
« Quand je serre ma petite sœur dans mes bras, je sens le bonheur parcourir mon corps, me faisant oublier l’horreur de la guerre et de la destruction qui nous entoure. Je l’aime beaucoup et j’aime son odeur », a déclaré Mohammad. ©UNICEF/UNI539217/ZAGOUT 25/02/2024
Gaza – la famine, les bombardements israéliens, l’aide humanitaire bloquée par Israël, des enfants en grande souffrance, et la France participerait à l’armement d’Israël.
Révélations faites par Disclose et Marsactu exprimant sur la plateforme X que « la France fournit à Israël des pièces pour des fusils mitrailleurs utilisés à Gaza », ajoutant, « une cargaison expédiée en secret depuis Marseille, en totale contradiction avec les engagements du gouvernement français. »
Disclose explique que « la France a autorisé, fin octobre 2023, la livraison à Israël d’au moins 100 000 pièces de cartouches destinées à des fusils mitrailleurs de type Negev 5 », et déclarant, « Ces armes automatiques sont susceptibles d’être utilisées contre des civils à Gaza ».
Une révélation qui choque quand devant nos yeux viennent les images terribles des enfants blessés, mutilés, tués à Gaza lors de bombardements massifs israéliens, lors de tirs.
Gaza est devenue un cimetière, un champ de ruine et de souffrance
Ce jour, la réponse du Ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a confirmé la véracité des informations sur la livraison des pièces de munitions en Israël, indique Disclose.
Mais le ministre « assure qu’elles sont destinées à la « réexportation » vers d’autres pays ». Ce qui exclurait leur potentielle utilisation à Gaza. Disclose répondant aux déclarations de Sébastien Lecornu, « Pourtant, d’après notre enquête, aucun contrôle n’a été effectué par les services français sur place ».
Disclose rappelle que « le ministère des armées n’a cessé d’affirmer, devant le Parlement et dans les médias, que la France envoyait uniquement des composants défensifs à Israël ».
« Sébastien Lecornu a été contraint de reconnaître, mardi 26 mars, que des « bandes de munition » made in France ont bien été acheminées vers l’État hébreu, fin octobre 2023 », souligne Disclose dans ses colonnes.
Sébastien Lecornu exprimant que « la licence délivrée par l’État « ne donne pas droit à l’armée israélienne d’utiliser ces composants ». Disclose rapporte également ce propos de M. le ministre, « Notre démarche est complètement transparente, on n’a rien à cacher ».
L’industrie de l’armement, tout ce qui découle des armes, des territoires en guerre, des ventes d’armes demeurent à l’opacité du système. L’analyse peut-être par des documents précis, et le doute demeure touchant la conscience universelle et rappelle l’impuissance des citoyens face à la guerre.
« La France a autorisé la livraison en Israël de pièces pour mitrailleuses à un moment où l’État hébreu avait besoin de munitions pour mener son offensive à Gaza » a publié vendredi 29 mars Disclose sur la plateforme X.
La France en clair-obscur
La France est un pays en clair-obscur, peut-être ce reflet du monde, c’est un peu de la civilisation qui se pose dans son obscurité et sa lumière. Un pays où il y a des artisans de paix et des artisans de guerre.
La guerre, ce sont les héritiers du colonialisme qui s’est poursuivi sous d’autres formes jusqu’à nos jours. C’est la bourgeoisie indifférente enfermée dans sa folie, voulant être la noblesse au luxe des turpitudes, mensonges et violences pour devenir les dominants, la République oligarchique donnant la main au fascisme historique fondant l’ Europe.
La guerre prenant les armes de la pauvreté, mettant en scène l’argent, ne sachant pas vivre autrement, se noyant dans l’effondrement qui consiste à augmenter en valeur continuelle la virtualité de l’argent ; ce qui constitue la fortune de Bernard Arnault commandant Emmanuel Macron, 1er ministre de la cause capitaliste.
Le clair-obscur, laissant l’humain périr, l’injustice faire son lit, le déséquilibre prendre place, user de la bonne conscience pour se couvrir d’un drapeau de paix, et le déchirer en ce même temps. C’est la France livrant de l’aide humanitaire à Gaza, et ayant vendu de l’armement à Israël, selon les révélations de Disclose.
