
Chaque seconde compte pour la paix – Des bombes en pluie tombent sur les enfants des guerres
Chaque seconde compte pour la paix
L’amour sera toujours vainqueur, relevant les vies innocentes blessées par la haine.La paix secourant, sauvant la vie quand plus rien ne paraît que le désespoir.
Ne craignez pas d’être impuissant, craignez de ne pas aimer.

S’il y a une phrase au-dessus des autres, c’est « Aimez-vous les uns, les autres ».
Martyriser un enfant, le plus précieux, une mère, une mère enceinte détruit la vertu de l’humanité qui est de protéger la vie.
Blesser, tuer un enfant, une mère, cela détruit le sens de vivre : aimer et cela anéantit cette phrase : « aimez-vous les uns, les autres ».
Aujourd’hui à travers le monde, des enfants, des mères, des femmes, des vieillards sont grièvement blessés, tués par la violence de dirigeants politiques concevant la guerre, et couvrant le ciel et la terre du feu intense de bombardements, et de la guerre de la faim, de l’eau.
Donner au cœur de l’humain son humanité, la valeur suprême de la vie, faire de notre corps le chemin de la paix, penser la liberté comme source de vie, épanouissement de son immensité, car la nature n’a besoin que de liberté pour naître, comme l’enfant a besoin d’elle.
À Gaza, des femmes enceintes meurent sous les bombardements intensifs, incessants. Si nous devons prier aujourd’hui, ce langage intime avec notre humanité, ce sera par la sensibilité, la conscience universelle de la paix, de la vie.
Les larmes, expression de notre humanité, devenue la voix du silence de ceux innocents abattus par la violence, par la haine, par la guerre.
Les Marches pour la Paix pour une humanité unie, réconciliée
La violence du racisme, de l’antisémitisme effondre des vies innocentes. La mémoire, âme de notre esprit, écrit de notre vie et histoire commune nous dit : n’oublie jamais.
N’oublie jamais l’amour, sa paix et liberté.
Les enfants enlevés par le Hamas, les enfants sous les bombardements, les enfants premières victimes des guerres et terrorismes.
Les enfants victimes de la barbarie nazie durant la seconde guerre mondiale, leurs mères à l’éternel chagrin, les âmes pures pleurant toujours lorsque le vent froid frappe leur visage, et qu’anges gardiens, ils soufflent à nos cœurs : aime.

Marche historique contre l’antisémitisme du 14 mai 1990
Se souvenir de la marche historique en cri du cœur contre l’antisémitisme, contre le racisme en présence de la merveilleuse Simone Veil. « Ce soir, nous sommes tous juifs, antiracistes », avait alors déclaré Pierre Bérégovoy. Ce soir et chaque jour.
No haine, no antisémitisme, no racisme. Ne pas oublier cette marche historique de 1990 emplie de dignité, une France unie, en présence de François Mitterrand et en l’absence de l’extrême droite.
No extrême droite.


