La pauvreté, arme politique des gouvernements successifs d’Emmanuel Macron
La démission du Président se justifie ici, face à la souffrance infligée à près de trois millions d’enfants et à leurs familles.
Emmanuel Macron n’a rien compris. Sa destitution n’est pas un jeu politique alimentant l’obscurité de leur milieu : c’est la voix de celles et ceux qui pleurent dans le silence, ceux accablés par les prédateurs du système, par la politique de la maltraitance et de l’humiliation.
Ce n’est pas le fracas des voix politiques qui réclament la démission de Macron, mais la paix des cœurs ayant vu et subi l’ignoble du système politique, qui accuse les plus fragiles comme le chausseur abat une biche.
La chasse à courre, l’aristocratie qui séduit Macron, le latiniste en César au sourire cynique, bafoue la démocratie et annonce qu’il ne démissionnera pas.
Emmanuel Macron,
Vous devriez être destitué pour toute la souffrance que vous imposez à des enfants, à des mères, à une population que vous appauvrissez, n’aimez pas et ne respectez pas, dans la lignée de politiques autoritaires renforçant un système destructeur.
Avoir pour conseiller Jérôme Peyrat, choisi également par Renaissance, montre toute la maltraitance de votre présidence, placée sous l’influence de politiques indignes et inhumaines. Avec l’aval d’une certaine population élisant les pires, par orgueil, avidité et obscurantisme.
Une République qui trahit la démocratie, qui place des oppresseurs et qui est complètement corrompue.
Un pays sans justice est un pays sans paix. C’est d’une violence inouïe de ne pas aimer les enfants, de ne pas les respecter, de mettre en place un système pervers qui les appauvrit et les traumatise.
La politique fait la démonstration de cette indifférence indicible, et Emmanuel Macron le sait. Ce qui sauve la vie, c’est l’amour, la paix, c’est la sincérité de vivre – Jérôme Peyrat se souviendra de Périgueux. Il se souviendra que la vie, c’est l’eau d’une rivière, pas la politique.
Il se souviendra de Philippe Palat, connu dans les réseaux politiques et médiatiques comme un barbouze, un escroc et un faussaire multirécidiviste, déjà condamné pour violences conjugales.
Il se souviendra de son indifférence glaciale pour une mère et des enfants subissant de graves maltraitances., témoignant en vain devant les forces de l’ordre, y compris devant une magistrate, intervenant alors que Philippe Palat avait commis une extrême violence, des menaces de mort et de suicide en utilisant le gaz de ville, ouvrant la gaz à l’intérieur du domicile en présence de ses propres enfants.
Il n’y eut jamais aucune plainte enregistrée, comme lors de ses kyrielles d’agressions commises en pleine rue, devant des écoles, jusque dans l’enceinte d’une école maternelle. Il n’a laissé aucun refuge à sa proie, qu’il a terrorisée et condamnée à subir un stress post-traumatique. Ce sont également des agressions où il a menacé de mort sa compagne avec un couteau.
Philippe Palat se trouvait alors à Périgueux en Dordogne en étant en contact direct avec son ami Jérôme Peyrat des réseaux du RPR, avant de basculer à l’UMP, devenant cet odieux parti : Les Républicains.
Un barbouze très alcoolisé en pleine journée et n’hésitant pas à voler dans des magasins, à abuser de la confiance de personnes, à être cet escroc professionnel du monde politique qui a toujours protégé des prédateurs.
Des hommes politiques ont développé en France une culture de la maltraitance et de la perversité narcissisme, système prédateur soutenu par la justice politique.
Ils n’ont aucun respect des Conventions internationales pour les droits des femmes et des enfants, comme la Convention d’Istanbul.
Ils se comportent en autocrates sans aucun affect, ne calculant que leurs intérêts, usant du pouvoir politique leur offrant un statut de privilégiés jusqu’à l’inhumanité.
