Un monde meurtri par les violences politiques : Les femmes et les enfants en quête de paix.

©️ UNICEF

L’humanité en survie : urgence de fonder la paix universelle, la réconciliation 

Le monde se perd encore une fois devant nos yeux innocents pleurant la douleur du printemps qui s’éteint, la naissance versée au tombeau de la paix, Palestine, Gaza, notre cœur transpercé, la peine effondrant les rêves. 

La paix puissance ravivant la flamme de la source que l’on pensait épuisée. Les enfants de Gaza blessés, tués, les pierres des décombres couvrant les petits corps, le sol et la poussière pour tombe. L’humanité, silencieuse, ne laisse plus entendre que le long chagrin. 

Gaza 2024 ©️ UNICEF

La violence d’hommes politiques dévaste le monde 

Violences sexuelles et conjugales : Une femme enceinte en poupée de chiffon, et la paix sauvant 

Revient la paix soufflant à mon oreille, quand enceinte, marchant seule sur le rivage calme, j’ai fui la violence, ces hommes en loups chassant l’amour, le brisant, le tuant. La paix sauvant me donnant la main, essuyant mes yeux, traçant un sourire sur mon visage, une goutte d’eau tombant sur mon front, cet appel de la vie. 

Seule pour protéger l’enfant en moi, le ciel ne se couvrait pas de l’épaisse fumée des bombes sur Gaza, et pourtant, la nuit profonde envahissait l’espace. Plus une porte ouverte, la peur de perdre mon enfant dormant en mon sein, et la paix pour sauver l’innocence, ne pas couper le souffle, ne pas laisser la mort venir, prendre tout jusqu’à ma vie aussi. 

La violence d’un homme, criant sa haine, se venge de la vie, en détruisant l’amour, le réduisant en cendres. La justice absente, aux ordres des puissants, quand le véritable de son âme a quitté les palais la tenant prisonnière pour rejoindre la route où je marchais. 

L’hiver si froid, une femme enceinte sur la route, qu’un manteau pour chaleur, pas de main tendue que celle de la paix, pas d’armure que celle de la justice au ciel radieux, qu’une prière pour sourire à la vie, échapper à la mort, aux violences, viols. Il a fallu apprendre à ne pas trembler, à garder les yeux secs, à taire le chagrin pour préserver la vie, l’enfant en moi dormant, à la nuit. 

« Ne pleure plus, plus de tristesse pour protéger ton enfant. » Une voix intérieur telle un ange se posant dans la maison déserte, où le corps d’une femme enceinte était allongé sur le carrelage froid. Les pleurs de souffrance trop versés, il est déjà la rose sur la tombe qu’un homme a déposée. Le père de l’enfant détruisant une mère enceinte de son enfant. Cet homme en tyran se sentant si puissant, agressant une femme enceinte en pleine rue et devant ses enfants en bas-âge, son regard empli de haine, sa violence en rage que rien n’arrête, le monde en défaite, l’espoir en cri révolté à l’écho des murs dressés contre la liberté. Il déshumanise, traumatise, torture une femme, traumatise des enfants co-victimes, et très alcoolisé, voyou, il séduit des hommes politiques : quelques maires, députés, conseillers aux ministères, cet ancien ministre, qui jamais n’auront un geste d’humanité pour une mère maltraitée et ses enfants. La poupée de chiffon au silence, ne compte que sur elle-même, sur ses propres forces, la paix sauvant. 

La poupée de chiffon n’appartient pas à leurs milieux de pouvoir, masculin et toxique, et quelques femmes acceptant la violence de ces manipulateurs y gravitent sans jamais un regard d’empathie pour les femmes agressées, maltraitées, invisibilisées, sans jamais apporter une aide, une écoute. 

Ce seront également certains journalistes de la presse nationale qui le fréquentent, savent sa dangerosité, ses barbouzeries, et qui dans certains de leurs articles se servent des informations sulfureuses qu’il distille, comme des patrons de presse l’ont courtisé lors de l’affaire Pierre Botton, notamment. 

