours clairs, d’atteindre son sens de vivre, d’être elle-même, cette harmonie de paix. Les dirigeants, puissants industriels, lobbies financiers, oligarques ne devraient plus détruire pour l’éphémère d’un pouvoir qui n’est que l’illusion, et qui demain ne sera plus rien qu’une vallée de boue.

Enfant de lumière – Lorsqu’un enfant est en souffrance, la paix se brise partout dans le monde

Aujourd’hui, en France, dans le pays que nous disons de lumière, un enfant est agressé sexuellement toutes les 3 minutes. Chaque année, 160 000 enfants subissent des violences sexuelles et l’impunité des auteurs de violences sexuelles reste la règle partout dans le monde.

Les institutions, systèmes judiciaires ne répondent pas aux exigences de paix que représentent les engagements pour les ODD, pour les droits humains. Le Sommet des ODD a établi le 19 septembre dernier par la voix du Chef de l’ONU, Antonio Guterres, les tâches à accomplir, des actions concrètes pour accélérer le mouvement de la paix et non celui qui détruit.

Nous sommes la chance, et nos mains possèdent ce don de faire, d’établir un nouveau contrat solidaire, savoir travailler ensemble pour protéger la vie, sa valeur la plus précieuse, un enfant. Notre monde est à l’évidence rien si nous ne possédons pas la volonté de garantir aux enfants le droit de vivre en paix, si les dirigeants n’ont pas la capacité de travailler ensemble pour agir contre la violence, rompre avec les systèmes prédateurs effaçant la vie, l’oubliant, ne la rendant invisible, inexistante. 

La vie effacée, et ce qui devient puissant est la violence, sa cruauté, l’atroce de s’attaquer à un enfant, de s’attaquer à une femme, une femme enceinte, de ne donner aucune existence à plus de la moitié de l’humanité en la déshumanisant, en lui interdisant tout droit à la justice, tout droit de penser, de dire son opinion, de réaliser ses rêves, sa vie en liberté.

La guerre est alors la dominante, et elle est instaurée par les pouvoirs se référant aux systèmes corrompus menant l’humanité à sa perte, la séparant douloureusement. Elle ne respire qu’à moitié, ne vit qu’à moitié, en la privant d’elle, de son unité, de son corps entier. La femme et l’homme sont frères et sœurs issus du même corps, la vie.

« Nous, les peuples ne signifient pas : nous, les hommes » rappelle Antonio Guterres. L’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles est primordiale car le monde ne vit pas qu’à moitié. 

Rien ne doit plus entraver ce fondement de notre existence, de notre sens, le sang de la vie à nos veines communes, un arbre de vie, une lumière, une eau pour toute la Terre. L’être humain est son mouvement, et à travers lui, la vie tout entière, réunie, évolue, grandit, se multiplie, résiste. C’est ce mouvement qui communie en nous, fait corps avec l’essence de notre vie. La paix est son langage, la liberté sa possibilité par le verbe aimer.

La maladie vaincue, la détresse vaincue quand l’amour triomphe et se révèle être la liberté. Un homme de violences n’est pas libre et c’est son néant qu’il porte au monde, détruisant car il se détruit.

Les richesses faites de pouvoir, d’argent n’ont donc aucune valeur car elles sont issues des violences pensées par des générations d’hommes tourmentés, torturés par leur propre néant. Ils ont instauré le colonialisme, le racisme, les discriminations, les injustices, les violences envers les femmes et les enfants. Des hommes de violences font perdurer ce fonctionnement à qui des noms différents seront donnés, mais tout est identique. Il n’y a pas de recommencement, il y a une continuité.

Défaire nos sociétés de la culture de l’inhumanité, se définissant comme étant ce qui est en dehors de l’humain, et ce qui le détruit de l’intérieur. Les violences faites aux femmes et aux enfants sont des actes destructeurs pour toute notre humanité et ils inspirent ceux détruisant la nature par cette continuité d’actes prédateurs qui ne se limitent pas à un pouvoir ultime de droit de vie ou de mort sur une femme, un enfant, mais prend possession de ce droit contre tout le vivant.

