Emmanuel Macron ne lâche pas son pouvoir face au Nouveau Front Populaire

Le 7 juillet désigne l’espoir en majorité absolue

Le Front populaire en tête a libéré un sentiment de joie, un espoir de justice, d’avancer vers le progrès des droits humains en osmose avec la nature. 

Un espoir de changement profond de la société dans sa globalité, ce qui demande un engagement politique fort et d’établir la confiance entre le peuple et la politique. 

Un Nouveau Front populaire choisi par un peuple ne voulant plus de la maltraitance politique traumatisante par une économie de guerre enrichissant les ultras riches, par les manipulations, violences policières issues de l’autoritarisme prenant place et qui échoue toujours, car il est inhumain. 

Marine Tondelier, secrétaire nationale Les Écologistes EELV, a exprimé lors d’un message depuis son bureau, « Nous sommes déterminer, oui, à gouverner », parce que la France, dit-elle, « a besoin de ce que nous avons à lui apporter pour l’apaiser, pour la protéger, pour la réparer ». Un travail, des efforts à faire ensemble, et par ce message vidéo, elle appelle à rejoindre le mouvement pour construire des futurs en paix et de prospérité. 

Justice et partage pour une nécessité d’équilibre, de bien-être, car penser à l’humain, c’est relier la politique à un bien commun universel : notre planète. La bonne santé du vivant, c’est la garantie de préserver la santé de l’humanité. 

C’est la conscience du vivant dans sa globalité donnant naissance en 2000 à l’initiative de plusieurs Organisations onusiennes, au plan international : One Health, une santé commune pour la Terre, l’humain et les animaux. (Voir article LiberTerra)

La nécessité de préserver la santé globale de la nature et de l’humain. Il est d’intégrer aux ambitions politiques le fait que l’humain a besoin pour perdurer de posséder une Terre en bonne santé, productive, et que pour cela, les engagements politiques doivent être pour préserver, protéger, respecter la biodiversité, la justice et le partage par un moyen la solidarité internationale et la lutte pour la liberté.

L’ambition politique est aujourd’hui internationale, et doit s’inscrive dans une volonté commune de préserver le vivant, de ne cesser d’affirmer les droits de la nature comme bien commun immatériel à l’humanité. 

L’air que nous respirons est le prix de la vie et ne peut être la propriété d’un État, mais il est de sa responsabilité de veiller à la préservation de la qualité de l’air, comme d’exiger des pays membres de l’ONU, le respect de l’environnement et au monde industriel d’aller au-delà de signer des engagements, mais d’agir en actes pour l’élimination des activités polluantes impactant gravement la bonne santé de l’océan. 

L’industrie constitue le centre de l’économie, l’architecture maintenant la société dans son ordre établi, et elle intensifie son régime et pouvoir au détriment du monde vivant. On pourrait imaginer la Terre devenue un désert sur lequel seraient implantés d’immenses pôles industriels maintenant une vie artificielle par l’adaptation par l’IA et l’industrie de la chimie enfermant l’humain dans ce souterrain du monde produisant une alimentation exclusivement industrielle réservée aux populations les plus riches. 

Quel sera l’autre monde privé d’eau potable pour la majorité des populations à travers le monde ? 

L’effondrement climatique est propulsé par un bouleversement planétaire capable de changer le paysage de la Terre et le fonctionnement de nos pays, cultures, renversant la configuration actuelle de la société régie par les gouvernements. L’humain est confronté à l’instable qui s’instaure au cœur des pouvoirs, car nous faisons partie du monde vivant, que nous le ressentons, que sa détresse est la nôtre. Il n’est pas l’argent comme moyen de solution comme les politiques l’imposent par un capitalisme autoritaire, il est bien autre chose, une valeur profonde humaine, aimer. 

Ce n’est pas des milliards de dollars en cascade qui vont résoudre la crise climatique, car ils proviennent de ce qui accélère la dégradation du climat, et qu’en rien l’eau sera en abondance, car l’argent coule à flots. Il faut la liberté, que l’homme sache se mettre en retrait, ne pas intervenir, et rendre à la nature son pouvoir du vivant. 

Cela implique de penser l’économie par la justice et le partage, par ne plus laisser un capitalisme nuire aux possibilités de futurs justes et prospères pour tous. 

Une volonté considérée comme utopique : la réalisation de la Déclaration universelle des droits de l’homme, des Objectifs de développement durable des Nations Unies.  

