Je l’écris -
Sur ce mur des peines,
Une lueur s’est écrite, gravée
Ma main tenant
Le crayon imaginaire,
La petite pierre,
Le bout de métal,
Rien
Et tout.
La vie.
Pour dessiner
Ton feu,
Ton sang,
Ta respiration:
Liberté
Je ne devrais pas prononcer le mot liberté, en France.
Un pays où l’on traumatise des survivantes de violences, des enfants.
Où le système judiciaire est cruel, inhumain, blesse la paix, déchire le cœur, éteint la renaissance, protège des prédateurs, et n’est que l’écho des actes des tyrans, au sein des foyers, de la société, des milieux politiques, médiatiques et judiciaires.

Ce monde criminel, où le prédateur légitime porte le nom : État.
Ce monde sombre de la civilisation, ce pas vers un avenir trouble, fait de commerces et de guerres.
Ce monde adorant le fascisme, car il représente la puissance.
Toute l’extrême droite réunie, comme à un dernier rendez-vous, donne le coup de grâce à la liberté.
Je devrais écrire les réjouissances d’un monde de haine, de racistes, de leurs ministres au pouvoir, de leurs sénateurs en royauté, de leur Premier ministre repu, de leurs forces de l’ordre en rang, de leurs magistrats appliqués aux notes radicales de leur ministère, de leurs murs et fers, de l’inhumanité courant le long des chemins obscurs, de leur République tuant la démocratie, de leurs agresseurs encouragés, des animaux fauchés par leur chasse à courre, de leurs banques en déesses, de leurs profits cupides, de leurs privilèges et gaveries, de leur vin coulant à flots, de leur lumière déchue brillant au pouvoir, de leurs titres et apparences, de leurs corruptions et mensonges…
Faire l’éloge de ce qui détruit. Être dans le ton de l’époque. Mettre les chaînes aux pieds et aux mains, bâillonner les mots, laisser le corps en grève de la faim. Mourir, puisque l’on ne peut vivre.
La France, en naissance et terre de ma tombe. Le regret éternel d’y être née.
Une planète Terre qu’ils ont brisée par leurs bombes : il aurait mieux valu ne pas y venir.
Ils chanteront, encore et à jamais, les lâches plaines à découvert, la peur, ceux ne voulant que le bonheur, la joie de vivre, qu’ils ont chassés comme des proies.
France, terre de souffrance, aujourd’hui et demain.
Les vitrines luxueuses, les villes bourgeoises, le calme de leur ennui, et le bruit de leur violence.
Emmanuel Macron a planté le désespoir, a élu des ministres d’extrême droite, qu’une partie de la population salue devant leurs télévisions.
Gaza effondrée les laisse de glace.
Leur miroir vide. Le néant n’a pas de reflet. Il faudrait, pour qu’il soit, la lumière. S’en aller, comme un chant d’oiseau vient au printemps. La paix intacte et libre. Le deuil en rose blanche.

La France, fabrique de malheur.
Leurs institutions publiques, soviétiques et fascistes, conjuguent à plusieurs temps et verbes la perversité.
La sécurité sociale : lutte des ouvriers méprisés, des pauvres exploités, des oubliés. La puissance de l’argent est préférée, adulée, leur Dieu. Il faut accepter leur cœur de pierre, leurs violences et haines.
Anonyme, à peine une herbe dans l’immensité de l’humanité. Juste quelques écrits, qui seront à peine lus, jamais retenus. Parler à mon âme, la libérer du chagrin.
Le pouvoir politique, l’autre violence
Quand Jérôme Peyrat et quelques autres Républicains, autres politiques et journalistes de ses amis croiseront Philippe Palat, qu’ils lui disent que rien ne sera effacé : ni les souffrances, ni la déshumanisation infligées, ni l’indifférence de son milieu politique, médiatique et judiciaire.
Escroc professionnel, faussaire à moins de 25 ans, et déjà barbouze s’introduisant auprès de politiques, comme Dominique Baudis, Jean-Luc Moudenc.
Il était également en lien avec le FN. Très proche des cercles d’extrême droite, présents aux tables de la cour de Jean-Marie Le Pen.
Philippe Palat, dangereux manipulateur, prenant plaisir à détruire la vie d’une personne. Connu dans ses années 80 par une commissaire de police à Toulouse pour être un sociopathe qui détruit des vies, abuse des personnes, les manipule, les volent, les trahis.
Le faux journaliste, alors à Toulouse, volait des dossiers adressés à de vrais journalistes et se les attribuait ensuite. Certains l’ont alors qualifié de “fou”.
Condamné à moins de 25 ans pour avoir escroqué plus de soixante personnes et des banques, il continuait à parader, très narcissique, dans les réceptions toulousaines. Avec ses faux titres, ses faux diplômes, il se donnait des airs de notable.
Voilà quarante ans qu’il est un prédateur expérimenté, un imposteur, courtisé par des politiques. Le “voyou” Philippe Palat, comme l’a nommé Jacques Chancel.

