Urgence Palestine : Soyons la paix
Le 19 mai 2025, Benyamin Netanyahou a annoncé le lancement d’une offensive militaire « sans précédent » sur Gaza.
Alors que plus de deux millions de civils vivent déjà sous blocus total depuis plusieurs mois, cette intensification des bombardements survient dans un contexte de famine aiguë, de déplacement forcé, et de violations répétées du droit international humanitaire.
La moitié de la population de Gaza est composée d’enfants. Beaucoup sont aujourd’hui orphelins, blessés, ou gravement affaiblis par la faim. Ce texte revient sur l’urgence humanitaire, les responsabilités politiques, et les conséquences internationales de cette offensive.
Appel à la réconciliation face à un monde en souffrance
Le temps de la réconciliation
L’humanité semble entrer dans le temps de la réconciliation. Ce temps s’invite au cœur du chaos. Sa racine vit dans la poussière brûlante des sols bombardés de Gaza.
L’humain tremble. Il a froid sur une terre où des enfants sont traumatisés. Palestine. Congo. Soudan. Ukraine. Et tant d’autres pays où un enfant subit la violence des hommes.
En France aussi, la souffrance est là : des centaines de milliers d’enfants et de femmes, sont victimes chaque année de prédateurs. Seuls face à des hommes de violences qui restent, pour la plupart, impunis.
Héritage de guerre
Des hommes violents, en adéquation avec un pouvoir politique régnant par la force de la guerre. Un pouvoir dont la source remonte à l’origine de la civilisation : l’Antiquité.
L’homme, soldat traumatisé, vivant sur les champs de bataille. La terre couverte de sang. L’homme tuant l’humain.
Un monde en souffrance.
Des femmes et des enfants mis au front des guerres, de la pauvreté, de l’indifférence.
Le temps de la réconciliation est primordial pour l’humanité. Il est temps qu’il soit la paix pour tous. Soyons la paix.
Emmanuel Macron – Le mois de juin pourrait être d’une importance majeure
Appel à la paix et à la réconciliation
Emmanuel Macron doit se concentrer sur la paix et mobiliser les efforts en faveur de la réconciliation. Le contexte géopolitique mondial génère des tensions croissantes, qui blessent profondément des populations civiles, comme à Gaza.
Plus que jamais, la paix dans le monde est menacée. L’agression militaire de Netanyahou à Gaza dépasse les frontières : elle met en péril la stabilité régionale et mondiale.
Emmanuel Macron doit agir dès aujourd’hui pour constituer un nouveau gouvernement, respectueux des valeurs humanistes et capable d’une diplomatie d’excellence. Il lui incombe de garantir la sécurité et la stabilité de la France en œuvrant sans relâche pour une paix durable, le respect de l’humain et la défense de la liberté.
Ce que vivent les enfants à Gaza est insoutenable. La position de la France doit être claire, ferme et alignée avec le droit international : elle ne peut cautionner des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et l’impunité.
Un gouvernement digne de ce nom doit incarner une France humaniste, engagée pour la paix et la liberté.
La protection des enfants de Gaza devrait être une priorité. Grandir en paix est un droit fondamental pour chaque enfant. Le sens de l’humanité, c’est la vie.
Libérez-vous des conservatismes toxiques
Libérez-vous de l’emprise des réactionnaires, à l’image du pouvoir narcissique et préjudiciable à la paix de Gérard Larcher et de son cercle : Les Républicains et Centristes, dont François Bayrou.
Une France de clarté, de bonté et de fermeté
La France a besoin de clarté, de bonté et de fermeté pour le respect des droits humains, des valeurs humanistes de la paix et de la liberté.
Un contexte géopolitique explosif
Le contexte géopolitique est très instable, et les conséquences peuvent être désastreuses pour l’équilibre de l’Union européenne, et de la France.
Les mauvais choix entraînent de mauvaises décisions de gouvernance.
Une architecture politique archaïque met en danger la stabilité du pays.
La France a une architecture politique archaïque et monarchique, qui, entre les mains d’un conservatisme toxique, peut avoir des conséquences néfastes pour l’avenir du pays.
Menaces mondiales : Gaza, Trump, Netanyahou, Russie
Les événements terribles qui écrasent la population de Gaza, les fortes pressions de Benyamin Netanyahou et de Donald Trump, les tensions avec la Russie, menacent la stabilité de la paix au niveau mondial.
La France doit se positionner en phare de la paix universelle, avec une assise solide œuvrant pour le bien commun.
Le temps perdu
Emmanuel Macron a perdu un temps précieux pour la paix internationale et l’équilibre de la France.
Il est crucial d’alerter sur la situation internationale, qui touche au cœur l’humain, qui ébranle la paix et la sécurité.
« Ne pleurez pas vos frères, apportez-leur la paix »
Ce serait la devise à adopter, alors que sous les yeux de la communauté internationale, des enfants à Gaza vivent un enfer : ils sont affamés, sans refuge, sous les bombardements massifs israéliens.
L’annonce faite par Netanyahu, ce jour, est un désastre pour l’humanité. Il a déclaré qu’ Israël va prendre le contrôle de « tout le territoire ». II insiste sur le fait que l’action israélienne correspond à une « offensive sans précédent ».