L’obscurité domine le clair, la lumière s’éteindrait-elle ? Le mensonge est destructeur et nombreux l’ont accepté.
L’humanité blessée par la guerre
La puissance de l’armée est née de l’empire, de l’homme suprême dominant l’histoire de l’humanité. Rome portée par César transperce de son glaive le présent éphémère de la politique attachée à la matrice civilisationnelle en mouvement perpétuel promettant le doute, la menace d’une guerre nucléaire pour effondrement.
L’effondrement particulier qui n’est pas la chute de l’argent et du pouvoir, mais sa vertigineuse ascension jusqu’à son ultime fin. L’arme destructrice : la politique affrontant la liberté, cette bataille infinie, l’homme créant la dimension du néant conduisant la vie à son absurde par la mort invincible. Puisque la vie n’est pas éternelle, elle meurt, et ainsi sa valeur décline aux yeux d’hommes formant volontairement leur mental à un sentiment de puissance par le commandement de la vie et de la mort d’autrui.
La guerre, emblème de puissance des États possédant le prestige de l’armée. Les inégalités dans la guerre d’un pays à l’autre entre armement nucléaire et puissance de feu.
La France est devenue le 2ème pays vendeur d’armes au monde en détrônant pour la 1ère fois, la Russie. L’opacité des ventes d’armes, le secret tenu, le ministère des armées ne manque pas à la règle du silence de tradition faisant aussi du rôle de chef de l’État, le représentant des ventes d’armes au sommet des États.
L’enrichissement par la guerre fondatrice des conquêtes, l’acquisition par la disparition d’une culture, d’une langue, d’un peuple au profit d’une puissance. La guerre domine le langage politique, et l’ONU est fragile face à cette domination. Les Nations Unies se sont constituées en confiance pour la paix entre les nations. Les dialogues de paix, le vote de résolutions pour un cessez-le-feu durable, comme le conseil de sécurité a prononcé une résolution appelant à un cessez-le-feu immédiat pendant le ramadan.
Résolution pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza

La résolution du 25 mars 2024 « exige un cessez-le-feu humanitaire immédiat pendant le mois du ramadan, qui soit respecté par toutes les parties et mène à un cessez-le-feu durable ». Elle demande aussi « la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages et la garantie d’un accès humanitaire pour répondre à leurs besoins médicaux et autres besoins humanitaires », et en insistant sur « la nécessité urgente d’étendre l’acheminement de l’aide humanitaire aux civils et de renforcer la protection des civils dans l’ensemble de la bande de Gaza ».
Les États-Unis se sont abstenus. Mais, c’est une salve d’applaudissements dans la salle du Conseil qui a accueilli l’adoption de la résolution 2728 de 2024. La Russie a déclaré regretter que le terme « permanent » concernant le cessez-le-feu ait été retiré du projet final, jugeant que d’autres mots laissent une « interprétation large » et pourraient permettre à Israël de poursuivre des bombardements, des opérations militaires. La Russie a proposé un amendement oral pour rétablir l’adjectif enlevé.
Le représentant d’Israël a dénoncé la résolution « honteuse » adoptée le 25 mars, et il a rappelé que le 7 octobre a été « le massacre le plus barbare du peuple juif depuis l’Holocauste ». Il a noté prendre acte du libellé appelant à la libération des otages et a déclaré que tant que le Hamas refusera de répondre à cette demande, « on ne pourra faire autrement que de poursuivre sur la voie militaire ». Israël répond à la résolution par la continuité de bombardements, alors que la famine est imminente dans Gaza.
L’Observateur permanent de l’État de Palestine a déclaré que pour qu’une résolution pour un cessez-le-feu à Gaza aboutisse, il aura fallu « six mois et près de 100 000 Palestiniens tués ou mutilés » et soulignant que les civils restent exposés au risque de mort, de famine, de déplacements forcés et de maladies.
