Paix mondiale : l’heure du courage est venue

La Palestine ou l’Ukraine ne sont pas des crises régionales, mais mondiales.

Juin s’ouvre sur un monde géopolitique extrême menaçant directement la paix mondiale.

Pendant que les gouvernements ne travaillent pas ensemble pour la paix durable, les enfants de Gaza meurent sous les bombes, sont affamés.

La cruauté, comprise comme une puissance politique, doit être abolie, ne plus blesser profondément l’humanité.

L’homme s’est attaché à son sort en créant la cruauté, ce néant absolu, espace inventé par l’humain.

Le sort n’est pas l’existence qui émane de l’énergie pure de la vie.

Le sort est cette perspective d’avenir façonnée par l’obscurité quand elle ordonne les événements tragiques.

Les enfants sont la vie. Dévaster leur innocence en les blessant, en les tuant, c’est l’atrocité ultime commise par une oppression politique qui ose encore se présenter comme un progrès.

Israël, dirigé par l’extrême droite, définit des futurs nés du chaos, et fait de l’évolution humaine sa perte, par la destruction de Gaza et de sa population. L’avenir sortirait alors des bras d’un génocide.

15 juin : marcher pour la vie face à la guerre

Face à la cruauté contre des enfants palestiniens, des mères de France appellent à marcher le 15 juin devant l’Élysée, pour exiger des sanctions contre Israël et des actions concrètes de la part d’Emmanuel Macron.

Parce qu’il n’y a plus de temps à perdre. Parce que chaque vie d’enfant est un cri d’alerte. Parce que nous devons soutenir la paix par la paix.

Aujourd’hui même, le navire humanitaire Freedom Flotilla a levé l’ancre, porteur d’espoir et de courage.

À son bord, Greta Thunberg, Rima Hassan (élue eurodéputée), et d’autres défenseurs des droits humains, unis pour briser le blocus de Gaza et faire entendre la voix des peuples au-delà des États.

Les Marches pour la Paix naissent –
La Palestine en lumière – l’olivier et ses racines ancrées dans la terre : rien ne peut les détruire.

Le mois de juin sera ce printemps de la paix, alors même que la géopolitique deviendra extrême.

Le peuple doit porter haut le flambeau de la liberté vitale.
La Marche de la Paix sera essentielle.

Emmanuel Macron – savez-vous ce que signifie réellement la déstabilisation ?

Le Président de la République s’est entouré de ses ennemis pour mieux les maîtriser, pensait-il. Ce qui n’est pas le cas. Et, car LREM n’a pas d’existence. Sans l’appui de Nicolas Sarkozy, après la chute de Fillon, Emmanuel Macron n’aurait pas eu cette aura médiatique, quand certains « journalistes » sont uniquement des agents politiques, des propagandistes, des influenceurs ne servant que leurs propres intérêts, pouvoir et cupidité.

Par ailleurs, une certaine bourgeoisie agit par égocentrique, appât du gain, snobisme s’appuyant sur des décennies d’argent par un système d héritage, et d’immoralité du système bancaire.

D’autre part, l’étouffement des atrocités de la Seconde Guerre mondiale, des guerres colonialistes et du colonialisme, de l’esclavagisme enrichissant la France à partir du XVIIIe siècle et s’accélérant avec la modernisation industrielle, exploitant sans relâche l’humain, a laissé cette froideur brisant la dignité humaine.

Les pays très riches ont voilé leur cœur de noir, non par pudeur, mais sans jamais devenir cet humble qui partage sa bonté.

C’est aussi la traduction d’un catholicisme manipulé, modelant une figure du Christ convenant à une aristocratie immorale, exploitatrice, et dominatrice par la cruauté. L’acceptation de la maltraitance des plus fragiles pour conquérir le pouvoir par l’emprise.

Les Républicains, les Centristes conservateurs, Édouard Philippe – un extrait des réseaux de droite se révèlent d’extrême droite après plus de 30 ans de manipulations, de compromis opaques, d’entrisme d’extrême droite, de mensonges.

