Parole libre face à une France au bord de la rupture : Macron, l’oppresseur

Macron, la rupture. Violences politiques, pauvreté, guerre, corruptions : l’effondrement de la Ve République

Sous Emmanuel Macron, la France a basculé dans une rupture profonde, presque irréversible. Les violences politiques se sont installées comme méthode de gouvernement : coercition sociale, répression brutale, infantilisation du peuple, mépris des plus vulnérables. La pauvreté s’étend, ronge les villes, les campagnes, les familles déjà blessées par des décennies d’abandon.

Pendant que la vie se renchérit et que les travailleurs s’épuisent, le pouvoir célèbre l’austérité comme un progrès, la souffrance comme un choix rationnel.

Sur le plan international, la guerre devient un horizon qu’on prépare sans honte, qu’on impose même aux enfants sous couvert de “courage” et de “sacrifice”.

Et au cœur de cette mécanique, des scandales de corruption, des conflits d’intérêts, un entre-soi politique et financier qui gangrène jusqu’aux institutions censées protéger le peuple.

La Ve République ne s’effondre pas en silence : elle tombe sous le poids de ses propres mensonges, révélant un pays brisé qui aspire désespérément à la justice, à la dignité, et à un renouveau démocratique que ce pouvoir refuse obstinément de voir naître.

Faut-il dire : adieu France ?

Parfois, le chagrin se pose en mots. Il note les silences. Une danse : le corps écrit la souffrance.

Journaliste ou artiste, ou simplement mon cœur qui bat. Une plume en arabesque, l’art avant les tribunes politiques. Les chemins des livres, la poésie libre pour rencontre, la musique pour éternité.

Mitterrand et nos mots échangés à l’abri des regards, entre amitié et l’ami, ces jours à Paris. Tout a respiré la vie. Les grands hommes et une jeune femme. Un pas et le Louvre, je n’ai pas oublié.

La croisée des destins le long de la Seine. Ce déjeuner, la table dressée, les années de liberté à Paris, une France apaisée entre les désaccords de pauvreté déjà. Mais l’espoir était là.

Mitterrand, nos pensées, ensemble : quelles auraient été les larmes tombant goutte à goutte ranimant le cœur en douleur face aux tombes sur le sol de Palestine ? Quel aurait été cet instant, mon ami ? À toi, Patrice Pelat, échappé d’un camp de prisonniers durant la Seconde Guerre mondiale, avant la richesse éphémère de ce monde en guerre.

Le trouble de l’Histoire, de ces hommes qui dépassaient les frontières, des quartiers pauvres et ouvriers, de la galère à l’humain, aux affaires, de l’argent roi, de la résistance à un idéal, de la gauche trahie à celle chrétienne en ADN.

La bonté en dernier souffle, l’amour en lecture dans le regard d’un ange, des hommes, et le sourire de la paix se faisant le linge blanc enveloppant l’enfant de Gaza. Et je tremble.

Je laisserai les mots libérés. Être dans ce train sans gare, partir vers un inconnu. Les événements nous saisissent.

La vie si puissante, et nous, la rose poussant entre les pierres, s’épanouissant sur l’onde de joie, et demain résistant, couchée sur les gravats.

Les éclats d’obus en ailes d’acier, des anges en armure traversant le feu en étoile filante, pluie des canons au ciel ravageant l’espace bleuté, se couvrant des poussières de métal. L’aube disparue sous l’épais brouillard.

Que restera-t-il au jour ? Les petits corps fragiles épuisés. La tristesse. Jamais les visages n’avaient pris ces traits avec autant de douleur. L’humain découvrant la cruauté. Elle parcourt la ville.

Cet air glacé : il neige l’orage, les cendres du volcan de béton, Gaza écroulée. Le bruit noir. Ne plus respirer. Le vent des bombes envahit l’air. Mille étincelles volent et se posent sur les corps des naufragés.

Les statues de neige grise et brûlante, des hommes et des femmes, figées dans le temps de l’actualité, et l’horloge tourne inlassablement.

