
Déluge de souffrances – La politique brise la paix
Quand des enfants meurent sous les bombardements, les politiques réfléchissent s’il faut dire « trêve », « pause », « cessez-le-feu », ou rien finalement. Le vocabulaire plus important que la vie.
Acheminer l’aide humanitaire sous les bombardements à Gaza, quand des enfants sont piégés sous les décombres, et qu’il n’y a pas de moyens pour les sauver, c’est vrai que le mieux est de ne pas froisser gouvernements et politiques sur le choix des mots, et médias qui dans le confort analysent sur des plateaux télés la situation catastrophique.
Et, on passera sur Cnews, et Élisabeth Borne et ses 49.3, l’appauvrissement des plus vulnérables, la santé en chute libre, les vieux tontons de la politique qui coupent des arbres, plantent un système corrompu car l’argent c’est de l’air.
On respire quand on est riche ! Fini l’humiliation par la faim et le cynisme d’en rire. On est riche, on est bien !
Élisabeth Borne et son petit sourire cynique assise sur son banc à l’Assemblée nationale en disant qu’elle va réduire les inégalités de genre, quand des mères isolées sont sous le seuil de pauvreté et que du gouvernement aux politiques le message est « marche ou crève ».
La politique du « coûte que coûte » d’Emmanuel Macron qui ne s’est jamais levé le matin pour aller travailler, mais pour jouer avec le système financier international prédateur. Travailler, c’est cultiver, pas détruire. Choisir Jérôme Peyrat pour Conseiller, et tout une cour de ministres, d’autres conseillers, qui ne cultivent pas, mais qui connaissent un système d’inversion et font de la politique capable de mettre la nature en péril.
Mais tout va bien, Emmanuel Macron s’est rendu en Dordogne pour admirer un nouveau timbre avec Marianne en plante verte. La Dordogne me rappelle quelques souvenirs. Les rivières coulant douces et fraîches, celles méprisées par la politique et ses « oies blanches » comme dirait un incertain voyou de ces milieux, et filant invisibles, quand elles sont sources de vie.
Le pouvoir donnant la préférence à ce qui détruit car symbole de puissance dans une civilisation construire par les guerres.
Donc, trêve, pause, cessez-le-feu humanitaire ? Interdiction de la guerre car elle n’a aucune autre règle que de tuer. Crime de guerre, crime contre l’humanité, dans leur folie les hommes ont séquencé le verbe tuer. Ils l’ont défini en catégories donnant aux enfants des guerres que l’espoir de la poussière.

Aux larmes des enfants l’espérance se dessine en transparence
Les enfants enlevés par le Hamas, leur souffrance, leur peur, leur innocence, entendant les bombardements, la voix des terroristes les ayant enlevés, les pleurs des enfants – épuisés, fragilisés, la peine immense de leurs familles – Tous les enfants sont précieux, sont citoyens du monde, l’humanité.
Les enfants au Soudan, au Yémen, en Somalie – Les enfants souffrant de la famine – les écoles vident, les cahiers de poésie sous les pierres, ils ont disparu les pas sautillant dans les cours du ciel à la Terre des marelles, l’Ukraine et l’hiver venant dans les champs où s’élèvent en long bois noir les canons.
Il n’y aura pas de mots commençant et finissant quand la guerre prend la page. La lumière de la paix aurait pu se glisser entre les lignes, mettre l’espérance en virgule et chassant les points affirmant : c’est la guerre à point c’est tout.
Un déluge de feu inonde le ciel et la terre de Gaza, les enfants mourant sans qu’aucun puissant de ce monde puisse retenir les bombes. « Un cimetière pour enfants », Antonio Guterres pose les mots justes dans un océan politique corrompu effondrant le monde.
Ces étoiles filantes assassinent les enfants en tombant en torches brûlantes sur Gaza – l’humanité perdue regarde de loin la tristesse, le désespoir depuis les villes riches dominant par un système bancaire ruinant la paix, l’humain et la nature.
Emmanuel Macron aux discours d’oligarques milliardaires accélère un mouvement destructeur par une industrie forte de fausses promesses en faux prophètes faisant fortune avant un écroulement majeur d’une économie inventée donnant une valeur marchande à la vie.
Les travailleurs contraints dans les usines, les banques au pouvoir, les énergies fossiles exploitées jusqu’à la dernière goutte, le système creuse les tombes de populations qui subiront le manque d’eau, une pandémie de souffrances.
