L’Histoire oubliée, la vérité trahie : le retour du fascisme
Le fascisme, un mot chargé d’histoire, revient aujourd’hui avec insistance dans les discours politiques et médiatiques en France. Il ne se présente plus sous la même forme qu’autrefois, mais il conserve son essence : une idéologie qui détruit, déshumanise et divise.
Dans un monde en crise, où la violence, le mensonge et les manipulations politiques prennent le pas sur la justice et la vérité, la paix semble de plus en plus fragile. Comme l’eau qui hydrate et fait avancer, l’amour et la justice sont essentiels à l’humanité – mais que se passe-t-il lorsque l’on assèche ces valeurs fondamentales ? La crise de l’eau devient alors le symbole d’un déséquilibre plus profond : celui d’un monde où la clarté, la sincérité et la fraternité disparaissent au profit du chaos et de l’oppression.
L’histoire nous enseigne que le fascisme prospère sur les cendres de la vérité et la peur des peuples. L’oublier, c’est risquer de raviver cette flamme destructrice.
Aujourd’hui, des enfants vivent le tragique de la guerre. Comment pourrions-nous penser vivre dans l’indifférence, le silence des lâchetés ?
Il est un silence qui édifie la dignité humaine : le silence des souffrances.
Les enfants innocents de Gaza tremblent, leur visage couvert de la poussière des bombardements. Leurs corps endormis sur la pierre, le sol brûlé, une colombe au ciel rappelle à l’humanité sa conscience.


Les interactions et interconnexions politiques : le fascisme en marche
Bruno Retailleau, un homme du mouvement de l’extrême droite

La laïcité n’est pas la haine
Il est nécessaire de se mobiliser contre la montée des politiques d’extrême droite au sein même du gouvernement. Les révélations sur Bétharram illustrent tragiquement la réalité d’une culture réactionnaire qui dicte des lois contre la liberté et pour l’enfermement.
Une droite reconnue comme très sexiste par le HCE.
Les femmes n’ont pas à subir des interdictions, une oppression constante et renforcée. Un patriarcat d’extrême droite catholique qui instrumentalise la laïcité !
Où est le respect des Conventions internationales pour les droits des femmes dans des lois radicales et racistes ?
La France a besoin de bâtir ce qui est juste, de faire vivre ensemble une société fondée sur la paix et la liberté.
« Nous n’avons qu’une planète pour vivre. Nous devons nous comprendre et nous respecter, vivre en paix les uns aux côtés des autres et illustrer ce que nos traditions respectives nous offrent de meilleur. Ce n’est pas aussi simple que nous le voudrions. Raison de plus pour nous y employer avec plus d’ardeur, y mettre tous nos moyens et y engager tout notre cœur. » Kofi Annan
Être humain, c’est savoir engager notre cœur. Cela dépasse la politique : c’est une question d’humanité. C’est cela, la véritable liberté.

