Réfléchissons tous la paix – Être sa lumière
En France, pays des Droits de l’Homme, des enfants dorment sous des tentes, sous les ponts, dans des voitures, ou dans des bidonvilles insalubres. Des bébés vivent dans la rue, avec leurs mères, abandonnés par l’État. Emmanuel Macron avait promis qu’aucun homme, aucune femme, aucun enfant ne dormirait dehors. Cette promesse, comme tant d’autres, est restée lettre morte.
En 2017, Emmanuel Macron avait promis : “Je veux que d’ici à la fin de l’année, plus personne ne soit contraint de dormir dans la rue.”
En 2024, la réalité est inversée : les bidonvilles s’étendent, les campements sous les ponts s’installent en plein Paris, à Lyon, à Lille… Des familles entières dorment sous des tentes, au milieu du froid, de la boue et de l’indifférence. Des enfants, y compris des nourrissons, vivent sans toit dans la deuxième puissance économique d’Europe.
L’UNICEF alerte, les associations crient à l’urgence, mais l’État demeure sourd. Le pouvoir en place a trahi sa parole, affaibli les droits humains, et laissé prospérer un système qui détruit la vie des innocents.
Ce même pouvoir nourrit une dynamique réactionnaire dangereuse : sous des discours flous, Macron alimente une recomposition politique autoritaire. Il joue avec le feu, en rapprochant l’appareil d’État de forces d’extrême droite et de courants néofascistes.
Les Républicains, le Rassemblement national, des cercles néolibéraux extrêmes : tous s’installent dans un paysage politique en plein effondrement. Le mensonge y règne, la perversion y prospère, la justice y meurt.
Face à cela, nous devons dire : Assez.
Nous devons affirmer une autre voie : la voie de la paix, de la justice véritable, de la protection de chaque enfant, de chaque vie humaine.
Ce texte est une tribune. Un cri. Un acte d’engagement.
Il dénonce la maltraitance institutionnelle, les placements abusifs d’enfants, l’inhumanité de la justice, la pauvreté organisée, et la violence politique qui broie les plus fragiles. Il dévoile une France qui trahit les siens, en particulier ses mères et ses enfants, une France gouvernée par des élites froides, des politiques réactionnaires, et une culture autoritaire aux relents féodaux.
Dans ce climat d’oppression, de surveillance, de mensonge, de mépris, il devient urgent de bâtir un nouveau projet de société. Une VIe République fondée sur la paix, la justice, la protection de l’enfance et la responsabilité réelle des institutions.
Ce texte appelle à l’insurrection des consciences. Il invite à former, ensemble, un mouvement vivant pour la paix, la dignité, l’amour, et la vérité.

La paix crie au secours !

