La nature et l’humanité : Préserver un équilibre sacré

Le temps est précieux. Il défend l’espoir. Infatigable, il avance. La monde politique l’a divisé pour servir l’industrialisation du monde, mettant les aiguilles sur la productivité aligner aux intérêts de dynasties financières, politiques, d’intérêts de réseaux, la géopolitique prise au piège des profits d’oligarques à la puissance des milliards de dollars pour ordonner le monde. 

La nature prend le temps de la vie à l’ampleur d’une énergie, la liberté. Le temps devient une dimension de vie, de futurs possibles par la productivité des ressources naturelles libres de toute emprise humaine, des activités humaines considérant leur puissance comme supérieure à la nature, et devant être privilégiées.

La nature doit s’adapter pour survivre ou bien périr. La conception de la vie perd sa valeur suprême dans un système de hautes technologies, où l’humain séparé de sa propre biologie, devient une mémoire, propriété de l’Intelligence Artificielle.

La survie de l’humanité n’est plus comprise par son existence, mais par ce qu’elle crée d’artificiel pouvant dans une dimension apocalyptique pour l’humain, être ce qui lui survit. 

Des enfants de Gaza aux rues de Paris : L’urgence d’une révolution éthique

Gaza, plongée dans le chaos par des armes dévastatrices dans le silence du monde, est particulièrement symptomatique. La barbarie de la guerre propulsée au 21^e siècle devenant l’illusion de progrès de l’humanité au devoir d’atteindre la paix universelle, s’inscrit dans une démarche géopolitique apocalyptique, cette possibilité de détruire le monde sans compassion, comme les activités industrielles sont privilégiées à la protection des ressources naturelles. 

La souffrance déchirante des enfants de Gaza, de femmes et d’hommes palestiniens, témoigne de l’urgence de l’union des peuples pour fonder la paix universelle et défaire le pouvoir politique aux mains exclusives de politiques au cœur de puissances capables de détruire la vie. Il s’agit bien de la vie qui est attaquée à Gaza.

Israël porte cette lourde charge d’un génocide à Gaza. Les enfants grandissent dans ce monde de violences, des larmes au cœur de la Palestine, et celles envahissant le 7 octobre, l’acte terroriste tuant la paix, des vies innocentes en Israël. Les âmes innocentes et blessées prises au piège de la politique dans sa dimension cruelle, sa puissance devant cesser pour laisser la paix vivre. 

Comment le monde politique pourrait-il se remettre de son indifférence, de son silence, des ventes d’armes en Israël ? 

Les discours politiques dans un contexte électoraliste, notamment aux États-Unis, ne pourront jamais affaiblir la grave responsabilité des puissants. Ils ne redonneront pas vie aux enfants partis à jamais. Ils ne consoleront pas les enfants mutilés, grièvement brûlés par les explosions, éclats d’obus, à Gaza.

Dans le monde politique, l’enfant n’est-il plus l’avenir ? Les enfants de Gaza subissent l’extrême violence, la cruauté d’une société non plus primitive, mais axée sur la construction de systèmes artificiels pour la survie d’une minorité : les plus riches. C’est-à-dire la finance internationale paralysant le monde, notamment par l’invention de la dette, par la pauvreté. 

Emmanuel Macron et la crise de la démocratie

Emmanuel Macron se plie à ce mécanisme tenant les peuples par le pouvoir absolu des financiers et politiques ayant besoin de la puissance de la finance pour exister.

La France se risque de manière inquiétante aux dérives autoritaires et militaristes amplifiées par Emmanuel Macron ne tirant sa puissance que par cet exercice, où il se sait pris au piège d’une droite dominante instaurée dans les arcanes du pouvoir par la Ve Constitution dont Macron tire l’obscur vers le haut. 

Il joue avec les faiblesses d’une partie de la population à la raison fasciste aux desseins historiques formant la monarchie absolue. Tous sont héritiers de César, de l’empire suprême à la politique de la terre brûlée. 

Emmanuel Macron met habilement la population votant pour les extrêmes droites face à ses responsabilités et rappelle que la politique est un jeu électoraliste. Il est assez fin dans un machiavélisme révélant l’archaïsme des pouvoirs, les haines politiques et compromis, l’entrisme en opacité maintenant les fortes injustices conçues par la perversité d’un mental politique patriarcal qui exclut la moitié de l’humanité, les femmes. 

La démocratie pour illusion, la France apparaît comme celle trahissant son identité de pays des droits de l’homme et laissant aux vitrines brillantes, le prestige de son nom. 