C’est le système français dans sa globalité qui est une catastrophe pour la paix, le droit de vivre et la liberté, source de vie.
Jérôme Peyrat indifférent à une famille que son ami le prédateur, Philippe Palat, a plongé sous le seuil de pauvreté par des violences coercitives criminelles.
Philippe Palat a été hébergé dans un établissement de trafics, le Bollywood à Sarlat, condamné en 2021 pour avoir exploité la misère, ce qui s’apparente à un trafic humain. Pourtant, Philippe Palat n’a une nouvelle fois été inquiété de rien, dans cette région tenue comme un fief par Les Républicains.
À proximité, Jérôme Peyrat, président de l’office de tourisme de Sarlat et maire de La Roque-Gageac, illustre ce maillage politique local.
Emmanuel Macron élisant ce courant politique pour constituer ses différents gouvernements et faisant de Jérôme Peyrat son conseiller, le soutenant, alors que celui-ci a été condamné pour violences conjugales, comme son ami Palat.
Ami au sens des réseaux politiques, il évolue dans le sombre de ces milieux, logeant au fond du tunnel des pouvoirs machiavéliques, laissant les enfants à la rue.
Des politiques font subir la pauvreté, conscients et responsables, comme l’est Emmanuel Macron et son entourage.
Gabriel Attal, membre de Renaissance, accepte en politique les conseillers à l’image de Jérôme Peyrat, comme François Bayrou, abandonnant des enfants maltraités à Betharram.
Jeune millionnaire héritier, il s’est imposé par un conservatisme aux accents aristocratiques, cultivant la maltraitance sociale et s’entourant de ces acteurs politiques pour asseoir sa domination.
C’est au sein de leur clan que s’impose une politique de la pauvreté, érigée en loi contre le peuple. Une économie de guerre dont ils ne subissent rien, mais qu’ils font endurer aux plus vulnérables.
Ceux et celles soutenant ces oppresseurs, les plaçant au pouvoir sont complices de l’esclavagisme moderne, de la maltraitance que des enfants pauvres subissent en France.
Les marchands de sommeil, propriétaires cupides, actionnaires méprisant le droit de vivre, patrons exploitant la misère, entrepreneurs sans conscience, faiseurs d’argent en loup, escrocs du système, félicitent et encouragent les prédateurs, colonnes vertébrales de l’effondrement.
La faillite de la France ce sont des décennies de pouvoir aux mains de la finance. L’argent roi et dieu, l’industrie de l’armement en fleuron d’un système capitaliste destructeur.
Philippe Palat, barbouze, est un pion du système où sa prédation criminelle devient un atout de pouvoir. Un système fait pour des hommes de violence, une aristocratie séparatiste cultivant l’obscurantisme.
Inconnu du grand public, même si ses actes de faussaire au sein du monde médiatique a fait l’objet d’articles. Là, ils ont exposé son profil, car il s’agissait de leurs guerres, rivalités et haines propres à leurs milieux.
Quand il terrorise, menace de mort une femme, martyrise une femme enceinte, ça n’intéresse personne de ces tristes milieux qui sont ses réseaux.
Connu également dans les milieux du système judiciaire qui ne secourent jamais des enfants sous le seuil de pauvreté, des enfants victimes de prédateurs que la politique alimentent.
Les magistrats en lien avec Philippe Palat regarderont le sinistre de leur conscience.
Un système qui perdure depuis les années 1980, l’époque du « tout fric » et des affaires, puis plus encore dans les années 1990, quand les loups du système s’installaient au cœur du pouvoir : le RPR, les réseaux lepénistes, et même certains socialistes.
Philippe Palat, en imposteur, se présente un jour comme journaliste, le lendemain comme juriste ou avocat, selon ses intérêts. Le tout, dans une impunité totale. La France : ce pays où les prédateurs sont rois.
