France – La dérive autoritaire signera la reconnaissance de la Palestine sur les cendres

Alors que Gaza est à genoux, qu’un peuple est en train d’être écrasé sous les bombes, Emmanuel Macron annonce la reconnaissance d’un État palestinien. Mais avec quelles mains ? Celles qui ont armé le silence, pactisé avec les réactionnaires, et tourné le dos au droit international. Cette reconnaissance, si elle ne s’accompagne pas d’un véritable changement politique, ne sera qu’un simulacre.

La France dérive. Sous couvert de République, elle bascule dans un autoritarisme froid, aligné sur les pires puissances. Et l’Histoire, elle, n’oubliera pas.

France – La chute politique

Retailleau : une figure réactionnaire, symbole de l’entrisme extrême-droite

Bruno Retailleau incarne aujourd’hui les dérives les plus inquiétantes de la politique française. Issu des cercles ultraconservateurs autour de Philippe de Villiers, son parcours est marqué par un entrisme sectaire à l’UMP, puis chez Les Républicains. Rien de bon n’est sorti de cette trajectoire idéologique : haine, divisions, racisme latent.

Sa nomination au ministère de l’Intérieur s’expliquerait par ses réseaux profondément ancrés dans cette droite dure et identitaire, et non par une quelconque compétence républicaine. Les discours qu’il tient, notamment contre les musulmans, les femmes voilées ou les immigrés, attisent les tensions, légitiment le rejet, et détruisent le pacte social. Retailleau ne défend pas la République : il la dévoie.

Il partage en cela bien des points communs avec certains personnages sulfureux qui ont œuvré dans l’ombre des réseaux néocoloniaux, patriarcaux et racistes. On peut citer, parmi eux, Philippe Palat, au sujet duquel une plainte a été déposée pour des faits extrêmement graves, dont des viols sur une femme enceinte et alitée – plainte restée sans réponse depuis six ans. Un silence glaçant, un déni de justice inacceptable.

Philippe Palat, escroc et faussaire multirécidiviste, il avait déjà à Toulouse, à moins de 25 ans , escroqué plus de 60 personnes et des banques. Il a volé sa propre famille. Combien de personnes, aujourd’hui, ont été victimes de ses escroqueries, vols et manipulations criminelles ? Retailleau, ministre de l’Intérieur pourrait en faire le décompte, et expliquer ce que signifie : barbouze.

Philippe Palat partage des relations politiques communes aux réseaux de Bruno Retailleau, comme de Gérald Darmanin.

Bayrou consultant un dossier d’instruction. C’est la norme dans les milieux de pouvoir. Le barbouze, Philippe Palat, n’a pas été en possession d’un seul dossier d’instruction, et s’il est tombé une fois, c’est par les rivalités régnantes. Le Monde n’explique pas les rouages entre médias, justice et politique qui sont interconnectés et en interagissent entre eux.

L’architecture de la France repose sur un mensonge d’indépendance. La justice est un jeu de pouvoir politique. Où peut également intervenir les réseaux de la franc-maçonnerie.

La France est un pays particulièrement corrompu, car elle est avant tout marchande par ses ports qui ont été des points d’ancrage de l’esclavagisme s’alliant au monde industriel dès le XVIII ème siècle.

La justice a été fondée par l’aristocratie, un système prédateur, le pouvoir politique pour protéger un État devenant puissant par le colonialisme.

Les prédateurs ont le mental de cette société qui pense ce qui détruit la paix.

Les barbouzes sont indissociables du monde politiques et possèdent la perversité du système judiciaire avec lequel ils s’accordent parfaitement.

Retailleau se prétend “gaulliste” comme tant d’autres manipulateurs qui instrumentalisent la mémoire du Général de Gaulle pour mieux asseoir leur autoritarisme. Il incarne, en réalité, le retour d’un patriarcat toxique, d’un néocolonialisme revanchard, d’un nationalisme dangereux.

