
Israël – Des enfants victimes de l’extrême haine du Hamas – En Palestine, des enfants sans eau, blessés, tués – Le Pape François appelle à la paix entre Israël et la Palestine
Un monde en douleur
Au moins 40 bébés auraient été massacrés, dont certains décapités.
Il est d’être prudent avec la diffusion de ces informations car elles n’ont pas été officialisées par les officiels Israëliens.
Cependant, l’ UNICEF a rappelé que, «le meurtre et la mutilation d’enfants constituent une grave violation du droit humanitaire international »
La cruauté apocalyptique, l’humanité blessée, marquée à jamais.
Le Hamas, la barbarie du terrorisme, l’obscurité ne laissant jamais le jour se lever.
Le terrorisme, les guerres figent le monde en douleur.
Des enfants victimes, la guerre brutale, ce néant que l’homme a créé faisant de notre histoire cette ombre persistante et la Terre de sa bonté a donné à l’humanité ce matin, quand le calme soudain surgit des sols devenus tombes où les corps des innocents massacrés gisent.
Il était hier les Marches pour la Paix, le chemin tracé par la générosité, l’espérance en lueur inspirant, éclairant les pas, offrant la confiance.
Puis, la nuit s’est enveloppée de cris, de peur, de larmes. La mort prenant tout, envahissant les rues, les maisons. La colombes sombrant, un enfant quitte la vie. Les bombardements sans fin, tout écroule nos sociétés quand ils résonnent tout autour de nous.
Puis, la société poursuit, continue sans relâche. Il ne sera pas une journée de recueillement à travers le monde, et que voudrait-elle dire si tout autour d’elle, les guerres continuent, qu’un enfant meurt, un éclat de cette guerre sur ses yeux.
Aimer, le verbe, l’amour perdu pleure et il tiendrait qu’à nous, à nous tous d’hisser la vie, cette immensité qui nous constitue, vers lui, le verbe aimer.
Avant d’être épuisée, l’humanité devrait se recueillir, écouter la liberté, libérer la terre de la politique, faire cette prière la traversant, être ce rayon de lumière en elle, et l’inondant de paix.
La guerre est le mot à dire, à porter, celui du combat et la paix viendra après, meurtrie l’humanité portera le fardeau de son histoire, sa mémoire aux siècles d’injustices, d’innocents massacrés.
L’effondrement civilisationnel est là, les enfants magnifiques du Kibboutz de Kfar Azar ont subi l’atroce de la haine. Les maisons brûlées, les familles enfermées à l’intérieur. N’oubliez pas, n’oubliez jamais.
Les martyrs victimes du Hamas terroriste – Pour les enfants, leurs familles massacrées, donner une journée pour se recueillir, écouter la liberté, penser la paix. Est-il possible d’arrêter le bruit de nos sociétés pendant une journée ?
Un jour où l’humanité revient à son unité, à sa fraternité, où il est le temps du deuil. L’incompréhensible cruauté, ce sont des hommes qui ont commis un massacre. L’être humain pouvant à l’intérieur de nos sociétés exprimer le pire. L’humain se trompe de chemin, creuse en lui le néant, et l’amour pleure infiniment.
Aimer, ne faisons pas de ce verbe l’impossible quand le monde le chante, n’est que l’éclat de sa beauté. Nos civilisations ont accepté la violence, la guerre bâtissant les frontières, les royaumes, et elles sont devenues les cathédrales éphémères à la dualité entre la lumière et l’obscurité, chantant l’espérance, et l’espoir coulant, devenant le fil disparaissant, cette fumée d’encens s’évanouissant, laissant les engagements pour l’universalité de la fraternité aux reflets des vitraux brillants de lumière, consolant une humanité en peine.
Et, demain, les pages des guerres s’écriront. Le nombre de morts, les bilans des guerres. Le drame de l’humanité est venu le jour où un homme a tué son frère. Tout est-il déjà fini ? Pouvons-nous croire à l’universalité de la paix, à ces jours d’avenir au verbe aimer.

La paix au désert de pierres
La nuit, le jour ne se lève pas. L’obscurité, l’humanité plongée dans le chaos, un écroulement civilisationnel, la guerre inonde les vertes vallées, l’espérance noyée, un torrent de chagrin, les mots qui ne veulent pas s’écrire, quitte la feuille, la préfère blanche, être juste une seconde avant.
La mort, des enfants décapités, des enfants brûlés, des familles périssant dans leur maison. Le kibboutz de Kfar Aza détruit par la haine des terroristes du Hamas, et leur corps gisant au sol. La mort, les journalistes conduit mardi 10 octobre sur les lieux du massacre par le Tsahal ont été témoins de scènes apocalyptiques.
