Le silence complice des élites face à la cruauté infligée aux enfants, à Gaza comme en France, révèle une violence institutionnelle profondément enracinée.
La justice est politique en France.
L’intervention de François Bayrou dans un dossier judiciaire ?
Rien d’étonnant, rien de nouveau.
Ceux qui évoluent dans les milieux politiques, médiatiques et judiciaires le savent parfaitement.
Combien de dossiers d’instruction Philippe Palat a-t-il eus entre les mains ?
L’homme protégé, jamais inquiété, alors qu’une plainte, notamment pour viols, est déposée depuis six ans.

Silence. Omerta
Philippe Palat connaît trop bien ces réseaux pour ne pas comprendre qu’il pouvait s’autoriser l’extrême violence.
Il savait qu’il pouvait commettre des violences conjugales criminelles sans crainte. Parce que le système le protège. C’est le système français.
Cruel, fondé sur le mensonge, et qui ne change pas.
Dans un pays, où des politiques, des journalistes, des avocats regardent sans jamais agir, un homme violent maltraiter, agresser une femme, y compris enceinte.
Un homme violent qui prend un couteau pour le pointer vers le corps de sa conjointe en lui hurlant à plusieurs reprises « je vais te tuer». Cela devant les enfants.
La justice toujours absente.
Ensuite, il part s’amuser dans des bars, dont ceux où traînent son milieu de pouvoir.
L’indifférence de tous, leur inhumanité.
Philippe Palat, barbouze, fait partie de ceux pour qui Marie Trintignant était coupable.
Il a connu Maurice Trintignant, qui ignorait qui il était réellement.
Dans le Gard, où vivait Maurice Trintignant, Philippe Palat en lien avec des politiques, a commis violences sur violences conjugales. Tous savaient, y compris la justice.
La justice, dont à Nîmes, pourrait se rappeler du barbouze, Philippe Palat.
Honte aux quelques journalistes, qui durant des années, étaient en contact avec lui, à la recherche du scoop. Ceux, ensuite, l’invitant au sujet de l’affaire Yann Piat, députée assassinée. C’est aussi cela le milieu médiatique.
Il se disait alors « grand reporter » à France soir. Sa pseudo enquête plus que trouble et manipulée.
Philippe Palat qui est très violent face à une femme qu’il déshumanise, méprise. Mais qui perd son pouvoir prédateur face à la problématique Perletto, dans l’affaire pour laquelle il disait enquêter, l’assassinat de la députée Yann Piat.
Tous ces réseaux politiques, le journalisme opaque, loin de toute paix et vérité. Quelques avocats et magistrats politisés, le poids de l’État, les milieux interconnectés en réseaux distincts et croisés. La violence y circule en permanence.
Ils ont invisibilisé une femme, qui n’était pas de leur milieu, et plus qu’une poupée de chiffon entre les mains d’un imposteur, un homme tyran, le journaliste Philippe Palat. Il pouvait la maltraiter à sa guise. Une femme qu’ils considèrent toujours comme un objet.
Il leur faudrait du courage pour changer. Ce n’est pas leur cas.
Philippe Palat traîne dans ces milieux depuis les années 1980. Il était déjà connu à Toulouse pour être un barbouze sans scrupule, un escroc et faussaire. C’est son passeport pour naviguer dans des réseaux politiques.
Ce n’est pas un hasard, si la liberté de la presse. en France, se situe au 24 ème rang mondial.

Certains journalistes se souviendront de leurs bières en terrasse avec Philippe Palat. Ils savaient. Ils savaient qu’une femme, une mère, et ses enfants subissaient, sans plus de refuge, sa violence inouïe. Et ils se sont tus. Comme ils le feront toujours.
Ils ne peuvent pas tenir le comptoir en sa compagnie et vendre leur fond de commerce. La conscience n’est pas à la carte.
Quant à ceux qui désirent aujourd’hui exploiter les témoignages d’une femme qu’ils ont toujours méprisée – alors qu’ils savaient – pour sortir “l’affaire” à leur nom, qu’ils se souviennent : un être humain n’est pas un produit. Ni un coup médiatique.
Sans évoquer ceux parlant de ses « prouesses » de barbouze. Et, oubliant, la réalité de ce monde politique, médiatique et judiciaire. Ce monde où a évolué PPDA, qui s’est très bien qui est Philippe Palat.

