Vers la troisième guerre mondiale ? Avoir le courage de la paix avant l’embrasement

Les frappes américaines sur des sites nucléaires en Iran marquent un tournant géopolitique dangereux.
À Gaza, les civils paient le prix d’une guerre sans fin. L’ONU s’efface. Les États s’arment. Les peuples pleurent.

Dans cette tribune, je pose une question centrale : Et si le courage politique du XXIe siècle, c’était la paix ?

Désarmer, réconcilier, impliquer les sociétés civiles, protéger l’humanité du feu qu’elle alimente.
Il est temps d’ouvrir une nouvelle ère, où la force ne sera plus l’horizon du pouvoir.

Gaza, Ukraine : territoires sacrifiés, peuples écrasés

Donald Trump est l’un des déclencheurs de la Troisième Guerre mondiale, laquelle a commencé par la destruction de Gaza, tandis que l’Ukraine est écrasée sous les bombes. des territoires réduits à des propriétés commerciales.

Pendant que des enfants périssent sous la cruauté des forces israéliennes, Trump s’amusait à publier une vidéo où il apparaissait en statue d’or, régnant sur une Palestine transformée en attraction touristique, en parc d’investissement pour le dollar.

Le Veau d’or et la domination nucléaire

Le veau d’or : tel est le surnom de Trump.

Il incarne l’effondrement civilisationnel : une violence brutale, une déshumanisation programmée, une domination par l’arme nucléaire, la force atomique utilisée pour contrôler le monde.

Les États-Unis ont été les premiers à larguer la bombe atomique, Hiroshima et Nagasaki. Ils l’ont fait parce qu’ils étaient les seuls à la posséder, sans risquer de riposte.

Aujourd’hui, ils bombardent des sites nucléaires, tout en instrumentalisant le régime totalitaire des mollahs pour apparaître comme les « sauveurs » du monde.

Ils s’associent à un tyran : Netanyahu, qui promet à l’Occident un enrichissement sans fin.

Des tyrans alliés, des peuples trahis

Des tyrans contre des tyrans, et les populations, ainsi que leurs représentants politiques, soutiennent l’horreur parce qu’elle promet des bénéfices.

Les chaînes des mollahs rivalisent avec celles de Trump, d’une Union européenne marchande, des lobbies, et le monde accepte désormais l’idée de frappes nucléaires contre l’Iran, où vivent pourtant des civils, des enfants.

Frapper des cibles nucléaires, c’est cela, la force nucléaire aujourd’hui : détruire, non plus par la seule bombe atomique, mais par tout l’appareil de mort et de domination qu’elle symbolise.

Les États sont en train de faire la démonstration de la monstruosité née de la société industrielle, cette même société pour laquelle chacun travaille, consomme, prisonnier de l’illusion de liberté.

Le silence complice de certains « libéraux »

Ils déploient un armement nucléaire de plus en plus destructeur. Des bombes toujours plus puissantes. Une Terre toujours plus dévastée, polluée par une industrie militaire technologique massive.

Ceux qui ont voté pour Trump – dont des extrémistes racistes – portent une responsabilité immense. Tout comme les soutiens de Netanyahu, y compris certains politiques iraniens, prêts à renverser les mollahs par la destruction.

Un certain mouvement, instrumentalisant le slogan Femme, Vie, Liberté, n’a montré strictement aucune empathie pour les femmes et les enfants de Gaza.

Tandis qu’on cible les enfants avec des drones, cette barbarie ne semble pas les déranger.

Ils soutiennent Netanyahu quand les bombes pleuvent sur Gaza, et que la faim tue les enfants palestiniens. Mais ils sont les premiers à crier à la barbarie lorsque les mollahs exécutent des innocents.

Une certaine bourgeoisie iranienne, installée aux États-Unis et en Europe, se présente comme le futur politique de l’Iran.

Elle s’étale dans les médias de droite en France, fait de grands discours sur la liberté des femmes, mais pas un mot quand de petits corps fragiles d’enfants sont horriblement mutilés, brûlés, par les frappes israéliennes.