Un prédateur, la politique l’entoure, puissante, sans limites. Il sert des politiques, des élus de la République. Ils ont soutenu la guerre contre l’humain, la nature. Ils ont soutenu la culture du viol, les violences contre une femme. Les enfants abandonnés au désert, ils n’ont jamais posé un regard sur leurs visages de lumière, sur l’enfant au berceau souriant aux anges. Ils n’ont vu que la violence en alliée de leur pouvoir, un homme en prédateur, le monde politique et sa fureur avançant sans bruit, ce drapeau du décor de la démocratie manipulée. 

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Corruptions en système politique : la paix s’effondre 

Les corruptions en chant des pouvoirs, le nouvel hymne résonne dans les tribunes, les assemblées. Le peuple divisé n’entend-t-il pas le refrain qui revient au bruit du fascisme, les extrêmes droites, les manipulateurs en séducteurs, ils sont la politique en déesse de nos sociétés dirigeant l’enfer, la pauvreté. 

S’il m’a été donnée de porter la paix auprès de la plus grande fragilité, une femme enceinte, une grossesse trop fragile, subissant les violences sexuelles, les violences torturantes, cet homme balançant par terre une femme enceinte, lançant sur elle des cigarettes incandescentes et la touchant, la brûlant jusqu’à faire pleurer son âme, c’est pour que je puisse porter la paix sur le chemin de la vie, quant à son tour, elle devient si fragile, les politiques sourds à son appel. 

Gaza 2024 ©️ UNICEF

Palestine, ma terre, aussi : l’humanité une et unie 

La peur de perdre mon enfant, alors enceinte, et la nuit, le chagrin envahit les rêves, Gaza, je lis ta peine. J’entends aussi les pleurs de mille mères, ici, dans mon pays. Mères isolées et leurs enfants, marchant seules sur la route, où la politique a posé les pierres, la peur de ne pas tenir, les violences économiques submergent. Elles sont cette vague emportant tout, l’absurde haine politique, tenant le capitalisme en Hydre, bouleversant le monde. 

Les forêts en feu, l’océan en détresse, le merveilleux de monde marin en déclin, l’air disparaissant, le ciel bleu se couvrant, l’eau au sel de nos larmes coulant à nos yeux, je voudrais rejoindre la mer, prendre la vague, revenir à la vie pour transporter sur le rivage la paix vainqueur des tourments, de l’humanité cherchant le secours. Le jour se lèvera sur un monde en paix, sans plus de sang en rivière. L’olivier de Palestine renaîtra et portera ses fruits sur une terre apaisée. 

Jérusalem à nos veines, de sang et d’eau, prends ma paix. J’abandonne ici mon chagrin, pour ne suivre plus que mon âme, la lumière en prière, le monde avance vers un autre destin.  Il nous faut la force de vaincre les hurlements, les bombardements, la famine. Que la main de l’homme cesse enfin de massacrer les innocents, de larguer des bombes brûlant des enfants de Palestine. Les camps de réfugiés sont attaqués, plus un refuge, la terre en feu. Lutter pour que le jour nouveau vienne et bénisse l’olivier de la paix. 

Gaza 2024 ©️ UNICEF

Manifester la paix sans relâche : marcher pour la paix dans les rues, investir les places 

Que faut-il faire ? Cesser de suivre des gouvernements qui marchandent des armes, remontant ainsi chaque jour la pendule de l’effondrement. Nous avons besoin de renverser un mouvement destructeur, de reconstruire l’horloge de l’espoir, où chaque seconde est celle de la paix. 

©️ UNICEF

Macron, ce socialiste d’extrême droite

La violence politique a de graves conséquences directes dans la vie de femmes et d’enfants, basculant dans la pauvreté à l’extrême pauvreté.

On a besoin de vérité pour vivre la liberté, ne tournant pas autour des mots, il s’agit aujourd’hui des extrêmes droites au pouvoir, la montée du fascisme en Europe.

Macron a porté l’extrême droite, une politique axée sur les fortes inégalités, les injustices, les discriminations. Il a alimenté les manipulations politiques et la progression de 10 % des votes d’extrême droite.