Elle, phare de l’universalisme, elle se laisse éteindre et diffuser à travers l’Europe l’empreinte de ce qui abîme la paix, blessant son âme, s’éloignant de ses valeurs humanistes et fondatrices. 

En France, la politique reste enfermée dans des systèmes archaïques, aux mains de groupes d’intérêts et dynasties politiques similaires depuis 40 ans, de corruptions en manipulations, l’apathie et la complicité des électeurs capables de placer l’extrême droite au second tour des présidentielles dans un schéma mental répétitif, de provinces fonctionnant en vase clos et renouvelant les turpitudes d’un 19e siècle persistant. 

Pendant ce temps-là, le changement climatique s’accélère et exige un changement radical de la société. 

Vers une renaissance humaniste : Appel à la solidarité et à la justice

La France a cette responsabilité d’être un phare guidant vers l’universalisme, vers la progression des droits humains, dans ce clair-obscur du monde politique dans sa globalité. Les graves ombres : celles Vichystes, celles du colonialisme, de l’esclavagisme, doivent nous confirmer la nécessité d’aller vers la lumière, vers la paix sauvant, sa force inestimable, cet invisible de l’être, autant que de l’humanité, ce bien commun immatériel, cette force de liberté.

Il y a une volonté d’espoir, toute une jeunesse tient à créer sa société, nouvelle et fondatrice de meilleur. La responsabilité des adultes, c’est de mettre fin aux murs se dressant contre la liberté, d’anéantir le système d’inversion imposant une injonction : celle du mensonge destructeur. La jeunesse écologiste est criminalisée, qualifiée d’« écoterrorisme », certains jeunes militants, défenseurs des droits sociaux, de l’environnement sont fichés S par ce que l’on nomme : La méchanceté, ce qui trompe, renverse dans l’obscurité des actions écologistes, sociales pour fonder la paix universelle, cette ambition de citoyens du monde. 

La voix de la jeunesse et des opprimés

Une jeunesse courage, dépassant les détresses et traumatismes imposés par la violence politique et sociétale que Macron par son ambiguïté a portée dangereusement vers l’autoritarisme, le militarisme, quand nous avons besoin de paix.

Faire œuvre de paix. Cela aurait dû être le devoir d’Emmanuel Macron : renforcer les droits humains fondamentaux, l’engagement pour la réalisation des Objectifs de développement durable, faire de la Déclaration des droits de l’homme, le réel et non l’utopie. Un pays prospère durablement par sa bonté. Le Conseil national de la Résistance, le Front populaire, la Commune, l’ont prouvé. Aujourd’hui, l’objectif économique doit s’aligner sur le mouvement de productivité de la nature : la gratuité. Nous devons concevoir que nous ne sommes pas sur Terre, car nous payons, mais parce que nous vivons. L’eau est cette gratuité précieuse, ce don de générosité. 

L’humain reçoit et son pouvoir, c’est de transmettre ce qu’il reçoit. La pollution de l’eau est sa trahison envers la nature. Penser dominer par l’industrialisation du monde, par ce qui conçoit que le monde animal et végétal doit s’adapter ou périr, que la technologie peut remplacer le vivant par l’artificiel et garantir la survie de l’humanité, est pure folie dans une conscience plaçant l’humain en prédateur du vivant. 

Vers une nouvelle conscience collective

Par ailleurs, nous devons prendre en compte la dimension de la conquête spatiale, de la capacité aussi d’armes capables de réaliser cette guerre dans cet espace en suite logique de la propulsion de la bombe atomique.

L’humain perd pied et s’il ne peut conquérir les profondeurs de l’océan, interne à la Terre, il se projette dans une dimension spatiale qu’il imagine, selon ses connaissances et les possibilités de son regard calculant sa compréhension de l’univers. 

L’incertitude fait la découverte, le besoin de savoir, de dépasser ce qui est acquis pour rechercher la connaissance. Les progrès très importants faits en médecine se heurtent rapidement à une limite des connaissances. L’expansion de la connaissance est accélérée et l’IA permet d’accéder à des données que l’humain ne peut calculer aussi rapidement. L’on conçoit quelque chose à partir de l’incertain, de ce que l’on ignore et cette empreinte reste marquer et le point de départ de l’intelligence humaine. 

La politique possède cette chose particulière de finir par tourner en rond dans des schémas de manipulations, où elle invente sa puissance par l’emprise et non par la connaissance. Elle s’accroche à une valeur historique des systèmes politiques, à une nécessité de domination, et elle se heurte brutalement à un futur qui ne sera pas politique. 