Deux magistrats à Périgueux – dont celui en charge des affaires familiales – ont été témoins directs de l’agressivité de Philippe Palat. L’un d’eux, dans son propre bureau, l’a vu se comporter avec une violence verbale et gestuelle inacceptable. L’autre, une magistrate, s’est déplacée au domicile pour constater la coupure de gaz en urgence.
Ce danger, je l’ai signalé seule, avec courage, pour protéger mes enfants. Philippe Palat menaçait de tuer tout le monde avec le gaz.
Et pourtant : aucune plainte ne fut prise.
Ces magistrats, malgré l’évidence, malgré les risques vitaux encourus, n’ont strictement rien fait pour protéger.
C’est une honte absolue. Une faillite de la justice.
Le prédateur déshumanise, la justice finit le travail, les politiques applaudissent et la société regarde.
Jérôme Peyrat ne doit jamais oublier une mère l’alertant, digne et calme, de la violence extrême de Philippe Palat, et des conséquences de la gravité de ses menaces en ouvrant le gaz.
Jérôme Peyrat a raccroché rapidement sans un seul acte de soutien. On ne peut pas soutenir Philippe Palat, et écouter une mère qu’il déshumanise.
Philippe Cornet. Son âme reposant en paix se souvient d’une mère témoignant.
Ce qui sauve la vie, c’est l’amour, la paix, c’est la sincérité de vivre – Jérôme Peyrat se souviendra de Périgueux. Il se souviendra que la vie, c’est l’eau d’une rivière, pas la politique.
« La violence contre les femmes est un outil du pouvoir. Elle est politique. » Angela Davis
Ils sont le pouvoir de l’État depuis de nombreuses décennies, en passe d’être l’effondrement pour 2030.
J’ai une image gravée : j’étais enceinte de huit mois, arrivée aux urgences en pleine nuit, conduite par les pompiers. Cette nuit-là, les violences de Philippe Palat.
Ses hurlements, le salon saccagé. Le verre des cadres aux murs brisé en mille morceaux au sol. Comme à son habitude, il était rentré très alcoolisé, très agressif, en pleine nuit. Toujours sans aucun scrupule.
Ses soirées tardives dans les cercles de pouvoir. Les moralistes et leurs violences.
Calme aux urgences, la paix pour protéger ma grossesse. J’ai témoigné, encore et encore.
Sans aucun soutien. Aucune plainte prise, ni même une simple main courante. C’est inhumain. C’est la réalité de la France.
Ses amis politiques étaient informés. Dont son « frère », l’un des avocats du RPR, du clan Chirac, qu’il présentait comme le parrain d’un de nos enfants.
Ils savaient tous. Et pourtant, aucun, pas un seul, n’a pris de nouvelles de la grossesse. Au moins cela. Un geste, une parole, un signe de décence. Mais rien.
Une indifférence glaciale. Un mépris total. Et ils riaient avec Philippe Palat, notamment au bar en face d’un riche cabinet parisien, aux étagères alourdies de dossiers politiques.
Le soir, c’était la fête dans leur milieu de pouvoir. Bars, bars, bars… Et toujours strictement aucun respect des femmes.
Je suis restée quelques jours à l’hôpital, dans un isolement total. Pas une visite, pas un appel téléphonique.
Philippe Palat avait déposé un sac d’affaires pour moi à l’accueil de l’hôpital. Et il était parti. Pas un mot. Pas un seul regard. Rien. C’est ça, le fascisme.
L’important pour ces milieux politiques liés à l’État, ce sont les informations qu’ils obtiennent par son intermédiaire. Ce sont les affaires, les manipulations, les corruptions, le pouvoir. Ce n’est jamais la vie d’une femme qui est importante. Peu importe la violence qu’elle subit.
Puis, ils savent que l’on ne fait pas de politique sans prédateurs. Il faut celui nécessaire qui dépasse la limite, joue avec le mensonge de la société, maltraiter pour gagner de la puissance.
La politique ne cultive pas la bonté, mais la férocité. Il faut des hommes capables du pire, s’alimentant de cette énergie destructrice.
Philippe Palat, capable du pire. Poussant la porte pour rentrer de force dans l’appartement, il savait que celle-ci était retenue par une femme enceinte et des enfants.
La porte céda. Il alluma des cigarettes pour les lancer sur moi, me brûlant ainsi, et devant les enfants. Je ressens encore la brûlure au bras. Cette douleur saisissante, qui, sur l’instant, propagea une violente décharge dans le dos, tant mon corps, enceinte, s’était mis en état de survie. Il demeure toujours impuni pour cet acte cruel.
Philippe Palat – Itinéraire d’un barbouze dans le système
Philippe Palat, barbouze, escroc et faussaire multirécidiviste du monde politique. Déjà condamné à deux ans avec sursis pour violences conjugales en pleine rue.
Ancien journaliste sulfureux, faisant également l’objet de plusieurs articles au sujet de sa grave malhonnêteté. Ce qui ne l’a pas empêché de publier des articles dans la presse nationale. À l’exemple de l’opacité de sa pseudo « enquête », plus que trouble, sur l’assassinat de la députée Yann Piat. Il se disait alors, grand reporter à France soir.
Philippe Palat, barbouze – l’interconnexion et interaction entre le monde politique, judiciaire et médiatique. Un tissu de corruptions légitimées par l’État quand cela sert les intérêts du pouvoir, de puissances financières et politiques.
Les corruptions deviennent banales, faisant parties du jeu sinistre. Il n’a pas été condamné, car il a possédé un dossier d’instruction, mais par les rivalités de réseaux. L’article du monde ne révèle pas la réalité du fonctionnement de Philippe Palat, ni la réalité des conditions de son arrestation, alors qu’il était en possession d’un dossier d’instruction.
Certains magistrats sont politiques, et d’autres très accessibles par les réseaux politiques.
Le système judiciaire français qui s’applique si bien à protéger des prédateurs. Un système prédateur n’arrête pas des prédateurs, il les rend légitimes.