En servant l’oligarchie, il a servi des médias de propagande, comme CNEWS, Europe 1, Hanouna, où l’on retrouve les réseaux sarkozystes qui n’étaient que ceux des extrêmes droites, dont Les Républicains, de l’orgueil à la cupidité flattant des milliardaires comme Dassault, les liens Georges Fenech, … et Dati, la voix de son maître, au pouvoir comme par hasard !

L’égalité des chances en discours de mensonges dans les cercles de ces pseudos élites et Barnier, en fidèle pantin, prévoit par le budget 2025, de descendre en flèche de l’école publique en supprimant près de 4 000 postes d’enseignants.

Les députés macronistes sans honte, et surtout ceux aux manipulations jouant le « cœur de gauche ».

La France enregistre depuis 2020 une hausse de 120 % du nombre d’enfants dormant dans la rue, alerte l’Unicef

La misère, la faim, la pauvreté, la dette inventée, des enfants abandonnés dans les rues de Paris, des mères sont démunies, abandonnées dans la solitude des détresses. Paris, les rats parcourent les trottoirs et l’enfant pauvre s’endort parfois sous une tente, où sur un matelas posé sur le bitume dans la capitale du luxe. Les refuges de fortune, la rue, Paris en misère chante la peine. 

Le gouvernement responsable, tourne la page, les enfants oubliés, la machine politique continue inlassablement un système destructeur. Le capitalisme en ordre contre l’humanité, et les premières victimes sont des femmes et des enfants basculant dans l’extrême pauvreté.

Les appels au respect des droits humains fondamentaux restent ignorés. «  Face à l’urgence des enfants à la rue et mal logés, nous, parlementaires et associations, appelons d’une seule voix le gouvernement à prendre des mesures d’ampleur pour mettre fin à cette situation insoutenable et contraire aux droits de l’enfant » a publié l’Unicef le 14 octobre.

« Chaque nuit, en France, plus de 2 000 enfants dorment dans la rue. Parmi eux, des enfants de moins de 3 ans, des nourrissons tout juste sortis de la maternité », rappelle fortement l’Unicef.

Le peuple au silence, les marches de la paix sont effacées, l’espoir mourant, le désespoir courant de toit en toit des ministères à l’Élysée ne comptant plus que les fausses promesses aux systèmes bancaires. Michel Barnier, en marionnette, que la fête des extrêmes droites commence ! Elles, dormant depuis si longtemps dans l’antre des pouvoirs. 

Les réfugiés, migrants chassés, les politiques jouent avec l’émotion des attentats terroristes en guerre latente, la source de la haine ne tarit jamais.Tout revient comme une mauvaise musique, les discriminations, le racisme, l’antisémitisme, les injustices. Tout est à la confusion qu’imposent les manipulations épuisant l’esprit, les escrocs politiques aux discours flatteurs en séducteurs vendant l’économie de guerre, morbide. 

Le capitalisme en Hydre a investi le gouvernement entre injustices et autoritarisme

La politique malade provoque un déséquilibre global, la division, les lois sécuritaires, immigrations, et elle est une menace contre l’humanité exilée sur Terre. L’homme devient l’ennemi, le démuni aux naufrages, le cimetière bleu de la méditerranée, et s’échoue l’embarcation de fortune dans la Manche, où jadis, il y a 80 ans, coulait le sang de la libération, de jeunes donnant leur vie pour la liberté.

Aujourd’hui, la réconciliation est la solution. Les extrêmes droites nous éloignent dangereusement de la paix durable, prennent la liberté en étau, jouent avec les émotions, la douleur et la peur du terrorisme marquant la mémoire collective. 

Le gouvernement Barnier est un leurre. Il n’y a pas de gouvernement, mais les pontes des extrêmes droites en alliance avec des oligarques milliardaires finançant ou soutenant certains médias devenus des organes de propagande. 

L’administration validant l’absurde, les fonctionnaires en tribune d’obéissance, l’argent roi ordonne, tout s’applique à l’obscur où la vie se perd. 