Selon la presse internationale, « au moins 40 bébés » ont été assassinés par la Hamas. Des enfants, le précieux, l’innocence, la pureté, « au moins 40 bébés », dont certains ont été décapités, sont morts. La colombe sombrant, la vie massacrée, la terreur écrasant toute espérance, brisant la paix.
Les conséquences seront pour le monde incalculables, notre humanité porte cette blessure, rien n’ôtera la douleur et la mémoire dira : n’oubliez pas.
Il a été aussi en Ukraine, le massacre de Boutcha, alors que les forces russes occupaient la ville. Les corps de civils au milieu des rues. En mars 2022, la communauté internationale découvrait l’horreur.
L’humanité prisonnière de la cruauté, nos âmes aux douleurs des guerres, des actes cruels. Les maisons brûlées, je repense à Oradour-sur-Glane, et les mots ne suffiront pas. Le silence, le recueillement, vivre en sincérité la prière nous traversant, vibrant en nous, l’émotion pure, la vie face à la vie, elle se relevant par l’amour.
Le silence et les larmes, le plus précieux, les enfants, la démence d’hommes tuant leur propre humanité en portant la mort, en abattant l’innocent. Ils ont tué la paix du monde.
Une colombe sombrant, il faut que nous ayons la force de marcher pour elle, la paix. Les peuples unis, les peuples arrêtant le bruit de nos sociétés, les peuples recueillis, la paix a besoin que nous soyons son corps, son cœur, l’esprit de son expression.
Le 10 octobre 2023, notre mémoire collective porte cette date comme étant celle du massacre d’innocents, de civils en Israël.
La guerre s’enchaîne à la violence et chaque minute signifie pour des civils la peur de perdre la vie. Le terrorisme sème la terreur, et les jours s’écoulent en douleur.
Des enfants grandissent au milieu de la guerre de la faim, la pauvreté, et voient l’autre guerre détruire leur maison, leur école, leurs espoirs. L’espoir qui reprend force dans leur cœur si puissant, aimant si fort la vie, possédant cette richesse infinie, le souffle du pardon. Des enfants dans leur innocence pardonnent au monde, aux adultes les ayant trahis, ayant oublié de les aimer, les ayant abandonnés dans le chaos de la violence. Ils pardonnent pour vivre, pour donner à la vie tout leur être car il est toute la liberté dont notre monde a besoin pour perdurer.
Si chaque printemps vient année après année, c’est parce que le cœur pur des enfants pardonne.

La paix est le pardon que la vie accorde à l’humanité
On ne peut que constater que d’écrire pour la paix, celle universelle et durable, est chose vaine, est compris comme quelque chose de peu important.
Un monde au bord de la rupture, des enfants victimes de guerre, des conflits éclatant jour après jour et l’indifférence d’une société acharnée au monde industriel, la machine avant l’être, c’est déjà.
L’atroce de la guerre, des enfants, une jeunesse magnifique de paix tombant en Israël, en Palestine, au Soudan, en Ukraine, en Afghanistan, un monde politique dévastateur, détruisant sans répit, attaché au marchand et à la guerre, faisant l’industrie de l’armement, les marchands d’armes comblés et la paix assoiffée, blessée en plein désert.
Espérer les Marches pour la Paix, des peuples unis se levant pour vivre, l’espérance en faible lueur, elles ont été à Tel Aviv, et aujourd’hui coulent dans l’empreinte de leur pas, le sang des victimes civiles, de femmes, d’enfants, de jeunes, de vieillards, d’hommes, n’ayant qu’un nom : humanité.
Les Marches pour la Paix, le mercredi 4 octobre 2023, des femmes d’Israël et de Palestine ont uni le mouvement israélien « Women Wage Peace » et le mouvement palestinien « Women of the Sun » pour exiger de mettre fin au cycle de l’effusion de sang et pour promouvoir « l’appel des mères » élaboré en commun et appelant les peuples des deux nations à se joindre à l’appel et à soutenir la résolution du conflit.
La réconciliation, un message puissant de paix rassemblant des femmes palestiniennes et israéliennes, a été le 4 octobre, avant que le Hamas brise tout en attaquant des civils, toute une jeunesse réunie pour une rave-party, et faisant basculer le 7 octobre 2023 dans la terreur, la cruauté de l’injuste.
Le message de milliers de femmes du mouvement palestinien et du mouvement israélien a été le 4 octobre pour un avenir en paix pour tous, pour les enfants, pour qu’ils ne grandissent pas dans la haine, l’esprit de vengeance, mais dans la réconciliation.
« Nous, mères palestiniennes et israéliennes, sommes déterminées à mettre fin aux cercle vicieux de l’effusion de sang et à changer la réalité du conflit difficile entre les deux nations, pour le bien de nos enfants ».
