Majorité absolue : manipulations et magouilles, la démocratie battue

Les coulisses du pouvoir : Magouilles et Corruption sur scène dans « La dissolution »

Emmanuel Macron doit dissoudre l’Assemblée après la honte de la fraude et de magouilles !

Le rouge de Yael Braun Pivet, couleur utilisée pour être en vue, et ils s’applaudissent ! Des comiques narcissiques au masque des magouilles.

Emmanuel, débordé par ses manipulations, son gouvernement de millionnaires. Vont-ils transférer leurs avoirs en Suisse ?… C’est très facile à faire.

Ils augmentent la pauvreté avec leur mentalité d’oppresseurs, leur immoralité, mensonges narcissiques, quand ils oublient de dire qu’il était très simple de baisser la forte inflation, de donner force aux droits humains en appliquant zéro taxe sur l’alimentation, les produits essentiels jusqu’aux vêtements, hors marques luxueuses dans le giron d’oligarques, comme Bernard Arnault, et en taxant à 60 % le luxe, l’immoral des milliardaires.

Ce qui a été d’ailleurs appliqué au Japon.

Bloquer les inégalités salariales en limitant les hauts salaires à un plafond, comme en finir avec des politiques magouilleurs aux cubis de champagne, de députés nantis à la buvette en comptant leurs actions bancaires …

Allez au-delà en condamnant un système soviétisant en ultra capitalisme autoritaire, cloisonné par une dictature administrative dans tout le fonctionnement du pays. Macron va expliquer l’alliance entre soviétisme et fascisme !

Nelson Mandela a déclaré : donner sa vie pour la liberté. La vie n’est que par la liberté. Si la Terre avait généré un mouvement similaire à la politique capitaliste autoritaire égale au soviétisme, la vie n’aurait jamais pu s’épanouir.

La Vie doit revenir la valeur suprême.

L’espoir est au peuple ! Il ne sera jamais à la politique

L’espoir déchu, les cris de joies, comme disparus, un bulletin de vote et l’espoir envolé, rien ne sera réalité. Le tourbillon politique a repris sans rien céder à la liberté. 

Hier revient, rien n’a changé, les Assemblées déjà tombées. On avait pourtant pensé à un peu d’humanité, de justice, de partage, mais rien ne sera dans les Assemblées. 

Un matin d’hiver, le froid, le brouillard, la misère, la sonnerie de l’usine, ils ont fait le Front Populaire, ils ont espéré, dansé. Les silhouettes, des femmes, des hommes marchant vers la porte de l’usine, les hauts murs, et le temps espérant un nouveau jour, ils y ont cru, ils ont aimé la liberté. 

Ils se sont battus pieds nus, la faim au ventre, la force au cœur, troublant le pouvoir, ils ont gagné quelques heures, juste un peu de pain, un sourire à offrir aux enfants. Détourner la pauvreté de son chemin, ils ont rêvé l’homme libre, n’être plus l’outil, quitter la chaîne, bâtir la poésie de la vie, leur âme allant vers la renaissance, avant que ne vienne l’ombre de la guerre. 

Front populaire, aux bals de joie, aux cris des luttes, les femmes dressant le poing de la fraternité, le combat à la rue, chaque matin partant à la sonnerie de l’usine, le brouillard le long des chemins, le patron en gardien des citadelles, le travail obligatoire pour un morceau de pain. 

L’air aux fumées des cheminées en cimes pointant le ciel, le paradis, peut-être un jour, les corps épuisés s’endormant et les rêves disparaissant, ils nous ont confié l’espoir à réaliser, un bulletin de vote trahi par les puissants, la République de césar, Emmanuel Macron, gardien de l’hiver, l’horloge figée sur le temps de la machine et les chaînes, un travail pour un morceau de pain. 

Le temps de la vie soumis au travail obligatoire selon l’ordre établi par des oppresseurs jamais remis en cause, élus démocratiquement entre soviétisme et fascisme. Le temps de la machine prend celui de l’humain.

L’industrie autoritaire est l’inhumanité

Inhumanité : des êtres humains enfermés durant toute une vie dans un système qui détruit la nature, et que chaque jour ils servent, laissant en héritage le désert des cœurs, l’âme tourmentée, les traumatismes blessant des enfants. 

En France, des enfants dépressifs internés dans des hôpitaux psychiatriques obsolètes, sans moyens, où la maltraitance prend l’espace, sur traumatise, laissant des blessures à vie.