La Terre, la bonne santé du vivant, n’a pas été au cœur de la campagne des législatives donnant pouvoir à la propagande, à la violence politique par les manipulations volant ce droit à la liberté de la pensée, ce droit à la vérité que la politique confisque par le biais aussi de certaines puissances médiatiques aux intérêts financiers liés à des oligarques capitalistes. 

Marine Tondelier le rappelle au cours de sa vidéo, « Les enfants qui naissent cette année, on ne sait pas leur garantir que la planète sera encore habitable l’année de leurs 30 ans », en précisant un marqueur inquiétant, « 60 % des oiseaux des champs ont disparu en France en 40 ans ». 

Le vivant, la vie précieuse est ce qui compte et rien ne peut être sans ce cœur qui bat. 

Protéger la Terre et son cœur, l’océan, c’est l’existence de la chance universelle, celle pour chacun d’entre nous, celle de pouvoir prospérer par ce qui a donné la possibilité à l’humanité de vivre, la liberté. La liberté du vivant, c’est l’équilibre planétaire donnant à tout organisme la présence de la vie, la possibilité de se développer, de s’adapter à l’environnement, par un moyen : l’harmonie définissant le globe terrestre. La nature nous montre ce qui est à faire, l’intelligence du vivant, sa persévérance.

Le choix du peuple aurait dû se concentrer majoritairement pour avancer sur le chemin de la vie et ne pas être détourné, manipulé par des politiques de puissance et de conflits. 

On sait que le capitalisme autoritaire entraîne la mise en place de dictature, la séparation des puissances, le risque élevé de conflits, de crises humanitaires et nutritionnelles, ainsi que l’accélération de la crise climatique. 

Une nouvelle Assemblée prend place dans l’instabilité et l’espoir résistant et formé par le Nouveau Front Populaire

Groupe écologiste

Aujourd’hui, le Nouveau Front populaire a pris place à l’Assemblée nationale. Le groupe écologiste et les députés insoumis ont fait leur rentrée ce mardi 9 juillet, ainsi que plus tard dans la journée, les élus socialistes. 

Gabriel Attal, demeurant Premier ministre, constitue le groupe de La République Emmanuel Macron, devant siéger à l’Assemblée nationale. On y reconnaîtra ceux ayant usé d’un faux socialisme depuis 2017 en opportunistes pour un salaire et des privilèges, et ceux élus par les voix de la gauche pour éviter toujours plus de députés d’extrême droite. Les députés de préfectures et de salons, saluant le 49.3, l’hypocrisie redoutable dont Emmanuel Macron a besoin pour peupler ses rangs. 

Le RN est attendu demain, mais Marine le Pen sait que tout se joue sur le plan international. Le RN s’unit donc à une Europe d’extrême droite, élisant Jordan Bardella, à la présidence du groupe des « Patriotes pour l’Europe » au Parlement européen. Une formation politique de droite radicale officiellement formée le 8 juillet, et à l’initiative du Premier ministre hongrois, Viktor Orban. Un groupe politique rejoint par le parti d’extrême droite autrichien FPÖ et par l’ancien Premier ministre tchèque Andraj Badis. 

Une droite centrée contre l’immigration de manière brutale, et contre le droit à l’avortement, pour une famille dite « traditionnelle », et contre le soutien porté à l’Ukraine, notamment celui militaire. 

Un groupe politique en troisième position au Parlement européen et se plaçant devant celui de Giorgia Meloni, qui ne fait que renforcer un fascisme européen, élu, et qui pourrait perdre l’Union européenne. 

Emmanuel Macron veut se placer comme étant la droite autoritaire d’une Europe capitaliste jouant avec l’instabilité. En France, où se reproduit ce schéma des droites s’affrontant pour la 1 ère place, il a lancé la balle par des législatives anticipées et pour voir qui va la rattraper. Un jeu dangereux renforçant l’instable et augmentant les résultats de l’extrême droite qui n’oubliera pas de l’affronter pour la présidence de l’Europe, même si les accords politiques font loi, et s’accordent entre puissants courants au risque et péril de la liberté. 

Une balle qu’il s’est préparé à lance comme une « grenade » qu’il a dégoupillée, selon ses propos repris dans Le Monde « Je prépare ça depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s’en sortent.»