Atteindre le but des ODD ne sera pas uniquement par l’investissement financier, mais en premier par l’investissement humain

Les dirigeants doivent être en conscience, ne pas dire de fausses promesses, ne pas prononcer de faux engagements, ne pas séduire pour des élections, pour servir des oligarques prenant le droit de gouverner par l’autoritarisme. Les milliardaires entraînent l’acceptation des politiques avides de pouvoir, de moments de gloire quand tout autour d’eux s’effondrent, et qu’indifférents ils garnissent les tables des rois, au déni quand un effondrement civilisationnel est actif et frère siamois de l’effondrement climatique.

La branche sans l’oiseau, il est mort ce matin, tombé aux champs de batailles, ceux cultivés par des hommes chercheurs de cet or, la cupidité. L’oiseau évanoui, le ciel sans un bruit, que les bombardements au loin, résonnant, traversant les océans, du Soudan à l’Ukraine, aux blessures en Syrie, en Palestine, et l’espoir en résistance de l’Iran à l’Afghanistan. Ces femmes à l’immense courage, s’éveillant chaque matin, ouvrant les yeux en rayons de soleil, les brumes dissipées, et les cris de souffrance derrière les barreaux des prisons, les enchaînées, femmes disparues, les suicides au désespoir. Le corps brisé, les violences en coups de fouet, en viols, les mots au verbe de ceux cruels, ils ont tué la vie.

La paix évanouie, le corps brisé d’une femme, l’injustice parcourant le monde des puissants et plus rien que le vide vertigineux que nos sociétés finissent par former en tenant leur pouvoir né du monde politique excluant, aux fausses promesses d’égalité, et chassant d’un revers de main la justice mourante comme une femme qu’un homme tue, ruinant la paix.

Les juges fendent la Terre de leurs lois au patriarcat humiliant, abandonnant, se faisant ce bâton, le coup de trop, la violence sans fin, sur traumatisant un enfant, une femme, rendant légitime le droit de détruire.

Au bout du chemin, il réside les milliers de voix, de mains tendues pour la paix, pour la vie libre, libérée. Les mots écrits, notre humanité belle et resplendissante. Les combats pour unir les peuples, bâtir l’universalité de la paix. La paix en toute chose, car la vie y est présente.

La voile blanche en drapeau de paix s’étire à travers la planète, se déploie au-delà des frontières, couvre les murs contre la liberté. 

La haine, ceux criminalisant les migrants et réfugiés, faisant de nous, les exilés prisonniers, l’expression libre en danger, tout de la violence doit prendre fin. 

La naissance de la voix de la paix est au-dessus du tumulte, du bruit envahissant des pouvoirs politiques, des milliardaires qui « prennent le soleil » quand les innocents se noient. La paix se trouve au-dessus des « portes de l’enfer » qu’ouvre l’humanité en laissant faire, en pensant la machine plus puissante, plus réelle que la vie.

Le sentiment de surpuissance des pouvoirs s’impose car à toutes les échelles de la société le maltraitant, l’agresseur est protégé.  L’impunité devient criminelle car elle autorise intrinsèquement les pressions sur les plus vulnérables, les discriminations, les fortes inégalités, et les actes de violences. 

Un pays qui ne peut protéger un enfant, une femme à l’intérieur de son foyer, ne pourra protéger des femmes et des enfants ayant leurs droits humains bafoués à l’échelle de conflits armés, ou àcause de régimes autoritaires, d’oppresseurs. Lesquels imposent des violences au sein des foyers en ordonnant aux hommes de se désolidariser des femmes, de ne pas considérer leur opinion, leur choix, leurs droits.

