Nous y sommes ! Macron, l’homme de l’extrême droite

Entre le pouvoir et la compassion : Réflexions sur la politique d’Emmanuel macron 

Dans un contexte européen marqué par la montée des extrêmes et une instabilité politique croissante, la question de la légitimité du gouvernement d’Emmanuel Macron se pose avec une acuité particulière. La procédure de destitution du président émerge comme une nécessité impérieuse, face à un exécutif qui semble s’éloigner des principes démocratiques fondamentaux au profit d’une gouvernance de plus en plus autoritaire. En effet, les décisions prises par Macron, souvent perçues comme un affront aux valeurs de la République, ont conduit à une détérioration du lien entre le pouvoir et le peuple, creusant ainsi le fossé entre les citoyens et leurs représentants.

La nomination d’un gouvernement jugé illégitime, qui privilégie les intérêts d’une élite au détriment du bien commun, exacerbe cette tendance à l’autoritarisme, mettant en péril les fondements mêmes de notre démocratie. 

La destitution d’Emmanuel Macron deviendrait impérative pour rétablir la volonté de démocratie en l’inscrivant dans une perspective de respect des libertés fondamentales, dans une réflexion de renouveau par une nouvelle constitution. Les mesures répressives, la régression du respect des droits humains, un capitalisme grossier et brutal, une économie de guerre ont provoqué le plus fort taux d’appauvrissement de la population de toute l’Europe en 2023. 

Les gouvernements successifs incarnant la politique d’Emmanuel Macron ont laissé au cœur de la population un ressenti de mal-être, une fatigue émotionnelle, un épuisement moral et physique. Pour Emmanuel Macron faire société équivaut à sur traumatiser les plus vulnérables, à transformer l’espoir en désespoir, à manipuler la démocratie pour en tirer le contraire : l’autoritarisme. 

Les États généraux de la justice, le Grenelle des violences conjugales, le Ségur de la santé, ont laissé un goût amer, la sensation de la tromperie, et du bien commun devant en résulter, il apparaît la domination toujours plus frappante d’une pseudo élite représentée par des ministres incompétents, mais millionnaires. Une condition à l’intégration du gouvernement d’Emmanuel Macron, les atouts bancaires et les réseaux d’une droite sulfureuse, revêtant le costume de l’ordre moral d’extrême droite pour apparence. 

La République a épousé l’argent, et loin de se limiter à un simple changement de direction politique, cette situation appelle à une réévaluation des mécanismes de contrôle du pouvoir et à une redéfinition des valeurs qui doivent guider notre société. 

Notre humanité est interrogée quand des enfants dorment dans la rue, et que des ministres sont repus en héritiers du système, indifférents, sans la moindre compassion et dignité. 

Lutter contre le fascisme grandissant en Europe, c’est écrire la paix, ne pas laisser l’ombre de la haine qu’ils sèment envahir tout, nos rues, nos maisons, nos pensées, nos cœurs. Emmanuel Macron marche sur son chemin tortueux parsemé des pierres qu’il porte sans autre raison qu’il a perdu la liberté, qu’il s’est perdu, l’abîme du pouvoir, plus puissant que sa volonté. La violence attire sans sauver celui qui s’y précipite, et de l’acteur, de l’homme, du président, sait-il encore, celui qu’il voit dans le miroir. 

La question qu’il pose sans la dire, celle que je souffle : De ceux voulant le destituer, et ceux le maintenant, il n’est pas de différence, car avant tout il est de reconnaître qu’un homme ne peut diriger seul, porter sur ses épaules un pays, sa cause à travers le monde, les guerres en présage, et celles embrasant du feu des bombes des territoires de Palestine, du Liban, d’Ukraine, du soudan, le monde en feu au cœur des forêts. Tout se rejoint, l’humain est la nature, la nature son refuge, ils sont l’un à l’autre, ce que l’industrie impitoyable a dévasté, le lien originel, vital, l’homme et la Terre.

Un seul d’entre nous est élu le chef dans cet absurde de l’État, la machine lancée à vive allure, que l’homme l’instaurant veut commander, être dans la citadelle, les yeux fermés, et regardant le monde tourner sans lui. 

Emmanuel Macron regarde Gaza en ruine, le corps d’un enfant blessé, le linceul blanc, quelles larmes verse-t-il en secret ? Retient-il la peine, admirant le président et oubliant l’homme. Qui est-il ? Pourrait-il répondre lui-même à l’épineuse question évoquant les douleurs humaines. 