La lumière des enfants, le souffle des mères

Et aujourd’hui, le criminel Netanyahu devient le frère du « sauveur » Trump.

Les mêmes manipulent la religion, utilisent la Bible pour justifier leur prédation, comme les mollahs le font avec le Coran.

Mais le Coran, celui que les justes lisent à Gaza, n’est pas entre les mains des bourreaux. Il est entre celles de ceux qui souffrent, ceux qui résistent, ceux qui restent fidèles à leur humanité, à leur foi en la vie.

C’est ce Coran qui leur rend leur dignité humaine, quand le monde politique les abandonne.

Les livres sacrés relèvent celui qui est à terre. Ils échappent aux mains des oppresseurs qui veulent être Dieu.

La lumière se révèle à la lumière. Tout vient d’Un. Et c’est le plus fragile, le plus innocent – les enfants de Gaza, d’Ukraine – qui, ensemble, portent l’avenir du monde, sa paix.

Ce sont leurs mères qui survivent et meurent sous les bombardements, sous le poids d’une politique qui ne révèle que sa cruauté.

Demain, un monde en paix devra se libérer de la politique, pour vivre et être. Il devra apaiser les blessures, celles infligées par les puissants. Et plus que jamais, la spiritualité deviendra le langage, la force pour secourir notre humanité.

Le monde absurde de l’argent

Cet été, un touriste de masse consommera sans mesure, engageant des crédits à la consommation. Automates du monde moderne, indifférents, leur liberté réduite à une valeur d’argent que le système leur accorde.

Ils sont dans une cage dorée, et demain, les tyrans pourraient leur ôter ce qu’ils croient être un pouvoir – un pouvoir en réalité octroyé par un système de simulation sociale.

Le pouvoir d’achat, contrôlé et animé par des États liés à des puissances bancaires, peut être bloqué à leur guise. Le surendettement devient une méthode de gouvernance : il fait survivre des citoyens à crédit, tout en maintenant un taux de pauvreté élevé, enrichissant les plus riches, qui doivent leur fortune à l’État, à des subventions publiques.

Les pauvres financent les riches, et non l’inverse.

Emmanuel Macron, financier, agent de banque, est le trait d’union entre l’État et la finance. Il appauvrit les plus fragiles et enrichit une classe aristocratique, ainsi que ceux comme Bernard Arnault, agrippés aux États, oppresseurs par leur cupidité.

À aucun moment, ces hommes n’ont le courage de faire la paix.

Macron, beau parleur, a approuvé l’annulation de la Conférence des Nations Unies sur la solution à deux États, car cette solution n’existe plus.

Israël possède déjà Gaza, par la destruction qu’il impose, par la férocité de ses actes, et ses ambitions économiques internationales.

Les États-Unis ont conçu un nouveau programme administratif pour la gestion de Gaza, en coopération avec Israël, par le biais de fonds privés, comme la soi-disant Fondation humanitaire de Gaza, déjà controversée.

Un modèle politico-économique se met en place à Gaza, pendant qu’elle subit toujours l’horreur des attaques israéliennes, soutenues par Trump et par le système mondial des exportations d’armes.

La rupture partielle du contrat économique entre l’Union européenne et Israël, si elle est finalement approuvée, restera symbolique. Elle ne suffira pas à empêcher Netanyahu de prospérer.

Le système économique mondial fonctionne par intérêts industriels et énergétiques.

Tout le monde tient tout le monde.

Et tous trahissent les Traités de paix et les sanctions, surtout quand les États-Unis – européens par culture et par langue – y trouvent un intérêt de domination.

Les États-Unis ne peuvent fonctionner seuls. Ils ont besoin du système de l’Union européenne, car ils doivent interagir avec d’autres puissances économiques pour faire du business.

C’est la même stratégie qu’ils appliquent vis-à-vis de la Russie ou de la Chine.

Les États-Unis sont les mendiants du monde.

Ils dominent par l’empire. Leur mental est celui des colonisateurs, par lequel ils ont bâti leur puissance. Issus de l’Empire britannique, ils ont construit leur domination en contrôlant la croissance, en provoquant des conflits, en achetant des territoires, en agissant par la destruction.