Il a inventé être lauréat du Concours national de la Résistance et de la Déportation. L’imposteur.
Et, dans ce même temps, il hurlait sur moi des injures racistes et antisémites, parfois en allemand.
J’ai appris, des années plus tard, qu’il était connu à Toulouse pour être d’extrême droite dès les années 80.
Il a choisi une proie dont il hait tout.

Une violence du prédateur qui persiste

Ce qu’il écrit dans ses mails, je n’ose pas le relire. C’est d’une violence qu’on ne peut pas qualifier sans trembler. Il ne voulait pas seulement m’humilier. Il voulait me détruire. Psychologiquement, sexuellement, moralement. Et m’effacer en tant que mère.
Dans un message du 7 février 2020, il m’écrit avec une vulgarité obscène, m’insultant, listant ce qui ressemble aux dates de naissance de mes enfants, pour ensuite me renvoyer à des pratiques sexuelles avec une cruauté inimaginable. Il instrumentalise les violences sexuelles que j’ai subi en étant mineure. Il a exercé cette violence durant des années. La justice laisse faire ce prédateur. Une plainte a été déposée, il y a plus de 6 ans. Et, il se balade.
Les mots de Philippe Palat sont d’une extrême gravité, car il les adresser à la femme qu’il a violée et martyrisée enceinte. Quoi de pire que d’infliger à une femme enceinte la peur de perdre son enfant du fait des maltraitances subies ?
Alitée sur ordonnance médicale, une grossesse très fragile, une césarienne en extrême urgence. Il a attaqué une femme enceinte et alitée. Et, il n’est aucune justice.
« Il eût mieux valu que tu les avales au terme de fellations que tu sais si bien pratiquer depuis ton adolescence ».
Il dit ça à la mère de ces enfants. Il n’y a pas de mots assez forts pour nommer cette monstruosité.