Mais Les Républicains, le Rassemblement national et les macronistes pointent du doigt et humilient publiquement les familles précaires, les mères isolées et les enfants vivant sous le seuil de pauvreté, conséquence directe de l’organisation politique de ce pays qui propulse l’ignoble.



L’impunité organisée
De tels profils sont protégés par le système dans sa globalité, y compris par la justice. Les réseaux politiques, médiatiques et institutionnels ferment les yeux sur leurs crimes. Ainsi, des hommes condamnés pour violences conjugales ou dénoncés pour leurs agissements prédateurs continuent d’obtenir une légitimité pour détruire des vies, bénéficiant d’une protection au sein d’un système d’inversion destructeur.
Cette impunité n’est pas un accident : elle est le fruit d’un mécanisme organisé, où la justice se fait sélective et partiale. Elle renforce l’injustice structurelle. Les victimes, elles, se retrouvent humiliées, abandonnées, réduites au silence.
Un pays qui protège des agresseurs et méprise les survivantes trahit sa propre Constitution, ses lois et les conventions internationales qu’il a signées, dont la Convention d’Istanbul. C’est un système qui choisit de protéger la violence plutôt que de défendre la vie.

La politique française est une catastrophe et ne pourra jamais bâtir des futurs en paix.
Un pays qui accepte qu’un homme violent puisse martyriser une femme enceinte ne pourra jamais espérer un avenir serein et pacifié.
Pourquoi ? Parce qu’il ne respecte pas la vie.
La France fait peser une dette illusoire sur les épaules des innocents.
La France fabrique la pauvreté par l’injustice et par un système pervers.
Près de 3 millions d’enfants vivent dans la misère, dans un pays gouverné par des ministres et présidents millionnaires, entourés d’oligarques milliardaires, de riches héritiers et de banquiers, qui n’ont pas acquis leurs fortunes par le fruit de leur travail.

Éric Dupond-Moretti, jouant les humanistes, profite d’une justice politique et manipulatrice, humiliant et traumatisant des survivants jusqu’à l’inhumanité, pour devenir millionnaire et être nommé ministre dans le mouvement toxique des gouvernements successifs de Macron, dont il est toujours proche.
Tous, les uns après les autres, ne sont qu’une série de haine au service d’une République qui tente désespérément de ralentir sa chute.
La dette des puissants : la misère des enfants
La dette est l’invention de l’État, allié au système bancaire obsolète et injuste. Un mécanisme de taux d’intérêt, d’investissements et de marchés qui domine, au lieu de protéger l’humain.
Une emprise sur le peuple. Les crédits bancaires tiennent les populations, comme le salaire versé le mois suivant.
En France, les citoyens font crédit au patron et à l’État, et s’endettent auprès de banques qui vivent de la corruption du système, de l’extrême pauvreté, de l’esclavagisme moderne, des conflits armés, des ventes d’armes et de l’autoritarisme.
Puis, le clan Sarkozy déteste Bayrou, mais fait partie de son gouvernement, au service d’un État qui a destitué Sarkozy, lui a retiré la Légion d’honneur, l’a renié, condamné, mais conserve et applique les lois et réformes qu’il avait imposées.
Son réseau demeure solidement placé au gouvernement et s’illustre désormais par l’accélération de la pauvreté, le mépris de l’humain et l’abandon des valeurs humanistes.
Ils ont abandonné la paix première : protéger les enfants. Près de 3 millions d’entre eux vivent sous le seuil de pauvreté, dont certains dorment toujours dans la rue en 2025.
La dette d’un système destructeur repose sur les épaules des plus pauvres. Ceux qui survivent.
Les très riches, dont des ministres, se portent à merveille et ont considérablement augmenté leur fortune sous Macron.
En France, des mères isolées vivent avec zéro euro au 20 de chaque mois.
Les gouvernements successifs d’Emmanuel Macron sont responsables d’une crise humanitaire étouffée, d’un appauvrissement majeur de familles vulnérables, tout en alimentant un système prédateur qui s’est accéléré sous leur mentor Nicolas Sarkozy.