Les bombardements massifs sur la Normandie, lors du D-Day, furent aussi un moyen de s’imposer dans la reconstruction, et de devenir les possédants.

Trump a récemment revendiqué cette partie de la France, comme appartenant moralement aux États-Unis. Et, suggérant la possibilité d’une administration américaine.

Les centristes et les Républicains, courant d’extrême droite, cupides et serviles, ne s’y opposeraient pas.

Ils prospèrent selon l’ordre financier, alors que des décennies de droite conservatrice ont transformé certains départements de Normandie en déserts économiques et médicaux.

Ils freinent le développement pour maintenir un endoctrinement, notamment par un catholicisme sectaire, afin de dominer politiquement.

C’est une stratégie de développement du patrimoine aristocratique, et de maintien de la pauvreté.

Ces élus de droite, lamentables, sexistes, manipulateurs, parient sur l’obscurantisme. Ils sont prêts à se vendre à Trump pour perdurer, là où la liberté les chasserait.

Ils comptent sur l’industrialisation de la pêche et de l’agriculture, sur un système féodal, sur les grands propriétaires et les lobbies, pour asseoir un pouvoir monarchique.

Ils flattent la jeunesse, avant de freiner brutalement le progrès.

Des politiques de façade, narcissiques, attachés aux apparences et aux titres. Des hommes immobiles, sans le moindre courage de la paix, qu’ils ne font qu’instrumentaliser.

La droite, fervente soutien de Netanyahu, construit une société de violences, accuse les enfants qui subissent leur prédation. Une société déshumanisée.

Un monde sans empathie. La bonté noyée. Des politiques construisent des prisons, veulent la réouverture du bagne en France, pendant qu’eux, responsables et coupables, dirigeront un ordre autoritaire, imposant contrôle et inhumanité.

Des politiques en propagande, sur des médias tenus par des faux journalistes, agents d’un pouvoir au service de l’enrichissement et de la domination.

Des hommes passifs, qui n’ont jamais subi la guerre ni la pauvreté, vêtus de costumes luxueux, pour masquer leur conscience, dissimuler leur trahison.

La démocratie est en deuil. La République est aux mains des oppresseurs.

Le système judiciaire destructeur, la justice confisquée

Le système judiciaire destructeur pour justice, se faisant les alliés de prédateurs, enfermant les enfants et les survivantes, et glorifiant leurs bourreaux.

Les juges corrompus, fidèles à ce qui détruit, le mensonge, une société en simulacre du monde, qui lui est la vie, le souffle de la liberté.

Ils ouvrent les prisons, couvrent le sol de barbelés, dressent les murs, et pour un salaire et un titre, ils sont prêts à vendre leur âme.

Ils sont aujourd’hui l’épée qui tranche l’innocence, ils seront demain jugés par l’innocence.

Le monde bouleversé par une révolution climatique interagissant avec les activités humaines, industrielles, c’est l’incessant bruit pour de l’argent, est le dominateur.

L’humain devrait se positionner en protecteur de la nature, en consommateur responsable.

S’alimenter, ce n’est pas détruire. C’est cultiver la bonté de la Terre nourricière.

Ce temps de la paix qui nous donne la possibilité de survivre. Aujourd’hui, le temps est accéléré. D’une heure à l’autre, tout peut changer et glisser au bord du précipice.

La menace nucléaire : autodestruction annoncée

Les attaques sur des sites nucléaires sont cette autodestruction annoncée, et non ce qui fera la paix mondiale.

La diplomatie d’excellence est brisée par ceux chassant pour dominer, et risquant cette promesse :

quand la Terre en désert sera le sable brûlant, sortira du sol effondré un morceau de métal portant le nom d’un marchand d’armes – voici ce qu’il restera pour mémoire de l’humanité.

Il est crucial de ne pas poursuivre la réalisation d’un monde atomique. Les armes nucléaires sont une menace majeure et permanente.

Et, aujourd’hui, dans le monde, l’énergie nucléaire civile est liée au nucléaire militaire. Les États-Unis, concepteurs de la bombe atomique, en sont la preuve. Ils veulent rester les dominateurs dans le monde nucléaire.

