Dimanche – Je marche pour la paix universelle

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Marche pour la paix universelle

Tous les enfants sont précieux, sont citoyens du monde, sont l’humanité

La marche politique aux polémiques des salons politiques tapissés d’hypocrisie. 

Il était une fois la politique de violences et ses hommes – Philippe Palat « journaliste », escroc, celui que des articles citent comme étant une « barbouze » au fort de cercles politiques et médiatiques dans les années 90, est celui à la violence raciste et antisémite, ayant été à l’extrême droite, courtisant de près le FN.

Lui manipulant odieusement, agressant sans répit et brisant une vie.

Faut-il pour savoir avoir subis ? 

La sensibilité devrait être l’attention portée aux autres, prendre soin des uns et des autres. 

L’antisémitisme qui ne dérange pas le politique quand il est envers ceux oubliés, ne servant ni les manipulations, ni les intérêts politiques. 

Les amis politiques de Philippe Palat en notables de salons mondains à la bonne droite si faussement vertueuse se fichent bien de son extrême violence et malhonnêteté comme ils ont toujours observé une indifférence sinistre envers une mère et ses enfants subissant sa violence inouïe. 

Si ceux-là ont l’intention de marcher dimanche, qu’ils regardent en premier leur conscience qu’ils ont oublié. 

Des politiques jamais choqués par les interdictions de manifester, par les violences policières présentes dès 2016 lors des manifestations contre la loi travail, le socialisme caviar – des politiques ne reconnaissant pas les rapports du Défenseur des droits, d’ Amnesty international, de l’ ONU sur les violences politiques, le danger des LBD, et des personnes grièvement blessées, mutilées oubliées – prétendent aujourd’hui manifester contre la haine !  

La France où les politiques font leur manif en se posant en vertueux, quand des manifestants écologiques sont criminalisés, et oubliant celui qui a fait leur pouvoir, Jacques Chirac s’opposant à la politique de Netanyahu. 

L’ universalité de la paix, la sincérité ne seront pas sur les chemins politiques

Les Marches pour la Paix disant que tous les enfants sont précieux, sont citoyens du monde, sont l’humanité, ne marqueront pas les pavés de Paris. 

Les polémiques politiques quand des enfants couverts de poussière sombrent au milieu de la guerre. Ils n’auront pas la possibilité de s’exprimer, ni de savoir que nous marchons et chacun pourra choisir où il marchera. 

Loin des foules politiques, et trouvant un petit chemin de sable où la sincérité de vivre pourra prier pour l’universalité de la paix. Ces petits chemins dessinés par l’imagination de la nature, sans artifice politique et leurs mensonges inondant les réseaux sociaux leur appartenant. 

Ils y règnent seuls, et la main tendue vers la paix y reste l’inconnue. 

La droite bourgeoisie au luxe méprisant, à l’extrême droite dans leur cœur de pierre, à la Gauche perdant tout idéal, ils défileront et seront l’unique paysage médiatique. 

Au loin, à l’abri de tout ce bruit, il y aura entre les fougères, les herbes hautes, un fin rayon de soleil éclairant les âmes passant, et ressentant la paix faire battre leur cœur. 

Tout le drame qui effondre le monde

@liberterradaily

Les enfants d’Israël et de Palestine ont besoin de la paix. Ils ont besoin de grandir en sécurité. Ils ont besoin d’un ciel dégagé, les haines disparues, anéanties, et aujourd’hui l’espérance écroulée. Dans une déclaration, le commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, indique que le nombre de blessés augmente d’heure en heure. L’aide humanitaire arrive sous le feu incessant des bombardements. 

Marcher un dimanche en paix sous le ciel clément des rivages de France, quand au loin la peine, les corps blessés d’enfants tremblent de souffrance sur le sol de Gaza. Et, nous si impuissants, que les larmes devenues les mots lancés en ballons libres s’envolant et parmi les nuages, ils affrontent les orages. Et nous, inconnus, on lâche la ficelle, les cerfs-volants fabriqués de voiles blanches dessinant le vol des colombes, ce souffle un instant, la vie. 

Je ne serai pas dans les rues de Paris, me perdant en marchant sur les pavés et le bruit politique, j’ai besoin de paix pour vivre. Je ne serai pas dans la foule, sur les images, quand hier les rues se faisaient l’écho des appels à la paix. Au fil des jours, les manifestants pensant aux jours heureux, et la politique encerclant leurs espoirs ne tenant plus que par quelques mots en graffitis tracés à la craie sur les murs et la pluie évanouissant la poésie de la rue. 

Les yeux aux larmes en gaz lacrymogènes, le souffle court, un jeune dans le brouillard asphyxiant, étouffant, se sentant tomber, et marchant en ne voyant plus que la fumée brûlante. La liberté à terre évanouie, les politiques aux ordres, la haine s’échappant de leur pouvoir, laissant sur le carreau, des jeunes perdus dans le chaos d’une société de violences à l’architecture des perversions politiques. 

Des personnes âgées, petits retraités, manifestant et traités sans aucun respect par les politiques ordonnant encore tout un arsenal violent du maintien de l’ordre. La droite au prestige d’un système accélérant ce qui détruit se confondant avec l’extrême droite, ne devenant qu’elle. La droite quittant ses politesses hypocrites au comptoir de leur mépris, les donneurs de leçons buvant un système corrompu, distillant la haine confisquant la liberté, la rendant prisonnière. 

Les propagandes en discours  dans des médias diffusant la haine, le racisme accepté, les fortes discriminations approuvées tant la haine garde les pouvoirs, leur assure une continuité. 

Les plus fragiles humiliés, harcelés et les puissants tenant dans leur main un jeu de cartes trichées, le battant et lançant les dés de la pauvreté. La France est devenue leur terrain de jeu, la misère se couchant avec les enfants pauvres n’ayant pas la même enfance que ceux riches, dans un pays divisant les enfants entre eux. 

La haine frappe à la porte des politiques, de leur indifférence, mépris, jouant aux dominants oubliant qu’ils sont des êtres humains et qu’ils effondrent leur frères. Oubliant que nous sommes tous humains et égaux. 

S’il est une chose à savoir, c’est que la politique abîme les hommes et les femmes qui la pratiquent sans tenir fort l’ancre de la fraternité, de la sensibilité, de la conscience de l’autre et de l’aimer. 

Un petit chemin de sable, oublié du monde politique, comme si d’un coup la Terre était libérée, comme si d’un coup « le cimetière pour enfants » creusé par les bombardements sur Gaza, devenait le jardin aux anges naissant au fond d’un cratère, un lieu de mémoire, de recueillement, des peines infinies, n’oubliant plus jamais.

photo ©️ LiberTerra

La haine, la guerre en oraison funèbre, et les enfants sombrent, tombent. Les larmes reviennent, glissent sur l’encre noire, dessinant le chemin meurtri, les cratères, les bombes, la poussière couvrant les visages d’enfants.

Dimanche, je marcherai sur le petit chemin, au loin, à l’abri de tout ce bruit, il y aura entre les fougères, les herbes hautes, un fin rayon de soleil éclairant les âmes passant, et ressentant la paix faire battre leur cœur. 

Fédora Hélène

« Je ne crois pas un mot qui sort de votre bouche.Toute votre politique consiste à provoquer les Palestiniens », Chirac s’adressant à Netanyahu. 

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