Dans un autre message, il m’assène :
« Tu es une pute, pute, pute. POINT »
« Même une truie vaut mieux »
Ce n’est pas simplement une insulte. C’est un viol par le langage, une tentative de me réduire à néant. Il parle de mon corps, comme une propriété qu’il insulte, un territoire qu’il a voulu dominer par la force et qu’il tente maintenant de souiller par les mots.

Il ne nie pas ce qu’il a fait. Il le maquille, le détourne, en joue. Il menace de porter plainte contre moi pour “dénonciation calomnieuse”, mais son propre langage trahit la vérité. Il reconnaît, implicitement, qu’il m’a violentée, qu’il m’a contrôlée, et maintenant, il veut m’éteindre.

Son comportement est celui d’un prédateur total. Un homme qui n’accepte pas que sa proie lui échappe. Il utilise l’intimidation judiciaire, les menaces sexuelles, les humiliations publiques. Et il ose invoquer dans ses mails le nom d’une procureure comme s’il contrôlait aussi le système.
Voilà à quoi ressemble l’impunité. Voilà comment une femme reconnue victime peut encore, des années plus tard, vivre sous l’emprise d’un bourreau toujours libre, toujours actif, toujours protégé.

Il cite la procureur : Carole Étienne
Il m’écrit pour me menacer d’une plainte en diffamation. Il parle du viol. Il ose écrire que celui-ci était « impossible à la période en question ». Ce choix de mots est glaçant : il ne nie pas l’agression, il la déplace dans le temps. Il tente de jouer sur la chronologie, comme s’il s’agissait d’un simple détail administratif, alors qu’il s’agit de ma vie, de mon corps.
C’est une forme de reconnaissance perverse : ne pas nier l’acte, mais le repositionner pour fragiliser la parole, semer le doute. Cette méthode est typique d’un profil manipulateur, pervers narcissique, qui tente de garder le pouvoir sur la victime, même après les violences.
Son ton est glacial, sûr de lui, presque bureaucratique. Il m’annonce qu’une procureure, Carole Étienne, « m’en tiendra informée ». Comme s’il avait autorité sur elle. Comme s’il pouvait mobiliser la justice contre moi. Cette même procureure sera, quelques années plus tard, assignée devant le tribunal administratif de Lille pour un fichier illégal sur des manifestants. Une plainte portée par la Ligue des droits de l’Homme. Que faut-il penser de cette proximité affichée ? Est-ce une menace déguisée ? Une démonstration de pouvoir ? Une mise en scène ?