Gaza un « cimetière pour enfants » – les enfants couverts de poussière témoins de l’avenir se dessinant aux pleurs des larmes évanouies dans les brouillards.
La propagande de guerre cassant la liberté de penser, écroulant l’esprit, les médias aux portes des mensonges, de gouvernements aux hommes infidèles à la paix, trahissant l’humanité, plus un seul politique ne représente l’avenir, mais symbolise un effondrement civilisationnel.
L’arme et la guerre volant les mots de bonheur et n’écrivant que ceux de chagrin, de la longue ligne que je voudrais couvrir d’un arc-en-ciel. Avoir la chance d’écrire quand des enfants sont privés d’eau, des veines de la vie, et les pleurs infinis résonneront au fil de l’histoire de l’humanité.
Les enfants de Gaza oubliés par la violence politique, des Chefs d’État allant d’une manipulation à une autre, d’un sujet à l’autre, et pensant tenir le monde entre leurs mains, les continents soumis aux choix politiques et les rivières disparaissent, les arbres abattus, le désert avançant vers nos cités de pierre, la liberté disparue.
Une Journée blanche pour la paix, rideau fermé, et l’argent clos, cela ne sera jamais. Notre civilisation cloîtrée dans la folie d’un système inventé par l’homme, comme ensorcelé par le veau d’or, n’imaginera jamais la générosité de la Terre offrant chaque jour à tous le droit à la vie, qu’une économie destructrice brime.
La santé, le corps humain coté en bourse, les business plans avant la vie, cet atroce de l’argent, des pouvoirs financiers, des oligarques milliardaires soufflant aux oreilles de politiques avant la chute !
Des populations obéissent sans dire un mot, ils ont oublié leur propre vie pour un compte bancaire. La conscience universelle en deuil, la cupidité avant tout, s’enrichir de pierres et abandonner le cœur de l’humanité. Il devient inexistant, et en automates, chaque jour des millions de personnes recommencent le cycle infernal et creusent leur tombe pour un salaire donnant à peine le droit de manger, quand les oppresseurs élus démocratiquement en escrocs politiques et culturels se gavent de leurs mensonges paraissant pour vertus.
L’esprit paralysé, il faut consommer, alimenter une industrie polluant l’air, les rivières, et toute une administration en armée figée formant les murs du labyrinthe applique sans conscience, sans sensibilité, tout ordre politique injuste, obsolète. L’absurde, roi de l’empire, veille sur la citadelle des riches oubliant qu’ils sont des êtres humains, et détruisant chaque jour un peu plus l’espoir.
La notion de travail aurait pu être définie par cultiver le jardin de la vie, le protéger – mais il a érigé de l’esclavage aux trafics humains, les dominants écrasant les pauvres, l’injustice.
Le courage de la fraternité résiste comme les braises d’un feu qui s’éteint, et que l’on cherche désespérément à raviver. Le monde libéré de la politique, ce jour nouveau d’espérance qui en prière dépasse les larmes, faisant de l’humanité la tranquillité, l’alliance avec la nature, invitant le vivant à venir loger en son cœur.
Des enfants sans logement s’abritent derrière les murs effondrés, Gaza coupé du monde et l’enclave nord emprisonnée dans le bruit des bombes, des armes, au sang coulant dans les sillons de poussière, la fraternité en cendre.
Des enfants dans la rue en France, pays riche ayant abandonné la fraternité et chantant les extrêmes droites à la Gauche finissante, la démocratie en deuil, la haine sortant des sols, l’antisémitisme, l’islamophobie, les politiques courant paraître dans les médias, les réseaux sociaux leur appartenant, et noyant toute main inconnue qui se lève pour la paix.
Ils n’ont jamais lutté pour la paix, pour le bien-être de la nature, de l’humain et ils se parent de vertus aux discours manipulant le verbe, imposant leur pouvoir, dressant les injustices, rendant fort un système corrompu, posant au milieu du village le culte de la perversité narcissique, escrocs de la morale, escrocs culturels, l’orgueil pour public, voilà les politiques en maîtres du monde, et la nuit s’illumine au fracas des bombardements sur Gaza.
L’Ukraine en peine, les cimetières aussi, la guerre avance, fait le jour qui vient, sans répit, elle frappe inlassablement, et les coups de tonnerre des canons laissent leurs éclairs dans le ciel du Soudan.
D’un bout à l’autre de la Terre, la folie des hommes politiques étouffent l’espérance, le sourire radieux d’enfants dont ils volent le droit à la vie, la liberté !