Qu’il ose aujourd’hui parler des droits des femmes, alors qu’il n’a jamais défendu leur liberté autrement qu’en l’utilisant à des fins politiciennes, notamment pour stigmatiser les musulmanes est une insulte à toutes les victimes. Une imposture.

La France ne peut pas, ne doit pas, être représentée par de tels hommes. Leur haine dégrade notre démocratie, défigure notre République. Un pays qui affaiblit les droits les plus fondamentaux : vivre en paix, en sécurité, en dignité.

Il est temps que Bruno Retailleau démissionne. Immédiatement.

La réalité des réseaux de l’UMP, devenus Les Républicains est sinistre – et cohabite avec la présidence d’Emmanuel Macron depuis 2017.

LERM conjugue tous les torts politiques conduisant à l’instabilité. Il a invité le socialisme, adorateur de l’argent, à la table d’une présidentielle de cohabitation. Les réseaux des affaires de Mitterrand à Sarkozy se retrouvent et dînent ensemble.

Un socialisme de façade, qui n’est pas exempt de responsabilité dans cette montée du nationalisme. Le machiavélisme n’est pas l’apanage de la droite : il sied tout autant à une gauche qui a trahi ses idéaux humanistes pour s’accommoder du pouvoir, oubliant les peuples, leur souffrance, leur droit à la justice.

Puis, pour que le sinistre banquet soit au complet, le Front National devenu Rassemblement national, se presse au cocktail organisé par Gérald Darmanin –

La France deviendrait-elle une unité néofasciste ?

Un capitalisme qui fait de l’humain un simple client, et des ressources naturelles une marchandise.

Le profit est devenu l’idéal républicain. La démocratie est en deuil. Le veau d’or est désormais l’idole de la République.

Jérôme Peyrat : de la chiraquie aux impostures centristes

Jérôme Peyrat s’inscrit dans une filiation politique claire : celle des cercles chiraquiens. Une droite de pouvoir, d’apparence républicaine, mais qui a longtemps abrité des pratiques opaques et des jeux d’influence délétères. Ces cercles se sont lentement fissurés sous le poids des rivalités internes, des ambitions personnelles, et d’un cynisme politique désormais bien documenté.

De ces divisions est née l’UMP – un rassemblement artificiel des droites, forgé dans une logique de conquête plus que de convictions. L’UMP, gangrenée par des affaires – notamment l’affaire Kadhafi, qui a durablement terni l’image de la République – a fini par muter en un autre monstre politique : Les Républicains.

Mais le cycle de recomposition de cette extrême droite ne s’est pas arrêté là. Une partie de ces réseaux, recyclés, a ensuite contribué à la création d’un mouvement censé incarner une rupture, une modernité : La République En Marche. En réalité, ce parti n’est qu’un habillage neuf sur les vieilles logiques de pouvoir. Un parti sans âme, sans assise populaire, sans projet autre que celui de préserver les privilèges de l’élite politique issue de cette lignée.

L’aristocratie « chasse à courre » – l’irrespect de l’humain et de la nature. Des tyrans s’inventant monarques de la République par le système autoritaire de la 5 ème qui doit absolument prendre fin.

C’est par ce despotisme qu’est né LREM qui n’existe pas comme mouvement politique enraciné. C’est une bulle. Une fiction technocratique alimentée par les débris d’une droite qui n’a jamais fait son aggiornamento moral ni idéologique. Et Peyrat, comme tant d’autres, est le témoin de cette continuité : celle d’une classe politique qui change de nom, de costume, mais jamais de méthode.

Jérôme Peyrat a été en lien avec le barbouze Philippe Palat, comme quelques membres du parti Les Républicains le connaissent depuis des années. Dans ce machiavélisme politique, certaines relations de ce dernier sont proches de Macron.

De nombreux hommes des milieux politiques sont toxiques, malintentionnés, et ne servent que leurs propres intérêts et mensonges. Leur culte de la perversité narcissique, leur haine des femmes, leur indifférence morbide, cette tyrannie politique est diffuse en France, où règne une ambiance malsaine.