Rafah, Israël se dit ce jour près à discuter avec Washington, une date de discussion doit être trouvée, alors que près d’un million de Gazaouis sont réfugiés à Rafah, et qu’Israël a menacé jusqu’à présent d’une opération militaire en dépit des appels internationaux à y renoncer.
Le Royaume-Uni a déclaré « Nous devons nous concentrer sur la manière de parvenir à une pause humanitaire immédiate en vue d’une paix durable et sans reprise des combats ». La constitution d’un nouveau gouvernement palestinien pour la Cisjordanie et Gaza, accompagnée par un programme international, et retirer la capacité au Hamas de mener des attaques contre Israël, permettrait selon le Royaume-Uni d’ouvrir un horizon politique.
Le Yémen, au nom du Groupe des États arabes, et la France ont indiqué qu’après le Ramadan, le Conseil devra établir un cessez-le-feu permanent et mettre en place des mesures en faveur du relèvement et de la stabilisation de la bande de Gaza. Par ailleurs, la France a souligné l’importance de « remettre le processus politique sur des rails », et a indiqué proposer une initiative au Conseil « dans les prochains jours ».
« La situation humanitaire à Gaza est catastrophique, il y a urgence à garantir une entrée massive d’aide face au risque imminent de famine », a indiqué le représentant de la France, ajoutant, « Israël doit ouvrir sans délai et sans condition tous les passages terrestres existants ».
La France a également souligné que « la colonisation israélienne se poursuit, et même s’accélère en Cisjordanie et la France condamne cette politique contraire au droit international », précisant que la France « ne reconnaîtra jamais l’annexion illégale de territoires ni la légalisation de colonies sauvages ».
Le représentant de la France évoque également la décision israélienne du 22 mars qui « confisque 800 hectares de terrain en Cisjordanie est inacceptable » et soulignant, « il s’agit de la plus importante confiscation de terres par Israël dans les territoires palestiniens occupés depuis les accords d’Oslo ». Concluant, « la France déplore également les déplacements forcés de communautés palestiniennes conséquences des attaques répétées des colons », affirmant « Les violences qu’ils commettent doivent cesser et leurs crimes ne doivent pas rester impunis ».
Une déclaration précise de la France s’engageant pour le respect du droit international reconnaissant la Palestine et qui s’oppose par sa clarté à l’obscurité de la livraison de produits d’armement en Israël et révélés par Disclose.
Le monde politique entre clair-obscur menace la paix exigeant la lumière absolue, la sincérité de la parole pour la réalisation, l’application du droit international humanitaire, la protection des civils, d’enfants en grande souffrance à Gaza.
L’Union interparlementaire appelle à un cessez-le-feu- immédiat à Gaza
Les dirigeants de l’UIP ont appelé mercredi 27 mars 2024, à un cessez-le-feu immédiat à Gaza lors de l’Assemblée de l’UIP. Déclarant « au nom des parlementaires du monde entier, nous appelons à un cessez-le-feu immédiat à Gaza ».
L’aggravation de la situation à Gaza pour « les femmes, des enfants et des personnes âgées qui ont été touchés par les combats », soulignant la condamnation « absolue de toute violence à l’encontre des civils » et insistant sur « la nécessité de respecter le droit humanitaire ».
La guerre l’emporte-t-elle sur la paix ? – l’ambivalence de la France
Le clair-obscur de la France, la guerre contre les pauvres et non contre la pauvreté. Le gouvernement applique une volonté politique aux conséquences dramatiques pour les plus vulnérables, les classes modestes à moyennes, promettant la précarité, le traumatisme de la pauvreté, la peur de tomber, de la rue et l’obéissance au système capitalisme par cet enchaînement de la culpabilité, de l’humiliation, et celle injuste par la faim.
L’insécurité alimentaire s’accélère en France, 37 % des Français en 2023, contre 11 % en 2015, selon l’Observatoire des Vulnérabilités Alimentaires. La guerre de la faim s’impose dans les pays riches appauvrissant les plus vulnérables, laissant en état de survie, avec la complicité de financiers, d’oligarques pensant la vie en valeur d’argent. La virtualité de la finance blesse la réalité, et ce sont des êtres humains qui basculent dans la misère.
