
À la croisée des chemins : l’urgence d’une action globale face aux conflits
Aujourd’hui, l’ONU alerte sur la présence de 55 conflits armés dans le monde. Le risque d’un embrasement régional est élevé, qu’il s’agisse de Gaza, de l’Ukraine ou de la Russie. L’Europe et le Proche-Orient sont touchés, tout comme le Soudan et le Congo. Aucun continent n’échappe à ce chaos engendré par la politique.
Nous, peuples du monde, nous devons nous unir pour promouvoir la paix universelle et construire un monde fraternel, exempt de frontières et de barbelés. Les migrants et réfugiés, souvent démunis, ainsi que la pauvreté croissante dans nos sociétés, au cœur de la crise climatique, témoignent de la nécessité d’un changement radical et urgent. Il est crucial que l’indifférence cède le pas à un engagement sincère, inspiré par la liberté et la solidarité.
Ne commençons pas le mois de septembre dans l’ombre et la froideur de l’indifférence, prolongeant le chaos de pays en pays. La vie doit triompher. La vie doit persister !

La paix a une voie : la résistance
Parfois pour parler de la nature, de la nécessité de préserver toute sa richesse, nous permettant de vivre, il suffit de regarder.
Le regard est le langage de l’ âme.
Tu verras dans un paysage une couleur particulière, que tu seras seul à percevoir, mais elle fais partie de l’ensemble partagé par tous. Sans toi, elle manquerait et rien ne pourrait être accompli.
Chaque être vivant est une couleur, et la crise climatique représente la disparition progressive de la multitude qui donne à la Terre sa vie.
Vois ta vie par le regard de ton âme. Elle est précieuse, ne la manque pas, fait d’elle ce qu’elle est, une couleur vitale dans le monde.
Quand, quelqu’un se perd dans l’obscurité, il éteint sa propre lumière, et fait alors que c’est un peu du monde qui disparaît jour après jour.
C’est cette autodestruction qui fragilise l’humanité, abîme la nature. L’âme n’attend jamais la mort, elle est pour que tu vives. Te séparer d’elle, c’est clore ton esprit, c’est cela mourir.
Il me suffit de ces quelques mots pour t’affirmer que ta vie est précieuse et que si tu te donnes à elle avec sincérité, tu rencontreras sa liberté, aimer.
Tu pourras traverser les tempêtes, les ombrages, vaincre le désespoir en tenant la corde hissant cette grande voile. Rien ne pourra atteindre ta lumière et encore moins l’éteindre. La cruauté, elle-même se heurtera à l’amour puissant, et si chacun d’entre nous voit cela, la haine disparaîtra avec son cortège de violence abattant la justice.
La maladie quittera les corps par la force de l’humanité. Elle n’est pas une fin, la vie radieuse poursuit son chemin ; l’être, ses rêves, jusqu’à son dernier souffle.
Pour croire en ce miracle, il faut croire en la vie. Protéger la nature. Faire d’elle, l’écrin. Les systèmes financiers soutenus par des politiques proclamant faire prospérer nos sociétés, alors qu’ils privilégient une industrie polluante, tout ce qui épuise le vivant, sont ces escrocs vendant le vent qu’ils ne peuvent maîtriser.
Libérer notre histoire de la politique, tirant toujours vers le bas l’aventure, revenant à sa pierre, car elle a inventé la guerre. La guerre de la faim, la pauvreté, l’esclavagisme devenu moderne, les crises humanitaires, la crise climatique et aujourd’hui, cette somme tue a Gaza, au Soudan, et jusqu’en Europe. Rien n’est épargné et du pire, la politique admire sa puissance en regardant le chaos.
Les fausses promesses de démocratie s’écroulent au cœur du désespoir que les puissants ont créé à Gaza. Les enfants en détresse, la colombe blessée, les politiques comptent l’argent des bombes foudroyant des familles entières à Gaza, brûlant gravement des enfants, détruisant sans relâche.
À quelques heures des riches sociétés, la mort, la famine gagnent, comment mentalement vont-elles s’en remettre, ces cités abandonnées au système capitaliste, aux banques maudissant le monde ?
Comment le monde va-t-il se remettre de cette indifférence ? La France, aujourd’hui, compte-t-elle les droits de l’homme comme une utopie, entre fascisme, corruptions et mensonges, des millionnaires aux milliardaires et un gouvernement fantôme décidant l’austérité pour les plus vulnérables.
Une année encore sous la colère des systèmes inégalitaires, les enfants des guerres en peine, les puissants volant l’or de la vie, et nous, on souffre encore.
Nous on souffre encore

Texte et voix : Fédora Hélène
Musique : Chiocca Beats
Clip : LiberTerra
Nous, on souffre encore
Nous, on souffre encore
Le drapeau blanc
Déchiré en douleur
Enfants de Gaza
Le regard d’espérance
Le sourire grand
Et, la terre tremble
Sous les bombes
Le feu en rage
Les visages
L’innocence
Brûlés
Nous, on souffre encore
La politique coule
Les colombes d’or
Nous, on tisse celui d’amour
De fils blanc aux couleurs
Des cœurs blessés
Des coups portés
La paix tombée
Aujourd’hui au jour
Tout se lève
De nos mains
Faisons la promesse
De fraternité
Nous, on souffre encore
Gaza, le silence,
Notre monde pleure
Récite les prières
Des océans aux rivières
Des montagnes au vent
Emportant nos larmes
Nous, on souffre encore
Pardonne-nous
De ne pas savoir marcher
Ensemble pour la paix
Pardonne-nous
De ne pas savoir écouter
Ensemble, la liberté
Nous, on souffre encore
Dans les immenses cités
De béton, de verre brisé
Abattre les frontières
Plus de guerre
Décidant la chute
Pour quel paradis
L’enfer au chaos
Le cœur de pierre
Richesses éphémères
Nous, on souffre encore
Nous, on souffre encore
Pardonne-nous
De ne pas savoir marcher
Ensemble pour la paix
Pardonne-nous
De ne pas savoir écouter
Ensemble, la liberté
Fédora Hélène

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