
Violences faites aux femmes : Emmanuel Macron a trahi la cause nationale
Emmanuel Macron a transformé l’espoir en désespoir
En 2024, les violences conjugales ont augmenté de plus de 10 %. Cette réalité tragique est le résultat direct d’une politique autoritaire et toxique menée par Emmanuel Macron.
Au lieu de défendre les droits fondamentaux, il a mis en place une stratégie fondée sur la théorie délétère de l’assimilation, qui n’est rien d’autre qu’un racisme d’État. Il a nommé au pouvoir des figures issues de l’extrême droite, manipulatrices, héritières du clan UMP, instrumentalisant à la fois la justice et la sécurité.
La cause de la liberté de la moitié de l’humanité a été trahie. Sous la présidence d’Emmanuel Macron, des femmes ont accédé au pouvoir non pour porter la justice, mais pour adopter un rôle, servir un système, et accepter la violence politique. Elles se sont succédées au sein des gouvernements sans autre ambition que celle de leur propre intérêt.
Aucune n’a été sincère, et deux d’entre elles, sont des magistères politiques depuis plus de 20 ans, où elles n’ont fait que si peu d’efforts pour la libertés des femmes durent toutes ces décennies écoulées en politique.
Isabelle Rome, qui n’a manifestement montré aucune empathie pour les femmes de Palestine, s’illustrait plutôt par des querelles narcissiques avec Marlène Schiappa.
Cette dernière faisait la Une de Playboy,
tandis que sa collègue ministre la critiquait publiquement dans les médias.

Leurs échanges par SMS finirent, comme par hasard, par être rendus publics. Une scène dérisoire et révélatrice, qui démontre l’état lamentable de ces cercles où le pouvoir est paralysé par l’égocentrisme, et vidé de toute volonté réelle de justice.
Marlène Schiappa, décorée de la Légion d’honneur, entourée de l’extrême droite spectacle, de Cyril Hanouna, des cercles macronistes, et de la fausse gauche opportuniste qu’elle incarne elle-même.
Une mise en scène politique et médiatique, sans honneur, sans vergogne. Tous ces gens ne s’écœurent jamais. Ils se tiennent la main dans le confort du pouvoir, là où l’ambition personnelle écrase la morale, et où la décence a disparu depuis longtemps.
Une chose est certaine : les survivantes de violences ne peuvent compter que sur elles-mêmes.
Face à l’indifférence politique, à la récupération médiatique et à l’impunité organisée, leur survie repose sur leur propre force, leur solidarité, et une vérité que personne ne veut entendre.
Macron, le bling-bling sarkozyste, navigue entre les cercles de l’UMP et du Front National, qu’ils ont rebaptisés pour tenter de faire oublier leur sombre passé, leurs mensonges, leurs haines, et leurs barbouzeries d’État.
La France néofasciste danse et dîne. Elle défile sur le tapis rouge d’une République devenue simulacre, où les apparences masquent la brutalité, et où le pouvoir parade pendant que la justice s’effondre.
« Combien de femmes sont écrasées par le poids de la vie et du drame de la violence ? Dieu nous appelle à une réelle justice, pas à une justice de façade. »Discours, 8 mars 2021 – Pape François

Un néocolonialisme violent envers les femmes
Ce mouvement autoritaire a décuplé la violence sociale, les injustices et les inégalités. Il réactive un imaginaire néocolonial où les femmes sont considérées comme la propriété des dominants, des héritiers de l’aristocratie bourgeoise et coloniale.
Ces hommes politiques fantasment encore sur l’Empire, sur les fortunes bâties sur l’esclavage, sur l’exploitation de l’humain.
Manipulations, trauma et pouvoir
Ils réveillent les traumatismes collectifs, instrumentalisent la maltraitance pour asseoir leur puissance politique. Des faibles devenus tyrans. Leur seule idéologie : combler un complexe d’infériorité par le pouvoir et la domination.
