
la démocratie est censée garantir l’égalité, le respect et la dignité pour tous ; la persistance et la banalisation des insultes envers les femmes mettent en évidence une distorsion de ces idéaux démocratiques.
Briser une femme : des mots aux coups, des violences aux viols – La culture patriarcale ancrée dans la culture française
L’injure contre les femmes est de culture, de tradition, elle amuse.

Infâme – Insulter une femme – L’injure, la maltraitance, la violence – Tout ce que la France accepte envers les femmes. Les mêmes injures prononcées par Philippe Palat, contre sa conjointe. Lui se proclamant Rédacteur en Chef de l’Idiot International – La Grosse Bertha – Les mêmes milieux ! Les rouge-brun, l’extrême droite dans l’ombre.
La fausse gauche à la française, l’intellectualisme à coup de violence, de mensonges, de manipulations !
Le snobisme de l’injure. Le grand courage de l’injure par des hommes vils. Ce n’est pas à une image de Marie, qu’ils parlent avec violence, c’est aux femmes.
« Truie » , … les mots de Philippe Palat hurlant et extrêmement violent, obscène. Il ne s’est pas trompé en intégrant ces milieux médiatiques et politiques. Si sûr et certain de son impunité, en logique du système, de l’habitude de l’injure, de déshumaniser une femme. Une société qui légitime la violence envers les femmes, un système judiciaire qui condamne les survivantes à subir à vie. La force de survivre. La résilience en France, invisible, au silence.

