Je sais by Fédora Hélène – L’art s’engage – Plus de 125 féminicides déjà enregistrés en 2023

@liberterradaily

Féminisme libre pour voix de la paix – Lumière sur : art engagé, parole de liberté

Clip – Je sais by Fédora Hélène

Lutter contre les violences faites aux femmes, c’est vouloir un monde juste, vouloir vivre la liberté.

Ensemble pour la vie, ensemble pour l’élimination de la violence faite aux femmes

Les violences faites aux femmes prononcent l’injuste sentence séparant l’humanité en son corps même, brisant son cœur, y inventant l’obscurité quand elle est la lumière.

Des êtres humains font le choix d’être des agresseurs, inscrivent ce mensonge que l’homme sait tuer dont il tue, quand sa vie c’est d’aimer.

La cruauté des violences conjugales et des violences sexuelles sont un fléau pour toute l’humanité et nos sociétés l’acceptant, accepte aussi sa fin irréductible dans le chaos, dausabt de l’existence l’inachevé sans sens autre que le néant.

Le néant inventé par l’homme, son esprit formznt cet espace par sa propre destruction quand il a fait le choix de ne pas aimer.

Le sens même de la vie est la vie et plus encore de l’aimer, de la protéger et de la croire. Croire en la vie, en notre cœur qui bat, en l’air que nous respirons, au vital de l’eau et comprendre la vie dans sa définition d’infini et de multitude en toute chose.

C’est essentiel fondement place l’esprit de l’humanité en alliance avec la Terre d’une puissance inouïe, cette sphère de vie au milieu d’un univers vivant.

L’homme ne doit plus se considérer comme plus puissant que tout, mais uni à tout. Chaque être humain doit être inscrit en fraternité, et nous devons dépasser les enseignements passés nous apprenant notre humanité par la guerre, la domination des uns sur les autres, d’un homme sur une femme.

La politique ancestrale est destructrice et la religion est la première politique établissant la division en posant une hiérarchie enfermant nos civilisations dans l’incompréhensible d’hommes se voulant être Dieu, des oppresseurs élus par les peuples, et ils détruisent autant la nature, que notre humanité, comme la femme qu’il tue.

Les dirigeants politiques savent très bien qu’ils adoptent toujours la culture patriarcale car elle assure leur pouvoir. Et en conséquence, il n’est pas une réelle volonté de changement profond de nos sociétés.

Femme Voix de Liberté

@liberterradaily

Une femme n’est pas quelque chose à côté de, elle fait partie du corps de l’humanité, elle est sa source et son égalité, elle est son corps et son cœur, elle est l’humanité avec l’homme.

La continuité de nos sociétés se voulant supérieures à la nature, est destructrice et elles ne pourront lutter contre les violences faites aux femmes car elles génèrent la violence envers la Terre elle-même, sans conscience de ses actes, quand la conscience est la première connaissance, avant d’apprendre pour acsuerir un savoir.

Je sais que je suis vivant- e, que je suis la vie issue de son universalité dépassant tout connaissance possible.

Je sais que le ms fortes sont la vie, l’eau, le soleil lui-même, tout ce qui est, est la vie.

L’homme est un parmi la multitude, pas ce qui domine la multitude et le savoir acquis, la science doit être disponible pour tous. L’université doit être une porte grande ouverte, libre, sans autre condition que d’être un être humain.

Les normes créées briment la liberté, les politiques se limitent aux mensonges d’une violence inouïe inventant la pauvreté, et en logique les femmes sont les premières à subir la pauvreté à l’extrême pauvreté, y compris en France. Des femmes âgées sont dans la rue, des femmes enceintes, des femmes avec leurs enfants, des bébés sont dans la rue et c’est aussi en France. Notre société est primitive et briller par l’argent en est un signe.

Emmanuel Macron favorise un système financier international injuste, obsolète et corrompu. Il ne sait pas créer, n’a pas cette volonté et il n’est que dans la continuité de politiques qui ont conduit à l’effondrement climatique.

L’énergie est issue de la Terre, et l’industrialisation massive pour la folie de profits, de compter la valeur de la vie en une valeur d’argent, de sauver des enfants de crises humanitaires en fonction de l’argent acquis, c’est destructeur.

Sauver n’a pas une valeur d’argent, mais de vie. Comment ces politiques pourraient-ils être sincères, œuvrer pour l’élimination de la violence faite aux femmes, quand ils participent à l’accélération de ce qui détruit ?