La question qui se pose est celle de l’humanité derrière le rôle du président : que reste-t-il de l’homme lorsqu’il est confronté à la souffrance des autres ? Peut-il encore répondre à cette douleur humaine ou est-il devenu prisonnier de l’image du président qu’il incarne, aveugle à l’empathie et aux réalités des victimes de ces guerres ?

. Ils regarderont Israël les yeux emplis de larmes inondant la terre, où les tombes des leurs reposent. 

La France ne sera pas étrangère, elle s’en souviendra aussi. « La France ne peut ignorer le fait que des composants français pourraient être utilisés dans la bande de gaza car assemblés dans des armes israéliennes. Peu importe la quantité et le montant des matériels de guerre transférés, la France n’a qu’une seule responsabilité : s’assurer que ses transferts d’armes n’emportent pas un risque substantiel d’être utilisés pour commettre ou faciliter des violations graves des droits humains et du droit international humanitaire », a déclaré Jean-Claude Samouiller, Président d’Amnesty International France.

La perversité politique, le serpent se tenant sur le trône, et les hommes en serviteurs, se plient à la révérence du pouvoir, qu’ils ne posséderont jamais, que l’illusion par la violence qu’ils déchaînent en marchands d’armes à travers le monde. 

Israël pleure la paix ruinée, les décennies qui suivront, revivant sans cesse, les enfants de Palestine en souffrance, le sang coulant sur la terre, sans bruit, sans le grondement des bombes, les petits corps enfouis, et la pluie sera les larmes infinies, chaque fleur portera leur nom. 

Israël, un jour, maudira les armes que ses soldats ont tenues. Sur sa terre, les puissants ruinant la vie, et offrant à leur histoire la désolation que la rage des bombardements aura provoqué. Gaza en ruine, le sol en cimetière, les enfants traumatisés, blessés jugeront le monde silencieux quand ils appelaient la liberté, la paix sauvant.

Les ventes d’armes trahissent la paix, elles ne la gagnent jamais 

5 avril 2024 – Le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a demandé l’arrêt des ventes d’armes à Israël. Lors du vote, la France est restée dans l’opacité en s’abstenant. 

6 janvier 2024 – La CIJ a évoqué la lourde problématique des ventes d’armes à Israël dans le cadre du droit international. 

26 janvier 2024 – La CIJ a statué sur un « risque plausible de génocide » et la France se doit de respecter la Convention sur le génocide, et agir pour protéger les civils de Gaza subissant une grave violation de leurs droits, et du droit international humanitaire. Dès le 6 décembre 2023, le Conseil de l’ONU a alerté, « Nous sommes confrontés à un risque grave d’effondrement du système humanitaire. La situation se détériore rapidement en cas de catastrophe qui pourrait avoir des conséquences irréversibles pour l’ensemble des Palestiniens et pour la paix et la sécurité dans la région. Un tel résultat doit être évité à tout prix ».

Le présent nous montre que les gouvernements n’ont pas fait tous les efforts possibles pour éviter le terrible des actions d’Israël à Gaza, les bombardements, ainsi que le blocage de l’alimentation, de l’eau, de fournitures médicales, des besoins humanitaires essentiels.  Les déplacements massifs continuent d’être ordonnés par l’armée israélienne, bombardant à présent le Liban. L’extension du conflit n’a pas été évitée. 

Le monde plonge dans une logique de guerre et la France s’inscrit dans des directives internationales, dans un engagement de réarmement se confirmant au niveau de l’OTAN, notamment en juin 2024, pour les pays membres. Une ambition européenne au sein de l’OTAN, et au niveau du Conseil de sécurité de l’ONU et concernant la puissance nucléaire, où la France se place en pays fondateur, membre permanent, adopte une dynamique militariste pour répondre aux enjeux de l’ère qui s’ouvre par le fonctionnement ancestral de la guerre. 

Nous ne sommes pas dans une répétition des évènements, mais dans une continuité de politiques de la mort, où la réponse est celle de la domination par l’attaque des civils, la guerre, devenant un « terrorisme » international, accablant une fois de plus l’humanité, et perpétuant la culture macabre de la guerre. 

En 1996, Israël lance l’opération militaire au Liban : Les raisins de la colère. Israël et le Hezbollah s’affrontent, et ce sera l’attaque israélienne du camp de Cana de l’ONU le 18 avril 1996, où se trouvent plus de 600 civils. Le bilan tragique est de 106 civils tués, et l’attaque est condamnée au niveau mondial. Les bombardements israéliens aggravent la crise humanitaire s’emparant du Liban. 