La France est face à son obscurité
Retailleau semble effectivement jouer un rôle central dans la stratégie droitière des Républicains, multipliant les prises de position identitaires et autoritaires. Son slogan « À bas le voile » s’inscrit dans une logique de stigmatisation des femmes musulmanes sous couvert de laïcité, dans un contexte où la droite et l’extrême droite cherchent à instrumentaliser la question du voile pour fracturer encore davantage la société.
Quant à Macron, son silence ou son manque de fermeté face à cette radicalisation est révélateur. Depuis son second mandat, il semble avoir choisi de ne pas s’opposer frontalement à l’extrême droite, voire d’en reprendre certains thèmes, contribuant ainsi à la normalisation de ces discours.
Le phénomène dépasse la France : en Europe et aux États-Unis, la montée du fascisme est une réalité inquiétante, portée par des figures comme Meloni en Italie, Orban en Hongrie, ou Trump aux États-Unis. Retailleau, en célébrant cette tendance, montre où se situent aujourd’hui ses références idéologiques.
Au même moment, l’ extrêmes droites se réunit en Israël en soutien à Netanyahu.
Mayer Habib, représentant de l’extrême droite au sein des Républicains (anciennement UMP), évolue en naviguant sans scrupule dans un fascisme décomplexé, à l’image d’Horizons, l’aile ultraconservatrice d’Édouard Philippe, qui manipule habilement l’image du « démocrate ».
Les arrivistes, prêts à tout, jouent de l’ignorance entretenue par les médias et l’Éducation nationale, avec son roman sur l’égalité des chances. Pendant ce temps, les enfants pauvres restent une manne corvéable et manipulable, destinés à survivre avec un salaire minimum sous le seuil de pauvreté.
Le fascisme domine la politique, l’aristocratie en tient les ficelles, l’inhumanité en est la règle.
L’étrange théâtre du mensonge : la politique y excelle, occupe la scène, tandis que la justice, en détresse, s’y éteint. L’arbre coupé, plus rien ne veille sur l’humanité.
Israël, la promesse évanouie
La Terre de la paix, elle a été un rêve. Aller en Israël pour vivre cette aventure de la nouvelle fraternité. Une jeunesse traumatisée par la Seconde Guerre mondiale, par la barbarie nazie, voulait plus que tout la lumière de la paix universelle pour éclairer le monde.
Israël portait l’espoir dans le cœur des innocents.
La Shoah, l’éternelle douleur, les enfants prisonniers dans les camps de la mort, des femmes, des hommes, toute l’humanité périssait. Comment pouvions-nous nous relever de ce 20 ème sanglant ?
Tout a continué, le nazisme n’a pas été anéanti. Il a marqué la mémoire et l’homme a fui en construisant une société exclusivement technologique, pendant ainsi évoluer et dépasser son cauchemar, son auto-destruction.
Mais, il fut la bombe atomique, Hiroshima et Nagasaki. Tout était alors encore perdu de la paix.
Les longs hivers, et la politique a repris les chemins de poussière, menant les guerres coloniales, massacrant des civils, l’Algérie blessée.
L’ignorance a fait le colonialisme qui se poursuit et repose dans les mains de quelques milliardaires, oligarques gardant l’extrême droite pour pouvoir, tordant leurs actions visant à renforcer l’esclavagisme moderne. L’argent est devenu le canon détruisant des villages autochtones, mettant en péril les ressources naturelles, convoitant les terres rares, s’alliant à des États. Cette invention humaine, que l’on regarde comme si elle était l’Olympe au cœur de nos sociétés, ces oppresseurs politiques déguisés en divinités modernes.
Ce monde fou dépourvu d’amour, à l’ivresse de l’orgueil politique, de l’illusion de pouvoir par la cruauté.
L’industrialisation de la guerre. La machine avance sur des rails d’acier,traçant des cicatrices profondes dans la terre. Dans son sillage, les trains de l’horreur emportent femmes et enfants vers l’abîme des camps.
L’industrialisation de la mort. La technologie a trahi sa promesse : elle ne sauve pas les hommes.
Nous pleurons encore les Justes, l’âme pure des enfants évanouis dans l’enfer nazi.
Le temps est passé, mais il est : souviens-toi.
Le train et le voyage en nous-même. Le paysage que l’on voit les yeux fermés défile. Le train immobile vogue dans l’illusion du temps. La destination n’est autre que notre propre décision se concrétisant dans l’éphémère passage.
Tout disparaît. La terre ne gardera rien de ces cicatrices. La mer en lac calme, il n’est plus à sa surface le soleil de l’humanité se couchant, ce rouge sang des soldats inconnus, jeunes du D.Day.
Normandie et au loin, la statue de la liberté regarde les migrants débarquant à New York, comme elle salue les naufragés.
Raphaël Glucksmann devrait savoir qu’on ne réclame pas ce qui a déjà été offert en cadeau aux États-Unis.
Les Américains ont besoin du symbole de la statue de la liberté pour lutter contre le fascisme.
Mais Raphaël Glucksmann oublie-t-il ces jeunes Américains ayant donné leur vie pour libérer la France ? Une France qui, sans leur sacrifice – ainsi que celui des soldats venus des colonies françaises – ne parlerait peut-être pas allemand aujourd’hui, mais russe.