La manipulation est un jeu politique violent dont Emmanuel Macron aime se servir. Il joue comme le capitalisme joue avoir la virtualité de l’argent, sauf qu’il s’agit ici de la population, de femmes, d’enfants, d’hommes qui ne lui ont en rien cédé leur vie en objet.

La démocratie manipulée

La démocratie n’est pas le vainqueur des législatives, ce que prouve le silence du président de la République. Les efforts devront être forts pour la paix qui est confrontée à un bouleversement majeur par les conflits présents, une géopolitique agressive qui n’attend pas l’union des peuples, la réconciliation, mais qui prend de la division, des fractures profondes pour lancer toujours plus loin la conquête des puissances s’affrontant. 

7 juillet – l’absence de majorité absolue laisse entrevoir une coalition macroniste

Emmanuel Macron prend son temps, il a refusé la démission de son Premier ministre, Gabriel Attal, et entend décider sans rien lâcher de son pouvoir. Le ton est donné, alors que le Nouveau Front Populaire n’a pas encore désigné un candidat, mais revendique le fait que le choix du nouveau Premier ministre doit être issu du Front Populaire arrivant en tête aux élections législatives. 

Un Premier ministre issu du mouvement socialiste pourrait être nommé, mais sans obligation pour le Chef de l’État qui reste décisionnaire en la matière en absence de majorité absolue. 

Emmanuel Macron cherchant à rester le plus à droite possible, et comptant sur une Assemblée ingérable, pour que le programme du Front populaire ne soit pas voté et appliqué. 

Ce refrain du mensonge capitaliste est entretenu par Bruno le Maire qui ne supporte pas la remise en cause du système qu’il prône et qui forme sa vie politique tout entière. C’est un effondrement intellectuel pour une classe bourgeoise se comportant en nouvelle noblesse. Une haute bourgeoisie qui influence Emmanuel Macron écoutant le son de cloche de riches familles industrielles, qui tiennent par un fascisme de tradition, dormant, faisant une France de travailleurs pauvres, une classe moyenne précaire, représentant la manne salariale. Une population précaire à qui la liberté est volée, à qui ils prennent le temps de vivre, car leur liberté est confinée, soumise aux violences économiques constantes.

Le Front populaire devra alors gouverner par décret pour appliquer des mesures d’urgence comme le blocage des prix, l’augmentation du SMIC et l’abrogation de la réforme des retraites, c’est ce qui apparaîtrait à l’entrée d’un gouvernement du Front populaire, et ainsi annoncé dès le 7 juillet par Jean-Luc Mélenchon. 

Gouverner par décret – Un décret qui pourrait agir sur l’âge de la retraite, mais qui ne pourrait refonder la loi, de même pour d’autres mesures, ou le fait de ne pas publier les décrets d’application de lois macronistes, ce qui pourrait soulever un mouvement de protestation dans les autres rangs pouvant alors décider une motion de défiance. 

Emmanuel Macron tient à ne pas lâcher l’affaire et peut désigner directement un Premier ministre issu de son camp, après les Jeux olympiques et laisser en mode intérim Gabriel Attal, et son gouvernement actuel, comme la présence de Gérard Darmanin, à l’Intérieur. 

Ce dernier réélu député, teint à marquer la France à l’extrême droite bourgeoise et lorgne une possible alliance avec Edouard Philippe pour 2027. Il se positionne avec Bruno le Maire, comme étant le noyau dur, héritier du sarkozisme, en continuité d’un RPR penchant à l’extrême droite dès les années 90, alors que Gérald Darmanin était un enfant, qui veut aujourd’hui, dominer les vieux roublards lui ayant tendu la perche ministérielle, l’ambition par les manipulations politiques de la vieille école. Une politique obsolète ancrée dans les injustices qui ferait accuser un retard considérable pour le progrès humaniste en accord avec la dimension écologiste.

Gérald Darmanin, et ce qui le marque, la violence politique criminalisant de jeunes militants écologistes. C’est le terme publicitaire d’extrême droite « écoterrorisme » reprit par les faux socialistes en députés marconistes, cherchant à asseoir leur carriérisme en étant sans dignité en préférant choisir une démocratie en deuil, parée de 49.3 et de violences policières pour mémoire de son exercice politique. 

Le capitalisme en force politique charmant les hommes d’intérêts et de violences aux costumes croisés, la guerre se décide toujours dans les ors et sous les pouvoirs dans l’incontestable chapelle couronnant les puissants par un suffrage manipulé. Les pouvoirs, voudraient-ils confier les milliards des systèmes bancaires à la force du peuple décidant un Nouveau Front populaire dont les acteurs politiques sont aussi des systèmes. 