Bruno le Maire, déjà incompétent en tant que ministre de l’agriculture avec ses pseudos diplômes qui ne valent pas un clou dont les riches bourgeois s’ornent, et aujourd’hui à l’écoute des technocrates, de la finance, des systèmes bancaires niant la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Le travail n’est plus la liberté par l’autonomie, il devient ce qui fait de l’humain le rouage de la machine, ce qui se plie aux ordres de la finance internationale, accablant l’humanité, faisant d’elle l’outil et non plus la vie.
Gabriel Attal est dans l’incapacité de diriger un pays au niveau national, européen et international. Il est issu des privilèges, ne connaît pas la vie, est au luxe de l’extrême droite caviar, est placé en pion sur l’échiquier du pouvoir et garde la citadelle.
Il amuse les foules par des discours manipulants, favorisant l’électoralisme de droite sectaire, la noblesse, les apparences cachant leurs poussières sous le tapis. Les personnes vulnérables, les chômeurs sont la cible d’une civilisation marchande et guerrière, qui revient à considérer le peuple comme une troupe, un outil de la machine qui permet l’acquisition de richesses pour une minorité, les oligarques augmentant leur fortune par l’augmentation de la pauvreté.
La politique mortifère du gouvernement enferme la population dans un labyrinthe dont elle ne peut sortir. Le peuple appartient au système, alors qu’un pays ne peut être sans le peuple, c’est son identité première. Un pays, c’est un peuple.
Le système politique en place impose l’inversion et le peuple devient l’outil et non plus la force première. C’est un retour vers la monarchie, l’instauration de l’autoritarisme dévalorisant le peuple en affaiblissant les droits humains.
La Défenseure des droits alerte sur l’affaiblissement des droits sociaux, la démocratie quittant les rivages de France. La perte de liberté, le peuple démuni d’elle, se ressent humilié, utilisé et la politique aggrave la déconsidération, l’indifférence envers le citoyen par la privation de culture.
Emmanuel Macron par la voix de Gabriel Attal accentue la privation de culture et d’art, en fait un objet élitiste, rejoint le discours de Marion Maréchal Le Pen, car ils sont issus de cette France archaïque, se coupant du monde, sauf pour l’argent, les manipulations financières entre les mains d’une minorité aggravant l’appauvrissement de populations.
Ôter la culture, c’est déshumaniser et donc mettre en souffrance. L’humanité s’éloigne de la paix universelle par ses actes de guerre contre elle-même.
L’humain se définit par ce bien commun immatériel, l’art, la culture. Dès la préhistoire, il a laissé cette empreinte au monde. Ces mains posées à jamais sur la pierre. Il signe son humanité. Elle n’est ni de riches ni de pauvres, elle est par son universalité.
Le sens de l’universalité, c’est la gratuité
Aujourd’hui, Bruno le Maire, ministre de l’économie de la guerre semble être au service d’oligarques milliardaires se frottant les mains. La France, deuxième pays vendeur d’armes au monde, détrônant la Russie pour la 1ère fois, alimenterait-elle les guerres ? Les politiques gouvernant, brassant du vent, en représentant d’oligarques qui les tiennent et les articulent, feraient-ils de la raison de la guerre la plus ignoble des cupidités ?
La finance a plus de pouvoir qu’un président placé en acteur d’une République devenant autoritaire dans le seul but de permettre à une minorité de continuer à faire fortune et à leurs héritiers de reprendre clé en main le veau d’or garanti par la mise en place d’une dictature.
Le gouvernement tient-il à s’attaquer aux droits sociaux en chassant les pauvres, en aggravant volontairement la pauvreté. La perversité du système quand la démocratie se résume à déposer un bulletin de vote pour un inconnu, après les manipulations politiques et médiatiques, et de ne plus rien faire d’autre qu’obéir à n’importe quel diktat oppresseur.
Un monde dirigé par des psychopathes, sociopathes faisant la guerre, est-ce l’avenir de l’humanité brisant la paix, tenant entre ses mains la menace d’une confrontation nucléaire ? Est-ce le choix du peuple ? Est-il celui portant les armes, allant sur les champs de bataille, de l’économie à la guerre, de la politique à César.