Car c’est Staline qui a mis Hitler à genoux. Ce sont les Russes qui sont entrés les premiers dans Berlin.
Macron oublie-t-il qu’en 1944, les chars russes auraient pu défiler dans Paris ?
La France, ruinée par la guerre, déshonorée par la collaboration et l’ombre du nazisme, a préféré tourner la page sans jamais vraiment la lire. Ils ont oublié Drancy. Oublié Papon, pourtant nommé préfet de Paris. Oublié le massacre des manifestants algériens le 17 octobre 1961. La répression policière a perduré, et les institutions françaises n’ont jamais été profondément refondées.
Papon, ministre sous Giscard d’Estaing …Qui aurait osé dire alors que le fascisme logeait encore à l’Élysée ?
Les branches de l’extrême droite lourdes et abondantes des fruits de la colonisation, d’un enrichissement continuel, le système financier a grandi à l’ombre de l’esclavagisme moderne et du pire de l’Histoire.
L’inhumanité a pris un pouvoir considérable en politique. Depuis la nuit des temps, l’homme qui tue son propre frère a compris son pouvoir : donner la mort, et triompher d’elle par le néant de lui-même.
Le néant n’existe que dans le tourment des hommes. Il naît de leur refus d’aimer, se nourrit de leur chute.
Le néant n’existe pas. Il vit à l’intérieur de l’âme de ceux qui font le mal, là où ils excluent Dieu.
L’homme libre, en bien comme en mal, fait un choix : s’élever vers la lumière et la paix, ou s’effondrer en lui-même, creusant le fossé de sa propre misère.
Il peut embrasser l’enfer, blesser l’innocence, éteindre la flamme, le souffle de l’amour vivant en lui.
Mais Dieu, dans sa grâce, lui offre le pardon, gardant près de lui la vie qui lui a été donnée. Car la vie ne peut être touchée.
Ressusciter, c’est cela : ce qui appartient au divin, la véritable liberté.
Sans elle, le monde n’aurait pu prospérer. La vie s’épanouit librement, naissant d’elle-même, semant son essence en toute chose. Le monde est vivant.
Les femmes portent la vie.
Elles furent alors perçues par des hommes malintentionnés – ceux qui ruinent leur âme à la guerre, transpercent l’humanité de leur épée et traumatisent la liberté – comme des êtres resplendissants de la joie de vivre et qu’ils jalousent horriblement. Elles incarnent la force, la douleur dépassée, le cri de la vie jaillissant de leurs entrailles. Femmes bénies.
Les femmes au front, en première ligne à subir la méchanceté d’hommes à la puissance de la guerre. Ils tuent. Ils détruisent tout. Appauvrissent sans remords leurs semblables, inventent l’argent pour autorité décidant du droit de vivre.
L’école elle-même devient cet enseignement de la misère, des injustices qu’elle impose. Les enfants riches doivent paraître plus intelligents, possédant des titres, le savoir, les biens et le pouvoir.
La France n’échappe pas à la règle des inégalités. Le pouvoir demeure entre les mains d’une noblesse masculine, qui n’accorde une place aux femmes que si elles acceptent la violence du patriarcat et ne s’opposent pas à ses décisions. Elles peuvent s’asseoir à la table du pouvoir, à condition de rester dans le silence des hypocrites.
Le fascisme reste la pièce maîtresse du pouvoir qui exprime continuellement la valeur de la guerre. Il ne saurait être autrement.
La pauvreté, arme politique, le néant du pouvoir.
Sa concrétisation est la culture de la pauvreté. Le pouvoir politique règne par la maltraitance. L’humiliation de la faim, des femmes et des enfants subissent cette souffrance.
Des vies traumatisées, la guerre de la faim et de la soif attaque sans bruit des enfants. Les bombardements en rage les couvre de poussière. Ce désert, ils ont tué le printemps, brulé les champs de culture, les oliviers et vergers.
Les enfants de Gaza sont profondément choqués, traumatisés, blessés et tués.