Ils représentent les héritiers des bourgeois esclavagistes faisant fortune au XVIII ème siècle sous l’aile de la Franc-maçonnerie. Une société opaque flattant l’obscurité a bâti l’architecture de la politique moderne de la France.

La France commerciale – Des marchands roublards, sans aucune éthique, n’existent que par l’apparence qu’ils s’achètent avec la corruption de l’argent séduisant l’avidité des milieux politiques. S’enrichir, bêtement cupides, et ils attachent leur pouvoir par le biais de la politique .

L’État est leur machine – et ils ne cessent pas de renforcer des taxes, dès imports, l’inflation inventée, en tyrans économiques détruisent les ressources naturelles sans la moindre émotion. La République française est devenue un système colonialiste primitif, marchand, un capitalisme destructeur, vendeur d’armes. Deuxième exportateur mondial d’armement. La France vit des conflits à travers le monde. Comment ne pourrait-Il pas régner une mentalité d’une perversité inouïe dans le sein même de ce pays ?

L’appauvrissement de populations, des crises humanitaires s’aggravent, la violence à l’égard de femmes et de filles sur des territoires en conflits et stables, le basculement de populations dans l’extrême pauvreté, sur tous les continents, y compris en Europe, est généré par le mouvement destructeur de politiques tyranniques, dont ceux logeant en France.

Les politiques inhumaines renversent celles se construisant par la bonté.

Quand l’extrême droite infiltre l’État

Le Président, Emmanuel Macron, apparaît aujourd’hui comme placé sous tutelle de réseaux réactionnaires d’une médiocrité abyssale et qu’il ne maîtrise pas.

La nomination de Bruno Retailleau au ministère de l’Intérieur en est une preuve accablante. Ses réseaux d’extrême droite sont à l’œuvre depuis des décennies. C’est l’héritage de l’entrisme lepéniste sous Chirac et du vieux fonds barbouze qui gangrène encore l’appareil d’État.

« Le fascisme ne revient jamais sous la même forme ; il prend les habits du temps. » François Mitterrand

Ces milieux politiques, héritiers d’une vision néocoloniale et revancharde de la guerre d’Algérie, avancent masqués. Leur idéologie est celle de la violence, de l’ordre autoritaire, et du mépris des peuples.

« La torture en Algérie, ce fut le poison lent d’une République qui s’est reniée. » Pierre Vidal-Naquet

« Le colonialisme […] est la violence à l’état de nature. » Frantz Fanon

Une génération d’hommes éduqués dans la haine et la domination

C’est aussi une histoire générationnelle.

Ces hommes sont souvent nés autour de la défaite de la guerre d’Algérie. Ils ont été éduqués par une société profondément colonialiste et raciste, construite dans le déni, la haine de la décolonisation, et la nostalgie d’un empire perdu.

Leur imaginaire politique s’est forgé dans la brutalité des guerres coloniales, dans une mémoire collective empoisonnée par le ressentiment.

Aujourd’hui, ils recyclent ces récits pour nourrir des logiques autoritaires, anti-démocratiques, sécuritaires. Ils n’ont jamais voulu la République. Ils veulent sa façade.

Des hommes cultivant une société où la violence raciste et sexiste est banalisée. Leur vision du monde est négative, défensive, nostalgique.

Ils brisent l’humanité des femmes, méprisent les peuples, et nourrissent leurs frustrations de voir le monde avancer sans eux.

Ils n’ont aucune crédibilité internationale, ni morale ni diplomatique. Leur logiciel politique a 100 ans de retard.

Ils regrettent de ne pas être nés à la grande époque des colonies, de l’esclavagisme enrichissant les bourgeois, marchands du temple sous l’aile d’une Franc-maçonnerie du XVIIIe siècle, entrée dans l’ère industrielle.