Avichay Adraee, porte-parole de l’armée israélienne, a déclaré sur Telegram, « les forces de défense israéliennes lanceront une attaque sans précédent »
D’autre part, il lance un ordre d’évacuation à la population de Gaza, en grande vulnérabilité, « vous devez évacuer immédiatement. »
Il indique ce jour à 11h23, qu’ « à partir de ce moment, le gouvernorat de Khan Yunis sera considéré comme une zone de combat dangereuse. »
La population de Gaza se compose pour moitié d’enfants. Aujourd’hui, nombre d’entre eux sont orphelins. Certains sont gravement blessés, et tous souffrent de malnutrition aiguë.
Actuellement, à Gaza, l’ensemble de la population – soit plus de deux millions de personnes – souffre de la faim et a besoin d’une aide alimentaire d’urgence.
Le blocus imposé par Israël depuis deux mois empêche l’acheminement de l’aide humanitaire vitale.
Ordres d’évacuation à Gaza : une violation du droit humanitaire, un cri de détresse ignoré
Les ordres d’évacuation imposés à la population civile de Gaza, notamment à Khan Younès, par les autorités israéliennes, soulèvent une alarme grave. Légalement, moralement, humainement.
Dans un contexte de blocus total, de famine imminente et de bombardements constants, ces déplacements forcés deviennent une tragédie dans la tragédie. Ils frappent les plus vulnérables : enfants orphelins, corps blessés, personnes âgées et familles en détresse, incapables de se déplacer dans des conditions de sécurité minimale.
Le droit international humanitaire l’interdit formellement.
La Quatrième Convention de Genève proscrit les transferts forcés de civils en territoire occupé, sauf impératif militaire absolu.
Le Statut de Rome, qui fonde la Cour pénale internationale, qualifie de crime de guerre le déplacement forcé de populations. Et pourtant, cela se répète. Encore. À Gaza.
Comment peut-on ordonner à une population affamée, épuisée, sans abri ni secours, de fuir un territoire dévasté, quand même les routes sont détruites, quand les hôpitaux sont hors service, quand les enfants n’ont plus la force de marcher ?
Cette scène n’est pas un lointain passé. Elle est notre présent.
Ce déplacement n’a rien d’un « sauvetage humanitaire ». Il est un ordre lancé dans l’indifférence, qui nie la réalité physique, psychologique, humaine de ceux qui l’entendent.
Ce que dit le droit, ce que dit la conscience
Rien ne justifie, aux yeux du droit, de forcer un peuple épuisé à fuir sans garantie de sécurité. Rien n’autorise la mise en danger volontaire des civils, pas même la guerre.
Ce que la loi interdit, l’éthique le crie aussi : aucun enfant ne devrait être confronté à un choix entre mourir sous les bombes ou mourir sur les routes non sécurisées.
La responsabilité internationale et les profits de la guerre
La responsabilité de la communauté internationale, son silence, l’absence de sanctions européennes contre Israël, les profits engendrés par les marchands d’armes et les financiers du chaos.
Cette violence internationale, émanant d’un système capitaliste destructeur, faisant de la vie elle-même un commerce, ne peut produire que ce qu’elle engendre : la guerre.
Emmanuel Macron doit faire triompher la paix
La paix doit triompher. Cela doit être la préoccupation première d’Emmanuel Macron.
Il a déjà commis tant d’erreurs, dont l’attente pour la reconnaissance de la Palestine.
Il doit insuffler en France un mouvement d’apaisement pour être aligné sur un mouvement de paix internationale. Il est immédiatement nécessaire de redonner du souffle à la population, surtout aux plus vulnérables.
Il est primordial de ne pas considérer l’humain comme un client du système financier et politique. Ni d’aggraver les injustices.
Une France appauvrie, un peuple en souffrance
Une crise alimentaire sévit en France.
L’augmentation de la pauvreté fait basculer des familles dans une grande précarité.
Pour une économie juste, loin du modèle de guerre
Il est urgent de rétablir une économie juste. Une économie fondée sur la solidarité, la dignité, le respect du vivant, non sur la prédation, la peur et la destruction.
L’entraînement vers une économie de guerre – comme celle qui se dessine en filigrane en Europe – aura des conséquences graves pour la santé physique, mentale et morale de la population. Une société sous tension permanente s’effondre de l’intérieur, quand les corps s’épuisent et les esprits perdent l’espérance.
Un avenir serein, durable, humain, ne se bâtit pas sur l’injustice ni sur des politiques inhumaines, mais sur des choix courageux : ceux qui redonnent la priorité à l’humain, à la paix, à la vie.
Réconciliation ou autoritarisme ?
En France, il faut engager un mouvement de réconciliation, et par lui permettre le maintien d’une paix durable.
La France entre dans une période d’autoritarisme, instaurée par un système inhumain, soutenu notamment par François Bayrou.
Ce n’est pas l’austérité qui s’impose, mais un autoritarisme, dans la lignée de Trump et Netanyahou.
Choisir la paix
Nous devons choisir. Entre la peur ou la paix. Entre l’autoritarisme ou l’humanité. Entre le silence ou la voix de la réconciliation.
Il est encore temps. Soyons la paix.
Le cœur de la Palestine, est le nôtre.
Le cœur de la Palestine, Terre Sainte, bat en chacun de nous. Il souffre, il espère, il résiste.
Il nous rappelle que l’humanité est une seule et même famille, et que la douleur d’un peuple ne peut être ignorée sans blesser notre propre humanité.
Fédora Hélène
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