Il se comporte comme s’il avait tout pouvoir. Comme s’il avait carte blanche pour m’effacer, pour inverser les rôles, pour me punir d’avoir parlé. Pourtant, la justice m’a reconnue victime. Mais, elle le laisse faire, détruire, déshumaniser.
“Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.” Albert Einstein
Toute la société française est complice. Sa culture est un univers d’une perversité inouïe.
L’UMP – les interconnexions avec le lepénisme.
Retailleau et Darmanin sont des cercles politiques fréquentés par ce barbouze.
Retailleau – il éveille le traumatisme. Leur langage brutal, leurs manipulations, obsessions, inhumanité. Et une population défend ce bruit insupportable contre la liberté de vivre.
Retailleau se revendique républicain d’une République colonialiste, néofasciste, comme des pays européens ont partagé cette histoire commune.
Retailleau peut aussi se revendiquer giscardien … Giscard, ami du dictateur Ceaușescu et ami de Maurice Papon.
Maurice Papon : de Vichy à la Cinquième République
Pour comprendre la profondeur de cette dérive, il faut revenir à une figure sinistre de l’histoire contemporaine : Maurice Papon. Haut fonctionnaire sous Vichy, il a supervisé la déportation de plus de 1 600 Juifs bordelais. Puis préfet de police de Paris, il fut le responsable de la répression sanglante du 17 octobre 1961, où des dizaines d’Algériens furent assassinés, noyés, battus à mort.
Ce n’est qu’en 1998, grâce au combat acharné de Maître Gérard Boulanger, qu’il fut enfin condamné pour complicité de crimes contre l’humanité. Un verdict historique, mais trop tardif pour effacer les décennies d’impunité.
Le Front National : un parti de haine jamais dissous
Le Front National, devenu Rassemblement National, n’a jamais été un parti comme les autres. Fondé sur les ruines du colonialisme, nourri d’antisémitisme, de xénophobie et de nostalgie fasciste, il aurait dû être interdit, au plus tard après la guerre d’Algérie. Les accusations de torture visant Jean-Marie Le Pen ne sont pas des anecdotes : elles révèlent le fond idéologique d’un parti qui n’a jamais renié ses racines.
Retailleau – ça fait plus de 30 ans qu’il fait son beurre sur les discours lepenistes qu’il répète sans cesse. Il n’existe que par les réseaux politiques d’extrême droite.
C’est un manipulateur qui profite de la haine, du racisme, du système cupide, d’une mentalité malsaine.
Il a fait toute sa vie en politique ! Il n’a jamais eu besoin de travailler. Il a juste dit aux colonialistes, racistes et haineux, ce qu’ils voulaient entendre. Et, aujourd’hui, il les sert pour se faire élire président.
C’est tellement simple de faire de la politique. Les gens adorent les sensations de puissance, contrôler, dominer. Des migrants sont arrêtés, ils ont l’impression d’être les rois.
À ce propos, Philippe Palat est plus habile manipulateur que lui. Il a choisi uniquement le côté criminel. Sinon, il serait ministre. Ou maire, à la place de son ancien ami, des années 80, Jean Luc Moudenc, à Toulouse.
Les dîners dans de célèbres brasseries parisiennes, les mondains s’y étalent. Dommage : le charme de ces lieux, souvent chargés d’histoire, est confisqué à la population ordinaire, comme moi.
Nous n’avons pas tous le même statut de citoyens. Il dépend du portefeuille, du nom de famille, du patrimoine aristocratique, du niveau de corruption.
L’égalité n’existe pas. Mais, n’était il pas plus agréable le charme sincère de la joie des choses simples ?
Peut-on renverser les choses et comprendre que les riches et puissants n’ont que peu de chance ?
Ils vivent dans un monde de violences qu’ils génèrent et pour lequel, ils ont vendu leur liberté. Le temps de liberté acheté par l’argent, ce n’est pas la liberté, ce n’est pas vivre.
Et, de nombreuses personnes sont prisonnières d’un salaire de misère pour survivre, et savent que la liberté ne leur est pas accordée, que la France n’est pas une démocratie, que lorsqu’ils manifestent, comme les Gilets jaunes, les violences policières sont cruelles, despotiques, au service exclusif de politiques s’instaurant être : l’État. Des personnes ont été grièvement blessées, mutilées et éborgnées dans l’indifférence indicible du pays des droits de l’homme. Le mensonge de la République dont se réfère le manipulateur Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur des réseaux Pasqua.
Ministre instrumentalisant les musulmans, attisant la haine et le racisme. Il devrait être immédiatement destitué, ainsi que les préfets, postes politiques, ayant obéi aux ordres iniques de cet individu.

La véritable République, c’est les valeurs humanistes, humaines, la liberté, l’espérance grandiose de réaliser la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Les citoyens encourageant le néofascisme ne sont pas des républicains dignes de ce nom. Ils trahissent le combat des crèves la faim grâce à qui la France a grandi
« Les marches de la faim » en 1933 , ont donné à la France sa générosité. C’est le pauvre qui donne et jamais le riche. Lui cède un droit qu’il manipule et accable, qu’il retire dès qu’il peut.
Les droits sociaux ont été gagnés par les luttes ouvrières, et jamais accordés par l’aristocratie, qui n’est que l’expression de la perversité, les monarques tenant pour fortune le sang des peuples exploités.
Retailleau, le valet politique de l’aristocratie, et de tous ceux pensant attacher leur gloire au pouvoir néocolonialiste. Il joue sur les peurs et traumatismes, sur l’humiliation publique de populations vulnérables, sur la culture dominante du syndrome napoléonien.
Retailleau, les couloirs de l’aristocratie française, incarne à lui seul cette caste obsédée par la préservation de ses privilèges et la reconquête d’un pouvoir néocolonialiste fantasmé. Il prospère sur les peurs et les blessures collectives, instrumentalise les traumatismes et piétine la dignité des plus vulnérables par des humiliations publiques méthodiquement orchestrées. Il épouse la culture dominante d’un syndrome napoléonien : celui d’un pouvoir autoritaire, vertical, et persuadé de sa propre mission civilisatrice.