La violence politique agit comme la violence à l’égard de la nature, elle impacte toutes les sphères de la vie des personnes. Les politiques deviennent alors ces voleurs de vie, comme un prédateur l’est. Quelle que soit l’échelle de valeur, c’est toute la vie qui est touchée par la violence.

La paix est la solution et par elle, l’évidence apparaît. « L’égalité des genres n’est pas un problème. L’égalité des genres est la solution » a déclaré Antonio Guterres lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, célébrant les droits humains, l’engagement pour les objectifs de développement durable, et les 75 ans de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

« L’égalité n’est pas une faveur faite aux femmes, mais une condition fondamentale pour assurer un meilleur avenir pour tous » Antonio Guterres, assurant être aux côtés des femmes qui défient le patriarcat.

La paix – ce nom est un verbe, il agit

©️ LiberTerra

Si l’humanité désire ouvrir les portes du paradis et refermer celles de l’enfer, pour reprendre les propos du Chef de l’ONU, la paix est le chemin car c’est sous son ciel que la vie a pu s’épanouir, et perdurer en dépassant les bouleversements apportant à la Terre sa sérénité, le développement de la vie, et l’éclosion de la nôtre. Le bouleversement actuel est incomparable car il est issu de l’instable provoqué par l’homme et faisant le chaos, ce qui met en danger ce qui a été créé, dont l’humanité.

Dire que des bouleversements climatiques ont déjà existé pour minimiser nos actes et responsabilités, c’est encore une fois accorder l’impunité à un système qui détruit. Ce qui se passe aujourd’hui n’a jamais existé dans l’histoire de l’humanité car il est une chose que le Chef de l’ONU a rappelé, c’est le nucléaire.

Notre humanité doit pour la première fois relever un défi colossal pour protéger la paix. L’humanité est assise sur une bombe et le déni aggrave l’insécurité majeure que représente le nucléaire brandit en menaces, servant des rapports de force toxiques et dangereux pour tous. Personne ne peut vaincre la puissance nucléaire, mais nous pouvons la désarmer, et par la paix la réduire à néant.

La capacité de la solidarité internationale est en mesure d’arriver au désarmement, de mettre fin à l’armement nucléaire, aux systèmes d’armes autonomes (SALA) sans commandement humain. L’IA, la robotique, le développement des technologies de l’intelligence artificielle au service des forces armées présentent un futur militarisant l’espace civile, redoublant les menaces, pressions entre pôles de pouvoir entre l’Occident, la Russie et la Chine. Des puissances cultivent l’histoire des empires dominants, l’esprit de revanche face aux siècles de colonisation, de domination de l’Occident.

La Chine ayant environ 5 000 ans d’histoire veut construire sa puissance future et obtenir un pouvoir politique grandissant, et compter dans l’aventure spatiale, la conquête de l’IA, de l’intelligence artificielle et démontre au monde son utilisation dans l’espace publique, autant que dans la recherche spatiale et militaire.

Le nucléaire en énergie des conquêtes et imposant au monde une dualité extrême fragilisant la paix. La guerre en Ukraine, les menaces grandissantes sur l’utilisation des armes nucléaires pèsent sur notre monde, subissant un profond déséquilibre se manifestant depuis plusieurs décennies. 

Le bouleversement n’est pas soudain, mais il s’est fondé aux cours des années où les dirigeants ont accordé aux systèmes financiers internationaux une supériorité sur la vie elle-même, sur les droits humains fondamentaux. La poursuite de la croissance économique par les mécanismes économiques néfastes à la biodiversité conduit le monde à se détourner de l’objectif de paix, à semer les conflits armés accaparant toute énergie, laissant les territoires déshérités, les crises humanitaires devenir la norme du produit économique, de la politique.

La guerre de la faim en déchirure de l’humanité et la paix consolatrice et plus encore semant le grain des futures récoltes

Étoile Yémen, un pays dévasté par neuf ans de guerre, et l’espoir de la paix se rappelle à la communauté internationale lors de la Journée de la paix du 21 septembre. La paix n’est pas un jour, elle est chaque seconde de chaque jour.