La cascade des milliards aux mains de financiers oligarques, qu’il soit de la banque, de l’industrie, d’une puissance internationale, de jeux mondialistes, d’inspiration démocratique sombrant sous l’égide des Etats-Unis devant posséder un pouvoir en Union Européenne pour réclamer d’elle un engagement financier fort dans l’espace de l’OTAN, renforcé par un monde se réveillant au souffle de la guerre en Ukraine.

La Russie, la brutalité d’attaques sur des zones civiles, contre un hôpital pour enfants en Ukraine, la longue peine de ce qui en continuité attriste le monde, la guerre et elle se prononce sur les lèvres d’Emmanuel Macron calculant son approche, voyant déjà le ciel se couvrant, et tout déchirant l’espoir de paix, pendant qu’oublier, les enfants de Palestine tombent sous les bombardements israéliens, que les survivants sont continuellement déplacés de force et savent que le jour se levant pourrait être le dernier. 

Survivre dans Gaza, où il n’est plus aucun refuge pour les civils, et le monde financier et politique à son indifférence, efface de la carte, les cris et les pleurs de Palestine, sa résilience, son espérance. Les enfants de Gaza affamés, la famine est entrée dans Gaza, selon les déclarations ce mardi 9 juillet des experts de l’ONU.

Alors, que la politique triomphe dans son jeu bête et macabre, il est la souffrance d’enfants victimes de guerre, à qui les politiques ne peuvent assurer un avenir prospère sur une Terre viable, d’autant que le saccage de la paix est politique, que les ventes d’armes ont plus d’importance aux yeux de puissants, que la vie des enfants Palestiniens. Joe Biden confirme n’être pas plus respectueux de la démocratie que son adversaire Trump inspirant une extrême droite mondialiste, pendant que Biden le rejoint, droite contre droite. Le fascisme naissant à travers les puissances mondiales, devenant l’ordre dominant, et oubliant l’enfant blessé par un éclat d’obus des puissances industrielles. 

La politique s’aligne sur l’instable qu’elle a provoqué et amplifie un mouvement destructeur, quand il faut en urgence s’aligner sur un mouvement de liberté, de respect des droits de l’homme, de respiration pour apaiser le monde en plein bouillonnement climatique et sur cette onde se produit celle tremblant sous le sol des cités. 

La chance de la paix est celle universelle, et il faut qu’elle soit ce qui inspire la politique devant entrer dans l’ère de la sincérité, de la confiance, du partage et de la justice. 

Emmanuel Macron ne lâche pas l’affaire 

Emmanuel Macron savait pertinemment quel serait le résultat des législatives ne dégageant pas une majorité absolue et ce qui est détestable avec lui, c’est qu’il joue avec la population et ne sert que ses intérêts personnels en servant un système oligarchique. 

Un communiqué de presse publié ce mardi 9 juillet par le Nouveau Front Populaire rappelle que « les Français ont placé en tête le Nouveau Front Populaire et son programme », et demande à Emmanuel Macron de respecter la voix des Français qui s’est exprimée par le suffrage universel, alors que les extrêmes droites revendiquent une France à droite. 

Gérald Darmanin, suivi par la bourgeoisie bonapartiste, dont fait partie Bruno le Maire, accentue le fait que la cohabitation ne se fera pas avec LFI, et cachant sous cette interprétation le refus de nommer au gouvernement le Nouveau Front Populaire comme majoritaire, donc gouvernant. 

Emmanuel Macron pourrait uniquement choisir quelques ministres issus de l’union de la gauche et semer ainsi une division au sein même du Nouveau Front Populaire. 

Emmanuel Macron manipule les tensions et émotions, il laisse en attente volontairement et il tient à présider un 14 juillet en force politique, même s’il n’a pas de légitimité, mais il a besoin de marquer son pouvoir au niveau international, et non d’afficher sa défaite en plein conflit avec la Russie. 

Le poids de la parole du Chef de l’État serait en position de faiblesse, même s’il conserve à l’image de Mitterrand, les grands ministères dont celui de la Défense, des Affaires étrangères. Mais il ne possède pas le charisme de Mitterrand, ni les relations politiques à haut niveau qui étaient celles de Mitterrand. 

