Quand les institutions trahissent l’innocence et que la puissance écrase les plus fragiles, la liberté et l’amour deviennent des actes de résistance.
Le soutien à Netanyahu révèle l’ampleur d’une perversion politique mondiale. En France, la Ve République se déploie comme une dictature d’État, dominée par des réseaux d’extrême droite, des prédateurs protégés et une aristocratie politique qui écrase les enfants, les pauvres et les femmes. De Netanyahu à Macron, de Darmanin à Buccio, de Bayrou à Borne, ce texte dénonce la violence d’un système qui détruit au lieu de protéger, et appelle à une révolution de paix et de justice.
Quand les institutions trahissent les plus vulnérables
Un système politique et judiciaire qui enferme, humilie et détruit les enfants, les familles précaires et les populations vulnérables. La pauvreté, la précarité, la violence sociale et la manipulation institutionnelle sont des réalités que nous ne pouvons plus ignorer.
Nous devons repenser notre société pour que le bien-être, l’équité et la liberté soient accessibles à tous, et non réservés à quelques privilégiés.
La France et le monde ont besoin d’un engagement concret pour protéger l’innocence et construire une démocratie véritable.
Netanyahu et la cruauté politique
Ce que fait Netanyahu est monstrueux. Le soutenir, c’est uniquement exprimer sa propre perversion et cruauté.
Les actes de ces gens-là, au cours de leur vie, ne peuvent être que violence, méchanceté, perversité narcissique, mensonges.
L’infernal des médias d’extrême droite entraînant pire que l’indifférence, le soutien à ce qui brise la fraternité, augmente la haine, accuse l’enfant mourant, la mère chantant une berceuse à son enfant mourant de faim à Gaza.
Leur mépris est également pour le Soudan, le Yémen, autant que pour l’Ukraine.