Les adultes produisent un système destructeur comme l’endoctrinement leur a appris, sans protéger leurs propres enfants de l’infernale machine, d’un État oppresseur, la République des bourgeois, en continuité de l’empire. 

Votant l’extrême droite remplaçant l’autoritarisme communiste, ils suivent le joueur de flûte les emmenant se noyer au lac. Ils répètent le mot « immigration » en pensant devenir riches dans une civilisation perdue s’accrochant à la maltraitance pour gagner en puissance. 

Ils ont oublié les fers mis aux mains d’êtres humains, l’esclavagisme, la cruauté bâtissant l’histoire de l’humanité, celle de son autodestruction. 

La liberté chante dans les cultures, les révoltes grondantes, lorsque la folie consciente de la bourgeoisie, de l’ignorance dominante, impose au monde les crises humanitaires, les guerres, la famine, la pauvreté en armure des pouvoirs. 

Ils ont élu un prince, Emmanuel Macron, rejoignant l’Assemblée des puissants, maltraitant son propre peuple, les plus fragiles, en dissertant en latin son discours appris par cœur sans cœur, que reprendra en acteur comme lui, Jordan Bardella. Chacun sa phrase, sa répétition sur la scène médiatique, et les milliards se comptent, l’humain disparaît. 

Pourquoi l’humain s’enferme-t-il dans un système qui met en détresse la nature et lui-même ? 

Croire en la politique, c’est absurde, quand on ne croit pas en premier à la vie. La remplacer par quelque chose que l’on pense maîtriser, car on manipule les éléments, la vie elle-même. Ainsi, l’on finit par s’épuiser. Ce n’est pas vivre, c’est admettre un état de survie permanent dicté par le pouvoir politique, qui n’est que par le mensonge. 

La pauvreté n’est pas quelque chose qui appartient à la vie, mais à la politique. Il faudra encore bien des décennies pour que l’humanité se sépare de ce mental politique, mais comme la vie trouve toujours son chemin et que le temps est une valeur immédiate, sachons que si nous avons un futur, c’est car la chute des gouvernements est inéluctable et que l’instant a déjà amorcé cet avenir possible. 

Des générations plutôt bourgeoises se sont engouffrées dans un temps de répétition, incapables d’être créatrices. Ils vivent dans le passé, jusqu’à basculer dans un 19e siècle autoritaire. 

C’est Darmanin, ses frustrations, manipulations, violences qu’il exprime dans la politique. Des gens pris par leurs peurs, et pensant la politique en un pouvoir surdimensionné les protégeant de tout, et d’eux-mêmes. 

Emmanuel Macron provoque l’instabilité par le fil de sa vie qu’il a suspendu dans le vide. Ils s’épuisent tous à manipuler, à passer des heures à tromper les autres, à refaire les cabales monarchiques, héritées de César. Des politiques en prolongement de l’empire, les fils perdus de Rome, faisant tourner inlassablement la roue. 

Le système administratif en machine entraînant le système et toujours plus par l’IA. Il peut ne plus y avoir de gouvernement, ni d’Assemblée, ni même de citoyens que l’administration tournerait toujours. Des femmes, des enfants, des hommes y sont des numéros, leur vie est effacée. 

Ainsi, comment le vote pourrait-il avoir une valeur démocratique ? Au-delà du fait que les oligarques milliardaires ne confieront jamais leur fortune au suffrage universel, ni les politiques en marionnettes et marionnettistes faisant du peuple, l’automate. 

Les hommes ont oublié que c’est la terre qui les nourrit et la politique qui l’appauvrit. La guerre en Ukraine, c’est la guerre du blé. Soit, l’alimentation appartient à l’Occident, soit elle revient à la Russie et à la Chine, en alliance sur les routes du ventre. En réalité, les deux blocs sont pauvres, celle qui est riche, c’est la terre. 

L’Ukraine conçoit un marché avec un dominant, l’Occident, pendant que la population ukrainienne subit une crise humanitaire, comme elle se propage à travers le monde, dans l’indifférence des populations riches et de leurs politiques corrompus qu’ils élisent, car ils leur promettent des tables garnies, et la continuité de l’appauvrissement des pays en développement. Mais si la terre d’Afrique s’assèche, c’est le monde qui périra. 

