Dans un monde où les bombes effacent les enfants et où l’innocence se mesure en silences brisés, la poésie devient un acte de résistance. Elle se dresse contre les ténèbres, éclaire les visages oubliés, et porte la voix de celles et ceux qui refusent de céder au désespoir.
La paix, souffle survivant, levant la brume en blancheur du matin, révèle les yeux bleus du jour.
Au-dessus des ruines, l’ange veille toujours
Cet ange, la paix
Je ne sais si ce matin
Je pourrais quitter cet ange
Et revenir dans ce monde
Où on lâche des bombes
Sur des enfants l’innocence
Comme on tue les oiseaux
La cage sans délivrance
La liberté noyée sous les eaux
Je ne sais si ce matin
Je pourrais quitter cet ange
Croire de nouveau
En cette idée étrange
D’un paradis sur terre
Au fil des guerres
Pour unique berceau
Je revois cette mère
C’était moi hier
Naufragée de la galère
Ma peine prisonnière
Échouée sur le sable
Secourue par la vague
Après l’effroyable
La dernière ballade
L’espérance de la mer
Il était là cet homme
Les loups hurlant
Sur une femme
Il était là cet automne
En espoir tombant
Un ange contre l’infâme
Au-dessus des balles
On tue en silence
Une femme en résilience
Je ne sais si ce matin
Je pourrais quitter cet ange
Revenir à ce monde étrange
Marcher sur le bitume en fantassin
Lutter la paix en corps en vain
L’épée et le serpent à mes pieds
Dressés contre le sombre destin
Revenue des cendres la piété
Supplie en dernier chant les nations
D’accomplir en soupir la réconciliation
Fédora Hélène
Macron et l’annonce de la guerre
La guerre n’aura pas lieu si la paix devient raison, si la vie devient plus précieuse que les canons.
La lumière survit à la mort elle-même. Le feu de la guerre ne ruine que l’homme qui répand cet incendie dévastateur à travers le monde, les puissants qui l’ordonnent, les États qui la signent.
Emmanuel Macron n’éteindra que sa propre histoire par sa promesse faite à la jeunesse : la pauvreté en chemin vers la guerre, en destin tracé.
L’Ukraine, divisée en territoires des banques au funeste projet, reçoit 100 Rafale, des barbelés retenant prisonnière la liberté, qui coule dans les veines des mères. Elles entendent : « Accepter de perdre nos enfants », de la voix d’un chef d’État-major des armées.
Mais le cœur d’une mère répond : aucun enfant de France ne mourra sur le parvis des martyrs, sacrifié pour la folie des puissants. Ces derniers, loups solitaires, errent dans les longs bois sombres, à la limite de leur destin, refuge de leur autodestruction.
Pas un seul enfant de France, pas une seule mère abattue par la douleur. Maudit soit celui qui posera sur eux la pierre de la mort.
Tout pouvoir politique doit œuvrer pour la paix jusqu’au bout, sans relâche, sans jamais entretenir l’esprit de guerre ni jouer ce double jeu morbide qui détruit les peuples tout en proclamant vouloir les protéger.
Fédora Hélène
La paix sauve la vie.
C’est peut-être la phrase la plus importante de toutes.
Défendre la vie d’enfants, protéger une génération entière, est un devoir absolu.
Macron a failli.
Il promet à la jeunesse de France un avenir de pauvreté et de larmes, un futur livré à la guerre.

Galerie Nomade – Regard d’ange













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