En France, la pauvreté augmente, les conditions de vie sont toujours plus éprouvantes pour uniquement des mères isolées, leurs enfants, comme pour des personnes âgées aux faibles ressources, des femmes laissées sur le bord de la route et les politiques dans leur cynisme ont inventé les mots : insertion, exclusion – dans leur propre chaos mental, enfermés dans leur monde, considérant un être humain comme un rouage de la machine, considérant le politique comme supérieur à tout.

Si les politiques aimaient leur pays, ils n’en feraient pas la terre où en France des femmes sont violées toutes les 7 minutes, où des enfants subissent des violences sexuelles toutes les 3 minutes, où des femmes enceintes sont martyrisées par des agresseurs certains de leur impunité, où des mères sont assassinées par leur partenaire, ou ex partenaire, car il serait dit qu’un être humain, une femme, n’est pas un acquis de propriété.

Posséder un droit sur un être humain, jouer avec sa vie, décider de sa vie ou de sa mort, briser son innocence, tuer sa liberté, c’est ce que fait un agresseur, qui devient ce criminel extrêmement dangereux. Celui issu d’un système prédateur qui au sommet des États conçoit les guerres, la pauvreté, l’industrialisation du monde en bombes climatiques, et c’est l’humanité qui est assise sur la bombe qu’ils ont créée et qu’ils continuent à produire.

Comment le pouvoir pourrait-il agir efficacement, concrètement pour protéger des femmes, des mères, des enfants quand il met en place volontairement la pauvreté, les fortes inégalités, brime l’accès au savoir, impose les corruptions et accepte que le système judiciaire soit celui donnant un pouvoir démesuré à des magistrats, dont certains donnent un droit à des agresseurs.

Quand un agresseur maltraite une mère, met sa vie en danger et qu’il se balade et pire qu’il a un droit sur l’enfant. Quand des agresseurs peuvent réclamer et obtenir un droit de garde sur l’enfant qu’ils ont agressé. Est-ce qu’un magistrat accepterait de passer son week-end chez son violeur, si tel avait été le cas ?

Le système judiciaire est le chaos et il s’entrechoque avec la politique comme le fils veut tuer César. Le système judiciaire est alimenté par un système financier provoquant des drames humains, comment pourrait-il une seule seconde être la justice véritable ?

La justice ont y fait carrière et parfois fortune, comme des manipulateurs peuvent s’y glisser pour alimenter leur perversité narcissique car le pouvoir qu’ils y puisent, c’est celui de détruire une vie en un claquement de doigt. Enfermer des enfants pour du cannabis et les agresseurs sont les loups du système lâchés parmi les innocents.

Certains politiques sont des manipulateurs, des imposteurs, et quand les drogues dures sont dans les cercles politiques, de justice, médiatiques, dans toutes les sphères de pouvoir, et que l’archaïsme malveillant est à enfermer des jeunes pour du cannabis, qui devrait comme dans nombreux pays être légalisé, d’autant plus quand l’alcool tue, et qu’il est encouragé vicisieusement, rapporte des taxes.

Des établissements de soins contre les addictions sont sans moyens et la malhonnêteté politique dit lutter contre la drogue quand quelques politiques tiennent par la drogue, comme ils tiennent par leurs mensonges.

Comment pris au piège de leurs turpitudes, du pouvoir absolu, des politiques enrichis à la sueur de travaileurs et non de la leur, pourraient-ils lutter contre la violence faite aux femmes qu’ils propagent eux-mêmes par leurs choix économiques, politiques et culturels.

Des gouvernements du 19 ème siècle quand la majorité de la population était maintenue dans l’ignorance et aujourd’hui les universités se ferment de plus en plus, brisant l’égalité des chances, ne laissant qu’une cour bourgeoise acquise au pouvoir être les futurs diplômés de chaise, sans jamais se lever pour la liberté.

Les politiques élèvent une classe d’oppresseurs et d’opprimés, un autoritarisme qui est par fondement, inhumain, et sous nos yeux, ils accélèrent ainsi ce qui détruit.

L’accélération du réchauffement climatique, de la pauvreté, des violences faites aux femmes, et ce sont des femmes et des enfants victimes des guerres. Des femmes enceintes sont les pierres des bombardements à Gaza, et nous pensons vraiment être des sociétés évoluées avec des politiques élaborant le renouveau !