Et derrière tout cela, toujours cette obsession raciste, ces discours de comptoir, ces blagues sexistes qui envahissent l’espace public.
La France malade de son histoire
Ce pouvoir vit dans la haine de la défaite coloniale, notamment en Algérie. Les réseaux d’extrême droite, renforcés dès les années 80 par la médiatisation de Jean-Marie Le Pen, n’ont jamais cessé de croître.
Au XXI e siècle, un parti dont le fondateur a torturé en Algérie et possédait un poignard nazi a atteint le second tour de l’élection présidentielle.
Le fascisme s’installe dans les urnes
Les héritiers de l’extrême droite radicale savent qu’il y a un terreau en France : il suffit de l’arroser de haine, de repli identitaire, de fantasmes colonialistes.
Ces hommes détruisent la paix. Et dans leur vision du monde, la femme reste un objet de propriété masculine.
Le risque est immense
Plus de la moitié des Français, dans un pays stable, prospère et libre, sont aujourd’hui prêts à élire le fascisme, mus par la haine, la peur, et une nostalgie impériale.
Demain, les droits des femmes s’effondreront. Et des hommes comme Philippe Palat, barbouze notoire, se retrouveront dans l’ombre des cercles du pouvoir, comme ils l’ont toujours été.
Cultiver la haine dans un pays en paix est une honte
Comme les électeurs de Trump, ils font le choix de la barbarie dans un monde qui aurait besoin de justice, de solidarité, de paix.
Il est temps d’ouvrir les yeux. De refuser la manipulation. Et de lutter, pour les femmes, pour la liberté, pour l’humanité.
Un monde bouleversé par la violence politique
Actuellement, un génocide détruit Gaza. La Palestine en souffrance, ce sont des enfants palestiniens mutilés, brûlés, affamés, tués.
Netanyahu a atteint l’horreur.
Ses alliés de la haine justifient leur monstruosité en invoquant le 7 octobre.
Ils osent diviser les martyrs, osent utiliser la pureté des Justes tombés, osent défaire le repos en paix des victimes de la barbarie nazie : les juifs, les homosexuels, les résistants, les Tziganes, les opposants, les handicapés, les civils d’Oradour-sur-Glane…
L’Ukraine subit également des bombardements.
La violence inouïe des soldats russes a laissé derrière elle des viols, des tortures, des crimes contre les Ukrainiens.
Et en France, une partie de la population, conduite par des politiques, avance vers le règne du néofascisme, d’une ère génocidaire sous tension nucléaire.
Ils ont effondré le suffrage universel, faisant de ce système la manipulation grandiose de la liberté des peuples.
Fiers, ils écoutent la propagande, le bruit des bottes, et le ravage des bombardements tuant des enfants à Gaza et en Ukraine.
Fiers, ils étalent leur inhumanité sur les réseaux sociaux au cri de « force de l’ordre », sans rien risquer d’une guerre sur leur territoire, de la faim, des blessures.
La lâcheté renaît.
Elle était là, déjà, durant la Seconde Guerre mondiale, alors qu’il n’était que 0,2 % de résistants à la fin de la guerre et qu’ils devaient se protéger des dénonciations, des collabos, et des milices.
Les mêmes aujourd’hui regardent l’Algérie comme étant leur propriété, qu’ils rêvent de posséder à nouveau, prêts au pire, qu’ils gardent dans leur mémoire.
Les mêmes traumatisent des survivants et survivantes de violences dans leurs palais d’injustices, qui placent arbitrairement des enfants, les traumatisant, sans jamais être confrontés aux conséquences des violences qu’ils infligent et qu’ils décrètent légales.
Le colonialisme, le patriarcat, la guerre, la pauvreté, l’extrême droite, l’autoritarisme, leur ministre de la justice dont deux femmes ont témoigné avoir été victimes de violences sexuelles : c’est aussi « légal », dans leur mental judiciaire flattant un système prédateur.