Aimer nos enfants, leur offrir le bonheur de la liberté, prendre soin de leur vie en leur donnant la joie de la paix, leur accorder ce droit de croire, à la confiance, en un avenir libre s’inspirant de mères marchant ensemble pour la paix, pour le droit de marcher partout dans le monde en toute sécurité.
Un monde fraternel, parce que les femmes auront été écoutées, auront le droit de concevoir un futur de possibilités, où la paix sera une évidence. La paix n’est pas une utopie, elle coule dans nos veines. Elle est limpide, coule de source, nous permet de respirer, à notre cœur de battre, elle est le présent en nous, la naissance renouvelée chaque jour.
Notre civilisation manque du primordial : laisser vivre les femmes, les mères en paix et sécurité, libres !
Nos sociétés ont accepté la violence, la barbarie à l’égard de millions de femmes à travers le monde. Les systèmes financiers faisant basculer des femmes, des mères dans la pauvreté, sans que les dirigeants œuvrent de toutes leurs forces à changer un monde d’injustices en un monde de justice et accordant ainsi à la paix d’être cette eau fertile au sein de nos pays, communautés.
« La paix ne sera possible que lorsque des femmes intègres et pleines d’espoir défendront leur droit de prendre soin de l’avenir de leurs enfants », a déclaré Leymah Gbowee, co-récipiendaire du prix Nobel de la paix 2011.
Les extrêmes droites, les extrêmes religieux ont semé la haine, la terre malade, en détresse, se fait poussière sans que toute la société du mondialisme cesse le bruit contre la liberté.
Rien n’arrête la machine et la seule chose que fera la croissance économique propulsée par un système prédateur, c’est de peupler les cimetières.
Qui pleure aujourd’hui en Israël , en Palestine ?
Des enfants subissant des bombardements, des enfants subissant les attaques terroristes du Hamas, des mères et leurs enfants blessés, l’humanité enterrant un enfant sous le poids de la guerre.
Des dirigeants élèvent leur voix quand jamais ils n’ont donné leur force pour la paix, la liberté. Un appauvrissement majeur des populations vulnérables, des enfants déplacés, l’effondrement civilisationnel avance, et le pouvoir financier international injuste, obsolète continue sa course.
Les dirigeants continuent un système prédateur mettant la nature et l’humain en souffrance, l’irresponsabilité de décennies de politiques regardant le déséquilibre qu’ils provoquent s’aggraver. La croissance économique est une dette envers le vivant. Les enfants ont besoin de grandir par ce qui sauve et non par ce qui détruit. Il est urgent de changer profondément nos sociétés, de sortir du déni, d’arrêter la machine infernale qu’entraîne la politique sans conscience, sans envie de réconciliation, d’une paix libre et vivante.
Les comptes bancaires ne sauveront personne. La liberté source de vie, qui seule le peut, est invisible, effacée par les pouvoirs.
Être un enfant sous les pluies d’obus, où que cela soit dans le monde, c’est terrifiant, une brutalité sans limite renversant sous ses yeux le sablier où s’écoule ce temps où sa vie est menacée et il sait qu’il ne peut se sauver, se protéger.
Aucun pays n’est la démocratie. Et, là où les bombardements ne pleuvent pas, ils appellent l’industrie de l’armement, le fleuron.
Cet enfant pleurant au milieu des poussières, des pierres, quand en un instant fulgurant tout s’écroule, qu’il est devenu en une fraction de seconde, un orphelin. Une bombe a enseveli sa famille, l’humanité.
Des mères pleurent leur enfant tués par le Hamas, des mères en souffrance partout dans le monde, des mères sous les décombres, des mères fuyant avec leurs enfants, des mères israéliennes, des mères palestiniennes et hier la paix était cette colombe posée dans le jardin des réconciliations, de la paix possible nous donnant l’espérance, son souffle vital.
Tout s’écroule et la colombe étendue au sol, les peuples auront-ils la force de la relever, de lui donner une nouvelle naissance ?
Quand notre humanité coule à pic, la vengeance peut-elle être la réponse ?
La paix, aujourd’hui à travers le monde, quelle est son espérance de vie ? Les enfants sont précieux, sont citoyens du monde. Les enfants d’Israël et les enfants de Palestine sont ces vies belles et innocentes.
Les paroles du pape François font sens et il lance un appel à la paix entre Israéliens et Palestiniens ce mercredi 11 octobre. Peut-il être enfermés des enfants, des femmes, tout un peuple dans Gaza sans eau, sans nourriture, démunis de tout.