Le mouvement continu des marchands faisant de l’eau un poison. L’air au venin des usines. Et meurent les oiseaux.

Qu’as-tu fait ? Qui es-tu, humain destructeur ?

Je voudrais un monde à l’été des anges baignés des rayons du soleil éternel. Un sourire céleste regarde la Terre.

Patiemment, l’espérance tombe en goutte d’un ciel sans nuage sur le front de l’humanité. Bénie soit la vie.

Quelques mots de plus pour consoler les regards. Le froid d’Ukraine vient.

©️ UNICEF

Le froid d’Ukraine vient. Les longues plaintes. Une robe blanche, pieds nus, debout au milieu du champ. Les blés coupés, la glace, mon visage blanc en miroir de l’espace, mon corps immobile.

L’immensité tourne autour de ma bonne étoile, pas une arme à perte de vue. Les plaines de culture s’offrent à la lumière resplendissante de notre terre en maternité. Son ventre rond, l’univers pour mère, un océan. L’espace et ses profondeurs, et au-dessus la vague : un autre univers.

Je viens au monde. Quitte mes frères, ma famille, cet ailleurs avant de naître. Proche d’un autre corps, d’un autre temps, la vie en matière de lumière. On est au-delà d’aujourd’hui.

Les enfants de Gaza, dans ce paradis, jamais oubliés. Les plus fragiles accueillis sans le temps de l’ombre. À nos mémoires. 

En résistance pour la liberté, la démocratie dressée sur les barricades, le néofascisme combattu quand il revient en force, fait prisonniers des enfants, érige des murs de barbelés.

Nos démocraties piétinées, les soutiens de Netanyahu se sont dressés. L’extrême droite prête à gagner le monde pour le ruiner. La mémoire effacée, sans conscience, des populations élisent le primitif des loups : des financiers.

La charge des loups contre les pauvres

Un peuple qui accepte la violence cruelle comme règle politique ne peut attendre rien d’autre que l’effondrement de la démocratie, le déclassement international de son pays et la barbarie pour seul synonyme de sa République.

Darmanin, sa prédation qu’il extériorise par le pouvoir politique, sûr et certain de son impunité, tout comme le haut fonctionnaire Laurent Nuñez, comme un président déchu, Emmanuel Macron, et comme le Sénat en ruine démocratique sous la main narcissique de Gérard Larcher. Tous unis contre la liberté, abattant la paix sans un regard d’humanité, déchaînant une violence extrême, signant la fin de la France, de celle que l’on croyait encore phare de la paix universelle.

Les députés macronistes et leur silence de la honte, rejoints par les opportunistes socialistes, hurlent « écoterroristes », tel Sandra Marsaud, se pliant aux vociférations des hommes de violence lancées contre la vie.

Darmanin, Nuñez, Macron ont compris que le système est prédateur, et qu’il suffit d’être cruel, d’incarner le mensonge, de s’accorder avec des barbouzes, des criminels des milieux politiques, des réseaux de corruptions, des oligarques héritiers millionnaires, de se lover dans le cynisme, pour devenir président, ministre, préfet, entrepreneur d’un État fabriqué comme une matrice néofasciste.

Leur démon, l’argent, veille sur leur sinistre.

Un jour, l’espoir le dicte, sous la protection d’une justice nouvelle, Macron et son fidèle sarkozyste, Darmanin, ainsi que leurs alliés, seront devant nous, face à la paix tenant dans sa main l’épée de Thémis les condamnant.

Budget 2026 – la politique criminelle qui fait basculer des femmes et des enfants dans la pauvreté.

10 millions de personnes vivent sous le pauvreté en France. L’indifférence de la bourgeoisie, du système bancaire , et Emmanuel Macron qui se réjouit d’avance du pire qui arrive pour les plus vulnérables.

Des lois et réformes autoritaires qu’il souhaite mettre en place contre la liberté.

L’oppresseur Macron, le faible qui se rêve tyran. Et, son indigne Brigitte, copine des corrompus de sa génération qui protègent son « mari ». Un homme immature, égocentrique, narcissique et persuadé d’être un génie.