Des enfants à la rue, une crise alimentaire et humanitaire. Emmanuel Macron doit prendre des mesures d’urgence concrètes et efficaces pour protéger les enfants et les familles vulnérables.
🚩 Reporter la rentrée scolaire face à la crise humanitaire
À la date prévue de la rentrée, de nombreuses familles précaires n’ont déjà plus aucune ressource. La crise humanitaire en France atteint un seuil qui rend indécent de maintenir le calendrier scolaire sans considération pour les enfants plongés dans la pauvreté.
🚩 Destitution du gouvernement
La destitution de Bayrou est la responsabilité du Président, qui n’a pas protégé les enfants pauvres et a aggravé leurs conditions de vie.
Élisabeth Borne, exécutrice de politiques autoritaires, a affaibli les droits humains et fragilisé la démocratie.
Sa nomination à l’Éducation nationale consacre un objectif dominant : transformer l’enfant en produit de rentabilité sur l’échelle des marchés.
Or le savoir a une règle d’or : la liberté.
Une règle simple qui comprend une vérité universelle : l’enfant est précieux.
Le mettre en souffrance par la pauvreté, c’est une violence inouïe qui légitime la violence dans sa globalité de destructions.

« En France, des enfants naissent, vivent et meurent dans la rue », alerte avec gravité l’UNICEF.
Plus de 2000 enfants vivent dans la rue à quelques jours de la rentrée scolaire dans le pays de ministres millionnaires.
Article à suivre pour protéger les enfants, des mères et des femmes enceintes à la rue. Des mères sous le seuil de pauvreté, quand la France trahit sa propre Constitution et les Conventions internationales sur les droits de l’enfant.
Pourquoi écrire un article à venir prochainement ?
Des enfants et des mères dans la rue
En France, près de 3 millions d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté. Des milliers dorment chaque soir dans des hôtels sociaux, des abris précaires ou à même la rue avec leur mère. Des femmes enceintes se retrouvent sans toit, en violation flagrante du principe fondamental de protection de la vie et de la dignité humaine.
La Constitution trahie
La Constitution française garantit l’égalité et la protection de tous les citoyens. Pourtant, en laissant des enfants à la rue, l’État viole ses propres fondements. La République se présente comme « indivisible, laïque, démocratique et sociale », mais que reste-t-il de ce mot « sociale », quand des bébés naissent dans la misère, parfois sans accès à un suivi médical digne ?
Les conventions internationales bafouées
La France est signataire de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE, 1989), qui stipule que « dans toutes les décisions qui concernent les enfants, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale ». Elle s’est engagée à protéger le droit des enfants à un logement, à la santé, à l’éducation et à la dignité. Mais ces engagements restent lettre morte face à l’indifférence politique.
Les femmes en première ligne
Les mères, souvent seules, sont les premières victimes de ce système injuste. La pauvreté féminise la misère. Celles qui fuient des violences conjugales, celles qui assument seules leurs enfants, se retrouvent particulièrement exposées à l’exclusion et à la rue. Une femme enceinte à la rue est le symbole d’un État qui abandonne la vie qu’il prétend défendre.
Des femmes et des enfants que la justice politique ne protège pas.
Des prédateurs jamais inquiétés, jamais poursuivis, jamais reconnus coupables d’abandon de famille, de violences extrêmes, jusqu’à plonger dans la misère ceux qu’ils martyrisent, en bafouant leurs droits humains avec la complicité de l’État.

Un appel à la responsabilité
Un pays qui laisse ses enfants dormir dehors trahit son humanité. La responsabilité politique est immense. Protéger les enfants et les mères ne devrait pas être un choix, mais un devoir absolu. La France, riche de ses ressources et de son histoire, ne peut se permettre cette faillite morale.
Fédora Hélène


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