La France et les États-Unis sont les deux forces nucléaires possédant le plus grand nombre de réacteurs nucléaires, dont la France, en tête, par nombre de réacteurs par habitant : 56 réacteurs pour 66 millions d’habitants en 2021, selon l’ASN.

Par cette logique de force nucléaire, Emmanuel Macron peut difficilement rompre avec une stratégie américaine de frapper des sites nucléaires en Iran, même s’il peut condamner en surface. Mais cela reste très superficiel par rapport au danger d’escalade.

La paix confisquée par le double langage diplomatique

Dans une Déclaration commune, les dirigeants du E3 – Allemagne, France, Royaume-Uni – ont déclaré dimanche 22 juin :

« Nous réitérons notre engagement en faveur de la paix et de la stabilité pour tous les pays de la région. Nous affirmons notre soutien à la sécurité israélienne. »

La sécurité d’Israël doit être affirmée, comme celle de tous, car chaque pays est une population civile, dont des enfants.

Mais le soutien, ici, à la stratégie de Netanyahu soutenu par les États-Unis, n’est pas celui du courage de la paix.

Celui qui détruit ne sauve pas.

La Palestine subit une destruction par les forces israéliennes, soutenues par les États-Unis, et par les exportations d’armements, dont celles faites par des pays européens.

La France, dans la tourmente des exportations d’armes vers Israël – des profits à hauteur de millions d’euros – est le deuxième exportateur mondial d’armes.

L’opacité liée aux exportations d’armes, à l’utilisation de celles-ci, ainsi qu’aux pièces militaires, entache les déclarations présidentielles pour la désescalade et la paix pour tous.

La paix véritable, une vision universelle à construire

La paix se situe à un niveau vertueux d’une économie qui s’échappe d’un système capitaliste destructeur, d’une mondialisation de l’économie de guerre.

La paix exige du courage, et la vision d’un monde politique en adéquation avec la Terre, qui est l’expression du vivant, qui est habitée par la vie. Le monde politique actuel est l’antithèse de la paix.

Ce que démontre le Salon du Bourget, qui met en valeur l’industrie de la mort, quand un génocide est en cours à Gaza.

Ce qui signifie que l’armement nucléaire est conçu par les États comme étant la sécurité mondiale, détenue par quelques puissances choisies.

Ce droit sécuritaire qu’ils conçoivent pour Israël, faisant partie de l’extension de l’Occident, et incarnant le prolongement du mondialisme européen et américain.

Une légitimité qui assure à Israël la capacité de détruire, d’être un État génocidaire, à qui, aujourd’hui, la communauté internationale cède la Palestine.

Désarmement, réconciliation, renaissance universelle

La paix véritable demanderait le désarmement nucléaire mondial, comprenant la neutralité d’Israël, alors que les forces israéliennes ont tué et blessé plus de 50 000 enfants palestiniens depuis octobre 2023, selon les données de l’UNICEF.

Le cri de Gaza et l’appel à une paix universelle

Face à la violence génocidaire d’Israël à Gaza, la communauté internationale devrait instaurer une diplomatie du désarmement et de la réparation. Le monde civil prend conscience que les civils, et en particulier les enfants, sont les premières victimes des guerres et des génocides. Gaza souffre seule, abandonnée des grandes puissances, trahie par les rivalités, les intérêts financiers et les jeux d’influence entre États.

Sous nos yeux se déroule une géopolitique toxique qui rend la cruauté possible, et l’universalité de la paix, impossible. Les Palestiniens sont traumatisés à vie, et le monde est bouleversé à l’image de ceux qui pleurent pour les enfants et les femmes de Gaza, pour sa nature dévastée, ses frères et pères anéantis.

Ne disons jamais que la paix universelle est impossible quand les ravages de la cruauté sont sous nos yeux.

Une nouvelle ère : diplomatie du désarmement, pouvoir des peuples

Cela exigerait de fonder une nouvelle ère de l’Organisation des Nations Unies. Créer une force internationale de neutralité, pour la paix et la réconciliation mondiale. Faire des territoires en conflit, des territoires de paix.