« Ceux qui sont attaqués ont le droit de se défendre mais je suis très préoccupé par le siège total que subissent les Palestiniens à Gaza, où l’on dénombre également de nombreuses victimes innocentes » a déclaré le pape François. Ajoutant, « le terrorisme et l’extrémisme ne contribuent pas à trouver une solution au conflit entre Israéliens et Palestiniens, mais alimentent la haine, la violence et la vengeance, et ne font que faire souffrir les uns et les autres. Le Proche-Orient n’a pas besoin de guerre mais de paix, une paix fondée sur la justice, le dialogue et le courage de la fraternité ».
Le courage d’être dans la fraternité, les enfants se donnant la main, grandissant ensemble, regardant un même soleil, la paix. Les dirigeants, les peuples devront dépasser la terrible douleur d’avoir perdu des frères, des enfants, devront vaincre l’impossible, pour donner aux enfants le droit à un avenir viable.
La guerre interdite tout entière, le Hamas condamné, la justice doit être présente. La justice doit aussi condamner la pauvreté, les inégalités pour donner à la paix une longue vie.
Actuellement, plus de 400 000 personnes sont privées d’eau dans la ville de Gaza. Par ailleurs, le ministère des Travaux publics et du logement de Gaza, indique que 790 logements ont été détruits et que 5 330 ont été gravement touchés par les bombardements.
Par ailleurs, le bureau de l’UNRWA à Gaza a subi des dommages collatéraux à la suite des frappes aériennes dans la zone de Rimal, au centre de la ville de Gaza. L’ONU annonce qu’au total depuis le 7 octobre, 18 installations de l’agence onusienne ont été touchées. Le personnel national et international est présent sur le site du bureau de l’UNRWA.
L’UNRWA a annoncé que depuis le 7 octobre, deux membres du personnel et cinq étudiants ont été tués lors des frappes aériennes à Gaza.
Aujourd’hui, ce sont plus de 137 000 personnes qui ont trouvé refuge dans les plus de 80 écoles de l’UNRWA, Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine au Proche Orient.
Un bilan dramatique depuis le début de la guerre
Israël – un bilan au 11 octobre enregistre plus de 1 200 morts et plus de 2 800 blessés, selon l’armée.
Le massacre perpétué par le Hamas dans le kibboutz de Kfar Aza se situant à 2 kilomètres de la Bande de Gaza, a fait selon des militaires israéliens plus d’une centaines de victimes civiles.
Militaires israéliens – 169 soldats israéliens ont été tués lors des combats contre le Hamas, a annoncé à la presse, Daniel Hagari, porte-parole de l’armée.
Les combats se poursuivent en ce moment, annonce Daniel Hagari sur le réseau Twitter / X. « Tsahal poursuit ses vastes vagues d’attaques dans la bande de Gaza ». Il indique également que « des avions de chasse ont récemment attaqué l’Université islamique, qui constitue un important centre de pouvoir politique et militaire pour l’organisation terroriste Hamas dans la bande de Gaza. »
Le Hezbollah libanais a revendiqué mercredi 11 octobre des tirs depuis le sud du Liban contre Israël.
L’armée israélienne a effectué des bombardements en direction du sud Liban, et indique qu’un « avion du Tsahal a attaqué il y a peu un poste d’observation de l’organisation terroriste Hezbollah, en réponse à un tir antichar contre une force de Tsahal qui a eu lieu il y a peu de temps ».
Le temps pris par la guerre et ce temps devient critique pour les otages retenus par le Hamas.
Otages – Le pape François demande mercredi 11 octobre « la libération immédiate des otages »
France – Le ministère de l’Europe et des affaires étrangères a annoncé mercredi 10 octobre, le décès de deux ressortissants français, portant à quatre victimes françaises des attaques terroristes du Hamas contre Israël.
13 personnes restent disparues, et ont été probablement enlevées. Sans nouvelles d’eux, leur situation est considérée comme très inquiétante, indique le ministère.
Ce sont entre 100 à 150 otages retenus à Gaza, dont un enfant de 12 ans faisant partie des ressortissants français disparus.
États-Unis – Mardi 10 octobre, le président américain a confirmé que 14 américains ont été tués durant l’attaque du Hamas, et que d’autres ont été pris en otages par le Hamas.
Palestine – un bilan au 11 octobre de 1 055 Palestiniens tués dans la bande de Gaza et 5 184 blessés, selon le ministère palestinien de la Santé.
Le sous-secrétaire du ministère Youssef al-Rish a affirmé dans une Déclaration que « 60% des blessés sont des femmes et des enfants »
Plus de 200 000 personnes déplacées à l’intérieur de la bande de Gaza sur les 2,2 millions d’habitants à Gaza, selon l’ONU.
Fédora Hélène

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