Le Yémen traverse une des pires crises humanitaires au monde, selon l’ONU et l’investissement financier est insuffisant pour assurer la protection de la population, de femmes, de mères, d’enfants mis en état de grande vulnérabilité. Dans une déclaration commune sur la situation humanitaire et le déficit du financement au Yémen, publiée le 14 septembre dernier, une centaine d’associations alertent sur les besoins humanitaires essentiels devant d’urgence parvenir à plus de 21,6 millions de personnes, soit 75% de la population yéménite.

Le Yémen a besoin d’être soutenu pour réaliser la paix, et par elle acquérir son autonomie, sa liberté. Des mères luttent épuisées, tiennent le coup, sont debout chaque matin pour leurs enfants, consolent les pleurs de la faim. La communauté internationale ne peut pas faire moins que le courage extraordinaire de ces femmes résistantes. Ces femmes qui luttent également en Afghanistan. Notre Terre est une, notre humanité est cette unité, et tant que les droits humains ne seront pas pour tous, il sera le risque du péril pour tous.

Les puissants pourraient penser effacer la problématique des crises humanitaires et continuer sur la pente de l’enrichissement d’une minorité. Qu’ils soient assurés qu’il s’agit bien d’une chute vertigineuse qu’ils promettent à l’humanité. Un effondrement économique est ce domino tombant à la suite d’un effondrement climatique. La sécheresse, le manque d’eau, les conflits armés en écho du chaos, et des populations s’enfoncent dans l’extrême pauvreté.

« Ces villes où les gratte-ciel ont une vue surplombante sur des taudis. Ces pays ont un dilemme : servir leur peuple ou le sacrifier au service de la dette ? » questionne Antonio Guterres. « Aujourd’hui, l’Afrique dépense davantage de ressources aux remboursements des intérêts de sa dette qu’à la santé », a-t-il rappelé.

Le Chef de l’ONU a appelé le 18 septembre à adopter un Plan de sauvetage mondial, les États membres s’accordant pour intensifier les efforts pour sortir notre monde de la violence des inégalités, de la pauvreté d’ici 2030. Antonio Guterres a prévenu que les ODD sont en péril, que des millions de personnes basculent dans la pauvreté depuis 2020, que plus de 110 millions de personnes sont déplacées de force, que les inégalités se sont considérablement aggravées et frappent directement les femmes.

En France, 35% des personnes vivant sous le seuil de pauvreté sont des mères isolées. Le système corrompu plonge volontairement des femmes en situation de précarité, et les expose alors à un risque multiplié de subir des violences. Un système économique qui persiste car il fonctionne comme celui qui chasse et conçoit donc de faire d’êtres humains des cibles, des proies accablées par la pauvreté. La chance est réservée aux héritiers, comme à tous ceux naviguant dans les corruptions du système distribuant des cartes trichées. Établir une nouvelle architecture des systèmes financiers en respect des droits humains pour tous, anéantir la pauvreté pour nous donner une chance de vivre.

Les politiques sourds et attirés par l’invention de la dette et pliant des populations entières par l’inflation, la course aux profits, les concurrences absurdes, la violence. Et le feu brûle sur les territoires innocents, ravagent les sols devenant poussière par la chaleur, les années de sécheresse, de manipulation des sols pour satisfaire des lobbies, le monde des industriels, de l’agriculture intensive créant un futur superficiel, favorisant la rupture.

La jeunesse est l’espoir de relever la conscience des cendres. Les jeunes militants écologistes sont de plus en plus criminalisés, victimes de la violence des systèmes cherchant à ralentir leur chute et garantissant aux milliardaires la prospérité en enfer, ce qui sera de cultures assoiffées, polluées, artificielles.

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La santé humaine a besoin de la santé animale et végétale, de l’eau et de l’air dans leur conjugaison et pureté.  