Le discours du premier ministre Shimon Perez, les justifications d’une opération militaire mettant en danger les civils sont similaires à celles évoquées par Netanyahu, et le Hezbollah tient également un discours similaire, et des tirs de roquettes alors sur le nord d’Israël.

Mais la réaction de la communauté internationale, de l’ONU, du président américain à Jacques Chirac, condamne fermement les attaques et exhorte à un cessez-le-feu. Un accord sera adopté le 26 avril, stipulant que les deux parties se doivent de respecter les civils. 

Aujourd’hui, on assiste à des politiques destructrices sans limite et les attaques israéliennes touchent principalement des civils à Gaza et au Liban. Une logique de mort s’impose, dans une société dystopique, où l’armement devient la ligne directive, le dialogue de paix passant par ce qui la brise. 

En 1996, les médias parlent d’un « massacre » concernant l’attaque du camp de Cana au Liban, quand aujourd’hui, il y a une complicité internationale par le silence, l’opacité et l’ambiguïté de la position politique de certains gouvernements, comme celui de la France. 

Dans le rapport au Parlement 2023 sur les exportations d’armement de la France, outre les chiffres de livraisons d’armement vers Israël, il y a la dialectique de la guerre qui s’associe à celle exprimant la paix. Une perversion du langage politique, où l’idée de « bonne conscience » s’impose pour instaurer une acceptation de la guerre. Dans un système d’inversion, la guerre devient le moyen le plus sûr de faire la paix.  L’industrie de l’armement soutenue et amplifiée maintient une menace à haut niveau, les fortes pressions géopolitiques n’hésitant pas à manipuler la menace nucléaire, d’en faire une possible réalité, et de peindre le futur par la force militaire nucléaire grandissante à travers le monde.

L’intelligence militaire est un engagement au niveau européen, et non uniquement d’un pays en particulier. Bâtir l’Europe de la Défense d’ici 2030 par une croissance de l’armement, des stratégies de Défense européenne, visée par plusieurs plans européens, dont le lancement en février 2022, d’un plan d’investissement de 42 milliards d’euros pour accélérer la production de semi-conducteurs, renforcer l’autonomie stratégique de l’Europe. D’autres engagements apparaissent comme l’adoption de la Boussole stratégique de l’UE par le Conseil européen du 25 mars 2022. 

Puis, en mars 2023, on atteint le point crucial de l’affrontement des puissances : le domaine spatial avec la montée en puissance des éléments de guerre. Qui demain dominera l’espace militaire spatial et donc civil ? Le choc des puissances s’intensifie et se positionne sur ce nouveau territoire à conquérir. Par ailleurs, la maîtrise des territoires terrestres est essentielle pour la puissance voulant devenir la 1èrepuissance mondiale spatiale.

Dans un monde en transformation par le bouleversement climatique, les terres agricoles représentent un atout majeur, d’autant que le développement nucléaire peut y croître. L’Ukraine remplit ce rôle de grenier à blé du monde, et de puissance nucléaire civile au niveau européen. Un schéma civil qui inclut la partie militaire dans une vision européenne, avec en dominant la France, et en premier les États-Unis. A ce propos, en octobre 2021, en marge du G20 de Rome, Emmanuel Macron et le Président américain ont annoncé la volonté d’un dialogue stratégique pour le commerce de la Défense. Lors du salon Eurosatory, le 13 juin 2022, ont été concrétisées les modalités de cette ambition commune par la signature notant les termes de ce dialogue.

Ce partenariat trilatéral autour de la Défense, la qualité d’ambition commune, place le commerce des armes au cœur d’une logique économique de guerre, où le profit et la compétition internationale l’emporte. Une ambition félicitée en 2023 par le Groupe stratégique sur les conditions humanitaires. Le commerce de la défense (DTSG). L’un vend des armes, l’autre en vend. Le commerce de l’alliance Défense, une logique d’économie de guerre qui s’inscrit dans une société dont le maître est l’argent. 

Les puissances rivalisent, et la Chine et la Turquie ont alerté récemment sur le danger nucléaire. La menace nucléaire resserre son étau, exacerbée par le conflit en Ukraine, les tensions au Moyen-Orient, et par la destruction de Gaza. Une extension régionale du conflit se produit en résultat des politiques en logique de guerre, dans la terrible stratégie de mort. Les puissants de ce monde font de la guerre l’inévitable et la question reste de savoir si cette course à l’armement et cette quête du pouvoir mèneront à un point de non-retour, tant pour l’humanité que pour la planète. 