Un peuple au silence, somnambule, et les escrocs politiques, fidèles au poste filent la dette comme un mauvais coton, l’escroquerie majeure qui tient le peuple. Le futur ne peut créer l’argent passé. La dette n’existe pas, c’est une invention des systèmes bancaires. La folie du monde boursier que des oligarques actionnent au gré de leur puissance. 

Mais, ils ont voté pour les extrêmes droites, ils récoltent la haine qu’ils ont semé, et la France tombera demain toujours plus.

Les socialistes de droite en valets, courtisant les rangs marcronistes en rouge-brun, la France aux jeux politiques dangereux pour la démocratie. 

Quant à Marine Le Pen, elle n’a pas attendu Macron pour très bien connaître les réseaux de droite, comme l’État a toujours courtisé l’extrême droite. Ils ont été capables de nommer Papon ministre. 

Les réseaux liés au sarkozisme avaient déjà mis en place la politique actuelle. Les réformes sécuritaires en marché industriel faisant de la sécurité une rentabilité profitant à des oligarques en lien avec le pouvoir.

Il suffit de lancer des discours sécuritaires en pleine campagne, d’imposer des slogans agressifs et discriminants, choisis pour choquer — « racailles », « karcher » — ciblant les populations issues de l’immigration. La violence politique devient alors légitime, habilement manipulée par des médias qui, par malveillance, transforment cette stratégie en une source de profit durable. Des émissions de divertissement diffusent alors la politique-variété qui distrait, et sert en sous-main des réseaux d’intérêts liés au pouvoir. L’usage cynique du sécuritaire fait partie du fonctionnement d’escrocs politiques. 

Un contenu politique d’extrême droite qui s’accélère et s’attache au capitalisme néocolonialisme, à une gestion toxique de la géopolitique, aux méthodes de barbouzes augmentant en compétences de manière croissante des années 1980-1990-2000, jusqu’à nos jours. C’est une continuité, et Michel Barnier n’est que la suite logique, celui arrivant péniblement au pouvoir à 75 ans et de manière illégitime. Celui qui à l’âge de trente ans a voté contre la dépénalisation de l’homosexualité, celui qui depuis 50 ans a participé à faire perdurer le patriarcat et la culture du viol en résultant. Son ministre de l’Intérieur complète le tableau en ayant voté contre l’interdiction des thérapies de conversion. 

Le consentement est un droit humain primordial, que plongent dans le néant de l’inhumanité, les politiques d’extrême droite. Le consentement à l’oubli du système judicaire, et le viol constitue un crime toléré. L’argent, plus puissant que la vie, arme l’orgueil du pouvoir oppresseur. 

La politique est-elle primitive ? 

Les progrès technologiques ont été détournés par la politique, les systèmes bancaires, le monde injuste de la finance internationale et sont devenus une raison de guerre économique, où le mondialisme place l’orgueil des puissants en concurrence. La progression du nucléaire sera conçue par ce mental civilisationnel de la guerre et du marchand. 

Les politiques manipulent les apparences, transformant la réalité en un absurde théâtre où l’exploitation épuisant des ressources naturelles devient la norme. L’agriculture et la pêche, dominées par une industrie implacable, engendrent une pollution massive, privant la vie de répit. Par orgueil, l’homme politique ignore sa propre ignorance, incapable de saisir que la science elle-même dépasse ceux qui la pratiquent, car elle est en perpétuelle recherche, et non une certitude absolue. L’homme reste vulnérable face à la connaissance. Savoir est une force impressionnante, souvent au-delà des capacités humaines. Comprendre ce que l’on découvre est parfois bien plus complexe que de le découvrir.

La science s’est particulièrement développée en quelques décennies, alors qu’elle a été en sommeil durant des siècles. La politique, à l’inverse, n’a pas véritablement évolué et elle se base sur des schémas anciens. Le conservatisme est l’ignorance, et l’instruction ne fait pas la perception du savoir, de prendre le temps d’apprendre à intégrer au sein de la société et de manière équitable les nouvelles avancées scientifiques. Il aurait été d’accorder en premier à la liberté le droit fondamental de se développer. C’est par son mouvement que la société peut progresser en harmonie. 