Ils ont oublié l’épreuve de la guerre que les anciens ont vécu , car l’État a manipulé l’histoire, a menti, a effacé des témoignages, a conservé le pouvoir du mal. C’est Papon nommé ministre sous Giscard. C’est Papon préfet de Paris et l’horreur du 17 octobre 1961, avec la culpabilité et responsabilité de policiers. Ils ont accepté de frapper, de tuer.
C’est la guerre d’Algérie et la brutalité de la colonisation, des villages détruits, des habitants massacrés et leur mémoire niée. L’État ôtant des livres scolaires la véritable histoire. Il n’est que l’endoctrinement. Le parfait colon, un fort complexe de supériorité divisant le Nord et le Sud. Faisant l’Europe l’unique civilisation.
Des populations autochtones ont subi l’anéantissement de leur culture, de leur langue. Cette domination en continuité de l’empire romain n’est pas achevée.
Netanyahu est soutenu, car il est ce colon qui possède par la destruction, qui soumet par la cruauté et qui donne du pouvoir à un empire colonialiste voulant dominer le Proche-Orient et réunir le Moyen-Orient et le Proche-Orient en une seule entité gouverné par l’Occident en accord avec la bourgeoisie internationale sur un ordre commercial du monde, où toutes ressources vivantes comblent la férocité du marché.
Un génocide se déroule à Gaza sous les yeux de démocraties modernes , qui ne sont que l’âge civisationnel primitif de nos sociétés. On a troqué le char romain contre un Raffael plus destructeur, mais ce n’est que l’évolution perpétuelle de la roue, et non le progrès humain.
Les États ont considérablement réduit l’investissement dans l’humain, et doublent les budgets pour la guerre, la production d’armement. La dette est un leurre, une manipulation du peuple. Une manière de le tenir par l’emprise, la peur de la pauvreté et obtenir sa soumission, son apathie.
Les lois et réforme travail ne servent que le mécanisme de l’esclavagisme moderne. De riches propriétaires soumettent leurs employés à des bas salaires, ne paient plus les heures supplémentaires, transformées en temps, car le pauvre doit acheter son temps de liberté.
Le cynisme de riches marchands, capables de vivre à l’étranger tout en possédant entreprises et commerces en France, impose la faillite des classes moyennes et précaires. Celles-ci sont étranglées, tenues sous emprise par les crédits bancaires.
La relation entre Netanyahu et l’Europe est commerciale et permet de maintenir des populations dans la pauvreté. Une population subissant des restrictions par le manque de moyens financiers, est enfermées , sans échappatoire et doit se justifier de tout, est sur contrôlée, surveillée.
C’est l’homme qui surveille l’homme. Pendant ce temps, Bruno Le Maire vit en Suisse. Ministre parce qu’écrivain raté, exposant ses propos salaces sous couvert d’intellectualisme. Ils sont comme ça, derrière leur masque de fils à papa : des hommes salaces et narcissiques, soutenus par des médias corrompus, financés par des milliardaires, et passant leur temps à manipuler les foules en se faisant influenceurs.
Une population qui a du mal à se libérer, à s’unir. Ceux qui comptent sur la seule quête d’enrichissement, sur la possession de l’argent, s’élancent vers une chimère et accentuent le déséquilibre. Il est nécessaire d’être solidaires, de faire grandir la fraternité, le partage, l’entraide. Une société vidée de tout amour s’écroule.
Nous subissons un système conçu pour les prédateurs et par les prédateurs, fait pour les servir. La perversité narcissique en culte de réussite.
Le soviétisme et capitalisme d’État, une construction sociale en despotisme, par la peur, et culpabilisant les familles précaires enchaînées au système.
Des loyers et des charges lourdes, des emplois précaires et des salaires bas : des citoyens survivent et dépendent d’une aide humanitaire que les politiques ont nommé CAF. Une aide qu’ils manipulent et contrôlent pour maintenir leur emprise. Un pouvoir politique qui exerce des violences coercitives, un pouvoir brimant.
Un processus qui fragilise le bien-être et la santé globale, physique et psychologique, des plus vulnérables. Des personnes sombrent dans un état dépressif et suicidaire, engendré par ce système soviétique, usant de la détresse et des accidents de la vie, eux-mêmes provoqués par la violence de la société.
La France fait partie des pays européens qui enregistrent le plus grand nombre de suicide chez les jeunes de moins de 25 ans, de femmes et de filles.