La chute des gouvernements est amorcée et symbolisée par un fort déséquilibre sociétal, des questions existentialistes, et par l’acquisition de l’IA par le peuple lui-même. Il persiste de fortes inégalités numériques dans un monde où la communication humaine change fondamentalement. Le journalisme de propagande prend une puissance par les investissements financiers pour une diffusion massive sur les réseaux internet, mais un contre-courant par la volonté de la liberté va prendre son essor, persister en résistance, et permettre à la pensée de respirer. 

Nous sommes au début d’une communication numérisée, et la société doit apprendre à maîtriser cet outil, que les politiques cherchent souvent à brimer, car toute création est susceptible de renverser l’ordre établi. 

L’IA par l’État conçoit une oppression par la surveillance amplifiée de la population, notamment, par les caméras IA, les algorithmes mettant en place des programmes politiques sans qu’ils ne soient décidés par le peuple. Le suffrage universel manipulé, les secrets d’État servent la puissance politique et sont pour qu’elle le demeure.

La politique est souvent comparée à une « mafia », où ils se tiennent les uns et les autres par les haines et corruptions, systèmes de perversité narcissique, oubliant qu’ils sont des êtres humains, eux-mêmes, faillibles et manipulables par la matrice du pouvoir et les dimensions géopolitiques. 

Il est essentiel de revenir à la conscience que nous sommes tous humains et égaux et que notre vie est par l’union avec la nature. Former un corps, la Terre et l’humanité. Savoir une santé globale unissant toujours nos racines à celles de l’arbre, nos veines aux courants des océans, à l’eau, source de vie, sang de la Terre. 

L’IA doit être pensée en soutien pour renforcer les solutions pour protéger la nature et l’humanité. Elle peut nous aider à sécuriser l’osmose entre nous et le vivant, d’affirmer la filiation de l’humanité, sa Terre mère. 

L’IA, elle-même, doit être préservée des graves dérives politiques, des intentions de domination de puissances contre puissances. La solidarité internationale est réduite par la conception de la guerre. 

Notre monde face à une réalité, ce qui détruit ne sauve pas, regarder ce qui détruit à Gaza, sème le chaos, provoque une situation apocalyptique, déchire la paix, la vie d’enfants, de femmes et d’hommes. 

Regarder ce qui bombarde des écoles, des quartiers peuplés, des hôpitaux à Gaza, et pourquoi, aujourd’hui, le monde pleure dans un immense silence, les larmes se fracassant contre les murs d’indifférence, la matrice politique. 

Les enfants de Gaza, martyrs, et les populations pensent être entendues par un bulletin de vote, quand la déchirure, les petits corps d’enfants blessés par les éclats d’obus sont oubliés, déshumanisés. 

De la violence à la paix

La politique signe sa fin. Il est le temps nouveau de la liberté permettant la renaissance. Ce chemin que les peuples doivent emprunter. L’éveil collectif tarde chaque jour à venir. Le 1^er septembre doit être le cri d’un nouveau jour, un changement profond. 

Emmanuel Macron, a-t-il une volonté délibérée d’être un accélérateur du chaos pour provoquer un réveil collectif ? Pour lui, la seule solution est-elle de pousser la matrice de l’État à son paroxysme pour détruire un système et mettre les Français face à leurs responsabilités, se déchargeant sur lui du sort du monde, des décisions géopolitiques. 

Règle-t-il ses comptes avec une bourgeoisie oppressante envers les classes populaires, précaires, les laissant grandir dans leur psychotique logique, laissant le patriarcat inonder la culture ? Prouve-t-il que la démocratie manipulée consiste à transformer l’espoir en désespoir, la lutte contre les violences conjugales et sexuelles, entravée par la précipitation de la liberté aux chaînes enracinant l’arbre au béton des villes riches. 

Pleure-t-il une jeunesse qu’il n’a pas vécue, le plongeant dans l’ennui de la bourgeoisie de province dictant les codes et normes, auxquels finalement, il n’a pas échappé ? Il n’a pas eu la force d’être libre, d’être cette jeunesse militante, écologiste, celle affrontant l’ordre pour aller vers une autre discipline, le respect de la nature, des droits humains pour tous, la lutte contre la pauvreté, les fortes inégalités. Une jeunesse féministe, gay-friendly, écologiste, au slogan, « Police partout, justice nulle part », citant Victor Hugo, « Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part ». 