Les réformes du travail sont obsolètes et injustes et provoquent une instabilité croissante, le machiavélisme du chômage, une arme politique : la pauvreté. L’ombre du monde, la main politique crée les crises humanitaires, et Emmanuel Macron par l’inconscience du pouvoir, le terrible vertige qu’il provoque, a aggravé une crise humanitaire en France.  En 2023, la France détient le triste record européen du plus fort taux d’augmentation de la pauvreté, reflétant l’échec des politiques économiques à répondre aux besoins des plus vulnérables. La même année, le patrimoine cumulé par les 500 plus gros propriétaires d’entreprises et leur famille a été multiplié par 9,4, soit +844 %. Selon le magazine Challenges, en 2023, ces familles enregistrent un total de 1 170 milliards d’euros, quand en 2003, elles représentaient 124 milliards d’euros. 

Sous la présidence de François Hollande, l’augmentation de la fortune des plus riches s’est accélérée, avec Emmanuel Macron parmi ses proches à l’Élysée. Ce glissement des « socialistes de droite » vers une politique axée sur le capitalisme révèle un attrait prononcé pour l’argent et les intérêts des élites économiques. Au cœur de leurs décisions, le capital a pris le dessus, tandis que les violences policières ont été ordonnées pour réprimer les manifestations contre la loi travail. En parallèle, ces dirigeants ont également flatté les politiques sécuritaires prônées par les extrêmes droites, renforçant une dérive autoritaire et antisociale.

En 2017, les 500 plus grandes fortunes atteignent les 600 milliards d’euros. Alors que les conditions de vie se durcissaient pour plus de 9 millions de pauvres, le SMIC restant le salaire ayant deux euros de différence avec le seuil de pauvreté. 

Le socialisme bidon des bourgeois au confort flirtant avec les extrêmes droites, laissait déjà dans la rue des mères et leurs enfants, des mineurs isolés, des femmes sans abri et exposées aux risques multipliés de subir des violences. L’indifférence socialiste courant se faire élire marcroniste par opportunité, manipulant et se flattant d’être « humaniste » en camelot vendant aux badauds un bulletin de vote.  

Les menteurs au « cœur de gauche » côté portefeuille, intégrant les rangs de Macron, sonnaient la précarité pour des mères isolées et leurs enfants sous le seuil de pauvreté, des étudiants pauvres issus de familles vulnérables, les retraités précaires, ainsi que l’exclusion de personnes handicapées sans moyens financiers. L’horloge du capitalisme a continué à tourner sans compassion. Les algorithmes en loi du plus fort tout reste à l’instinct de survie, les dominants et ceux fragiles laissés sur le bord de la route. Une société primitive aux allures de la robotique IA, la politique a détourné l’humanité de son sens : la liberté par l’immensité d’aimer. 

©️ LiberTerra

Macron au centre des pouvoirs illégitimes : La Vème Constitution autocratique, la République des oligarques 

Emmanuel Macron affirme qu’il n’est pas influençable, que le manipulateur arpentant les salons mondains et cupides, Alexis Kohler, n’a aucun effet sur lui, il est donc pleinement responsable de politiques mettant en souffrance des enfants pauvres, des mères isolées. Il est le décideur entouré de systèmes prédateurs qu’il a acceptés. Il garde le pouvoir par le mouvement du fascisme historique conduisant l’Europe. Le fascisme est la première donnée qui menace actuellement l’Europe. 

La France, comme de nombreux pays européens, cultive une bourgeoisie issue des profits historiques réalisés par le colonialisme et l’esclavagisme. Il n’y a pas de bonté, d’empathie, de respect de la démocratie, des droits humains dans la mécanique politique des extrêmes droites. Il y a le pouvoir donné à l’argent. Peu importe comment, le but est de gagner de l’argent, de posséder un pouvoir satisfait des corruptions, des oppressions, discriminations, car ces notions ont une valeur de rentabilité. C’est le chômage volontairement créé en valeur économique et qui maintient une population sous emprise, c’est de ce fait la pauvreté en arme politique, l’invention de la dette, l’autoritarisme d’une économie de guerre morbide, ce qui est inhumain, et entrave la liberté. 