Sylviane, ne sera plus jamais l’oubliée

Les aujourd’hui en chagrin, les abandonnés, il n’y aura pas une minute de silence à l’Assemblée.

Elle est partie seule, à la rue. Sa vie valait-elle un loyer, une facture d’électricité ? Dites-moi.

La France se perd dans le tourment des richesses, de la bonté en détresse. Un toit vaut-il la mort ?

Je ne sais si les mots écrits seront toujours sur la ligne, la tristesse trop forte me perd. Je pars, à mon tour, dans la nuit. Les enfants à la rue, quand finira la misère ?

Les lumières de Noël et l’amour quitte Paris.

Sylviane est morte de ce que la société refuse de nommer : une violence politique.

Une femme, expulsée de son logement, laissée seule face à la rue, abandonnée par un État qui se prétend protecteur.
Elle n’est pas un « fait divers » : elle est le symptôme d’un pays où la fragilité sociale est punie comme une faute et où l’on laisse mourir des personnes dont la seule erreur est d’avoir eu besoin d’aide.

Dans un pays riche, laisser une femme finir sa vie dehors, c’est un choix.
Un choix politique, administratif, économique.
Un renoncement délibéré à la dignité humaine.

La mort de Sylviane n’est pas une fatalité : c’est une injustice.
Et chaque injustice de ce type nous oblige, moralement, politiquement, humainement, à témoigner, à dénoncer et à refuser de s’habituer à l’inhumain.

Le silence. Plus de mots que l’encre se versant vivante et épuisée

Les Républicains, ce parti de violences lâches, de domination perverse, assoit sa puissance sur la souffrance qu’il produit par la pauvreté qu’il renforce, la corruption de leur mentor Nicolas Sarkozy, une crise humanitaire fabriquée en s’associant avec Emmanuel Macron, la montée de la haine, du racisme et de l’antisémitisme qu’il provoque.

Ils sont une entité du Front National depuis le RPR. Les héritiers du gaullisme écroulent la liberté. Ils se revendiquent tous de ce dictateur colonialiste : De Gaulle.

Une Ve République aux allures de monarchie du XIXᵉ siècle, où un président, élu à coups de manipulations et de corruptions, façonne un État à son image. À sa botte : procureurs dociles, magistrats alignés, préfets dressés au garde-à-vous, avocats politiques recyclés en gardiens de cour, financiers du bazar et aristocrates d’opportunité promus en nouvelle noblesse de pouvoir. Une architecture institutionnelle détournée, où l’autorité se confond avec le privilège, et la République se dissout dans les mêmes réflexes féodaux que ceux qu’elle prétendait abolir.

La Ve République est une machine d’ordre devenue une machine de domination dès que le pouvoir se rigidifie. Elle protège l’État, mais rarement les citoyens.

La République a quitté, pas à pas, le chemin de l’humain. La paix en détresse nous crie que les puissants l’ont blessée à la guerre des marchands. Les champs de bataille, en industrie, enfermant des enfants, faisant de leurs mains fragiles l’outil de la machine. À l’abri du béton et du verre, des cités en Olympes des tyrans, on ne voit pas les petits corps souffrants, le morceau de pain en symbole de misère. Et nous, on pleure aussi, les larmes à la sécheresse de nos hivers. On a trop froid. On manque d’amour, la fraternité, en peur, tremble elle aussi.

Donnée UNICEF –

Les mots sans fin. La pauvreté de siècle en siècle frappe toujours.

Le giscardisme perdure . Cette malédiction. Ils ont porté Maurice Papon au pouvoir. Les yeux fermés sur les douleurs. Rien à apaisé, retenu l’espérance. Les usines tournent oubliant les blessures. La rentabilité, le profit, tout à l’enfer de l’homme ennemi de son frère.