Ils reproduisent les mêmes schémas destructeurs : épuiser l’humain, exploiter les ressources naturelles, maintenir les rapports de domination. Leur narcissisme devient leur propre médiocrité.

Se croire « d’en haut », mépriser ceux « d’en bas », selon les mots de Michel Barnier, un autre Premier ministre d’Emmanuel Macron.

Le giscardisme aristocratique a jadis flatté le fascisme. Maurice Papon, ancien collaborateur et ministre de Giscard, en fut le symbole glaçant.

Aujourd’hui, la France immobile se complaît dans un néofascisme insidieux, qui s’accommode de la géopolitique du chaos.

La Palestine pose une question terrible : dans ce monde livré aux bombes et à la famine, existe-t-il encore un seul pays libre ?

Bayrou – l’infinie honte

Et avec lui, ce gouvernement de manipulateurs sans la moindre empathie

Betharram : une impunité sanctuarisée

Sur la problématique des violences à Betharram, François Bayrou ne peut prétendre protéger les enfants pris dans les guerres.

Il a démontré durant des décennies son incapacité à préserver ceux qui vivaient tout près de lui.

Pire encore : il a contribué à faire de notre système judiciaire un modèle d’opacité, d’élitisme et d’injustice.

Et Emmanuel Macron, qui s’affiche depuis des années comme proche de Bayrou : n’a-t-il jamais été choqué par le narcissisme, la suffisance, le mensonge qui gangrènent ces milieux d’hypocrites ? N’a-t-il jamais entendu parler de Betharram ?

Pourtant, ce nom revient sans cesse dans leur bouche, vantant la sévérité et l’austérité de cet établissement comme des vertus. Mais dans les faits, c’est un système fondé sur la peur, le silence et l’impunité.

Le mépris de classe est le socle du patriarcat

Les bourgeois divisent les enfants selon leur classe sociale, jugent un être humain sur son patrimoine, son nom, ses titres. Et après, on s’étonne de leur mépris des femmes ?

Ils ont été éduqués dans un monde où la domination est une tradition. Ils n’ont jamais déconstruit leur violence, ils l’ont institutionnalisée.

Comment pourraient-ils comprendre la Palestine ? Le courage d’un peuple bombardé, affamé, tenu en cage ? Ils n’ont même pas le courage d’ouvrir les yeux sur leur propre conscience.

Aurore Bergé : la manipulation comme stratégie

Aurore Bergé instrumentalise l’antisémitisme dans une stratégie de manipulation médiatique, calquée sur les méthodes de l’extrême droite et des réseaux « rouge-brun ». Franc-Tireur, Causeur, ces éditorialistes boomers des années 80-90… Ceux qui parlent de morale sans jamais avoir respecté l’humain.

Mais Aurore Bergé, a-t-elle déjà vécu la violence qui déchire, qui détruit, qui vous laisse traumatisée pendant des années ?

Aujourd’hui, elle poursuit cette logique.

Tout comme quelques députés LREM ont signé une lettre honteuse contre Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens occupés.

Pourquoi ? Parce qu’Albanese ose nommer les crimes. Parce qu’elle parle de justice pour les femmes, les enfants, les civils bombardés. Parce qu’elle ne plie pas.

L’indignation sélective est une arme politique

Leur indignation est sélective. Leur stratégie, cynique. La vérité les dérange, car elle démasque leur hypocrisie.

Emmanuel Macron : la Palestine ne peut être un alibi

Le Président parle de reconnaître l’État de Palestine en juin. Mais si cette reconnaissance est sincère, alors elle implique des actes concrets.

Par cohérence, cela signifie :

👉 Mettre fin au gouvernement indigne.

👉 Demander immédiatement la démission de Retailleau et Darmanin, figures de l’ordre autoritaire et des réseaux d’extrême droite.

👉 Rompre avec les cercles réactionnaires et patriarcaux, insensibles à la souffrance des civils à Gaza.

👉 Exiger des sanctions européennes contre Israël.