Une jeunesse hissant le drapeau de la paix, « Free Palestine », quand le gouvernement ne reconnaît pas la Palestine dans son entière identité. Une jeunesse libre et un Président qui n’est pas un homme libre. 

Emmanuel Macron élu par les oligarques milliardaires gouvernant, se confond dans les manipulations qui prennent en premier l’esprit de ses acteurs récitant sa prose les perdant. Le piège politique regarde le politique. 

Les ombres de la politique

Le capitalisme en alliance avec le soviétisme, le choix n’a jamais été la liberté. 

Vendredi 23 août, Emmanuel Macron consulte plusieurs dirigeants des partis politiques, dont les dirigeants du Nouveau Front populaire constatant qu’Emmanuel Macron tient à rester le maître du jeu. Il reconnaît que les Français se sont prononcés pour un changement d’orientation politique, mais ce qui n’inclut pas une future cohabitation avec le NFP. 

Emmanuel Macron a, durant son invention de « trêve olympique », travaillé avec son gouvernement démissionnaire l’austérité du budget 2025. 

Souffle-t-il, finalement, qu’il serait celui qui porte la voix du fascisme s’accélérant en Europe et prospérant par les manipulations et compromis politiques ? 

Une rentrée politique fatale : alors que la crise sociale s’intensifie et que les tensions s’accumulent, les décisions prises en haut lieu semblent marquer un point de non-retour. 

Entre annonces d’austérité drastique, remise en cause des acquis sociaux, et affaiblissement des services publics essentiels, tels que l’hôpital public, cette rentrée s’annonce comme un tournant décisif, risquant de plonger le pays dans une instabilité sans précédent. Les choix politiques qui se dessinent pourraient bien sceller le destin d’une société déjà au bord de la rupture. 

Un non-premier-ministre dans un non-gouvernement impose l’austérité pour 2025, sacrifiant les droits sociaux et la santé publique. 

Le « Mur de la honte » du CHU de Brest, mis en place le 20 août, où s’écrivent les noms de personnes âgées ayant attendu plus de 12 heures aux urgences. La CGT rapporte que depuis le 10 juillet, 130 patients ont attendu sur des brancards durant de longues heures, dont 40 d’entre eux ont attendu plus de 20 heures. On peut lire par exemple sur les feuilles dressant le » Mur de la honte » : » Monsieur S, 89 ans, a passé 30 heures sur un brancard ». Une attente aux urgences qui augmente de près de 40 % le risque de « mortalité hospitalière », selon une étude de l’AP-HP de novembre 2023. 

Le droit à la santé et au bien-être, est un droit humain précieux et non-négociable. Une société qui ne prend pas soin des plus fragiles : un hôpital en détresse, une souffrance importante également dans les structures de soins pour la santé mentale, ne pourra constituer un avenir en paix, un monde juste et durable. 

Les enfants vivent dans une société violente par la politique les séparant en riches et pauvres. L’évidence est d’anéantir la misère, et le secret de la réussite se tient dans celle fondant la fortune des puissants. 

Emmanuel Macron aurait dû accepter d’être celui pauvre pour donner la richesse au peuple. 

Mais il reçoit aujourd’hui ceux qu’il ne considère pas, son camp, à l’image de l’extrême bourgeoisie au conservatisme de circonstance, Édouard Philippe qui se voit déjà couronné Président par une pseudo-élite humiliant les plus précaires, et s’attirant les grâces de Gérard Larcher.

La droite de décennie en décennie aux réunions politiques, aux manoirs laissant le champagne couler à flots entre pouvoir, sexe et argent. Les courtisans aux banquets de chasses privées entre socialisme des affaires, cours de la Bourse, banquiers et cercles de pouvoir. La justice blessée, abandonnée. L’entrisme de l’extrême droite dans les cabinets, cercles fermés. La paix cassée dans leurs esprits troublés, les airs d’alcools, l’argent dessinant les visages au luxe de leurs costumes, cachant les violences. Les rêves ont disparu, les violences policières en fumées anxiogènes brûlant les yeux, la liberté battue comme une femme. La politique en navire de guerre contre le monde libre, la défaite fatale des puissants. 

Emmanuel Macron a perdu.

Ce qui rend juste a gagné le cœur de la liberté. Les chemins attendent les pas de la Marche pour la paix, les manifestations augmentées rendant hommage au courage de croire, « Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse. » Nelson Mandela.

Fédora Hélène

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