La crise de l’eau, fondement du bouleversement climatique, inclue toute la sphère du globe terrestre. L’urgence n’est pas à la politique prenant le temps, elle est à la préservation de l’eau potable. 

Actuellement, entre deux et trois milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable, selon le Rapport sur les Objectifs de développement durable 2022. Un état s’aggravant en période de sécheresse, de fortes inondations rendant l’eau insalubre sur des territoires manquant d’infrastructures d’assainissement, et c’est alors près de la moitié de la population mondiale qui subit de graves pénuries d’eau potable. Une situation qui par le changement climatique et la croissance démographique va s’aggraver, explique l’Organisation Météorologique mondiale (OMM).

Une eau douce précieuse qui mérite toute l’attention des politiques devant concentrer leurs efforts sur la préservation de l’eau douce dont seulement 0,5 % est disponible et utilisable. Une eau douce rare, le changement climatique met en péril une ressource primordiale. 

Politique – Cellule du monde industriel

En 2024, pour la première fois la fortune globale des 500 plus riches français est estimée à plus de 1 200 milliards d’euros et les fortes injustices, inégalités, discriminations, et d’autant plus envers les enfants et petits-enfants de migrants, s’aggravent au compteur de l’Insee établissant en 2022 : 9,1 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. Un seuil, quant à la marche suivante les familles pauvres, les populations vulnérables souffrent de la précarité, des humiliations portées publiquement envers eux par les différents gouvernements d’Emmanuel Macron. 

Durant les vingt dernières années, les ressources de l’eau terrestre ont reculé d’un centimètre par an. Des conséquences dramatiques pour les décennies à venir que l’industrialisation accélère. 

Les manipulations politiques au service de l’industrie, cette bataille pour un système financier alimentant quelques milliardaires et une géopolitique toxique, traumatisant des territoires, leurs populations et la nature, sont absurdes, car les puissants ne danseront pas dans un désert de paradis artificiels par la virtualité de l’argent. 

Tout le monde politique s’écroule et écroule les ressources essentielles à la durabilité de l’humanité. L’humanité, ce n’est pas la survie de quelques-uns, mais de chaque être humain. Revenir à la vie, sa valeur suprême. La vie offre tout, un miracle, naître. Dans l’immensité de l’univers, naître, c’est une chance inespérée. Prendre soin de la vie, vivre sincèrement, c’est le merci que l’on peut donner à la vie. 

Préserver la nature en osmose avec l’humain. L’argent n’a aucune valeur, tout penser à partir du miracle de naître, d’une seule vie pour toute chose. C’est cela la véritable justice, croire que la vie est en toute chose, en chaque élément de la Terre à l’univers, inséparables, comme nous le sommes avec la source, la nature. C’est notre cœur qui bat, ce chemin que l’on doit suivre au rythme des battements, corps à corps avec la terre, de l’eau salée de nos larmes, à l’eau de nos veines bleues. Tout en chacun de nous respire la terre, la rosée du matin, et le temps est donné pour comprendre ce qui nous unis, nous donne vie, aimer, ce qui ne serait pas sans la liberté. 

Je ne peux aimer face à un mur, je ne peux être écoutée de lui, je ne peux être aimée contre sa pierre, je ne peux créer, être vivante, je ne suis plus un être humain face à lui, L’État est le mur et le politique sa pierre. 

L’eau se heurte contre lui, la pluie frappe et tombe sur le béton, elle s’évanouit, ne trouve pas la terre, se perd. Nous sommes l’eau, l’on se perd. 

Il faut alors abattre le mur, effondrer l’État, que les gouvernements disparaissent, les Assemblées en ruine, elles le sont déjà, et pourtant l’espoir s’est glissé contre le mur. Le bulletin dans l’urne, on a voulu y croire, quand on savait déjà la politique en tyrannie, que l’eau nous l’a dit, en détresse lançant un appel. Mais que pouvait-elle face au mur que les sociétés sont devenues, construisant encore les méga-bassines et oubliant la rareté de l’eau. 

Mega-bassines – Le soviétisme est capitaliste

Le projet des méga-bassines est absurde, nuit gravement à la bonne santé de la terre par l’équilibre de l’eau. 

La Roumanie a connu sur son territoire sous Ceausescu la politique des méga-bassines alimentant une agriculture industrielle. Ceausescu, soutenu par le giscardisme, a mis en place le projet industriel des méga-bassines. Il a transformé des terres cultivables, des rivières et lacs, en désert et il a ruiné l’économie locale de petits pêcheurs et agriculteurs. 