Un pays qui ne protège pas ses enfants ne protégera rien, ni personne.
La justice française agit de manière cruelle envers des mères et des enfants.
Associations et avocats luttent pour que cette maltraitance institutionnelle cesse. Mais ils ne pourront agir si l’engagement de tout un pays est absent.
Alors qu’il y a eu les révélations de Betharram au grand public, aucune manifestation, au moins en Occitanie, n’a eu lieu en soutien aux victimes.
Il apparaît que, depuis des décennies, des politiques, notables, membres de la justice et quelques citoyens étaient informés et ont laissé faire.
D’autre part, sur la problématique fondamentale des mères protectrices et des placements abusifs – en France, il y a plus d’enfants placés que de détenus – soit plus de 170 000 enfants placés, selon les données de 2020, contre 81 599 détenus au 1er février 2025.
Les placements arbitraires sont d’une violence inouïe. L’enfant peut être coupé du jour au lendemain de toute sa famille – comme s’il devenait orphelin.
La justice française impose une souffrance incommensurable aux enfants par son inhumanité.
Ainsi, des mères se trouvent désenfantées, et des enfants séparés de la totalité de leur famille.
Dans le même temps, des enfants victimes de violences incestueuses peuvent être confiés au « père » agresseur – contre la mère protectrice.
D’autre part, ce sont des faits de violences dont des enfants témoignent être victimes dans des foyers ou familles d’accueil.
Il est nécessaire qu’un audit complet du système judiciaire et social soit réalisé – qu’une VIe République voie le jour, et que les magistrats soient responsables, ainsi que toutes les personnes en contact avec les enfants.
Il est crucial de refonder le système judiciaire, ancré dans une culture patriarcale, de domination absolue, en système autoritaire, obsolète et injuste.
Il est essentiel de réformer de A à Z les institutions publiques, et de changer une équipe qui perd – et surtout ceux maltraitants, usant d’un pouvoir qu’ils rendent tyrannique.
Agir par la paix, le respect des droits humains, des conventions internationales, du droit international humanitaire.
Faire que chaque enfant bénéficie de son avocat face aux institutions, et que ce dernier ait le temps et les moyens de travailler pour le bien de l’enfant.
Un avocat présent à tout moment et en possession de lois nouvelles, innovantes, pour protéger un enfant de tout abus de pouvoir, de tout placement arbitraire, de tout ce qui nuit à son droit de grandir en paix et en sécurité.
En France, un enfant est un objet, et des adultes décident arbitrairement.
Il est également nécessaire de constituer un statut de protection pour le parent protecteur.
Un droit qui ne doit pas être exclusivement national, mais européen.
Macron, en rejetant la loi européenne sur le consentement, a commis une grave erreur.
Du fait des graves défaillances répétées et persistantes du système judiciaire français, celui-ci doit être mis sous la tutelle de l’UE.
Ce qui implique la construction d’une Europe de la paix contre une Europe des souffrances.
Ursula von der Leyen reconnaît, dans son discours, la souffrance de citoyens européens.
Une Europe menacée par des courants politiques réactionnaires, néofascistes.
Une Europe qui subit le retour des conflits majeurs. L’Ukraine résiste et protège, par son courage, la totalité de l’Union européenne d’un basculement dans l’obscurité autoritaire d’extrême droite.
L’ambiguïté d’Emmanuel Macron instaurant un gouvernement d’extrême droite, créant une guerre politique entre différents cercles réactionnaires, dont le Rassemblement national et Les Républicains, alliés de longue date et concurrents pour les présidentielles de 2027.
Des décisionnaires qui nuisent à l’équilibre de la paix, encouragent un mouvement d’instabilité, qui, par conséquences et système global, entraînent les rouages de la violence contre des familles précaires, des enfants vulnérables, les pauvres, les populations fragiles.
L’augmentation du taux de pauvreté, en France, en 2024, dépasse celui de la moyenne européenne.
Emmanuel Macron crée de la pauvreté, des inégalités et des injustices.
Il a trahi sa propre parole de loger tout le peuple, et il a, au contraire, propulsé un mouvement d’injustice, d’affaiblissement des droits humains, augmentant le nombre de SDF, tandis que des mères et leurs enfants dorment dans la rue.
L’UNICEF a alerté sur l’aggravation des conditions de vie des plus vulnérables, des enfants et des mères isolées.
En 2024, entre 2 000 et 3 000 enfants ont vécu dans la rue, y compris des bébés.
La France est la 2e puissance européenne – l’accélération de la pauvreté est due à des politiques toxiques, malintentionnées, qui traumatisent des vies innocentes.
La justice véritable est un don de paix.
Elle s’agenouille pour être au plus près des plus fragiles.
Elle est une valeur humaine profonde et doit veiller à protéger le pauvre, l’enfant et sa famille.
Elle doit protéger les enfants précaires, les mères isolées.
En France, en 2024, plus de 1,6 million de mères isolées vivent sous le seuil de pauvreté.
Des mères qui portent seules leur famille, donnent toute leur énergie pour la vie, pour l’amour pur de leurs enfants, et reçoivent les pierres de la République.
Une République aristocratique se bâtissant par l’argent de la bourgeoisie, s’étant enrichie à partir du XVIIIe siècle par le commerce usant de l’esclavagisme.
Les héritiers ont fait perdurer la corruption de l’argent, la brutalité de la division de l’humanité entre riches et pauvres.
La pauvreté est une arme politique, conçue et voulue pour contraindre la liberté.
Elle sert un pouvoir féodal, une administration autoritaire, ressemblant en France à une dictature soviétique : surveillance, climat malsain, délation, tension permanente, méfiance, blocage des projets, frein aux rêves.
Un pays paralysé par des normes, des interdits, des taxes, entravant l’esprit créatif, qui est un bien commun universel : la liberté.
Un système favorisant les corruptions, les postures despotiques, la domination d’une classe.
Il y a une hiérarchie sociale nuisible à l’égalité. L’égalité des chances n’existe pas en France.
L’hypocrisie redoutable fait des discours humanistes que leurs actes trahissent.
C’est le cas d’Emmanuel Macron, perdant son temps à être machiavélique pour conserver un pouvoir qu’il ne peut acquérir autrement.
Il en devient maltraitant.
Des décisions autoritaires, des réformes imposées sous le coup du 49.3, l’appauvrissement d’une population, l’enrichissement des plus riches : sa politique traumatise, épuise physiquement et psychologiquement les citoyens.
La perversité d’un système d’inversion et destructeur règne.
C’est le culte de la perversité narcissique, ancré dans la culture française, et nourrissant la culture du viol.
Un prédateur peut détruire une vie sans jamais être confronté aux conséquences de ses actes criminels.
Pendant ce temps, ce système attaque des mères isolées, des enfants et des jeunes précaires, crée de l’insécurité, génère une violence sociétale – une manipulation mentale fabriquée par des politiques vivant de leur toxicité et se faisant élire par leurs fausses promesses, leur propagande, leurs manipulations.
Une prédation politique et aristocratique s’impose contre la paix.
Le mensonge est destructeur, et la France est figée, bornée dans un système politique où, depuis plus de 40 ans, des manipulateurs règnent.
Soyons, maintenant, le mouvement de la paix.
Travailler pour la paix.
Y donner son énergie, sa volonté, son consentement.
« Le mal ne triomphera pas », a affirmé Léon XIV, le 8 mai 2025 – jour symbolique de l’archange Saint Michel.
L’universalité de la paix, l’humanité est spirituelle, est issue de la liberté donnant à la création toute sa puissance et sa plénitude.
L’humanité réconciliée, c’est l’accomplissement de son sens et de son existence.
L’enfant est l’avenir du monde.
La paix pour chaque enfant, où qu’il soit, quel qu’il soit.
Fédora Hélène



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