C’est un enchaînement global qui enferme des populations. Le droit de se déplacer est entravé de la même manière : l’augmentation des tarifs des transports empêche les populations précaires d’être dans le mouvement, les excluant ainsi des centres culturels et économiques. Elles sont maintenues dans une gangue conçue et voulue par le machiavélisme du pouvoir.
La liberté serait des salaires équitables pour tous, la baisse des charges, l’absence de taxes sur l’alimentation et sur les produits essentiels – vêtements, biens de première nécessité hors luxe – afin de permettre une respiration et de donner naissance à une véritable démocratie.
Les escrocs se gavent en politique et tirent les ficelles, plaçant des pions corrompus aux différentes strates des institutions publiques.
Ils n’aiment pas leur pays pour le maltraiter ainsi, et faire jaillir de son sol tant de souffrance.
Comment pourraient-ils agir pour la Palestine, quand dans leur propre pays, ils font subir la détresse ?
Les restrictions imposées par Israël reposent sur des mécanismes qui font basculer des populations entières dans l’extrême pauvreté, le dénuement le plus total, où seuls ceux qui parviennent à obtenir de l’argent peuvent espérer survivre. C’est d’un macabre insoutenable, ce que Netanyahu inflige.
Il met à nu ce qu’un État se prétendant démocratique est capable de faire subir : la cruauté. Il a poussé ce système à son paroxysme.
Il a fait prendre conscience à nombreuses personnes que les dirigeants sont des oppresseurs, et peuvent être de dangereux manipulateurs, devenir agressifs quand ils en ont la possibilité.
Et, c’est là le problème. Le gouvernement israélien agressif a eu la possibilité de commettre un génocide à Gaza.
Des manifestations réprimées, des poursuites judiciaires, comme en France, un système répressif a soutenu Netanyahu. Une aristocratie malsaine ayant besoin de l’oppression pour dominer. Une mondialisation commerciale basée sur la production effrénée, les rapports de force et menaces. C’est l’entente entre l’Europe et Israël. C’est aussi l’objectif colonialiste, le renforcement et retour des empires.
La guerre en Ukraine n’est pas séparée de ce schéma géopolitique. Les dirigeants actuels sont majoritairement des dictateurs en puissance.
Ce que nous apprend Gaza : il suffit qu’ils en aient la possibilité. La démocratie est un idéal qui n’a pas encore éclos. Nous vivons dans une illusion.
Les populations doivent ralentir leur consommation, freiner les élans bancaires, veiller sur la liberté et ne jamais accepter un génocide. Nous sommes humains, des êtres humains, On ne peut pas accepter de vivre une humanité qui s’entretue, des hommes qui ciblent des enfants, les assassinent , les affament. C’est une monstruosité.
« Quand allez-vous cesser de tuer des civils ? »
Cette question, posée par une journaliste à Vladimir Poutine lors de son arrivée en Alaska pour un sommet avec Donald Trump, est restée sans réponse.
Une question essentielle, qui devrait être posée par tous les journalistes, par résistance, comme la voix des civils blessés, traumatisés, tués.
C’est la même question qu’il faudrait adresser à Benyamin Netanyahou. Car le gouvernement israélien mène aussi une guerre de la faim et de la soif, une guerre des déplacements forcés, une guerre de déshumanisation des enfants palestiniens.
Un million d’enfants à Gaza ont besoin d’eau vitale.
L’eau n’est pas une arme de guerre. La vie des enfants n’est pas négociable.

Notre force : c’est l’amour, aimer
La générosité est notre héroïsme, notre résistance. La paix universaliste, notre chemin. L’amour vaincra, le mal ne triomphera pas : tel est notre slogan.