Un désert qui avance aux portes de Bucarest, où au 16 juillet 2024, il était durant 40 jours, 40° C à l’ombre. 

Darmanin, « écoterroriste », des politiques sont en train de détruire un patrimoine naturel inestimable, bien commun de l’humanité. Un projet financé à 70 % par l’État, donc par les impôts, quand il serait d’investir pour une agriculture en accord avec l’environnement, le respect des ressources naturelles, et ne pratiquant d’immenses étendues cultivées, des élevages intensifs, une agriculture de logiciels ordonnés par des algorithmes, les pesticides, l’illusion de prospérité louée par l’industrie de la chimie.

L’eau rare, l’eau devenue une arme politique, le jeu de multinationales, et la guerre prive des populations d’eau potable. 

Je pourrais parler des combines politiques, disserter sur l’égo de chefs de partis, sur la honte de l’Assemblée nationale, sur l’économie inventée en système prédateur, sur les lois travail iniques, sur l’esclavage moderne, l’absurde d’un homme épuisant sa vie à manipuler, que je n’aurais pas évoquer l’eau, ce qui unit et ne peut diviser, sauf à savoir si tous décident la fin de l’humanité.Pas d’eau, pas de vie. 

Emmanuel Macron – Politique manipulatrice : l’injustice au pouvoir

Emmanuel Macron, lorsque sa présidence sera terminée, ce sera un soulagement et une forte inquiétude. C’est ce que laisse ceux transformant l’espoir en désespoir. Ceux faisant de l’eau salée, les larmes aux yeux des justes, de l’innocence. 

Emmanuel Macron a augmenté la pauvreté au service de la finance, les riches ne sont riches que de l’or des pauvres. 

Emmanuel Macron joue, il a lancé un caillou dans la mare et il le regarde couler. Les partis politiques au bord de leur chute, de leurs fausses promesses, rapports de force, les socialistes en traîtres. 

Pas de Premier ministre du Nouveau Front Populaire choisi par la gauche, la politique trompant. 

Puis, ce mardi 23 juillet, le NFP propose une Première ministre, Lucie Castets, haute fonctionnaire, connue du monde politique, et ayant été candidate sur la liste du socialiste Nicolas Mayer-Rossignol. Puis, déçue par la présidence de Hollande, elle a rendu sa carte.

Elle défend la cause des fonctionnaires et déplore la baisse du nombre de fonctionnaires, profitant aux cabinets de conseils privés intervenant pour le gouvernement.

Une candidate NFP nommée, alors qu’Emmanuel Macron s’exprime à 20 heures et qu’il a décidé « la trêve politique » pendant les JO qui ne sont que géopolitiques !

Une candidature qui reste « théorique », selon un cadre socialiste.

Revenir au point de départ, l’État dominant, le socialisme, lles nouveaux centristes de droite, la bureaucratie maître du jeu en administration dirigeante, rien ne change. La bourgeoisie reste la pièce majeure du théâtre politique.

Libérer le peuple des gouvernements , fonder la démocratie qui attend de naître

Il est d’apprendre à vivre la démocratie en se séparant des gouvernements, en retrouvant la liberté, la créativité, la fraternité. 

Une démocratie directe, où le pouvoir est véritablement entre les mains des citoyens, est partagé, où les classes ouvrières ne sont plus humiliées, interdites de sortir de leur classe sociale, des quartiers populaires.

Le socialisme à son opacité, aux trahisons, forgeant la loi travail, les tromperies et manipulations d’argent. Les affaires sous Mitterrand, le capitalisme à l’honneur remplissant les portefeuilles.

La bureaucratie dominante, l’administration entraînant la machine. Il pourrait ne plus y avoir de gouvernement, qu’elle continuerait à entraîner le système dans cet immuable néant.

Le NFP cédant quelques morceaux de paix distillés par le socialisme assis dans les rangs de Macron depuis 2017. Gabriel Attal, Premier ministre du socialisme imposteur, remplacé par le socialisme du même nom.

Les législatives révèlent le labyrinthe politique – jeu dont le but est de perdre la clé de la liberté .