Combien de femmes ont subi les violences d’hommes de ces milieux aux sombres médias malaisans courtisant à fond le système, les pseudos penseurs de la liberté !
Marine le Pen se souviendra de l’Idiot International.
La justice a pu lire les injures très obscènes écrites par Philippe Palat contre sa conjointe sans qu’il ne soit inquiété de rien.
La femme du gendarme tué à Mougins, parle des multirécidivistes et des graves défaillances du système en France.
Philippe Palat, amis de politiques, de « journalistes » : escroc et faussaire multirécidiviste, ses kyrielles d’escroqueries, plus de 60 victimes, déjà dans les années 80, à Toulouse, condamné pour violences conjugales, menaces sur une école primaire, conduite en état d’ivresse sans permis en récidive …
Depuis 2019 – plainte dont pour violences, viols – une femme enceinte et alitée sur ordre médical – et il se balade, papote avec des politiques, se trouve hébergé dans un établissement de trafics, condamné en 2021 – se prélasse en terrasse très alcoolisé sans jamais travailler, mentionne une fausse société à une fausse adresse à Bordeaux – et tout va bien !
Il correspond au mental Charlie Hebdo, à la culture française de la maltraitance envers les femmes. Il correspond au mental psychotique du système judiciaire, de la politique.
La France détruit des vies innocentes pour protéger des prédateurs, la culture du viol, des maltraitances patriarcales.
Christine Goguet, pseudo journaliste au Figaro, ancienne conjointe du magistrat G. Fenech, les réseaux de droite extrême et conservatrice, elle, se proclamant sainte catholique, et qualifiant Philippe Palat : « d’âme pure » ! Elle sait très bien qui est Philippe Palat.
En France, c’est à celui qui sera le plus manipulateur, le plus infâme.
Par ailleurs, la foi chrétienne est si facilement maltraitée. Au-delà de la religion, il y a la foi, l’intime de l’être.
Marie, recevant les prières de chrétiens , de non-chrétiens et d’athées. Ce tte figure particulière, inspirant l’universalité de la paix. L’esprit conçoit et parfois au cœur de l’invisible foi, il crée un monde plus juste, un monde, où la guerre n’est pas.
Respecter et aimer Marie, c’est aussi un élan de liberté, quelque chose qui touche l’âme, que l’on emporte dans sa mémoire, qui lutte, la résilience se bâtit de ce marbre immatériel, de ce qui est le bien commun.
L’espérance est un droit humain fondamental, Marie la porte. Ce réconfort précieux qui peut être pour ceux souffrant, ce qui dit que la liberté persiste, que l’être est digne et garde toute sa dignité, même au cœur d’épreuves déchirantes.
Les malades touchés par la variole, subissent également au Congo, une crise humanitaire. La pauvreté est une des causes de la maladie. Notre monde a besoin de paix , de tous les efforts faits pour la réalisation des droits humains pour tous.
Qu’est-ce que les mouvements féministes en France ?
Jamais choqués par les injures de Charlie Hebdo envers une femme. C’est ainsi qu’ils parlent à leur mère, à leur sœur, à leur compagne ?
C’est juste l’image attaquant les catholiques, « Marie » dessinée. C’est pratique de voir le primitif de la situation : un dessin anti-catho.
Mais ce sont des femmes qui subissent cette culture patriarcale, abjecte, qui amuse, donne la bonne conscience de la fausse liberté, quand cette expression détruit des vies.
La justice est bon public, et ne sera pas sensible, restera sans empathie, et trouvera l’injure, amusante.
La France du 19e siècle, figée entre pro-curé et anti-curé. Quand, ils finissent par être similaires, complices, par lâchement tourner la tête quand une femme est agressée en pleine rue, quand des enfants sont victimes de violences, quand des femmes basculent dans l’extrême pauvreté à travers le monde, y compris en France.
La liberté est au confort. On rit de l’image, de la tradition caricaturale, mais pour protéger des vies, des femmes et des enfants, leur dessin reste vide, au néant, face aux murs d’indifférence.
S’il était l’image de leur mère, de leur sœur à la place de celle de Marie, riraient-ils des injures ?
Si les boutons rouges défigurant le visage d’une femme, représenté par le dessin de Marie, étaient les blessures, les coups, comme cet homme roulant une serviette et frappant sa conjointe au visage. S’il était la caricature des blessures de la violence, des viols.
Moins facile, déjà.
Ce que l’on retrouve dans ces dessins, c’est la lâcheté qui blesse, traumatise, rappelle la mémoire traumatique et ce pourquoi les Survivantes ne peuvent renaître en France. La violence obscène s’affiche, s’admire et ils en rient !
Un agresseur borderlais, chargé de mission, manipulateur des millieux politiques, avait une affiche de Charlie Hebdo, la fausse solidarité, tous frères, et agressant une femme. Une députée macroniste se souviendra de lui et de son chat ! Elle n’a pas bougé un petit doigt pour accompagner une victime de violences sexuelles. La gauche, le faux socialisme, l’humanisme de circonstance, sans actes concrets, les manipulations pour l’argent si abondant en politique.
La seconde passée, « on est tous Charlie », il n’y avait plus aucun « frère », si ce n’est les francs-maçons. Ils sont revenus à leur violence, leur cupidité, à leurs marchands de sommeil, leurs politiques escrocs, leur justice protégeant des prédateurs.
L’amour a été chassé. Le bruit a remplacé le chant de l’humanité unie en paix.
Il faut le chaos, ce qui blesse, ce qui choque, ce qui laisse les frustrations et haines s’exprimer et uniquement cela.
« Rendre juste » de Nelson Mandela, a disparu. Aujourd’hui, les femmes afghanes, le visage caché, la voix ensevelie, chantent la liberté, défient les murs. La résilience est là, le courage de survivantes. C’est le quotidien de survivre, de chanter, d’ouvrir la fenêtre au petit matin, quand tout dort, et que le chant de l’oiseau s’exprime libre pour donner l’espérance, la libération, y croire, la penser, la rêver.
C’est sourire à leurs enfants, préparer leur repas, lire à haute voix, apprendre la liberté aux enfants, transmettre le droit de vivre. C’est écarter les barreaux des prisons patriarcales, l’oppression destructrice, pour ne vouloir que vivre en paix, offrir un avenir de joie aux enfants.
La lutte féministe est auprès des survivantes dont le nom est effacé, dont le visage est voilé, des femmes, où qu’elles soient dans le monde, et résistant. Même si leur voix s’évanouit, il demeure l’empreinte de leur force de vivre, de ce qui transperce l’indicible cruauté, qui opprime les femmes et les filles, qui interdisent aux hommes, d’aimer.
On verra le ciel bleu libéré, le chant des femmes resplendir, la Terre respirer, quand la liberté sera l’expression de l’humanité. Elle porte l’espérance, la paix, ce qui apaise, réconcilie, donne renaissance.
Ça ne sera jamais le dessin de Charlie Hebdo. Jamais cette expression de violence. Jamais ce rire contraint de haïr.
La France devient cette étrange violence. Son obscurité prend place. L’injustice en a fait sa maison. Il peut être de prendre conscience que la société française n’est pas l’avenir. Qu’il est de quitter le mythe, de comprendre que le culte de l’argent domine. Que l’injustice y fait loi. Que le chaos est déjà là. Que le dessin de Charlie Hebdo ne change rien. La France souffre d’un mal être profond, d’une rupture avec la paix. Les femmes continueront d’y voir leurs droits humains bafoués, sans accès à la justice. La France est une société violente aux luxes de vitrines brillantes.
Il est toujours 80 % des plaintes pour violences conjugales et sexuelles, classées sans suite, dans le pays, où 0,6 % des agresseurs sont condamnés après des années de procédures éprouvantes pour uniquement les victimes. Le pays où il est un viol ou une tentative de viol toutes les moins de 6 minutes. Le pays de la violence culturelle, systémique, du patriarcat de noblesse bourgeoise.
Injurier une femme, ça fait partie de la culture, et dans les sphères bourgeoises et politiques, ce snobisme de l’injure se cultive autant que les cubis de vin, les alcools à leur violence, sans l’espoir d’un jour nouveau. Un pays qui a compris que l’argent achète tout.
La France a détruit des vies innocentes, des femmes et des enfants qui n’ont demandé qu’une chose : vivre en paix.
Fédora Hélène

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