« Les pays du G20 sont responsables à plus de 80% des émissions des gaz à effet de serre. C’est à eux de montrer l’exemple », a déclaré le Chef de l’ONU. La fin des énergies fossiles pour ralentir la hausse des températures et espérer ne pas franchir +1,5°C d’augmentation, quand l’architecture financière internationale impose la continuité des violences économiques.

Chaque jour, il pourrait être un pas vers une économie saine et de partage, vers la conception de la gratuité en alliance avec la générosité de la Terre. Mais chaque jour, le monde industriel reste figé dans l’objectif de profits. Chaque jour, les puissants ne mesurent pas la nécessité de mettre fin à une industrie polluante. Le monde politique et économique est dans l’impasse et les fausses promesses écologiques s’enchaînent aux discours de dirigeants comprenant leurs limites et leurs incapacités à s’unir véritablement, à penser différemment, à cesser ce qui détruit.

De jeunes militants écologiques sont criminalisés, les réfugiés climatiques ne sont pas reconnus, les plus pauvres subissent de plein fouet la révolution climatique, et aujourd’hui, la réponse politique sont des lois, programmes à l’image de ce qui nous a mené à la catastrophe.

Le fascisme, l’autoritarisme prennent leurs racines dans la construction de l’Europe il y a des siècles de cela, la frontière en barbelés, et les réfugiés, migrants sont abandonnés aux eaux séparant les continents, comme si les dirigeants pensaient ne pas être atteints, et ne finançant que le « déni climatique » comme l’exprime Antonio Guterres. Mais, tous les continents sont touchés par le bouleversement climatique et ceux accueillant aujourd’hui pourraient être les réfugiés de demain.

Notre monde change sous nos yeux et maintenir des politiques, Traités obsolètes, le carcan des puissances économiques, donner toute l’énergie à garder un système prédateur, ne fera que toujours plus placer nos sociétés au bord du précipice.

Les lois programmées sur l’assimilation, l’immigration sont un danger pour la paix et revêt un caractère issu du colonialisme. Ce qui est à faire, c’est l’universalité de la paix, être citoyens du monde, reconnaître l’humanité une et entière. 

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La réconciliation est promesse d’abondance, la solidarité, l’abondance de de solutions, ne nous privons pas de fraternité. La responsabilité des dirigeants est de ne pas transmettre aux jeunes générations la haine, mais le pardon pour que l’humanité puisse trouver l’unité nécessaire à sa survie.

Les plus vulnérables doivent être protégés et l’appel est lancé par Antonio Guterres. Il est primordial de fonder des lois protégeant les personnes vulnérables, luttant contre les injustices, mettant fin à une société où le titre, l’apparence, le pouvoir, les mensonges, les réseaux dominent contre ce qui est juste, contre l’humain et l’égalité.

C’est une chance que la vie nous offre : devenir frères et sœurs. La paix est là près de nous, à nos côtés, donnons-lui la main. Il suffit de vouloir cela, d’aimer les uns et les autres, d’avoir ce regard de tendresse, de paix, de respecter le droit à la vie de chacun, celui donné à la naissance et vouloir que chaque enfant vive pleinement sa vie. Ne pas laisser les traumatismes de la violence, de la pauvreté venir blesser à jamais une vie.

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Les milliards de financement ne donneront jamais l’amour dont nous avons besoin pour vivre, dont la Terre a besoin pour respirer. Les dirigeants sont des êtres humains et possèdent une conscience, c’est ce qu’ils devraient entendre, les battements de leur cœur qui seraient impossibles sans la générosité de la Terre, sans la vie qu’elle donne et que nous recevons tous. La valeur suprême de la vie ouvre la porte des possibilités. La Terre est ce paradis espéré, et l’être humain aime pour être le protecteur du plus extraordinaire, miraculeux événement, la vie. 

Fédora Hélène

La paix n’est pas un jour, mais chaque seconde de chaque jour.

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