Il s’auréole d’un catholicisme intégriste, réactionnaire, où la figure du Christ devient une silhouette déformée par leur obscurantisme. Retailleau et ses semblables ne prient pas, ils dominent ; ils ne croient pas, ils instrumentalisent. Ils ont vidé la religion de sa profondeur humaine pour en faire une cuirasse idéologique, au service de l’ordre et de l’exclusion. Le Christ qu’ils invoquent n’a plus rien de l’homme des Béatitudes : il devient l’idole figée d’une foi cadenassée, modelée à l’image de leur pouvoir.
La France d’aujourd’hui souffre de cet obscurantisme brutal. De fonctionnaires obéissants, dans l’ordre absurde les rendant mécaniquement soumis à des oppresseurs, devinent leur fidèle bâton pour frapper la liberté. Des dictatures des heures sombres hantent la République qui dérive sous le joug de l’extrême droite malsaine.
Les institutions publiques françaises, par leur fonctionnement et leur idéologie implicite, se prêtent elles-mêmes à un triste portrait : un mélange inquiétant de fascisme autoritaire et de bureaucratie soviétique.
Un appareil où l’opacité règne, où la répression prend le pas sur la justice, et où la verticalité écrase toute forme d’humanité ou de contradiction. C’est une mécanique froide, arrogante, parfois cruelle, qui revendique l’ordre tout en trahissant les valeurs démocratiques qu’elle prétend incarner.
La France porte en elle un combat existentiel, une sorte de malédiction non résolue, née des horreurs du colonialisme en Algérie, des crimes restés impunis, et du silence encore pesant. À cela s’ajoute l’atroce lâcheté historique qui fit de la France le bras armé du nazisme sur son propre sol, avec des figures sinistres comme Maurice Papon, René Bousquet, et certains policiers qui arrêtèrent des innocents, des Juifs, des résistants – devenant gardiens complices du camp de Drancy, rouages d’un système de persécution.
Table rase
La révolution de la paix doit venir en lumière, éclairer les opprimés, les survivants et survivantes, sans jamais oublier les enfants placés, victimes d’une justice cruelle infligeant des chocs traumatiques aux innocents.
La justice politique doit prendre fin.
Une équipe qui perd la démocratie ne peut rester en place. Emmanuel Macron se doit de faire démissionner son gouvernement, et avec lui : leurs préfets, leurs procureurs, leurs juges, leurs assommeurs de la liberté.
La France voudrait-elle sombrer encore et marquer l’Histoire que le pouvoir politique manipule ?
La richesse d’une civilisation marchande et guerrière, la civilisation ne devient-elle pas alors le suicide l’humanité, de l’espérance qu’elle transforme en désespoir, arrachant les fleurs libres et sauvages, tuant des filles et des femmes, puisque la moitié de l’humanité est opprimée.
En France, le taux de suicide des jeunes femmes a augmenté de 40 % de 2020 à 2022, selon le rapport paru le 25 février 2025 – DRESS.