Le monde politique est en ébullition, et accélère ainsi le mouvement du bouleversement climatique, par un fait : la violence industrielle générée. Elle produit une pollution supplémentaire, par notamment les bombardements en Ukraine, comme les bombardements israéliens détruisent la nature et l’humain à Gaza.

©️ ONU

L’enfant, victime de guerre, ignore les stratégies de Défense, l’intelligence politique et le pouvoir démesuré de dirigeants politiques, mais il connaît la réalité de leurs actes de manière directe par la vente d’armes, ou indirects par ambition commerciale, par la souffrance en résultant pour des millions de civils à travers le monde, dont la population de Gaza et du Liban. 

Les civils, victimes innocentes de la guerre, n’ordonnent pas les complexités des stratégies de défense, des ambitions politiques, ou des transactions économiques liées à la vente d’armes. Cependant, ils en ressentent les conséquences immédiates : la destruction, la peur, et la perte.

Les droites extrêmes et l’esprit marchand de la guerre

La dangerosité d’un gouvernement illégitime, antidémocratique, aux références des extrêmes droites, à la culture de l’exclusion, d’absence d’empathie, c’est le profit de l’économie de la guerre, primant sur les investissements pour la paix. 

Emmanuel Macron devient l’homme des extrêmes droites qu’il place au gouvernement par leur entrisme au sein des diktats économiques, réservant à la haute bourgeoisie l’accessibilité des systèmes bancaires orchestrant l’oligarchie, sa virtualité.  Le pouvoir en histoire d’argent s’impose par l’intermédiaire de LR, l’entrisme de plus de 30 ans, et par les liens avec le socialisme de droite, dont François Hollande est issu. 

Emmanuel macron a élu deux pères : Sarkozy et Hollande, et il donne la préférence à la droite aux réformes sécuritaires ayant fait leur preuve pour instaurer un climat malsain, les discriminations, et servant des réseaux d’intérêts basculant la politique internationale dans l’opacité, les jeux troubles, un capitalisme séducteur ayant besoin qu’il ne soit imposé aucune limite pour gagner. Emmanuel Macron ne se détachera pas de la politique de Netanyahu reçu par les présidents américains, dans cette ambivalence, où il n’est plus qu’un seul qui gouverne. Trump s’impose sur la scène internationale sans être pour le moment élu.  

Macron lui se fait l’acteur du mouvement sarkozyste et met en scène les personnages qui n’ont aucune existence politique, comme Rachida Dati, ou la millionnaire réactionnaire, Valérie Pécresse et sa légendaire incompétence. Elles ne seront toujours que la voix de leur maître, faisant ce qu’on leur dit de faire. En France, le subtil est que ceux qui gouvernent actuellement n’apparaissent pas officiellement. Il y a souvent eu en France la position de la « doublure ». C’est le sens de la cohabitation, en ministère sous la monarchie. Tout dépend du pouvoir du roi, et Emmanuel Macron ne possède pas la puissance de Mitterrand. 

Les Républicains, anciens des réseaux du RPR, en droite sectaire, s’inscrivent dans le soutien à un raisonnement d’une économie de guerre, dont les civils sont les premières victimes. Les plus vulnérables deviennent la cible, et les manipulations politiques détournent l’attention du peuple par ce qui choque. 

L’immigration est utilisée par les extrêmes droites dans une stratégie électoraliste depuis les années 80, avec Jean Marie Le Pen mis en avant dans les médias, car ce courant est devenu un produit médiatique qui fait vendre, et qui au niveau politique sert la propagande. LR, très proche par l’entrisme, de l’extrême droite au sein de gouvernements successifs. Laquelle est légitimée par sa présence au deuxième tour des élections présidentielles. 

Une partie de la population s’engouffre dans le sécuritaire, qui est une stratégie commerciale lancée par le politique. L’économie sécuritaire motive un concept industriel, que les oligarques vont exploiter en accord avec des politiques d’argent, les oppresseurs économiques, dont Sarkozy qui amplifie le phénomène sécuritaire, repris par ceux découlant de ce courant et s’appelant aujourd’hui, Les Républicains, anciens RPR, comme UMP. Ce sont les mêmes réseaux de pouvoir, accélérant la gentrification des villes, une promotion immobilière bourgeoise et autoritaire qui bétonne la France, sépare la population en quartiers différents, en castes sociales ne se rencontrant pas. 

Des politiques de mépris, motivées par la cupidité et la quête de succès électoraliste, ont trouvé un produit à vendre : l’immigration et le sécuritaire. Ces thèmes, exploités à des fins politiques, servent à attiser la peur et à diviser, réduisant des enjeux humains complexes à des marchandises dans le marché de la propagande.

