Projet : Protéger les femmes enceintes et leurs nourrissons de toutes formes de violence
Depuis la Seconde Guerre mondiale, jamais autant de femmes enceintes et d’enfants n’avaient été victimes de violences à travers des conflits armés et des crises humanitaires. Y compris en France, où des femmes enceintes vivent et accouchent dans la rue, alerte l’UNICEF.
Des femmes enceintes et leur bébé subissent aussi la violence de partenaires cruels, sans que la justice ne les protège, sans que les politiques, noyés dans leur chaos, respectent la Constitution et les Conventions internationales, telles que la CIDE, la Convention d’Istanbul ou le droit international humanitaire.
L’art défend la vie.
Il sauve et appelle tous à agir, à protéger, à regarder, à écouter la liberté.
Paix pour les femmes enceintes et les enfants qui subissent un génocide à Gaza.
Femmes enceintes et leurs enfants frappés par la guerre, la rue, la violence des hommes, qui protège la vie ?
Justice et politique, unies dans une même entité de pouvoir, n’assurent ni la protection des femmes enceintes ni celle de leurs nourrissons. C’est à nous, sociétés, peuples et consciences, de rappeler que la vie commence par cette fragilité sacrée : la mère et l’enfant. Protéger les femmes enceintes, c’est protéger l’avenir de l’humanité.
Chaque violence commise contre elles est une atteinte à la vie elle-même. Il est temps d’ériger en principe universel l’inviolabilité de la maternité et de l’enfance, et de placer leur protection au-dessus des calculs politiques. La paix véritable se construit là : dans la défense absolue de la vie.
Écouter le cœur de l’humanité, la liberté, ce battement d’âme : l’amour.
Dessin – Fédora Hélène
Texte et voix – Fédora Hélène
Galerie Nomade – LiberTerra

L’enfant
L’enfant
courant, volant
Papillon léger au vent
Libre, la vie
Sans peur, sans malheur
Les bras tendus en ailes
Le visage radieux, le sourire heureux
Il n’aurait dû être que ce jour d’elle
Je revois la lumière de ce printemps
La douceur du temps
Que rien ne trouble
Que rien n’écroule
Libre, la vie
L’enfant
Courant, volant
Papillon léger au vent
Le loup venant
L’ombre enlevant
La joie mourant
Il a brisé
L’innocence
Il a blessé
La naissance
Quelques mots pleurant
Une femme dessinant
À la craie un cœur
Qui bat en elle
Le souffle, la vie
Qu’il a trahi
Voilant la lueur
Qui vit en elle
L’enfant
Courant, volant
Papillon léger au vent
Reposant au berceau
Que le loup d’une main
De colère jeta à terre
L’enfant sauvé des eaux
De haine coulant en venin
De cet homme, horribilis pater
Fermer les yeux, ressusciter
Le corps endormi dans la rivière
Les flots en vagues ont baptisé
La douleur de nostra mare, une mère
L’enfant
Courant, volant
Léger au vent
Fédora Hélène
L’impunité des violences contre les mères et les enfants

La justice ne reconnaît pas l’enfant blessé au sein du corps de sa mère, elle ne peut reconnaître la mère.
Les hommes violents qui martyrisent une femme enceinte blessent l’enfant en elle.
La justice doit reconnaître et protéger le plus fragile et le plus innocent. La naissance, en consentement de vie, et avant elle l’amour d’une pureté en lumière, appelle à être aimée et respectée.
La justice ne protège pas la mère, elle ne protègera pas l’enfant.
Un homme de violence contre la mère , l’enfant en elle, et l’enfant nourrisson
Un homme de violence contre la mère, contre l’enfant en elle, contre l’enfant nourrisson, agit parce qu’il sait que l’impunité est la règle, et qu’il peut détruire une vie.
C’est la réalité douloureuse de l’inversion des valeurs qui dominent en France. Des gouvernements qui connaissent ce fléau des violences faites aux mères et à leurs enfants s’en nourrissent depuis des décennies. Ils refusent d’y mettre fin, car cette violence est pour eux une arme de pouvoir.
Le système judiciaire, profondément politique, exerce une domination. Dans une civilisation qui privilégie la guerre et le marchand, il est condamné à échouer. La société elle-même participe à l’émancipation de la violence, car elle est violente.
La fin des violences faites aux femmes et aux enfants viendra le jour où la guerre sera condamnée et interdite. Une politique qui détruit par le pouvoir ne sauvera jamais la vie des enfants et de leurs mères.
Dans le monde entier, ce sont elles, les femmes, qui basculent les premières dans la pauvreté lors des crises et des conflits. Elles voient leurs enfants souffrir de la faim, de l’insécurité, de l’injustice. Et chaque jour, elles dépassent cet immense chagrin pour donner toutes leurs forces à leurs enfants.
Ce qu’elles font, aucun politique n’en a le courage. Elles offrent la paix, elles la libèrent de la douleur.
Les souffrances s’élèvent par l’amour.
Les politiques ne créent rien. Mais qu’ils regardent la force de vivre de ces femmes, de ces mères et de leurs enfants. Elles portent en elles ce qu’il est primordial de faire pour lutter contre les violences, les inégalités et les injustices. Ces femmes, au cœur du chaos, le montrent à tous.
La justice en détresse s’agenouille auprès des plus fragiles et console l’enfant.
Elle vit dans notre foi, par l’amour.
C’est cette lumière vivante qui traverse nos corps et leur donne la force de résister aux violences subies, à la cruauté et à l’injustice.
Ce qu’ignore le pouvoir politique, et Emmanuel Macron lui-même.
Car la justice n’est accordée aux survivants que par la grâce d’aimer.
Témoigner, c’est donner voix à la souffrance.
Laisser la paix envahir le cœur pour apaiser le chagrin.
Accueillir le fondement de la prière, cette paix profonde qui sauve la vie.
Fédora Hélène