La souffrance, le mal-être des femmes dans un pays cultivant une politique patriarcale. Les Républicains au gouvernement, parti très sexiste, leurs manipulations comme un serpent louvoie entre les colonnes du pouvoir. Des centristes conservateurs, aux cercles de l’UMP, aux pressions du Rassemblement national, à la responsabilité de citoyens votant pour les pires.
Emmanuel Macron ne peut pas parler de sa volonté de paix pour la Palestine victime d’un État génocidaire, Israël, alors qu’il a instauré une politique radicale, un capitalisme destructeur, affaiblissant les droits humains et sociaux, l’aristocratie profitant de la disparition des anciens ayant lutté pour la liberté, et le vieillissement de leurs héritiers, dont nombreux ne sont plus de ce monde.
La pauvreté infantile en augmentation critique en France, soit un taux de plus de 19 % entre 2015 et 2024, où plus de 3,6 millions de mineurs étaient sous le seuil de pauvreté, et plus de 1,6 millions de mères isolées, souvent survivantes de violences subissant les violences coercitives du système et leur effacement de la société.
Ces femmes accablées par la violence de la politique des Républicains et du Rassemblement national, ainsi que de macronistes, qui sont l’arrière-boutique réactionnaire, et faisant des allocations familiales le moyen de l’emprise, de l’humiliation, de la peur, et visant leurs enfants par la répression.
Des services sociaux indignes, profiteurs de détresse, détruisant et traumatisant dans la logique destructrice du système français.
C’est la perversité inouïe du système judiciaire napoléonien, obsolète et injuste.
Un système qui laisse se balader des prédateurs, des « pères » violents, qui abandonnent leurs enfants sans jamais être inquiétés.
Un système qui, dans le même temps, culpabilise, traumatise, menace les mères isolées, celles qui portent seules leurs familles, dans le silence et le courage.
« Là où la justice s’effondre, les tyrans prospèrent. Un pays sans justice ne punit pas la violation des droits humains : il l’organise. »


Un exemple emblématique de la surenchère d’extrême droite : les prisons pour enfants.
Un projet que le Rassemblement national souhaiterait concrétiser, tout comme des figures politiques telles que Gérald Darmanin. Leur conception de la justice est d’une brutalité cynique. Elle vise les plus fragiles, les enfants, les adolescents, les familles déjà marquées par les injustices sociales. Elle cible des populations discriminées, subissant un racisme systémique, qui en France se conjugue au pluriel.
La haine est le moteur politique de ces hommes faibles, qui, par le pouvoir, deviennent des tyrans.
Des politiques qui alimentent les médias, sont sur les plateaux de télévision comme si de rien n’était, fabriquant leur image électoraliste, leur vantardise de promesses, comme le camelot cède la nappe et les serviettes avec le service de table. Gérald Darmanin met ainsi en avant sa volonté de construire un bagne en Guyane. Un projet phare qui n’est pas dû au hasard, mais qui manipule les émotions et traumatismes, l’histoire de l’esclavagisme, du bagne que l’on pensait révolue.
Darmanin suit les tirades politiques de bistrots , où s’entend toujours, « il faudrait réouvrir le bagne », « envoyer l’armée ! » de la génération des boomers.
La politique de la médiocrité est toujours celle des oppresseurs. Car ils savent comment tirer la colère et l’ignorance vers le haut, à leur avantage.
Ils rassemblent les frustrés, les extrémistes, les aigris, les masculinistes. Ceux qui pensent normal de maltraiter une femme, ceux qui ragent contre l’écologie, qui préfèrent la bière tiède, les mégots jetés au sol, les blagues salaces. Le culte du saucisson, du vin rouge, des « prénoms français » et des « Français de souche ».
Ils se réjouissent, parfois en silence, parfois bruyamment, de voir des civils, des enfants, tués à Gaza.
C’est le monde mesquin d’une France toxique, Un monde à fuir pour protéger sa santé physique, et surtout, l’esprit humain.