Une société de mensonge et destructrice, bornée, qui n’a jamais eu le courage de la paix véritable, de la bonté féconde. Netanyahu est soutenu par ce marasme qui exporte des armes, qui fait du commerce, qui exploite l’humain et la nature, et qui s’orgueillit de titres, d’apparence luxueuse, de pouvoir et d’argent. La puissance politique par le mensonge et la maltraitance, un génocide à Gaza, par la haute technologie et la puissance financière des États-Unis et de l’Europe, par des dirigeants et gouvernements, et la cruauté de ceux s’alignant sur le chaos.
Emmanuel Macron ne pouvait pas réaliser la cause nationale contre les violences conjugales, sexuelles et sexistes. Il ne pouvait que les accélérer, et placer à la justice, son antithèse.
Emmanuel Macron a eu pour conseiller Jérôme Peyrat, ayant fracassé sa femme à coups de poing.
C’est le niveau actuel de politiques français, de la deuxième puissance européenne, d’un pays membre permanent de l’ONU, et possédant la bombe atomique.
Tant que la guerre sera et détruira des femmes et des enfants, la lutte contre les violences faites aux femmes restera impuissante, car ne pouvant pas anéantir dans le monde entier, l’oppression contre les femmes. Elles sont les premières victimes de violences sexuelles liées aux conflits, abandonnées sur le bord de la route, traitées avec barbarie.
Les décideurs politiques sont les seuls autour de la table des négociations pour la paix, et jamais, ils ne pensent aux femmes ayant le courage de survivre à l’horreur. Et, qui pourtant, ne seront jamais assises dans les cercles de pouvoir. Leur paix belle et magnifique, le politique n’en veut surtout pas. La guerre pourrait être interdite, le prestige de l’armement disparaître.
« La violence contre les femmes est un outil du pouvoir. Elle est politique. » Angela Davis
Aujourd’hui, domine le mental des soutiens de Netanyahu et des soldats israéliens riant de leurs massacres et se prenant en selfie, comme ceux, en Israël, prenant des bateaux pour voir les bombardements sur Gaza la nuit, et s’en réjouir.
La dominante d’extrême droite en France qualifie la Flottille de la Liberté de « croisière s’amuse », répétant stupidement la propagande des autorités israéliennes.

La société n’a pas évolué. Elle est la continuité de l’empire romain. Ils sont toujours là, à applaudir le sang coulant dans l’arène.
Et aujourd’hui, c’est celui des innocents. Des enfants palestiniens.
Deutéronome 27,25
“Maudit soit celui qui accepte un présent pour verser le sang innocent !”
Le siècle des faux prophètes a commencé. La Bible ne pourra jamais servir d’arme pour justifier un génocide.
Netanyahu détourne les Saintes écritures, fait d’elles ce qui légitimerait des crimes contre l’humanité, des crimes de guerres, le basculement : bombarder des sites nucléaires. Il vient d’ouvrir la porte donnant sur ce qui enclenchera la Troisième Guerre mondiale.
Jérémie 22,3
“Pratiquez la justice et la droiture. Délivrez l’opprimé des mains de l’oppresseur. Ne faites ni tort ni violence à l’étranger, à l’orphelin, ni à la veuve ; ne répandez point de sang innocent dans ce lieu.”
Le monde politique soutenant sa barbarie, la justifiant, et transformant le tyran en « sauveur », car frappant le régime despotique des mollahs, vient de légitimer le recours possible au fracas nucléaire pesant au-dessus de l’humanité, vivant sous l’ère atomique.
Aujourd’hui, un homme cruel, Netanyahu, et les autorités israéliennes, possèdent la bombe atomique, avec l’approbation de la communauté internationale qui lui reconnaît ce droit.
Aujourd’hui, un État génocidaire possède la bombe atomique. L’humanité contre elle-même.
Les forces israéliennes ont tué et blessé plus de 50 000 enfants palestiniens. La haute technologie de la mort, l’évolution de l’armée de l’espace, dont la France, a également, adopté ce titre, et qui au Salon du Bourget expose la capacité de destruction, de l’anéantissement de l’humanité.