Le peuple n’est-il pas la paix vivante ? Vivre ensemble, favoriser la solidarité pour perdurer, la gratuité pour prospérer, protéger la nature, inscrivant son identité au-delà des frontières en citoyen du monde en alliance avec la Terre mère.
La guerre en lettre finale, la guerre de la faim, l’enfant mourant, n’est-il pas cette fin du monde, l’effondrement civilisationnel aux armes perfectionnées, et bombes massacrant, la politique de la terre brûlée n’accueillant plus que les tombes.
Gaza est devenue un enfer par les attaques militaires israéliennes
Des enfants, le plus précieux, sont grièvement blessés, mutilés, affamés, assoiffés, tués car des hommes d’une violence inouïe ont gagné le pouvoir par l’indifférence, une bourgeoisie se gavant de profits, d’industriels pensant la vie en rentabilité, des injustices devenant la violence de droit, l’absurde cupidité d’une partie de la population française faisant des extrêmes droites leur blanc chevalier et le tout en accéléré depuis les années 90.
Et, ensuite, des politiques aux peuples vont faire les JO comme si de rien n’était en chantant la paix ! Accepteraient-ils indifférents un massacre à Gaza, ce qui est dénoncé par le rapport de la rapporteuse spéciale de l’ONU, Francesca Albanese, déclarant « ils existent des motifs raisonnables de croire que le seuil indiquant qu’Israël a commis un génocide est atteint ».
Le rapport déclare « outre les atteintes directes au droit à la vie, les Palestiniens subissent également une violence structurelle et une discrimination raciale qui fait obstacle à leur plein développement », citant les paroles de Palestiniens, « j’ai peur qu’ils me tuent ».
Concernant les bombardements israéliens sur Gaza, le Rapport révèle que « les assassinats ciblés d’Israël sont effectués sans avertissement, les enfants devenant alors des « dommages collatéraux » », et soulignant que les enfants de Gaza après les attaques militaires israéliennes se trouvent dans un état de deuil : « même si on survit, la vie devient insupportable ».
Le Rapport rappelle que le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme et des commissions d’enquête indépendantes ont conclu dans des rapports qu’« Israël avait mené contre des civils palestiniens des attaques militaires qui étaient non nécessaires ou disproportionnées, et donc consécutives de privations arbitraires de la vie ».
Le Rapport indique que « l’exposition répétée à la mort et à la violence sous l’occupation israélienne est cause d’une grande détresse mentale et émotionnelle chez les enfants palestiniens ». Un adolescent du camp de réfugiés de Dheïché a déclaré, « si c’est à ça que ressemble la vie à 15 ans, je jure que la mort est plus clémente ».
Le Rapport rappelle la mort tragique de Sadil Naghiniyé, une fille de 15 ans qui a été tuée d’une balle dans la tête par un tireur embusqué israélien alors qu’elle se trouvait dans la cour de son logement, lors du retrait des forces d’occupation du camp.
Les enfants palestiniens sont en grande souffrance, et subissent une grave violation de leurs droits et de leur droit de vivre. Des enfants sacrifiés par une politique israélienne d’une extrême violence, brisant l’innocence des enfants, de femmes, de mères et déchirant la paix universelle.
Notre monde a un besoin urgent de paix et les enfants de Gaza doivent être la priorité dans une ambition de protéger la vie, le droit de vivre en paix et sécurité, de mettre fin à la guerre de la faim touchant des enfants palestiniens.
Le monde capitaliste ne porte pas la paix, et du sable surgira le dernier morceau de métal d’une arme, en témoin d’une civilisation perdue, si la puissance financière par les ventes d’armes, par l’industrie de l’armement poursuit son infernale ascension.La France est face à un choix qui déterminera son avenir entre le clair-obscur, la guerre et la paix, l’enrichissement par la pauvreté, les attaques contre les pauvres, la violence et la liberté. La clarté est l’exigence de la paix.
Fédora Hélène

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