👉 Et enfin, engager un processus de démilitarisation, y compris pour Israël.

Sinon, cette reconnaissance ne sera qu’un geste vide. Une signature sur les ruines. Un symbole hypocrite, arrivé trop tard, trop commodément.

L’Histoire n’oubliera pas. Et les peuples non plus.

La France ne peut reconnaître la Palestine sans agir pour la paix réelle

Le président Emmanuel Macron envisage une reconnaissance officielle de l’État de Palestine lors d’une conférence en juin 2025. Ce geste diplomatique, s’il n’est pas accompagné d’actes concrets, risque de n’être qu’une signature sur des ruines, une manœuvre symbolique vide de sincérité.

La souffrance palestinienne, les bombardements de Gaza, la famine organisée, les violations des droits fondamentaux ne relèvent plus seulement de l’indignation morale. Ce sont des crimes de guerre. Et la France, signataire des Conventions de Genève, porte une responsabilité légale et historique.

La responsabilité de la communauté internationale face au droit international

Le droit international humanitaire est clair :

Article 1 des Conventions de Genève : chaque État a l’obligation de faire respecter le droit humanitaire en toutes circonstances.

Protocole additionnel I – Article 51 : interdit les attaques sans discrimination contre les civils. Statut de Rome

Article 8 : qualifie de crimes de guerre les attaques intentionnelles contre des civils, hôpitaux, écoles, ou l’utilisation de la famine comme méthode de guerre.

Or, Israël bombarde depuis des mois Gaza, y compris ses hôpitaux, ses camps de réfugiés, ses enfants. Et la communauté internationale, par les ventes d’armes ou leur silence, participe indirectement à ces violations.

Un pouvoir français sous influence autoritaire

Aujourd’hui, la politique intérieure et extérieure – sous l’influence des réseaux d’extrême droite mettant en place Bruno Retailleau – de la France s’aligne dangereusement sur des régimes autoritaires. Le gouvernement Bayrou cède à l’autoritarisme, imitant des logiques de pouvoir qui rappellent les dérives de l’ère Trump ou Netanyahu.

Ce glissement est incompatible avec les valeurs humanistes que la République prétend défendre.

Comment Emmanuel Macron peut-il parler de paix tout en maintenant au pouvoir des ministres tels que Gérald Darmanin ou Bruno Retailleau, dont les propos et politiques trahissent une proximité idéologique avec l’extrême droite ?

Un appel à la société civile

« La paix ne viendra pas d’en haut, elle viendra de nous. »

C’est à nous, citoyens, de nous lever. D’agir pour la paix, pour la justice, pour la Palestine, pour la vérité. Boycott des entreprises complices, mobilisation pour les droits humains, solidarité concrète. L’Histoire jugera les gouvernements. Mais les peuples, eux, peuvent choisir de ne pas être complices.

Aujourd’hui, il ne suffit plus de voter ou de débattre. Chacun peut agir :

Écrire aux élus, exiger la suspension immédiate de tout accord militaire avec Israël.

Soutenir les ONG et les soignants qui risquent leur vie sur le terrain. Porter la voix de la justice dans les médias, dans les rues, sur les réseaux.

Créer des projets culturels et citoyens, transmettre l’humanité, la mémoire, la bonté.

Une nouvelle civilisation est possible

La réconciliation est à la fois un choix moral et une nécessité historique. Face à l’indifférence, à la violence institutionnalisée, à l’économie de guerre, il nous faut opposer la force de la bonté.

Non, ce n’est pas une utopie. C’est une question de dignité, de survie et de paix.

“Le mal ne triomphera pas”, a déclaré Léon XIV, le 8 mai 2025.

Ce n’est pas un discours religieux, c’est une parole universelle.

Et la France, si elle choisit d’être ce phare dans la nuit, doit commencer par éclairer sa propre maison.

« N’aie pas peur ». La Bible – Avancer vers la réconciliation, la paix universelle.

Fédora Hélène

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