La volonté de Michel Barnier de créer un pôle « préfecture-sécurité-immigration » s’inscrit dans une continuité historique aux relents fascistes, rappelant les mécanismes qui ont alimenté le colonialisme et les guerres coloniales. Cette approche, fondée sur la répression et le contrôle, transforme les enjeux migratoires en une guerre économique, où la manipulation sécuritaire muterait en une forme moderne de violence d’État, exploitant la peur pour justifier des politiques d’exclusion et de domination.

La guerre se décline en stratégies sanglantes contre des civils, terrorisme où le terrorisme comme son fils terrible.

La guerre se décline en stratégies sanglantes contre des civils, où le terrorisme émerge comme son fils terrible. Cette réalité tragique souligne l’absence de distinction entre belligérants et innocents, entraînant une escalade de la violence qui cible ceux qui subissent les conséquences les plus dévastatrices. Dans cette dynamique, la souffrance humaine devient un outil de manipulation et de domination, mettant en lumière l’inhumanité des conflits contemporains.

Le terrorisme est une donnée de la guerre, le tragique de s’attaquer à des civils, de massacrer des innocents, et la paix se trouve dans le coma au niveau mondial. 

La logique politique de la haine et du commerce des armes fabrique un contexte dangereux de guerre inévitable, de tout détruire pour reconstruire et imposer une puissance mondiale unique. La Palestine en est le symbole. Israël dominant la région et la totalité des accès maritimes se situant le long de la bande de Gaza, impose un contrôle maritime, aérien et terrestre. Cet acquis par la rage de bombardements sur les zones peuplées de Gaza, pourrait entraîner la conquête de la Cisjordanie dans le but ultime d’une solution à un seul État, celui d’Israël, considéré comme le prolongement de l’occident. La lutte contre l’islamisme est présentée comme possible par la conquête de ces territoires par Israël. 

Il serait alors la politique d’assimilation de la population palestinienne, qui programmerait l’anéantissement de sa culture, de sa langue, de son histoire, au fur et à mesure du temps. Une situation inhumaine, qui est déjà causée par les bombardements israéliens et la violation du droit international humanitaire, ainsi que la CIJ l’a indiqué. 

Le monde politique est enclin à l’assimilation de populations, ce que subissent les sociétés autochtones et les minorités ethniques. Des politiques prônées également en Europe, et Emmanuel Macron est, selon son entourage, « à cheval » sur l’assimilation. Différentes configuration de sa politique, fait de lui un homme d’extrême droite, jouant avec l’ambiguïté et des discours de circonstance en coquille vide pour la paix. 

 Il convient aussi de noter, l’ambition de mettre le Liban sous contrôle israélien par une cohabitation. Dans ce contexte, il n’est pas de cessez-le-feu durable imposé en quinze jours par la communauté internationale.

La Chine et la Russie se révèlent des puissances qui n’étaient pas prises en compte en 1996, contrairement à aujourd’hui. Actuellement, deux blocs se dessinent, et les populations doivent choisir leur camp, autant que les citoyens d’un pays doivent choisir entre le fascisme européen, la droite conservatrice, et de l’autre l’humanisme. Les pays ont marqué une frontière politique à l’intérieur de leur propre territoire, ce qui est également en Israël avec ceux opposés à Netanyahu.

Répression et manipulation : L’autoritarisme à l’épreuve des inégalités et des conflits mondiaux

La répression policière s’inscrit dans des ordres d’État, le sécuritaire est à l’encontre de la population se positionnant en opposition au gouvernement. Les jeunes militants écologistes criminalisés, c’est une logique sécuritaire dans un système d’économie de guerre. Une économie s’appuyant sur les fortes inégalités, injustices, et visant à enrichir les oligarques milliardaires gouvernant assis aux côtés de ministres incompétents, en acteurs de la comédie, et cupidité extrême. 

Il est pour les politiques de maintenir un haut seuil de leur pouvoir au moment où s’amorce la chute des gouvernements, et du capitalisme dont l’effondrement est la finalité. L’économie de guerre par la maltraitance qu’elle exerce sur les populations vulnérables volontairement dans la précarité par un salaire au smic ayant deux euros de différence le séparant du seuil de la pauvreté, veille au contrôle de la population. La classe moyenne pouvant basculer dans la précarité, et les lois travail, chômage, la réforme des retraites sont pensées pour accélérer la précarisation des citoyens, l’épuisement moral et physique, et marquer ainsi plus fortement la dominance du pouvoir de la bourgeoisie réactionnaire, d’extrême droite et de tradition extrême droite catholique. 