Je me souviens des sonneries d’usine, des gamelles au matin, des ouvriers partant, des dos cassés, des mains abîmées, des yeux rêvant le bonheur et ce silence. Ils étaient là, leurs silhouettes effacées, ils avaient compris quel serait le monde d’aujourd’hui. Ils disaient, « le Dieu pognon », alertant en vain. Ils racontaient, les camarades. Mais est venu le giscardisme, le lepenisme, le RPR, puis Sarkozy, et le dernier prince : Macron.

Elie de Rothschild Jr rejoint une vision juste et humaniste qui est vitale à accomplir. Une économie solidaire, de partage, est cruciale pour l’équilibre entre l’humanité et la nature, et pour restaurer la paix. La liberté façonne ce chemin dont la terre fait corps avec le nôtre.

Il soutient la taxe Zucman. Elle consiste en un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine net des ménages dont le patrimoine (immobilier, financier, professionnel…) dépasse 100 millions d’euros. 

On estime qu’en France environ 1 800 foyers fiscaux seraient concernés, soit environ 0,01 % de la population.

Budget 2026 – Au cœur du débat fiscal, le Sénat s’est dressé comme un rempart contre la taxe Zucman, révélant une institution solidement ancrée dans la défense des ultra-riches. Sous l’influence d’une majorité de droite et de centre-droit, la Chambre haute a rejeté la possibilité même d’un impôt minimal sur les patrimoines dépassant les cent millions d’euros, préférant préserver un modèle fiscal où les plus fortunés échappent à toute remise en cause structurelle. En refusant cette contribution de justice, le Sénat s’aligne sur les intérêts d’une élite économique coupée des réalités sociales, et verrouille une vision de la République où l’effort pèse toujours sur les mêmes. Ce rejet n’est pas qu’un vote technique : c’est un geste politique qui creuse un fossé moral, opposant la représentation sénatoriale au pays réel qui réclame équité, solidarité et respiration démocratique.

La vision humaniste d’ Eie de Rothschild Jr – Entretient avec Destins de Femmes – YouTube

La macronisme : l’oppression autoritaire

Le macronisme s’est souvent présenté comme un progressisme moderne, mais il fonctionne dans les faits par un usage croissant de la verticalité, de l’oppression sociale et de la mise en tension permanente du corps politique. Ce n’est pas une question de sentiments personnels : c’est un mode de gouvernance qui repose sur l’instabilité institutionnelle, la communication contradictoire et la captation des symboles progressistes pour mieux neutraliser leurs contenus.

Emmanuel Macron se couronne par l’oppression et gouverne par l’instabilité. Il se pare d’un discours libertaire tout en nourrissant un obscurantisme politique qui contredit ses propres proclamations. Il se revendique féministe, mais place au centre du pouvoir des figures issues du patriarcat, et nomme des responsables politiques dont les positions sont explicitement anti-féministes, homophobes et racistes, comme Bruno Retailleau. Un homme qui a soutenu les thérapies de conversion et s’est opposé à l’inscription de l’IVG dans la Constitution. Une inscription pourtant célébrée comme historique, mais qui révèle une hypocrisie profonde : comment défendre un droit tout en promouvant ceux qui l’ont combattu ?

Cette contradiction est d’autant plus flagrante que la violence institutionnelle liée à l’IVG reste massive : délais toujours trop longs, accès inégal selon les territoires, stigmatisation sociale persistante, manque de moyens hospitaliers. La protection juridique ne compense pas les obstacles concrets qui, aujourd’hui encore, limitent l’autonomie des femmes.

Le macronisme instrumentalise ainsi une rhétorique libertaire : défense affichée des droits individuels, appropriation du vocabulaire du progrès, soutien ponctuel à des causes sociétales, tout en pratiquant une forme d’autorité coercitive : gestion violente des mouvements sociaux, politiques socio-économiques aggravant les vulnérabilités, et une stratégie discursive consistant à présenter toute contestation comme irrationnelle ou archaïque. Ce décalage structurel entre discours et pratiques alimente une crise démocratique profonde et contribue à l’aggravation d’une véritable crise humanitaire.

Macron est la finalité d’un système prédateur : l’ange noir qui élève la haine, qui se nourrit de la souffrance qu’il impose.