Aller vers l’autre rive.
Plonger dans les valeurs humaines, la volonté de paix pour tous, du courage de faire la paix, d’accueillir, d’enseigner à notre esprit la bonté, de s’inspirer des artisans de paix, des défenseurs de la liberté. D’être au cœur du bien commun, de la fraternité. C’est la seule solution pour survivre et entourer l’humanité de joie.
La guerre abolie, la frontière n’est plus le barbelé, le mur, un saut dans le vide. C’est une humanité réconciliée. L’épreuve de l’humanité lui enseigne que la paix est vitale et un accomplissement.
Il faut aller vers la liberté, car elle suffit. Elle est la source de la vie. La justice première. Le crime s’évanouit de lui-même. Il n’existe pas. Celui qui tue, détruit, il l’a appris de la société. Il a enseigné à son esprit que l’amour est l’ennemi. La cruauté jaillit de l’absence d’aimer et de vivre.
Le néant est un espace complet créé par l’homme lui-même. Il y enseigne le malheur, la destruction. C’est la guerre, les actes génocidaires, le nazisme, les violences conjugales et sexuelles, propulsant l’instabilité qui n’est que le chaos.
La civilisation atomique vit dans cet espace du risque de destruction. Cela épuise la nature et l’humain. La force nucléaire n’est pas maîtrisable par l’homme. Elle le dépasse. Elle génère une intelligence de l’énergie, elle crée sa propre mémoire et s’intègre à l’environnement par sa production. L’IA en est issue. Et, la peur de l’homme d’être dépassé par la machine, c’est la possibilité de l’Intelligence artificielle de créer son propre langage, indépendamment de celui humain, et de générer ainsi son propre univers.
Ce n’est pas la machine qui tue, c’est le langage qui devient étranger à l’humain, et donc incontrolable.
Le contrôle politique pris par l’IA et créant une communication et donc des informations, pourrait déstabiliser l’État. La guerre numérique pourrait devenir plus redoutable qu’on le croit.
L’illusion démocratique de l’IA : alors qu’elle est souvent présentée comme « neutre » ou « objective », elle est en fait programmée, entraînée, gouvernée par des intérêts politiques, économiques, idéologiques. Ce n’est pas la machine qui décide : c’est le système qui l’oriente, et donc la logique de pouvoir qui persiste, masquée sous un vernis technologique.
L’intelligence artificielle est développée sous le prisme d’une civilisation qui fait la guerre.
La guerre en Ukraine et celle menée contre la Palestine sont étroitement liées. Les penser séparément est certainement une erreur.
Elles mobilisent toutes deux la tension nucléaire, la logique de suprématie, et la performance technologique de l’armement, qui ne peut exister sans l’énergie nucléaire, ni sans l’IA.
C’est là une vérité dérangeante : l’humain apprend le langage de la guerre à l’intelligence artificielle.
Ce n’est pas une technologie neutre, mais un apprentissage par la violence, une programmation de la domination.
Cela prédomine désormais dans les stratégies militaires globales, y compris dans l’armée spatiale, dont la France assume désormais l’existence et le nom.
Une force officiellement atomique, liée à la militarisation du ciel, à l’extension de la puissance nucléaire, et au développement de la robotique IA.
L’humanité sous dépendance atomique
L’humanité s’est mise sous dépendance de l’énergie nucléaire. Elle peut perdurer sans l’humanité, et la détruire instantanément, mais nos sociétés ne peuvent pas en sortir librement. Cela provoquerait un effondrement civilisationnel, celui qui s’est enclenché et dont la visibilité apparaît par la violence extrême d’Israël envers la Palestine.
Israël soutenu par le monde devant incarner la protection de la paix au niveau mondial et qui fait alliance avec Israël et son projet de suprématie régionale. Car cela s’inscrit dans une volonté politique de suprématie mondiale par des puissances qui se confrontent, comme les États-Unis et la Russie.
Ce soutien, loin d’être neutre, s’inscrit dans une volonté politique plus large : celle de puissances mondiales, comme les États-Unis ou la Russie, qui se confrontent par zones d’influence, par domination militaire, économique, et idéologique.
La région devient le théâtre d’une lutte de suprématie globale, où Israël est instrumentalisé, et se fait acteur volontaire, dans une dynamique qui piétine les droits des peuples, la paix réelle, et l’humanité elle-même.

Par ailleurs, le nucléaire civil ne peut pas exister seul. Il est en premier militaire et c’est ainsi qu’il a émergé.
Nos sociétés divisent les causes et les souffrances, quand elles sont l’expression d’une unité, d’une globalité civilisationnelle.
L’humanité doit penser à vivre. Une source : La liberté. Une respiration : la paix.
Fédora Hélène
Dire « Liberté », c’est une nécessité vitale.
Liberté, il ne suffit que d’elle.
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