La faillite des dirigeants européens
Les dirigeants européens, incapables de prononcer des sanctions économiques, politiques, diplomatiques contre Israël, ont abandonné leur humanité pour un pouvoir politique malade, archaïque, destructeur, dans un système financier international primitif, où l’argent a plus de valeur que l’humain, qu’un enfant.
Le système financier international s’appuie sur des psychopathes et des manipulateurs dangereux. C’est une arme pour dominer, pour se maintenir en puissance en imposant la peur et les traumatismes.
Les Républicains et la dérive lepéniste
Quant au Parti Les Républicains, ils sont un danger pour la démocratie. Autant qu’Édouard Philippe, ou le centre droit en réactionnaire identitaire, branche du lepénisme de Marine Le Pen. Ils ne forment tous que l’aristocratie. Macron les a réunis, car il tire la haine vers le haut, a besoin d’être maltraitant pour exister.
Bayrou, Borne et le pouvoir archaïque
Le catholicisme extrémiste, réactionnaire et identitaire est malsain, pervers, et c’est le gouvernement Bayrou. Ce menteur narcissique ayant protégé Bétharram.
À 75 ans, il a fait sa vie. Comme Élisabeth Borne en sinistre ministre de l’Éducation. Préfète d’un autre siècle, adorant ses privilèges ! Aucune dignité.
Buccio, Darmanin et l’État répressif
C’est la préfète Fabienne Buccio, qui était à Bordeaux. La même mentalité terrifiante. Elle était à 6 heures du matin dans la cour d’un bâtiment occupé essentiellement par des mères isolées, des bébés et des enfants, pour les expulser.
C’est elle qui a géré la fermeture de la jungle de Calais, dont Darmanin – produit politique de l’UMP, il n’a jamais travaillé – porte une lourde responsabilité. Manipulateur d’extrême droite dès ses années d’étudiant à Sciences Po, la fabrique de manipulateurs et d’oppresseurs.
Tous responsables du désastre
Ils ont dépourvu la société d’amour. Incapables d’aimer, de comprendre la douleur de l’autre, d’apaiser, de protéger le plus fragile. Ils font souffrir et ne ressentent jamais la souffrance de leurs semblables, qu’ils maltraitent, qu’ils appauvrissent. Noyés dans leur propre endoctrinement, dominés par leurs mensonges, bornés et enfermés dans leur folie narcissique. Poussés par leur vénalité.
Ils dominent par l’emprise, par la peur, par une Ve République épousant les traits d’un dictateur. Un militariste du XIXᵉ siècle. Son image glorifiée et manipulée par des baratineurs, des escrocs politiques, des préfets de la honte, des despotes en hermine, se délectant de l’autoritarisme. Un système inhumain qui détruit.
Ceux qui regardent souffrir y prennent plaisir, faibles dans leurs abus de pouvoir.
Ils n’ont pas vu les étoiles dans les yeux brillants des enfants pauvres, ils n’ont pas aimé leurs immenses yeux resplendissants de lumière, l’espérance les bénissant, le père s’agenouillant près d’eux pour écouter leur parole.
Ils ont brisé l’innocence, sacrifié la justice véritable en don de paix, pour le néant des trésors politiques, pour le sombre de l’État. Cette Hydre antique qui surplombe le monde, ce château de cartes, cette banque des puissants, ce despote régnant en Dieu. Ils vénèrent une statue artificielle, eux-mêmes, à travers ce prisme de l’État suprême, royaume éphémère et sombrant.
Il faudrait la fin des États avant la fin du monde, avant la fin d’une humanité autodestructrice. La fin des présidents, de ces despotes élus par l’artificielle démocratie.
Ce grain de folie qui fait la poésie du monde croit en la bonté, au courage pour la liberté, au don de sa vie par amour de vivre la paix et la liberté.
Libérer les enfants des despotes en hermine, fermer leurs tribunaux du malheur, leurs ministères du mensonge, les manipulations créant l’emprise et la peur, enfermant l’humain dans sa douleur, le pauvre martyrisé et le riche en tyran.
Le système judiciaire est issu de la détermination de l’absolutisme, de l’esprit autoritaire, de l’homme narcissique et destructeur. Il attire les sociopathes et psychopathes, pervers narcissiques jugeant et condamnant sans répit pour ne pas se condamner eux-mêmes. Les torturés torturant l’innocence.
Faire table rase du système. Les justes rejoindront la marche vers la liberté, vers une justice en don de paix, éclatante de lumière, libérée des manipulations trompant le bien commun : l’esprit humain.
Darmanin, ministre de la Justice, perroquet de la dangerosité de l’extrême droite et de ses milliardaires financiers, identitaires et sectaires, traumatise et manipule l’histoire, dont ils effacent le combat pour la liberté, la résistance, pour sauver des enfants.
Il vante le retour du bagne, des prisons pour enfants. L’autoritarisme, système inhumain, met en souffrance. Il épuise et, quand il a tout ruiné, il se retire dans la tombe dont il est sorti, macabre.
Libérer les enfants !
Enfants placés, enfants prisonniers. Enfants placés, enfants orphelins.

Le système politique et judiciaire français est d’une perversité inouïe, cruel et destructeur.
Depuis des décennies, cette tragédie perdure : la Ve République est une dictature d’État, d’autocrates malsains, donnant tout pouvoir à des despotes en hermine.