Les grandes familles industrielles, le patrimoine des oligarques, l’enrichissement de politiques priment sur l’intérêt commun. C’est une dimension mondialiste par le marchand de la guerre qui s’impose, et renforce le nucléaire et l’utilisation autoritaire de l’IA. 

Le peuple ressent un mal-être, la division, pressentant la menace de l’autoritarisme se conjuguant au rythme de la guerre, de la brutalité extrême détruisant des vies à Gaza, au Soudan, au Congo, en Ukraine, et prenant la paix pour une arme déferlant en onde sur les rivages bombardés, se revêtant d’une identité déshumanisée, une entité manipulée, les puissants ne tuent pas pour la paix, mais pour une suprématie sur le monde. La paix prisonnière des chemins obscurs de la politique aux frontières des abîmes. Les civils de Gaza, l’espoir se transforme en désespoir, puis vient la lueur d’une autre vérité, l’humanité au sens de la liberté, se sauvant du désastre des puissances.

France, la tristesse d’un gouvernement illégitime, à l’influence d’extrême droite, établissant depuis longue date, le système du sécuritaire-récompense par la manipulation de l’immigration, le mépris de l’humain, servi à une certaine population ne demandant que le renforcement de l’autoritarisme, en le pensant en action de protection contre le terrorisme.

La misère de l’humanisme pour cadran solaire de la politique de l’extrême droite

« Ni totem ni tabou » le despote Michel Barnier, sur l’aide médicale de l’État (AME), dispositif permettant aux réfugiés, migrants sans-papiers d’avoir accès aux soins, ce qui est un droit humain fondamental. 

La volonté du gouvernement de supprimer cet engagement essentiel pour le développement des droits humains, leur réalisation, est profondément choquante et s’inscrit dans une logique absurde d’argent, en règne du monde, et définissant l’identité et les droits d’un être humain.

La santé d’êtres humains ne vaut plus grand-chose lorsqu’ils sont migrants, réfugiés, pauvres. Ils peuvent tomber malades sans être soignés, comme il est inculqué par les traumatismes qu’engendre la précarité, aux pauvres, aux « gens d’en bas », que leur vie n’est pas précieuse, et la santé des plus vulnérables se dégrade dans un contexte sociétal où le bien-être à une valeur d’argent.

Ce qui est important ce n’est plus l’humain, mais l’argent séduisant les politiques plus manipulateurs, cupides, les uns que les autres et prêts à dépenser sans compter pour leur ascension au pouvoir par des jeux électoralistes malsains.

Les bourgeois narcissiques de gauche à droite en ministres de la République corrompue flattent le système de l’argent jusqu’à annihiler les droits humains en sortant des mots publicitaires qu’ils n’ont même pas été capables de penser par eux-mêmes ! Michel Barnier est Premier ministre après près de 50 ans de pouvoir au culte de la perversité politique. La réussite par le vide, la politique ne cesse d’être le terrain de jeu du mensonge et de la violence. 

Une certaine population se fait complice de cet événement tragique de la haine sociale, de la violence économique, et vote pour des oppresseurs dans la volonté de gagner toujours plus d’argent par une économie bancaire. Où sont passés les jeunes manifestant en 2002 contre l’extrême droite ? Sont-ils devenus les quarantenaires macronistes snobs, les socialistes bidons et vils en macronistes d’occasion, criant tout bas dans l’hypocrisie ambiante : « La France aux français ! »

Le monde tragique de la politique – en amont, ceux préparant le terrain aux manipulateurs en décideurs dans les ministères, ce sont les barbouzes se salissant les mains à leur place. Les préfectures politiques peuvent se rappeler des services rendus par des « voyous » dans l’obscur des milieux de pouvoir sans respect de l’humain. 

Ça fait des décennies que des escrocs jouent le ticket gagnant en politique, qu’ils servent n’importe quel discours de propagande, de mensonges sans aucun scrupule. Politique d’abrutissement jouant avec le racisme. 

Les extrêmes droites s’expriment sur l’immigration dans un pays qui s’est et se construit par l’immigration, car l’humain est un migrant. 

Emmanuel macron : l’homme de l’extrême droite 

L’homme et non le Président d’extrême droite. Il n’a pas été élu sur un titre de référence de droite sectaire le nommant patron des extrêmes droites. Il est l’homme dont se sert les extrêmes droites pour ambition de pouvoir, comme il a toujours été.