La Terre est une et notre humanité est une, les féminicides en France, sont l’injustice faisant trembler la Terre. Sur tous les continents, des femmes meurent par des violences conjugales, sexuelles, économiques, car des hommes se sont imposés oppresseurs et sont des voleurs de vie. Ceux aussi prenant place dans tous les réseaux de pouvoir.

Le fascisme montant en Europe, y compris en France, ne laissera aucune chance au droit à la vie de millions de femmes, dont celles mises en précarité par le système. Les violences coercitives sont par le système lui-même, par une bourgeoisie d’héritages dominante et par un bonapartisme culturel en France.

Emmanuel Macron s’imagine en Napoléon, couronné d’autorité, et dirigeant l’Europe, avant de sombrer dans un monde façonné par l’esclavage moderne pour la fortune de quelques-uns.

photo ©️ LiberTerra

Les Césars de l’histoire, la tragédie de nos mémoires collectives et traumatisées, le sang des peuples n’a que trop coulé pour fabriquer la carte de nos frontières, nos politiques autoritaires, un mondialisme de marchands et de guerre et non de solidarité.

Les femmes ne sont pas séparées du monde, lutter contre les violences faites aux femmes, c’est lutter pour l’universalité de la paix, le sens de la fraternité au cœur de politiques globales où les peuples participent aux décisions, où les femmes persécutées depuis des siècles retrouvent leur juste place. Une société reconnaissant leurs choix et décisions, leurs expériences car il s’agit de leur humanité, d’être une humanité unie.





La réconciliation essentielle pour survivre, être une humanité résiliente, cela sera possible par la fin de la pauvreté, par l’égalité de genre, car elles sont une source d’eau pure, la liberté.

Nos sociétés manquent d’amour et donc de liberté. L’ effondrement climatique nous alerte, il entraîne un effondrement civilisationnel. Mais, nous avons une chance extraordinaire, la paix. C’est aujourd’hui que son chemin devient celui de la vie. La solution est simple, y entrer, y marcher, faire corps avec la paix.

La justice véritable en don de paix, l’humanité ne l’a pas encore vécue, pourtant elle est ce cœur qui bat et nous donne vie chaque jour.

Lutter fermement contre la pauvreté, et nombreuses violences disparaîtront. Le gouvernement d’Emmanuel Macron appauvrit des femmes et des enfants. Les partis politiques sont ce même mouvement, et Emmanuel Macron finit par devenir le premier ministre de Gérard Larcher, d’oligarques milliardaires gouvernant, du FMI ordonnant, de la géopolitique toxique au point de rupture de guerres contre guerres, de la course à l’armement nucléaire et IA autonome.

À chaque enfant, à chaque femme en souffrance, leurs droits à la vie mourants, c’est un rayon éclairant la Terre qui s’éteint. C’est ce temps qui mesure l’accélération de l’effondrement.

Des politiques passéistes, la France au bord de l’implosion, glisse vers l’extrême droite en perdant toute dignité. Les politiques et médias ont cultivé 50 ans d’extrême droite, des réseaux de droites dures, comme ils ont cultivé le mental rouge-brun et brun-rouge. La politique n’a pas évolué d’un iota en 40 ans. Les arrivistes prêts à tout, en enfants pourris-gatés, en bourgeois cyniques, méprisants, à la culture du viol des années 80-90 dominent, ont placé leurs pions, et il est ce lien avec ce système bordeline et la mafia, les méthodes de barbouzes, les mensonges destructeurs pour puissance politique.

Ils jouent avec la vie, en font l’illusion, le sens de l’existence réduit à un enrichissement matériel, à la consommation permanente, à l’industrie polluante, aux bombes climatiques qui rapportent des milliards de dollars.

Comment les politiques dans leur chaos, actionnaires de ce monde industriel, pourraient-ils lutter véritablement contre les violences faites aux femmes, alors qu’ils ne cessent d’alimenter une Hydre capitaliste en cataclysme.

Déclarer les violences sexuelles et les violences conjugales qui tuent des vies innocentes, déclarer le patriarcat qui agresse, mutile, viole, maltraite, tue des femmes et des filles, excerce aussi des violences sexuelles contre des enfants, et impose à des femmes et des enfants : la pauvreté, comme constituant un crime contre l’humanité.

Condamner un système politique, économique, culturel pour condamner les agresseurs. Moins de 1 % des agresseurs condamnés en France, après des années de procédures éprouvantes pour uniquement les victimes, qui sont les témoins, et qui sont en vie par leur force.