Les dirigeants ont abandonné et humilié des enfants.
Les juges pour enfants détruisent, traumatisent, et devraient être destitués sans délai, autant que celles et ceux qui appliquent, sans aucun respect de l’humain, cet extrémisme judiciaire qui trahit chaque jour la démocratie.
Les prédateurs se baladent, les enfants sont prisonniers et les mères effacées, en grande souffrance.
Emmanuel Macron : la perversité de la culture aristocratique française a conçu un système prédateur, ses lois et sa violence.
En près de dix ans de présidence, Macron n’a jamais eu la volonté de protéger les enfants, les familles vulnérables, les mères isolées précaires et survivantes de violences.
Par contre, il a placé des produits politiques d’extrême droite à l’Intérieur et à la Justice. Les réseaux de Sarkozy, sans qui il ne serait pas président.
Les pires réseaux : des hommes toxiques, manipulateurs, sans ambition, maltraitants.
Le bonheur des enfants : notre boussole
Nous devons aimer leurs rires et leurs chants cristallins, ces anges livrant leur parole au monde par l’innocence de la vérité, la pureté de la paix, la voix de justice à la bouche des plus fragiles.
La France des prédateurs
La France, pays où les prédateurs sont rois, où la pédocriminalité a été vantée dans des émissions culturelles, où des hommes de pouvoir se sont vantés en toute impunité de leur perversité. Les pires démons humains brisent des enfants par leur cruauté.
En France, toutes les trois minutes un enfant subit des violences sexuelles.

La violence sexuelle est légitimée en France, comprise comme une « liberté sexuelle » devenue instrument de destruction. Elle anéantit l’innocence des enfants et des femmes, s’impose comme puissance politique, ordre établi, héritage pervers de la Rome antique. Abandonner une femme ou un enfant dans la souffrance, les traumatiser, nier leur existence et leur force de vivre, voilà ce que permet ce système.


Les enfants traumatisés et l’effacement des victimes
Des hommes prédateurs construisent ce monde, et certaines femmes de pouvoir acceptent l’horreur pour un titre ou une réputation, sans volonté de rompre ce piège mortel. Des enfants et jeunes deviennent suicidaires, écrasés par la peine infligée par ces prédateurs évoluant dans leur terrain de jeux de violence. La technique de l’effacement : pas de victime, pas de prédateur. Leur système judiciaire détruit.
0,6 % des agresseurs condamnés tous les dix ans ! Des survivantes subissent l’autre violence : le système judiciaire.

Lois sécuritaires et colonialisme intérieur
La seule chose qu’ils savent faire : lois et réformes sécuritaires, lois anti-immigration, dans un enfermement colonialiste. L’aristocratie n’oublie pas que sa fortune provient des siècles d’esclavagisme. Les enfants pauvres étaient placés à la chaîne dans les usines de riches propriétaires industriels, bourgeois ignobles regardant les pauvres mourir d’épuisement. C’est leur République, leur trahison, leur inhumanité, toujours dominante.
Les héritiers millionnaires deviennent ministres du despotisme par l’argent et l’humiliation, pendant que ceux qui survivent peuvent à peine s’alimenter. Des salaires de misère pendant qu’ils se gavent sur les bancs de l’Assemblée.
La politique n’est que rhétorique. Les beaux parleurs, manipulateurs et narcissiques, se gavent de privilèges, de salaires gagnés à la sueur des pauvres. Il faut six générations pour qu’un enfant pauvre atteigne un salaire moyen.

Une France divisée et en souffrance
La France pleure. Elle voudrait être libre. Elle supplie et appelle à sa délivrance des barbelés posés dans le ciel de la liberté. Les murs dressés séparent les enfants en riches et pauvres, enseignant division, haine et narcissisme social. La France « d’en bas et d’en haut », selon l’expression de Michel Barnier, renforce les traumatismes des plus vulnérables, victimes des prédateurs de ce système.
Emmanuel Macron transforme l’espoir en désespoir avec sa « bande » issue de l’UMP, parti de corruption et d’aristocrates adorant le veau d’or.