La politique se fait ainsi l’ennemi de la paix, du progrès humanisme en osmose avec la nature. L’industriel devient le mécanisme entraînant un mouvement destructeur, qui sous l’influence d’Emmanuel Macron, dirigé par des oligarques milliardaires et un réseau des extrêmes droites, accélère ce qui détruit, donc le réchauffement climatique. 

Le viol en arme de guerre continue : la politique condamne la paix

Les violences sexuelles ont un fort pouvoir destructeur, pour les victimes, leur famille et la communauté. Les prédateurs, c’est comme des loups lâchés dans la cité, un fléau entretenu par une préméditation politique, cherchant à maintenir une emprise par le traumatisme, la souffrance et un système d’inversion des valeurs.

Un système prédateur utilise ce qui détruit, et en politique, certains ne sont pas des hommes de paix œuvrant pour le bien commun. Ils maîtrisent l’art de la manipulation, soumettant l’esprit humain à une souffrance par la perversité narcissique, et imposant l’omerta pour nier la vérité, incarnant ainsi le mensonge. Dans leur entre-soi, ils se soutiennent entre eux, ne veillent pas sur les droits humains, ne protègent pas la démocratie, la liberté. 

Les violences sexuelles font partie de l’arsenal des violences politiques, d’une construction patriarcale de la société. Les politiques ont négligé la moitié de l’humanité, car elle est une femme. 

Les mécanismes des prédateurs sont connus et scientifiquement analysés. 

En 2001, un rapport a été remis au gouvernement, révélant les conséquences graves des violences sexuelles et conjugales sur la santé des victimes de violence sexuelle dont : l’AVC, le cancer, la dépression, le suicide, … Des risques qui exigent une réponse urgente de l’État pour protéger les femmes et les enfants de ces violences inhumaines. Pourtant, rien ne fut fait. (voir – article LiberTerra)

Par ailleurs, le capitalisme européen, héritier du fascisme historique, poursuit sa progression. En France, les violences à l’encontre d’enfants et de femmes ne cessent de se poursuivre dans un système global de violences économiques, politiques et de guerre contre la nature, le climat. 

Les politiques mettant en avant de fortes discriminations, un racisme omniprésent, ne lutteront strictement jamais contre les violences, mais porteront la haine. Dans ce climat, les femmes et les enfants restent les plus vulnérables, exposés aux violences sexuelles et intrafamiliales, tandis que la société, par le biais de la politique, continue à cultiver le déni. 

Le cri des mères isolées : victimes de la précarité et de la corruption politique

Des mères isolées, un million d’entre elles vivent sous le seuil de pauvreté, selon le rapport du Secours catholique 2023. Les femmes, mères isolées, subissent un état de survie permanent. Ce sont également les salaires précaires, le SMIC, qui maintiennent un niveau de pauvreté traumatisant. Des vies innocentes sont contraintes, confinées, en souffrance, c’est le résultat de politiques d’humiliation réduisant l’espérance de vie de 20 ans. Des survivantes de violences, mères isolées et précaires ont aujourd’hui, concrètement, leur santé mise en danger. 

En raison des choix économiques des gouvernements successifs d’Emmanuel Macron, elles ne parviennent plus à s’en sortir, portant seules le poids de leurs familles, et de lourdes responsabilités. Pendant ce temps, la société continue de favoriser une minorité de privilégiés, dont les politiques, une pseudo élite suffisante, ainsi que les milliardaires et les héritiers millionnaires. 

Des mères isolées, victimes de précarité par la violence et les mensonges politiques, n’ont plus les moyens de se soigner, de s’alimenter, de se loger, de travailler, selon le respect de la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans un système mettant en place tout ce qui renforce un capitalisme acharné. 

Des femmes, des mères isolées et leurs enfants – leur liberté est encore traumatisée par des décideurs politiques, la résilience qu’elles ont construite en ne comptant que sur elles-mêmes, est mise en danger par le pouvoir disproportionné de gouvernements jamais élus par le peuple, et décidés en fonction des réseaux d’intérêts et d’influence, d’argent, les corruptions en socle des pouvoirs. 