Il y a eu la violence terrible du tyran et celle de son milieu. Leur indifférence glaciale.
Des enfants meurent chaque jour à Gaza, dans une cruauté brutale. Et le monde se tait.

Comment fait, Emmanuel Macron, pour être aussi machiavélique ?
Un pays qui ne protège pas ses propres enfants ne protégera jamais ceux qui souffrent ailleurs, au cœur de la guerre.
Bayrou n’est pas une victime du système. À quelques kilomètres de chez lui, il était à Betharram, année après année, des enfants en souffrance. Comme il était des mères et leurs enfants en grande vulnérabilité, seuls face à un prédateur dans leur propre maison – quand le foyer doit être un refuge, et qu’il n’est plus que le domaine d’un tyran. Que les politiques savaient toute cette douleur, et ils n’ont écouté que leur cœur de pierre, autant que leurs amis magistrats.
Pourquoi la France est-elle surnommée « pédoland » ? C’est le pays , où les prédateurs sont rois. Des tyrans qui détruisent des vies en toute impunité.
On parle de Bayrou car il est une figure politique, mais pas de tous ceux qui ont agi comme lui.
Sa fille, qui a gardé le silence pendant des décennies, n’est pas seule. Des enfants devenus adultes ont gardé en eux cette blessure.
Ce sont aussi des centaines de milliers de femmes et d’enfants survivants de violences, dans leur propre foyer et à l’école. Des femmes ayant subi des violences tout au long de leur vie. Leur humanité effacée, leurs témoignages enterrés. Et, personne, encore aujourd’hui, n’est là pour les soutenir.
Cette violence lente, silencieuse, destructrice… la justice savait. Les politiques savaient. Les journalistes savaient.
Et ils ont laissé faire. Ils ont laissé des prédateurs détruire des vies.
Le « pater familias », cette règle d’or conservatrice encore dominante en France, a été soutenue par des politiques comme Bayrou.
C’est aussi le courant des réseaux de Philippe Palat, qui ne s’est pas installé à Lourdes par hasard.
Philippe Palat à Lourdes, les réseaux politiques, la justice informée des violences, et cette froideur institutionnelle… On parle des dossiers politiques ? De son incarcération à Tarbes.
Par contre, quand il est des violences conjugales criminelles, la justice ne s’en inquiète absolument pas.

Depuis des années, le témoignage d’une mère déshumanisée est noyé dans l’indifférence.
C’est un mental de pervers narcissiques qui règne en France.
Macron dit ne pas vouloir reconnaître la Palestine “dans l’urgence”. Il la reconnaîtra quand Gaza sera en ruines ?
Des enfants meurent chaque jour. Ce n’est pas une urgence ? Et il parle de « solution politique »… La solution est profondément humaine.
La bourgeoisie provinciale obscure, rongée par le mensonge et la violence froide comme à Amiens. Pau. Comme à Lourdes.
Que Bayrou ne s’inquiète pas. Ils resteront tous les dominants, les héritiers, propriétaires, ministres, entrepreneurs exploiteurs, critiqués par Attali, maires, sénateurs, députés, oppresseurs …. Comme leur ami, Gérard Larcher.
Il est temps d’ouvrir les yeux.
Il est temps de dire les choses.
Il est temps de protéger les enfants.
De protéger des femmes et des filles qui subissent dans l’indifférence le calvaire des violences conjugales, sexuelles, coercitives. Pour tous les survivants anonymes dont la justice a bafoué les droits humains.
La France doit se libérer d’une lourde souffrance qui perdure. Voir la clarté, faire preuve de bonté.
La V ème République est obsolète, injuste, monarchique et autoritaire. Il est tant de créer la VI ème République.
Pour une démocratie ouverte, une économie des droits humains, une justice claire et solidaire des plus vulnérables. La confiance doit revenir et unir.
La seule véritable puissance légitime pour gouverner, c’est l’amour de la vie. Savoir que chaque être humain est précieux, que la vie des femmes, la moitié de l’humanité, compte, que les enfants sont ce qu’il y a de plus précieux à protéger.
Fédora Hélène



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