Mais cette dynamique de paix ne peut plus être gouvernée uniquement par les États, qui incarnent la force militaire. Elle doit inclure les sociétés civiles. Le citoyen ne doit plus se reposer sur le politique pour assumer les responsabilités de la paix mondiale. Il est temps d’entreprendre un engagement citoyen global.

Cela permettrait aussi de reconnaître les manifestations civiles pour la paix, et la Marche pour la paix en Palestine. La voix des citoyens du monde ne peut être confinée au silence, ni submergée par la puissance politique et militaire.

Un monde juste et équitable se construit sur une humanité unie, où chacun est une voix issue d’elle. C’est le principe universel de « Tous humains, tous égaux » qui doit prédominer. Le peuple doit prendre conscience qu’il est aussi un acteur de pouvoir et de responsabilité pour le bien commun.

Il est crucial de protéger un patrimoine universel de la paix, émanant de l’esprit humain, bien commun à tous.

L’urgence du désarmement face à la tentation nucléaire mondiale

C’est ainsi que les régimes totalitaires, comme en Iran, ne feront plus faiblir le monde. Mais les bombardements américains sur les cibles nucléaires en Iran rappellent l’urgence d’agir pour la paix mondiale. Ce sont les attaques contre des installations nucléaires qui menacent le plus gravement l’équilibre de la planète.

Aujourd’hui, le monde se divise sous le joug des tyrans et de la domination nucléaire. Penser le désarmement nucléaire mondial est crucial. Ce qui semble encore utopique aujourd’hui doit devenir la conscience collective de demain. Car sinon, le monde sécuritaire se destine à une vision apocalyptique : la bombe atomique pour tous, ou personne.

La Corée du Nord pense sa sécurité par la bombe nucléaire. L’Iran s’aligne. Le pied est déjà posé sur le déclencheur de la troisième guerre mondiale. Il peut encore être relâché, mais demain, il pourrait être enclenché.

Pour que la guerre mondiale ne soit pas l’horizon de 2050, et que la jeunesse ne soit pas précipitée en enfer, il est vital de réaliser, dès maintenant, une politique d’apaisement. D’ouvrir une nouvelle ère : celle de la réconciliation. L’humanité a besoin de bonté pour vivre.

Trump, faux prophète de la paix

Trump se plaint, car il voudrait être nommé prix Nobel de la paix, comme il l’écrit sur son réseau social. Le siècle des faux prophètes a commencé. Il se vante d’avoir annihilé la menace nucléaire iranienne pour protéger Israël et l’Occident. Mais cette posture d’attaque militaire, niant toute diplomatie, ouvre la porte de l’enfer au nom de soi-disant bonnes intentions.

Son geste guerrier pourrait inspirer d’autres puissances à frapper, elles aussi, des cibles nucléaires. Ce n’est pas la paix qu’il fait, mais trembler la Terre.

L’inspiratrice d’une ère nouvelle : la réconciliation.

Les Marches de la paix : éveiller les consciences Les Marches de la paix, en secours – les populations se lèveront-elles ?

Quitter les usines, les lobbies, les centres commerciaux, le tourisme de masse, le loisir corrompu ; abandonner ce qui détruit, pour bâtir la paix universelle.

En pleine conscience, par le courage de la paix, avancer sans tarder vers elle. Et prendre une respiration, celle de la liberté.

Cet aujourd’hui, qu’il est essentiel d’agir pour la paix pour tous.

La paix est possible. Il faut la vouloir. L’aimer. Et la mettre en action. La justice ne l’attend pas. Crée-la.

Bombarder des cibles nucléaires, ce n’est pas œuvrer pour l’avenir. Soutenir Netanyahu qui détruit, ce n’est pas s’offrir une belle vie.

Avance. Va jusqu’au bout. Agis, chaque jour, pour la paix et la liberté.

Compte sur toi. Et nous avancerons ensemble.

Le mal ne triomphera pas. L’amour vaincra.

Fédora Hélène

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