Aujourd’hui, on visite le Salon des armes, en fleuron industriel, en investissement financier international. Emmanuel Macron en rappelle le prestige, la foire aux profits, dans le pays deuxième exportateur mondial d’armes, comme celles livrées en Israël.
L’État, la banque de l’armement. Et, le mensonge destructeur se poursuit, les prédateurs en rient, la justice politique se couvre de vertus et détruit l’innocent, les marchands d’armes ont compris que la paix était une arme politique, écroulant l’existence, la vie, pour un système inventé par des hommes pensant détenir une mission divine.
Netanyahu est aujourd’hui leur mentor. Symbole du cynisme absolu, le machiavélisme est devenu l’emblème du pouvoir. Combien, déjà, ont parié sur l’après ? Sur des investissements futurs, des promotions immobilières à Gaza, pendant que des enfants meurent sous les bombes ? La terre éventrée devient marché. Le génocide, une opportunité.
Le banquier, Emmanuel Macron,
doit connaître mieux que quiconque les calculs cyniques de rentabilité. Les profits, les marchés, le commerce des territoires meurtris, comme demain ils achèteront l’Ukraine, par blocs entiers, par chantiers de reconstruction, avec leurs banques, leurs multinationales, leurs illusions de paix recouverte de béton.
François Bayrou et sa génération catastrophique, leurs héritiers, comme ceux ministres de son gouvernement, s’en moquent, leur vie est faite, leur fortune et carrière de manipulateurs politiques, mais toute une jeunesse subira une société dystopique, où un génocide est considéré comme une valeur marchande. Ils détruisent la nature, ils détruisent l’humain.
La surenchère d’extrême droite déshumanise. Ils ont commencé depuis bien longtemps, avant eux, des milliers de Palestiniens ont été expulsés, blessés, tués dans l’indicible indifférence du monde politique international.
Les politiques se disent que l’injustice est force de progrès capitalistes, de pouvoir, et qu’abandonner des enfants en enfer, rapporte au système sa gloire et prospérité.
Le monde capitaliste est assis sur un cimetière qu’il a creusé de ses propres mains.
L’Histoire marquera cela. Leurs noms resteront, non comme des bâtisseurs, mais comme les oppresseurs du XXI e siècle. Les générations futures n’auront pas la faiblesse de leur pardonner, car ils auront besoin de cette vérité pour survivre dans un monde cynique que ces hommes politiques auront façonné sans en subir la souffrance.
Et ceux assis sur les bancs de l’arène,
spectateurs du sang, de la honte et du silence, ne seront pas pardonnés. Même par leurs propres enfants. Car ils auront préféré le confort à la justice, le spectacle à la vérité, et l’indifférence à l’humanité.
Hervé Morin, la courtoisie qui enterre l’humanisme
Les politiques qui, hier, accueillaient Greta Thunberg, ne le faisaient que pour servir leur image, leurs intérêts, leur propre vitrine médiatique. Aujourd’hui, ces mêmes visages hypocrites discourent sur CNEWS, la chaîne du pouvoir unique, celle qui effondre la paix et la liberté.
Hervé Morin est de ceux-là : servant son image, suivant le vent selon ses intérêts, ajustant sa parole, calibrant son silence.
En politique, tout est manipulation, communication électoraliste, culte du narcissisme, du reflet médiatique,
de l’accroche bien pensée. On suggère être pour la cause climatique, mais on reste distant, prudent, formaté.
L’acte n’est pas celui des personnalités politiques, mais celui de celles et ceux qui agissent : Greta Thunberg, et cette jeunesse que le pouvoir méprise ou récupère.
Le conservatisme poli et l’illusion d’ouverture
Pour les électeurs, Hervé Morin reste le conservateur lisse, celui qui donne l’apparence d’une certaine ouverture. Tout est parfait dans le meilleur des mondes. Il suffira d’un discours bien placé sur CNEWS pour se conformer à la droite radicale, celle qui enterre la cause climatique et humaniste.