Les Républicains et le système judiciaire
Les Républicains et leurs turpitudes dominent le gouvernement de manière illégitime, oubliant les barbouzes ayant servi leurs réseaux depuis les années 80, liés à Jean-Marie Le Pen.
Les magistrats politiques règnent par intimidation, menaces et emprise judiciaire, détruisant l’humain. La France est le pays d’Europe qui incarcère le plus, utilisant hôpitaux psychiatriques et prisons pour briser l’innocent.

Des jeunes merveilleux, drogués par des médicaments lourds, sont hospitalisés d’office. Un avocat commis d’office rencontre son client dix minutes avant l’audience pour imposer une hospitalisation injustifiée. Les familles sont souvent absentes. Imaginez un carré en béton, un arbre au milieu, enfermé dans une cage en verre, c’est ce qu’ils appellent un « jardin » pour un jeune assommé par les médicaments. Honte absolue aux hôpitaux psychiatriques français.
La culture de la cruauté et la bourgeoisie
La culture de la perversité et de la cruauté règne dans ce pays narcissique, qui se pense « siècle des Lumières » alors qu’il n’est que l’obscurantisme d’une bourgeoisie ignoble et autoritaire.
Emmanuel Macron incarne ce système. Formé par sa professeure de théâtre, peaufiné en acteur du spectacle sinistre d’une démocratie en deuil. Brigitte Macron-Vuitton, en dix ans, n’a jamais été autre chose que la copine de Mimi Marchand, femme de bourgeoisie provinciale obsédée par apparences et rang social.

Ne pas aimer l’enfant : comment Emmanuel Macron pourrait-il apporter le bonheur à son pays ? Enfermé dans ses complexes et frustrations, il devrait régler ses problèmes familiaux avec la bourgeoisie d’Amiens. La jeunesse française n’est pas responsable de ses malheurs.

L’hypocrisie des notables et la transmission de l’injustice
La culture de la France se reflète dans le film « La vie n’est pas un long fleuve tranquille » : hypocrisie des notables de province, apparences parfaites, division profonde. Les rideaux lisses des maisons bourgeoises d’Amiens cachent des secrets honteux : fêtes, abus, mensonges. Tous savaient. Tous connaissaient Betharram, Lourdes, Pau, et la perversité de leur bourgeoisie, ainsi que la franc-maçonnerie à Bordeaux.
L’école de la magistrature dans certaines villes toxiques alimente cette Hydre : un État qui relie ses réseaux entre eux, labyrinthe des fourmis ouvrières. Les bourgeois, riches et protégés, vivent dans des demeures du XVIIIe et XIX ème siècle construites par les mains abîmées et nobles des ouvriers miséreux. On admire l’architecte, on oublie l’esclave.
Le droit d’étudier, pilier de liberté
Le droit d’étudier est universel. L’université doit être un lieu de liberté, de confiance en l’humanité, pour comprendre, apprendre, partager et soutenir les plus vulnérables, au lieu de les accabler et les humilier.

L’État trahit ses citoyens, les dépouille, renforçant pauvreté et souffrance, avec ses dirigeants voleurs de vies, pions placés, présidents élus locaux, chefs moyenâgeux, cravatés et costumés.
Le système fonctionne comme une machine : sexe, pouvoir, argent. Chantage, intimidation, barbouzes, affaires et corruptions dans un échange donnant/donnant. Les puissants se défoulent sur les vulnérables, incapables de se défendre. Les riches arrangent leurs affaires dans le secret, tandis que les procureurs dînent aux tables du pouvoir.
L’abandon des enfants et la Palestine
Les politiques infligent des violences qu’ils ne pourraient eux-mêmes dépasser. Ils abandonnent et humilient les enfants de Palestine, plongeant chez eux des enfants en détresse.

La révolution de la paix
La révolution de la paix doit vivre et affirmer : l’amour vaincra. Le mal ne triomphera pas.
Fédora Hélène

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