Il doit être manifester la fin de la politique manipulant l’immigration et faisant de ce mouvement de l’humanité : un délit. L’immigration est le sujet politique accepté par la majorité de la population qui a compris que le colonialisme a un fort pouvoir d’enrichissement pour un pays et sa bourgeoisie. C’est un orgueil monarchique, l’ambition d’empire, et le racisme est présent dans la société française, et les discriminations légitimées par un discours politique de propagande qui ne cesse d’augmenter depuis les années 70. 

Un racisme culturel, omniprésent, qui s’exprime quotidiennement au sein même de Paris, et pas uniquement dans des zones rurales ou reculées enfermées sur elles-mêmes. Un racisme qui n’est pas dû à un manque d’information, mais à l’interprétation politique qui est faite au niveau de gouvernements successifs, de l’immigration. Le politique diffuse l’immigration-insécurité, et toute la société projette un incessant mal-être, une grave division, la haine. Tout s’organise, se pense autour de la haine, de la hiérarchisation archaïque de la société entre les « gens d’en haut » et les « gens d’en bas ». 

Ce sont des politiques extrêmement malveillantes, malhonnêtes qui manipulent le sens même de l’humain, de la réalité de l’humanité qui est de faire fraternité. Il est politiquement plus facile de haïr que d’aimer. Aimer suppose l’instauration de l’égalité, la justice sociale réelle et donc libérée du joug soviétique à la française, qui signifie : « qui contrôle le peuple » donc les classes moyennes à précaires, qui sont en réalité les mêmes, mais que le politique divise. 

L’égalité réelle fait qu’Emmanuel Macron est un être humain, et qu’il n’est en rien supérieur à un autre citoyen, et il quitte donc ainsi son rang monarchique, autant que l’État ne doit être que ce qui écoute la démocratie directe et distribue équitablement les richesses. L’État à fonction de dominer, d’empire et de garder forte l’empreinte monarchique, l’extrême droite catholique, le militarisme, la volonté de puissance ancestrale protégée par tout le système administratif, dictatorial, l’impôt du roi, le système judiciaire appartenant exclusivement à l’Etat qui n’est que l’oppression politique. 

Et, sans aucun esprit libre et créatif, les politiques sont les pantins de ce schéma gardant leurs privilèges, fortunes, l’orgueil narcissique du pouvoir. Être celui qui commande la vie de millions de personnes, influence et qui décide de leur liberté. Michel Barnier répète en boucle des discours politiques mille fois faits par d’autres et diffusés dans des médias sans aucune indépendance. L’immigration est un sujet politique extrêmement manipulé, tirant volontairement la haine vers le haut et imposant le sécuritaire qui n’est autre que l’autoritarisme. Un autoritarisme-récompense puisqu’une partie de la population pense être sécurisée contre l’immigration. Donc, ils sont contents et demandent toujours plus de mesures sécuritaires, renforçant ainsi les politiques contre la liberté. Il est d’insister sur ce fait pour rendre compte de la responsabilité citoyenne quand le vote prononce l’élection des extrêmes droites, Emmanuel Macron s’appuie sur cette responsabilisation des électeurs. Il répondra facilement : « C’est vous qui avez choisi un gouvernement mettant en danger la liberté ». Ce qui signifie que cette donnée, être libre, rejoignant le fondement de vivre, est entravée par le sens politique, et que rien ne la libérera de cette emprise, puisque les citoyens votent eux-mêmes contre.

Le conception du travail, du salaire est une notion brimant la liberté. En renforçant les lois capitalistes, Emmanuel Macron encage toujours plus la valeur de liberté. Et quel parti soutient cet écrasement de la valeur d’être libre ?

Les Républicains, c’est juste un nom, mais la réalité, c’est que ce réseau est la configuration des extrêmes droites. Le maintient de l’acceptation des réseaux lepenistes, du nationaliste, qui a été l’inspiration majeur du gaullisme, et non la liberté.

La libération a été au sens nationaliste et non de liberté. Et, ce mouvement nationaliste est dans une dynamique de continuation, et soutient le primitif de la société par la volonté d’un monde constitué d’empires dont un se positionne en dominant.

Des réseaux qui s’inscrivent dans un choix, celui d’Israël, dans la solution d’un seul état dominant la région de la bande de Gaza, à la Cisjordanie jusqu’au Liban.

Le fait de bombarder des zones civiles, c’est une condition pour accéder à la possession de ces territoires.