Les corruptions et barbouzeries sans limite des années 90 et 2000 forgeant les pouvoirs, et les clés de certaines alliances politiques loin du grand public.

Emmanuel Macron n’a jamais été un pouvoir nouveau. Et, il a fait l’erreur de pencher vers le giscardisme.

Les gouvernements Barnier ou Bayrou, dans des jeux d’influences des uns envers les autres, et s’imposant à Emmanuel Macron, qui n’est pas un homme libre, s’inscrivent dans une filiation idéologique profonde : celle du giscardisme. Un mouvement politique qui, derrière une façade modernisatrice et libérale, a hypocritement dissimulé l’omniprésence fasciste au cœur de la République.

L’histoire en porte les stigmates : Giscard d’Estaing, en lien avec le dictateur Ceaușescu, a eu pour ministre Maurice Papon, haut fonctionnaire impliqué dans la déportation de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce simple fait, pourtant trop peu commenté, dit tout du déni historique dans lequel une partie de la classe politique française s’est volontairement enfermée.

Une dissonance cognitive historique

Une dissonance cognitive grave perdure entre la proclamation d’une République des droits de l’homme et le regard froid, presque technocratique, porté sur les atrocités commises à Gaza par Israël.
Cette fracture morale n’est pas neuve. Elle a fait de certains soutiens du giscardisme des alliés naturels de l’extrême droite, dans un glissement idéologique aussi insidieux que fatal.

Emmanuel Macron a joué avec le machiavélisme et la haine, si souvent dominante en politique.

Les alliances fondées sur la manipulation ne sont jamais positives. Elles sont néfastes à la paix.

Emmanuel Macron, écoutez la voix des survivants, pas celle des puissants

Et surtout : Emmanuel Macron ne sera pas en position de force face à Vladimir Poutine et au président Xi Jinping.

Leurs trajectoires historiques sont profondément opposées à la sienne.
• Poutine est un homme façonné par l’effondrement de l’URSS, ancien agent du KGB, formé dans l’obsession de la puissance et de la revanche post-soviétique.
• Xi Jinping, fils d’un cadre purgé, a été marqué par la Révolution culturelle : exil, humiliation, silence imposé par la dictature maoïste.

Tous deux ont été forgés par la mémoire de la souffrance collective, de la domination étrangère, de l’humiliation nationale.

Emmanuel Macron, est issu de la bourgeoisie de province.
Il ignore ce que signifie la souffrance de l’humiliation, les traumatismes de la violence subie enfant. Il ignore ce qu’implique vivre la pauvreté.

Les puissants et les oppresseurs sont des hommes.
Mais aujourd’hui, le monde ne fait pas seulement face à la politique dans ce qu’elle a de plus cruel : C’est l’humanité qui se confronte à elle-même.

C’est un bouleversement civilisationnel que nous traversons. Et ni Emmanuel Macron , ni les élites politiques françaises, n’y sont préparés.

L’état de survie, ils ne le connaissent pas.
Pas plus que le Sénat, l’Assemblée nationale, Gérard Larcher ou les ministres.
Ils ne savent pas ce que cela signifie.

C’est pourquoi Emmanuel Macron devrait écouter les artisans de paix, les travailleurs humanitaires, les survivantes et survivants, plutôt que de s’enfermer dans les cercles opaques du pouvoir.

Appel pour la Marche de la Paix Universelle.

Pour la paix.
Pour la justice.
Pour les enfants.
Pour la vie.
Pour la liberté.

Aujourd’hui, une jeune femme politique, Rima Hassan, pense que son combat pour la paix en Palestine, met sa vie en danger. Il ne s’agit pas d’opinion politique, mais de dignité humaine.

Marchons, tous ensemble, pour la paix, pour les enfants de Palestine, pour que cesse le massacre d’enfants à Gaza, pour la liberté.

Fédora Hélène

Manifeste pour la Paix – « Je crois » – Je vous confie la liberté

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