La politique vend l’espoir et ce furent les États généraux de la justice, le Grenelle des violences conjugales, transformant l’espoir en désespoir. Malgré les promesses de réformes, les plaintes pour violences sexuelles restent ignorées par la justice qui se fait l’autre violence, imposant des traumatismes supplémentaires. Les plaintes sont rejetées à hauteur de 94 % par le système judicaire condamnant 0,6 % d’agresseurs tous les dix ans dans un pays où toutes les six minutes une femme est victime d’un viol ou d’une tentative de viol, et où toutes les trois minutes, un enfant subit des violences sexuelles. 

D’autre part, les viols conjugaux sont perçus au sein de la culture patriarcale dominante comme un droit masculin, une sorte de privilège seigneurial toléré par le système judiciaire qui n’est pas la justice. Dans de nombreux cas, même lorsque le partenaire intime reconnaît les faits, il bénéficie souvent d’une relaxe. Cette impunité souligne la défaillance du système, le non-respect de conventions internationales, du droit international humanitaire, et de l’ancrage des normes patriarcales qui minimisent la gravité des violences, laissant des victimes dans un état d’abandon et d’invisibilité. Un prédateur déshumanise sa victime, le système fait de même. 

Je reprends le fil de la mémoire traumatique, et ce sont deux prédateurs, qui en France, sont comme les trains, l’un peut en cacher un autre, qui par la politique sont en lien, et qui à Bordeaux blesseront infiniment par leurs violences.

C’est ce « mari », ainsi nommé par l’agresseur bordelais, qui active son pantin en loup, glissant dans un thé, cette drogue, celle qui ne sera jamais déterminée, et le corps inerte de la poupée de chiffon, sur qui, il a fait pesé tout son poids, étouffant, traumatisant, blessant à vie une femme. Lui poussant avec son ventre, mordant les lèvres en embrassant de force, entre autres de sa violence  contre une poupée de chiffon épuisée, ne tenant même plus assise. La force de tenir, encore, de penser à mes enfants, qu’ils ont besoin que je sois forte. La douleur extrême, le complice de cette agression est celui ayant martyrisé des grossesses, ayant maltraité ses propres enfants. Aucune justice ne sera. La justice toujours absente, le préfet de Bordeaux alerté, et les témoignages demeurent à l’oubli. On ne dérange pas le politique, on lui accorde le droit de détruire. 

Deux prédateurs protégés par le système et le monde politique, trinquent ensemble au bar de leurs ivresses jouant à la roulette russe la vie d’une femme, qu’ils ont tous deux agressée. 

Les prédateurs et leurs points communs, ils se reconnaissent entre eux. Le « mari » complice, les viols et maltraitances qu’il a commis durant des années, ne lui ont pas suffi, sa proie en vie par ses propres forces, les témoignages effacés par un système judiciaire indigne et cruel, il s’est dit qu’il pouvait tuer. 

Une agression de celle qui tue, et je m’ordonne de taire la souffrance pour pouvoir donner toutes mes forces à mes enfants. L’environnement politique de ces deux prédateurs connaissait leur irrespect des femmes, de la vie, et leurs capacités à traumatiser des enfants. Les agresseurs agissent en connaissance du système, des violences coercitives à l’encontre de survivantes, mères isolées qui n’ont aucun accès à la justice, qui ne peuvent assurer le coût financier de procédures dans une justice de discrimination, du riche et du pauvre, de puissants contre le démuni. Des agresseurs pleinement conscients et responsables, maîtrisant les failles du système et l’impunité offerte aux prédateurs. 

Une balle en plein cœur, les agressions multiples, être traumatisée pour être encore traumatisée, et l’indicible indifférence de politiques, du public d’hommes malintentionnés, des avocats gravitant autour, et sachant de longue date, qu’ils sont des prédateurs. Un mot inconnu, je n’avais jamais qualifié un homme ainsi, avant qu’une avocate bordelaise le prononce concernant l’agresseur bordelais qu’elle connaissait bien avant, et affirmant, « c’est un prédateur ».Tous savaient et aucun n’a agi pour aider, pour protéger. La perversité narcissique et l’omerta, la mafia patriarcale au sein des pouvoirs politiques, des élites, du système judiciaire.  