Il ne fallait pas que la démocratie puisse s’y installer, qu’il soit une solution pacifique, un apaisement durable et l’instauration à deux États, ainsi qu’un Liban libre.

Les crises humanitaires conçues par la politique ont été maintenues durablement, et sont une arme de guerre, utilisée massivement à Gaza par Netanyahu, comme au une crise majeur s’étend au Liban.

La volonté de vouloir un état unique a fondé la montée des conflits, les pressions occidentales, et le désastre d’une géopolitique toxique se lit aujourd’hui dans le regard désespéré d’enfants palestiniens traumatisés.

Ce ne sont pas les puissants qui sont sous les bombardements, ni les marionnettes politiques des extrêmes droites, ni ceux les plaçant au pouvoir. Eux, ils pensent uniquement s’assurer un enrichissement continuel.

Retailleau et son ordre moral en bidonnage , pensant par sa position au gouvernement, imposer les lois autoritaires favorisant les privilèges des profiteurs de détresse, de l’affaiblissement des libertés. Le système judiciaire n’étant plus que l’allié d’un système prédateur dans cette optique d’un État totalitaire. La France serait alors toujours plus : Touché-coulé !

La démission d’Emmanuel Macron s’impose-t-elle pour fortifier la paix ? 

Le machiavélisme moderne est politique, et il faut croire que l’homme politique n’a guère évolué, et que la politique le domine, plus qu’il n’est un homme libre. 

Dans un contexte où la paix est menacée au niveau mondial, il est la nécessité de surmonter les divisions pour retrouver un véritable esprit de fraternité et d’humanité, libéré des manipulations de pouvoir et d’autoritarisme. 

Emmanuel Macron ne protège pas la démocratie, ne la fait pas grandir, et il ne peut ainsi mobiliser tous les efforts pour la paix qui doivent être la priorité au niveau national et international. 

Le récent discours d’Emmanuel Macron à l’ONU, exprimant, « Nous devons montrer une égale attention à ceux qui souffrent. La protection des civils doit être notre boussole », appelle à lui répondre : Vous ne pouvez pas discourir sur la paix avec force et sincérité, et imposer de l’autre main ce qui la condamne. 

Il ne peut instaurer comme boussole la manipulation de la démocratie dans son propre pays, et trouver le nord indiquant le respect absolu des droits humains sur d’autres territoires. 

Emmanuel Macron n’a pas engagé des dialogues de paix citoyens sur une crise mondiale de la paix et sur les efforts à réaliser, le positionnement clair et limpide de la France pour la Palestine subissant une destruction. 

Il aurait dû promouvoir des espaces de dialogue entre différentes factions politiques et sociales, permettant d’établir des ponts entre les différentes perspectives et d’encourager des solutions pacifiques aux conflits.

Le devoir politique est d’encourager la mobilisation citoyenne à s’engager dans des mouvements pour la paix et les droits humains. La conscience collective doit participer aux décisions politiques au-delà de voter lors des élections, qui en l’occurrence ont été bafouées par Emmanuel Macron et ses alliés gouvernant à ses côtés depuis 2017 : Les Républicains.

Emmanuel Macron aurait pu favoriser l’éducation et la sensibilisation en mettant en place des programmes éducatifs dans les écoles et universités pour sensibiliser les jeunes aux enjeux de la paix, de la démocratie et des droits humains, en insistant sur l’importance de la solidarité internationale. Une ambition pour également lutter contre les discriminations, le racisme et l’antisémitisme. Nous ne pourrons pas avancer vers des futurs en paix, réaliser l’universalité de la paix par des politiques d’assimilation, d’extrêmes droites prônant le contraire de l’humanisme. 

Emmanuel Macron s’unit à une unité européenne de la Défense, pensant la sécurité nationale par la sécurité européenne aboutissant à la création d’une entité parallèle à l’OTAN. Les investissements pour le réarmement deviendront de plus en plus importants, et s’inscrivant dans une perspective d’union commerciale avec les États-Unis, d’autant plus avec la problématique majeure de l’Ukraine. Un capitalisme par la dimension des conflits armés, l’économie dominante par la force militaire, un monde en dualité entre l’Occident et le bloc Russie-Chine dans le contexte de l’émergence du continent africain et du Proche-Orient. 

Notre monde change profondément et il est nécessaire de ne pas concevoir la résilience par la défense, comme le prône la stratégie d’une unité européenne en loi du plus fort, mais par la résilience devenant ce qui vit : la paix. 

La France doit grandir et devenir le phare de la liberté portant sa voix : la paix universelle.

Fédora Hélène

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