« Quelqu’un a perdu, et celui qui a perdu, c’est le Président de la République ». Dominique De Villepin

Emmanuel Macron ne peut pas le reconnaître, car il est pris au piège du narcissisme, d’un régime autoritaire que sa personnalité a mis en place, aidée d’autres alimentant leur propre instabilité, leurs frustrations et haines à user de ce pouvoir monarchique d’une constitution obsolète et injuste, dont on peut tirer l’austère et autoritaire interprétation. 

Des personnes privilégiées vont aller dans ce sens, après avoir profité des acquis sociaux et de l’émancipation héritée du Front populaire, du Conseil national de la Résistance et de mai 68. Des révolutions pour les droits humains, pour l’égalité, le partage, plus de justice et les femmes seront au cœur de ce progrès. Les luttes féministes avancent et investissent dans le bien commun, pour les plus fragiles et pour offrir aux enfants un chemin de vie plus juste, plus équitable et plus sûr. 

Emmanuel Macron ne peut d’ailleurs se joindre au mouvement féministe, comme les femmes qui acceptent sa politique, car elle transforme l’espoir en désespoir, et d’un acte qu’il veut être un exercice démocratique, il en fait une manipulation. La manipulation, c’est voler la liberté de penser, tromper les émotions, utiliser l’essence de l’être, c’est de la maltraitance, et le mensonge est destructeur, la manipulation est destructrice. 

La manipulation est l’art politique, et la politique est l’art de la guerre. Emmanuel Macron a le mot guerre en répétition, interprétation des événements, mettant sous emprise et tirant le négatif de tout. Une économie de guerre par un bourgeois cynique, Bruno le Maire. 

Une écologie en guerre par le terme « écoterroriste » de Darmanin, en système d’inversion. Et, les opportunistes sans dignité, se prétendant socialistes, suivent ce marasme, répètent tout de la macronie, sans laquelle, ils ne seraient pas élus députés, ou placés ministres, en cachant leurs turpitudes sous le tapis, en usant de privilèges bonapartistes et de salaires démesurés pour copier les faits et gestes d’un gouvernement, d’une bourgeoisie malsaine. 

Appauvrir des populations fragiles, les humilier publiquement, Emmanuel Macron est un faible et les conséquences de sa politique, ce sont les traumatismes qu’il impose lui et sa cour. 7 années de perdues pour les droits humains fondamentaux. Et, tout le sectaire d’une bourgeoisie excluante a augmenté. De fortes inégalités au regard autoritaire. Des décennies d’extrêmes droites, au socialisme du mensonge, de violences faites aux femmes, d’une bourgeoisie costumée à l’alcool, à la perversité narcissique, aux corruptions et barbouzes. Rien de nouveau en politique, quand certains « socialistes » sont devenus UMP, dont un ancien ministre, ayant eu besoin des réseaux de barbouze pour rester éligible. Macron, ils ont plus de 30 ans d’avance sur ses manipulations, les réseaux qu’il courtise ! 

Avancer vers la justice et le partage

Aujourd’hui, c’est le peuple qui perd. Il est important d’œuvrer pour une nouvelle civilisation, un engagement pour concevoir la gratuité, le fondamental des droits humains, et faire qu’il y est toujours moins d’État, pour créer un monde plus juste. 

Concevoir le travail par la liberté, la préservation de l’humain et de la nature. Il est primordial de sortir d’un 19e siècle inhumain et conduisant à deux guerres mondiales, où l’industrie a confirmé sa croissance par l’emprisonnant d’êtres humains dans la pauvreté, les traumatismes, la nécessité de survivre. 

Le temps appartient à la matrice. Pourquoi contraindre le salaire à des heures de travail entravant le droit de vivre ? Pourquoi exiger l’enfermement de personnes durant la majorité des jours de leur vie, quand les actionnaires en rentiers sont millionnaires depuis leur canapé, quand la corruption rend l’escroc, privilégié.Celui intégrant parfaitement le système, et gagnant car il se met hors système. 

La société en déséquilibre, conçue par l’instable, la puissance politique créant le capitalisme autoritaire, architecture du fascisme et du soviétisme. Une dictature ne possède que le sens de la maltraitance. Un système dans l’aboutissement est l’effondrement, car il est inhumain et s’attaque directement à la valeur suprême de la vie. 

Naître, un miracle qui est par une puissance incomparable, comment la vie d’un être humain pourrait-elle être limitée par un système inventé par des manipulateurs, mise en souffrance par leur violence politique, et que cela soit compris comme étant la vie ? 

Fédora Hélène

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