Jamais nous n’aurions pu penser que le vent de la haine viendrait d’Israël.
Israël devait être l’espérance, la paix, la fraternité. Les politiques ont tout dévasté. Et, la France sombre-t-elle dans le fascisme ?
Le Front National aurait dû être interdit dès le début.
Ils ont gardé le Front National dans leurs rangs politiques, alors que Jean-Marie Le Pen a commis des actes de torture et possédait un poignard nazi.
Ils sont même allés jusqu’à lui rendre hommage lors d’une cérémonie religieuse, comme si de rien n’était.
Il faut leur rappeler le RNP et le négationnisme cultivé au sein du Front National.
Ne jamais oublier les résistants et les Justes. Donner leur vie pour la liberté, cela a été pour eux une évidence. Quelle vie aurait été possible noyée dans le puits de l’obscurité ? Quel rêve aurait survécu à l’acceptation des camps de la mort ?
La guerre inflige la torture et la mort. C’est elle tout entière qui doit être anéantie. L’humanité relevée, le monde libéré de la politique.
La venue de l’extrême droite en Israël
Je ne peux que parler avec mon cœur.
C’est une honte profonde. C’est choquant.
Il faut leur rappeler le RNP et le négationnisme cultivé au sein du FN.





L’obscurité couvre le ciel.
Des enfants sont blessés, anéantis sous les bombardements à Gaza.
Les Républicains sont la honte de la société, et il a été requis contre leur mentor, Nicolas Sarkozy, sept ans de prison dans l’affaire Kadhafi.
Pendant que Rachida Dati fait face à une plainte pour corruption.
Pendant que le barbouze Philippe Palat, proche il fut un temps du Front National et du parti, Les Républicains, se promène librement, alors qu’une plainte pour viols et violences a été déposée contre lui il y a six ans.


Marine Le Pen se souviendrait-elle de Philippe Palat ?
Les témoignages remis à la justice ont rapporté les injures racistes et antisémites qu’il a hurlées contre une mère et ses enfants. Les injures qu’il a proférées en allemand. Ce chaos de violence a imposé la douleur. Le temps ne l’efface pas. C’est la force de vivre qui lui résiste.
La haine
Le fascisme se définit par le tragique de ce qui détruit et déshumanise.
La justice en détresse.
Les manipulations politiques dominent, le mensonge dévaste la paix, sème le chaos, dépossède l’humanité de son esprit.
Tout devient cauchemar. Tout devient barbarie.
Faut-il avoir subi le fascisme pour comprendre, pour savoir ? Le cœur de l’humanité, la fraternité, devraient suffire à l’anéantir, à ne jamais maintenir la braise sous ses cendres.
L’extrême droite et les actes de torture en Algérie. L’inhumanité de la politique coloniale hante toujours la France.
La Seconde Guerre mondiale et le chaos politique révèlent que tout, de cette Hydre, est fasciste.
Du capitalisme au soviétisme, du nazisme aux totalitarismes, ils ne tirent leur puissance que de la guerre, de ces hommes drogués, saoulés, partant tuer leur prochain au nom du nationalisme.
Détruire la vie d’une femme en la martyrisant, c’est commettre un crime contre l’humanité.
Un crime que l’on tait, qui glisse d’une ombre à une autre, dans un pays en guerre comme dans un pays stable.
La politique a marqué la mémoire de l’humanité par le sang des martyrs.
Lorsque Nelson Mandela parlait du combat pour la liberté, il exprimait la parole de tout son être.
« Rendre juste. »
Cette volonté est une ode à la vie. Les témoins, libérant leur chagrin, laissent leurs voix déclarer une vérité implacable : le fascisme détruit la vie.
Leur corps, uni à leur esprit, témoigne de cette violence qui ronge l’humanité : raciste, antisémite, patriarcat, autoritarisme.
L’amour relève tout
Rien n’effacera la longue peine, rien n’effacera la douleur, mais tout resplendira de liberté.
L’amour s’est posé sur Terre. Dieu a façonné le cœur de l’humanité,
Il a fait une promesse à la vie : celle du jour.
La renaissance s’écrit à chaque aube, jusqu’à ce que l’homme lève les yeux et voie la lumière.
La promesse a été donnée, l’humanité en est responsable et doit veiller sur elle.
Fédora Hélène

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