Je ne voulais pas parler de guerre.
Les enfants en détresse au milieu des guerres, de la guerre de la faim aussi, possèdent la vertu de l’humanité : protéger la vie.
La France traverse une dualité : être auprès de l’humain et servir un capitalisme acharné, une économie inventée et destructrice.
Être auprès de l’humain, ce qui signifie donner à la vie sa valeur suprême, ce qu’elle est, cela est combattu par un mental l’excluant et donnant une puissance à l’industriel, à la guerre, aux politiques s’éloignant de la connaissance, faisant perdre un temps précieux pour tous, et ne servant que leurs intérêts dans une boucle stérile et rendant les autres malheureux.
M. Darmanin – faire un éclairage sur celui ayant adopté les codes d’une bourgeoisie de droite sectaire ne servant que leurs intérêts dans leur entre soi, et aujourd’hui réduit à mettre en application par la loi immigration les mensonges de l’extrême droite tant il s’est enfermé depuis 30 ans dans une boucle de pensée où l’humain n’est pas le cœur, où la mémoire par l’histoire est infériorisée.
Aujourd’hui, les réfugiés climatiques sont dans l’errance dans nos sociétés n’ayant pas établi la protection des personnes déplacées de force par le bouleversement climatique, faille du droit international humanitaire.
Notre monde change de visage sous nos yeux, nous devons tendre vers la générosité de la nature nous offrant sa protection, et l’offrir aux plus démunis, et concevoir l’humanité en citoyens du monde car c’est sa vérité.
L’humanité est une et unie, tout ce qui la divise la met en souffrance. La loi immigration est entièrement à repenser pour accueillir et non refermer les portes de la conscience universelle en établissant des dialogues de méfiance, de haine, faisant de l’autre : l’ennemi.
Le migrant est l’exclu quand celui riche sera le bienvenu. Exclure l’exilé, c’est nous exclure nous-mêmes de notre propre Terre, car nous sommes tous exilés sur Terre, tous au choix fait par notre naissance, ce mystère de naître là.
La naissance est le droit à la vie, et plus que de lutter contre l’immigration, il est nécessaire de faire tous les efforts pour rendre sa terre à chacun, comprendre l’humanité par cette définition : elle est le voyage fabuleux.
L’humain a traversé tous les continents, il apprend sa planète, la découvre chaque jour. Il est émerveillé par la grandeur de son mystère, ce miracle de la vie émergeant de l’univers, l’eau fertile, ce sang commun à nos veines, et c’est par le courage de la fraternité que notre monde doit se bâtir.
Lutter contre la violence, la haine, c’est en premier changer profondément le mental de notre civilisation fondée par la guerre, les frontières gagnées par le sang coulant et inondant les champs de bataille.
Les victoires de l’homme contre lui-même, cette dualité : la guerre fêtée comme signant la paix, la libération. Notre futur peut être celui radieux, si nos sociétés reviennent à la source de l’unité, luttant pour l’universalité de la paix, tendre vers ce progrès de l’humanité. Le progrès technologique devance le temps humain, celui de notre évolution. Par les guerres, l’humanité régresse, se perd, n’est plus l’expression de la vertu lui donnant sens : protéger la vie.
Aujourd’hui, il y a encore ces hommes pensant par la force de la violence pour régler les situations. Pensant qu’abandonner une population sans eau, ni nourriture, c’est gagner en puissance. Des politiques pensant que réduire des villes en poussière, c’est porter la solution. Gaza sous les bombardements est devenu ce « cimetière pour enfants », a déclaré Antonio Guterres.
Des hommes politiques ordonnant les guerres ignorent ce que signifie survivre, que cet état de survie est imposé par des politiques s’éloignant de l’humain et donc de la paix.
Des choix politiques qui mettent en souffrance, des lois manipulées et manipulables faites pour accuser et condamner, et éteignant la liberté de pensée, la liberté d’être en brisant un bien commun : l’esprit.
Les longs canons en longs bois noirs dessinent les campagnes, les champs de mines, hier à l’or des blés, aux jours de bonheur, puis tout s’est enfui. Il faudra attendre la main de l’homme semant de nouveau les coquelicots dans le calme de la paix.
L’humain doit être le cœur, l’humanité doit servir son devoir : protéger la vie.
L’enfant pauvre au milieu de la guerre appelle de sa voix innocente, les adultes à cesser de se séparer de leur humanité, à cesser de donner un pouvoir démesuré à quelques-uns oubliant leur conscience, oubliant l’humain.
Fédora Hélène
Bientôt sur LiberTerra le clip : Je ne voulais pas parler de guerre
Je ne voulais pas parler de guerre
Je ne voulais pas parler de guerre
Être assommée par le chagrin
Les étoiles filantes
En torches brûlantes
Tombant sur les enfants
Les cratères en cimetières
Je ne voulais pas parler de guerre
Être inondée de larmes
Mon visage tourné vers la lumière
Un champ de coquelicots
Le rouge sang aux batailles
Hier, fleurs libres
Aujourd'hui le cœur en tristesse
Le corps tremblant des enfants
Je ne voulais pas parler de guerre
Être dans la nuit de vos pays riches
Des places dansantes
J'suis en ombre dans les flaques
Des pluies d'un ciel d'orage
Au milieu des avenues
Des cœurs déserts d'adultes
Aux âmes d'argent, aux hommes
D'ivresse, de violences
Je ne voulais pas parler de guerre
Être un cerf-volant aux voiles blanches Dessinant les colombes
Au-dessus des artifices de verre
Aux reflets rouges coquelicots
Une balle en plein cœur
Ces étoiles filantes aux éclats
Des bombes lâchées au-dessus
Des enfants innocents
Je ne voulais pas parler de guerre
Je ne voulais pas
Juste vivre un peu à l'eau douce
Effacer la buée, l'air au brouillard
Coulé, touché
Les politiques tuent en plein cœur
Les mains au sang
Rouge coquelicot
Je ne voulais pas parler de guerre
Être bercée par un air chantant
La paix si jolie et mourante
Je semerai des champs coquelicots
Demain, la pluie en eau douce
En larmes d'anges sur les enfants
Demain, je poserai sur le papier
La mélodie pour un sourire
Enfant des guerres
Enfant de poussière
Je ne voulais pas parler de guerre
Fédora Hélène
Bientôt sur LiberTerra : clip - Je ne voulais pas parler de guerre.

Tous les enfants sont précieux, sont citoyens du monde, sont l’humanité.
Cessez-le-feu humanitaire immédiat

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