Le pouvoir à la menace nucléaire, les oppresseurs élus démocratiquement par les républiques chancelantes au commerce des armes, de la machine coupant les blés au printemps, et ne laissant à l’été que l’hiver venant.
Nos larmes en drapeau flottant au vent des libertés, ce voile blanc en lueur traversant la fumée épaisse de la guerre en rage enveloppant le cimetière des enfants. Gaza, étoile unique marquant le nord en détresse, les corps effondrés, le nom des enfants écrits sur leur bras.
L’âme du monde déchirée, les images bouleversantes, et le froid immense de la politique aux tourments des hommes y sombrant comme ce bateau ivre perdu au milieu d’un océan appelant la vie en dernier trésor de notre humanité.
Les larmes coulant à l’infini des sourires d’enfant que le monde a perdu, ce soir. Les politiques ne relèveront jamais leur conscience perdue.
Gaza, des enfants grièvement blessés, souffrant de brûlures, de fractures graves, de déshydratation, démunis de tout, un cessez-le-feu immédiat rejeté, et si peu défendu par la communauté des puissants, des pseudos élites, gouvernements, continuant à faire tourner la machine infernale de l’économie appauvrissant les plus vulnérables et la nature.
La politique a montré toute la tristesse de son visage se dessinant par les traits de l’indifférence cruelle, des manipulations en discours, des promesses cupides, de la propagande au système financier injuste, sans promesse d’universalité de fraternité.
Les politiques ont choisi ce qui n’existe pas, le virtuel des profits, de l’argent et des pouvoirs et ils ont abandonné la vie et sa liberté, pensant fabriquer leur refuge tapissé de milliards de dollars, ayant compris que l’effondrement est inévitable.
Gaza – les enfants en grande souffrance, un peuple traumatisé que des puissants veulent perdre, rendre fou de douleurs.
Ce crime : la guerre, un génocide sous les regards se détournant et pas une minute de silence pour la paix dans les assemblées politiques, pas un jour de recueillement, pas un jour pour s’arrêter et réfléchir au sens de la vie.
Organiser une Journée blanche pour la paix ! Les Marches pour la Paix.
Rideaux fermés, villes au silence du vacarme des systèmes
Exiger un cessez-le-feu humanitaire immédiat pour Gaza – la libération de tous les otages. La protection des civils dans Gaza, des écoles de l’ONU, des hôpitaux qui sont des sanctuaires, protéger des enfants en grande vulnérabilité qui ont un besoin urgent d’une aide humanitaire de grande ampleur.
Les hôpitaux ont un besoin urgent de carburant pour fonctionner et sauver des vies.
Plus de 420 enfants tués ou blessés chaque jour à Gaza – UNICEF.
Des bébés meurent de déshydratation. Sans eau, c’est la mort. Des enfants ont leurs droits humains bafoués – privés d’eau, de nourriture, de logement. Plus d’un millier d’enfants sont sous les décombres sans la possibilité de les secourir.
Des enfants grièvement blessés ne pouvant bénéficier de soins médicaux adaptés par manque de fournitures médicales, difficultés d’accéder à un hôpital. Des enfants souffrent de brûlures, de fractures, de traumatismes aiguës, de chocs émotionnels.

Où est l’humanité, sa sensibilité, la conscience universelle ?

Un effondrement civilisationnel est sous nos yeux. Le temps est venu de choisir l’universalité de la paix, de mettre fin à un système financier international corrompu, injuste, qui détruit, alimente les guerres, invente la dette, crée l’extrême pauvreté, accélère un bouleversement climatique par la pollution industrielle, l’exploitation jusqu’au bout des énergies fossiles. Ce qui est appelé les « bombes climatiques ».
Notre humanité est assise sur une bombe que l’homme a créée.
Les fortes tensions, rapports de force extrêmes mettent de nouveau la menace nucléaire au cœur des guerres.
Le monde a besoin de vie pour vivre ! La valeur suprême de la vie subit le terrifiant de l’effacement par des oppresseurs brisant le sens même de notre humanité, son existence par le verbe aimer pour vivre.
Des hommes sont assez fous pour vouloir faire du néant, qui est une notion inventée par l’homme, une réalité. Et, sa réalité se nomme le chaos se déclenchant par l’extrême violence envers l’humain et la nature.
La vie a besoin de vie ! Elle a besoin de toute sa liberté.
Fédora Hélène

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