La puissance politique, hors-sol, hors-peuple
L’humanité ne peut être sans la Terre.
Mais la puissance politique se détache de la réalité, et cherche à devenir l’incarnation de la puissance absolue. Un air monarchique s’installe. Les oppresseurs prennent des allures de descendants de l’ordre divin.
La République qui pâlit
La République pâlit. Elle perd ses couleurs. Comme ses villes aux tons sombres, où le blanc et le noir dominent, et où la gamme chromatique disparaît, comme la joie de vivre qui s’en va.

Greta Thunberg, saluée par les résistants, qui eux, savent qui sont ces décideurs politiques, n’ayant jamais combattu pour la liberté, n’ayant jamais eu le moindre courage pour la paix.

La méchanceté des insultes à l’égard d’une jeune femme, comme lorsqu’elle était enfant, Greta Thunberg a subi la mentalité française d’extrême droite, des roublards et cupides, haineux et racistes, des adultes méprisant une jeunesse qui lutte pour la liberté et la vie.

Ils se sentent puissants quand une femme est insultée, maltraitée. Ils ne réagissent que lorsque les médias transforment la violence en spectacle, quand les violences faites aux femmes deviennent sensationnalisme, clics à fric, piétinant au passage des centaines de milliers de survivantes de violences conjugales et sexuelles.
Dans un pays où il y a un viol ou une tentative de viol toutes les 2 minutes 30, le système judiciaire a fini par faire du viol un droit, en l’enterrant sous les non-lieux, les classements sans suite, les silences complices, et les lois sans courage.
Emmanuel Macron ne reconnaît pas la valeur du consentement. Or, le consentement est une liberté fondamentale, sans laquelle le droit international humanitaire s’effondre.
Un prédateur peut détruire la vie d’une femme sous ses yeux, la déposséder de son corps, de son esprit, et cela n’éveille aucune action politique, aucune alerte judiciaire. C’est d’une cruauté insupportable, et pourtant, le système judiciaire français la légitime.
Une femme devient inexistante.
Pas de victime, donc pas d’agresseur.
La justice française est d’une perversité conçue et voulue. Les politiques protègent cet ordre, car il est le reflet de l’absolutisme de l’État qu’ils s’acharnent à conserver. Privilèges et fortunes valent bien d’être maléfiques. Ils acceptent l’inhumanité comme un prix, car pour eux, le pouvoir vaut plus que la vie.
Le droit international humanitaire condamne fermement les violences conjugales et sexuelles, mais la France les tolère.
De temps en temps, une affaire paraît dans leurs tribunaux, leur permettant de s’acheter une conscience.
Emmanuel Macron, personne ne lui reprochera de n’avoir que renforcer le désespoir, et surtout pas les femmes des gouvernements successifs depuis 2017. Des femmes acceptent la violence politique pour le pouvoir. C’est ce qu’elles ont fait sans empathie.
Marlène Schiappa aux côtés de Gérald Darmanin, alors ministre de l’Intérieur, le soutenant sans réserve, par le moyen d’une conscience sélective soigneusement entretenue.
« Le tort d’avoir été violée reste plus souvent à la femme qu’à l’homme le tort d’avoir violé. » Le Deuxième Sexe (1949) – Simone de Beauvoir



La paix véritable
La paix véritable, celle qui sauve la vie,
n’est ni dans les discours calibrés, ni dans les salons du pouvoir, ni dans les logiques d’image ou de stratégie.
Elle est ailleurs. Au cœur des anonymes,
de ceux que l’on efface, de celles et ceux qui ne possèdent pas les clés du pouvoir, mais qui, chaque jour, résistent en aimant, protègent sans caméra, donnent sans calcul, créent sans être vus.
C’est là que germe l’espoir. C’est là que survit l’humanité. Et c’est de là, un jour, que viendra la justice.
Fédora Hélène

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