Lutte contre les violences sexuelles qui sont un crime contre l’humanité




Tous savaient du système politique , médiatique et judiciaire
Depuis des décennies, des politiques, magistrats, et certains journalistes sont informés des violences faites aux femmes et aux enfants. La majorité d’entre eux a observé une indicible indifférence. Ils se fichaient royalement qu’une femme ou un enfant subissent la violence d’un prédateur.
Tous les cercles de pouvoir en France ont accepté la violence envers les populations vulnérables, et plus encore contre les femmes et les enfants. Il n’y a jamais eu de « bonne » gauche.
Les magistrats et les policiers, prétendument non formés comme le souligne un article de Libération… et l’humain, où est-il ? Détruire la vie d’un enfant et de sa mère, ce n’est pas dû à l’ignorance, mais à la cruauté.
La réalité est qu’ils savent tous, et depuis longtemps qui sont certains prédateurs et comment ils fonctionnent.
Dans le même temps où certains médias dénoncent les violences sexuelles, ils participent à la perpétuation d’un système économique destructeur, d’une logique politique qui affaiblit les droits humains, d’une justice qui refuse de protéger parce qu’elle a été façonnée par une mentalité de domination des plus vulnérables.
Les violences sexuelles sont des crimes contre l’humanité tolérés en France par tous les cercles de pouvoir – y compris les médias – et par les institutions publiques.
Pendant des décennies, tous ceux qui avaient accès aux médias, aux ministères, aux tribunaux ou aux cabinets d’avocats ont validé l’idée que les violences sexuelles ne seraient que des « jeux sexuels », comme l’a affirmé une avocate bordelaise face à une victime venue témoigner dans son bureau.
La corruption de la bourgeoisie n’a pas de limites. Leur seule motivation, c’est l’argent.
Un pays construit pour les riches et les très riches, bourgeois de gauche comme de droite, qui n’ont jamais véritablement lutté pour la liberté. Ils préfèrent préserver un système qui garantit leurs patrimoines et leurs placements financiers.
Les violences sexuelles ont été intégrées à la culture française. Ce qu’ils appellent aujourd’hui la « culture du viol ».
Ce ne sont pas les médias ni les politiques qui se soucieront des survivants, contraints de vivre sous le seuil de pauvreté par la cruauté du système français. L’hypocrisie médiatique et politique, après avoir couvert et nié pendant des années, ose aujourd’hui prétendre qu’elle « n’a pas fait assez », alors qu’elle n’a fait que perpétuer le mal.
Transformer l’espoir en désespoir – Macron l’a fait en trahissant la cause nationale de lutte contre les violences faites aux femmes – comme les gouvernements successifs depuis 2017 n’ont eu de cesse que d’aggraver les inégalités et les injustices.
La gauche bourgeoise bien pensante n’a nullement fait mieux.
Aujourd’hui, bâtir la paix universelle a aussi cette dimension de lutter pour la liberté des femmes et des enfants.
La liberté est l’origine de la renaissance, la promesse d’une vie plus vaste encore, car elle enseigne combien elle est précieuse, et révèle que vivre, c’est goûter au sublime d’elle.
Fédora Hélène






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