Ainsi, même si le but est louable, la commission parlementaire sous l’égide du patriarcat, Michel Barnier, contre les violences sexuelles commises par des prédateurs, dont ceux en cols blancs, glissant une drogue dans un verre, aura un goût amer. La coupe est pleine, nombre de survivantes ne seront pas dupes. Il y a comme un léger ras le bol des marcronistes soutenant un gouvernement d’extrême droite et jouant les « sauveurs », quand dans leurs milieux, certains n’ignorent pas qui est le prédateur bordelais, alors chargé de mission, politique, jouant à ses heures, « c’est mon cœur de gauche », comme il s’amuse à dire, à manipuler. Il connaît l’indifférence glaciale de certains politiques et élus -es de son environnement, à l’encontre de femmes victimes de violence.

Deux prédateurs en vadrouille, les plaintes éteintes. La plainte dont pour viols conjugaux – une femme enceinte de 7 mois et alitée sur ordre médical, a été déposée, il y a 6 ans – alors qu’un policier avait refusé de prendre la plainte quelques années auparavant, Devoir témoigner encore et encore, en vain.

Les femmes « d’en bas » ont leurs droits humains bafoués, peuvent être agressées dans la plus grande indifférence des politiques, faisant de tout de la communication, et non une véritable lutte contre les violences sexuelles. 

Classées sans suite, oubliées dans un tiroir politique, humiliées, culpabilisées, déshumanisées, des milliers de femmes en France subissent chaque année, le système de la culture du viol qui persiste année après année. Rappeler à ceux qui l’ont oublié  leur conscience. Les députés -es à plus de 7 400 euros par mois et leurs privilèges faisant de leur salaire, leur argent de poche, pourront avoir l’obligeance de ne plus vendre de l’espoir aux survivantes.

Des survivantes, des mères isolées, survivent, gardent leurs forces pour tenir, dépasser, avancer. Inutile de mettre toujours le stress post traumatique en alerte, de sur traumatiser par des promesses qui ne seront pas tenues, un système judiciaire qui reste immuable. Les États généraux de la justice ont clos les possibilités de mettre en œuvre une justice réparatrice. Le système ne condamne que l’innocence, en servant l’impunité à des prédateurs, et laissant les larmes brûlantes aux yeux de femmes et d’enfants.  

Elles ont assez souffert, connaissent le système, la violence de la justice. Éric Dupond-Moretti a tout compris au système, mais absolument rien au sens de justice. 

Les députés macronistes, comme de droite traditionnelle, ont accepté les réformes considérant le viol comme un crime inférieur et relégué aux cours criminelles départementales, quand il n’est pas considéré comme un simple délit et correctionnalisé, ou classé sans suite, autant que les violences conjugales, et les viols conjugaux, légitimés par le droit seigneurial. 

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Quand la politique trahit les plus fragiles : lutter pour la paix, une société équitable 

Le système judiciaire a coulé sa première pierre dans le droit de vie ou de mort hérités de l’absolutisme. Pour véritablement progresser, il est nécessaire d’en faire table rase et de bâtir ensemble, avec le peuple, une justice nouvelle inspirée par la paix et la liberté, sans discrimination ni impunité des agresseurs. 

Refondre profondément nos sociétés, libérer les pays de l’étau de la politique, porter les alternatives d’une économie équitable, construire la solidarité par le peuple, les marches pour la paix, tout ce qui peut la manifester.  N’avoir jamais à se demander ce que l’on aurait pu faire pour éviter l’autoritarisme, ce qui est inhumain, car on l’a fait. La volonté de la paix doit être l’inspiration populaire, la réconciliation, l’objectif des peuples. 

Tant que la politique condamnera la liberté, alors qu’elle est l’essence de la vie sur Terre, l’humanité sera en errance, car elle s’éloigne de sa naissance, la voix de la paix universelle soufflant sur son berceau.

Fédora Hélène

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