Un agresseur tue, il ne laisse pas en vie. Si la victime est en vie, c’est par sa force de vivre. Des victimes qui parfois à bout de force et étant constamment traumatisées, déshumanisées ont leur santé épuisée, ont des pensées suicidaires, se disant que seule la mort arrêtera leurs souffrances.

Les agresseurs tuent, et peuvent revenir vers leur victime, la mettre sous emprise, une emprise qu’ils maintiennent par leur négation de la vie de leur victime et ce seront aussi ces féminicides par un ex-conjoint violent. Qu’ils soient condamnés auparavant, interdits d’approcher, ils ne respectent rien et s’alimentent constamment du système.

Soutenir un agresseur, c’est mettre une vie en danger, la société est complice et les personnes malveillantes encourageant un agresseur par leur soutien devraient avoir leur responsabilité personnelle engagée, autant que le système judiciaire et social violent envers des mères protégeant leurs enfants.

La société est violente, et le mental de prédateurs est en adéquation avec la violence, avec la perversité des lois, le système des réseaux de pouvoir auquel ils participent. Un système prédateur ne peut arrêter des prédateurs. De facto, ils sont protégés et d’autant plus quand ils ont des relations politiques. Des loups solitaires fonctionnant en réseaux pour garantir leur impunité. Des maîtres chanteurs entre eux, se tenant les uns et les autres par des décennies de leur violence.

En France, les violences conjugales et sexuelles sont en constante augmentation

Au 26 novembre 2023, le collectif de l’Inter Orga Féminicides (IOF) constitué officiellement depuis janvier 2023 et comptant cinq organisations féministes, a recensé 126 féminicides en France, soit une femme est tuée tous les deux jours.

L’ IOF définit le féminicide comme étant, « le meurtre ou suicide forcé d’une femme en raison de son genre, et ce quel que soit son âge ou les circonstances. »

Ce sont plus de 100 enfants devenus orphelins en 2023, leur mère a été tuée en raison de son genre, par l’incompréhensible cruauté d’un hommes ayant fait le choix d’être violents, d’être un prédateur décidant de la vie ou de la mort d’une femme. Une vie que les agresseurs brisent de violences en violences, celles multidimensionnelles qu’ils infligent sans répit et en tous lieux. Ils traquent leur proie et ne lui laisse plus aucun refuge. Se sentant surpuissants dans l’espace de la société, ils tuent en pleine rue. Ils agressent, violent de la même manière. La société est leur terrain de jeux, sauf que leur jouet est un être humain, une femme.

Fédora Hélène

Photo ©️ LiberTerra

Clip – je sais

©️ LiberTerra

Je sais


Je sais ta douleur

Connais tes pleurs

Sèche tes larmes

Brûlantes en adieu

Je sais c’est pas facile

Impossible aussi

Elle était ma sœur

Mon héroïne, mon idole

Il a pris ma vie

Il a pris sa vie

Tué ta mère, ma sœur

Une balle en plein cœur

Je sais notre chagrin

On dira une de plus

Elle est l’inconnue

Son nom perdu

Toi, orpheline

Ils n’ont pas écouté

Ces appels au secours

Elle priait et nous

La serrant dans nos bras

Mais, le loup plus fort

A emporté ses rêves

Les yeux fermés toujours

Ils ne l’ont pas protégée

Toi, orpheline

Tu leur avais dit

Mais l’indifférence l’a tuée

D’une autre lame

Nos douleurs à tomber

On pansera nos blessures

Un bouquet de jasmin

Sur sa tombe ce matin

Son nom inscrit sur la pierre

Oublié de leurs cœurs de pierre

Je sais, elle est une de plus

Mais, je ne veux pas

Les noms s’alignant

La vie en cendre


Je sais ta douleur

Connais tes pleurs

Sèche tes larmes

Brûlantes en adieu

Je sais c’est pas facile

Impossible aussi

Elle était ma sœur

Mon héroïne, mon idole

Il a pris ma vie

Il a pris sa vie


Je sais, je sais

Ils ne l’ont pas écoutée, aimée

L’indifférence tue aussi


Je sais ta douleur

Connais tes pleurs

Sèche tes larmes

Brûlantes en adieu

Je sais c’est pas facile

Impossible aussi

Elle était ma sœur

Mon héroïne, mon idole

Il a pris ma vie

Il a pris sa vie

Je sais, je sais


Fédora Hélène

photo ©️ LiberTerra
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