Emmanuel Macron, n’ayant pas un gouvernement fort, mais constitué de représentants du système financier, il est contraint de passer par des réseaux qu’il ne maîtrise pas directement. De plus, il n’a pas de Premier ministre existant véritablement sur le plan international. Gabriel Attal doit également prendre attache avec des personnalités politiques et financières qu’il ne peut ordonner. 

Darmanin vire déjà du côté d’Edouard Philippe, pensant rallier les droites en profitant de la chute de LR, qui voudra constituer un nouveau mouvement de droite pour 2027. Perdu dans 40 ans de mensonges, de manipulations, d’Omerta, d’affaires cachées sous le tapis, de corruptions, et attirant des arrivistes sans aucun réseau et qui tournaient en rond dans différents courants avant d’embarquer pour la macronie en calculant leur unique chance d’être élu, le bateau du pouvoir prend l’eau de toute part. 

La crise politique est leur propre chaos, et ils ont fait de la démocratie un artifice. La France de droite, celle qui chavire avec le conservatisme et dont l’unique chance de persister, ce sera de rejoindre le mouvement fasciste se développant en Europe. 

La droite est devenue un narcissisme d’investissements sans aucun respect de l’humain et de la nature sous la référence d’un Giscardisme passé. 

Emmanuel Macron ne lâche pas l’affaire, et poursuit sa volonté politique de rétablir une architecture sociétale capitaliste avec une tradition bourgeoise dominante d’avant 36, effaçant de facto le Conseil national de la Résistance. 

La France a prospéré par la bonté et le peuple ouvrier a été un pouvoir politique important se basant sur la justice et le partage. À aucun moment, les industriels sont devenus pauvres et le mythe de laisser croire que l’industrie s’écroulerait par un programme du Front populaire est issu d’un endoctrinement imposant au peuple : sans une bourgeoisie puissante, vous allez crever de faim, ne plus avoir de travail. Un chantage économique appliqué par un pouvoir dominant n’ayant pas évolué véritablement depuis le 19e siècle. 

Une bourgeoisie aussi jalouse du peuple ouvrier révolté, force de pouvoir et de liberté, et la Gauche française aurait eu la noblesse de la fraternité si elle n’avait pas été happée par la cupidité, les trahisons, s’il n’avait pas été un socialisme de cour. 

Aujourd’hui, la gauche veut voir un nouveau jour se lever par le Nouveau Front Populaire affirmant « nous le disons avec force et détermination : le Nouveau Front populaire sera fidèle à l’espoir qui s’est levé partout dans le pays ». 

La majorité absolue est alors l’espoir se levant, et Emmanuel Macron doit le reconnaître. Une mobilisation accueillant le résultat du 7 juillet dans un élan de joie, « Même sans majorité absolue, elle nous donne une immense responsabilité » déclare le Nouveau Front Populaire. 

Un élan du peuple qui obtient en réponse le silence d’Emmanuel Macron, conservant son Premier ministre, dont le maintien prolongé « pourrait sonner comme une tentative d’effacer le résultat de dimanche », souligne le Nouveau Front populaire. La possibilité de nommer un Premier ministre d’un groupe politique autre serait, « démocratiquement inacceptable », prévient le nouveau mouvement de gauche, précisant, « nous mettons solennellement en garde le président de la République contre toute tentative de détournement des institutions ». 

Le Nouveau Front populaire exprime sa détermination à gouverner et à appliquer son programme en restant fidèle à l’espoir qui les place en tête. 

Refusant les manipulations de pouvoir, les nouveaux députés de Gauche, alerte, «si le président de la République persistait à ignorer le résultat de l’élection de dimanche, cela serait une trahison de l’esprit de notre constitution et un coup de force démocratique auquel nous nous opposerions de toutes nos forces ». 

Un communiqué de presse adressé à Emmanuel Macron qui sait là encore le futur toujours plus instable qui serait sans la conduite d’une cohabitation claire avec le Nouveau Front Populaire qui n’acceptera pas d’avoir un ministre nommé par-ci par-là dans un gouvernement de coalition macroniste. 

Il est temps d’ouvrir une nouvelle ère de gouvernance en sincérité et fidélité aux droits humains en osmose avec les droits de la nature. Il est temps de lever le voile opaque de la politique autoritaire, et d’offrir aux enfants des futurs en paix possibles. 

Fédéra Hélène

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