Il abuse d’une arme politique : la pauvreté. Il se complaît à humilier des mères isolées et leurs enfants que sa politique fait basculer sous le seuil de pauvreté.

Il ment. Qualifie d’attractivité la chute de la France, mais pas de ses oligarques corrompus dont la fortune progresse. Ils appauvrissent les citoyens, comme ils ont abusé de pays en voie de développement, traumatisés par le colonialisme, accablés par des révoltes internes, des régimes autoritaires.

Le pouvoir de leur République est né des colonialistes, des marchands d’esclaves, de la bourgeoisie obscène, de l’aristocratie de barbares à la chasse à courre.

Ils ont tué le roi pour s’emparer du pouvoir, laissant dans la misère profonde ceux qui leur ont toujours servi de chair à canon, d’ouvriers aux chaînes, de mères détruites par la pauvreté. Elles voient leurs enfants traumatisés par la précarité.

Ces fous du roi, ces gouvernements en cour archaïque, se gavant de privilèges, n’ont de cesse d’accuser les plus pauvres de la violence qu’ils subissent.

Les sociopathes en ministres, les délinquants en financiers, leur matrice de l’État, ce serpent inventé par l’imaginaire des oppresseurs.

Macron accroché à son propre gouffre

Macron s’accroche à son gouffre, creuse le fossé, et se rêve en Bonaparte, en croisade contre la Russie.

Il impose à la jeunesse la pensée violente de la guerre et son cortège macabre.

Il dit aux parents qu’ils doivent accepter le sacrifice de leurs enfants pour un conflit né des ténèbres, du mental destructeur des financiers corrompus, qui transforment des territoires en simples objets de convoitise marchande.

La corruption pour loi gouvernementale, raison d’État, valeur autoritaire, d’une technocratie de hauts fonctionnaires en armée dystopique.

La macronie : Théorie de l’effondrement

La corruption ordonnée

La corruption est acceptée par la majorité de la population. Elle est admise comme un privilège, une règle du monde politique et financier. C’est la règle du jeu en somme.

Les ministres le savent et Emmanuel Macron, également. Être corrompu, c’est le parcours normal, et de temps en temps, une affaire tombe pour protéger des intérêts bien supérieurs.

La corruption n’est plus une anomalie : elle est devenue un enjeu systémique de la République. En 2024, les services de police et de gendarmerie ont recensé 934 infractions d’atteinte à la probité. Corruption, prise illégale d’intérêts, favoritisme, détournement de fonds, soit une hausse de 8,2 % sur un an, et une montée continue depuis 2016. 

Parmi elles, 324 affaires concernent directement la corruption, contre 167 en 2016 : le nombre de cas a presque doublé en huit ans.  Par ailleurs, selon le baromètre publié en 2025 par Transparency International, la France chute à la 25ᵉ place de l’Indice de perception de la corruption, le pire classement depuis plus d’une décennie. 

Ces chiffres ne sont pas qu’un constat statistique : ils témoignent d’un système structurel de détournement de l’intérêt collectif, d’un engrenage d’abus de pouvoir et de favoritisme, dont les victimes, d’abord les plus fragiles, les invisibles, les sans‑voix paient le prix le plus lourd.

Pas de répit pour les mères isolées, familles précaires sous le seuil de pauvreté

Macron incarne pour beaucoup un pouvoir froid, déconnecté, qui plonge des millions de personnes dans la survie.

Sous son quinquennat, l’électricité devient un outil de pression sociale, les loyers explosent, les salaires stagnent sous le seuil du dignement vivable, et les services publics s’effondrent.

Ce système construit par une élite de copains : financiers, communicants, affairistes, ressemble à un banquet fermé où l’on se gave entre soi, pendant que des familles vacillent.

Cette violence économique et sociale est devenue telle que certains finissent par croire que n’importe quel autre dirigeant ferait mieux. C’est dire le degré de désespérance semé par ce pouvoir.

Macron, ce “Bonaparte du Touquet”, se permet même de dire à des parents qu’ils doivent accepter de sacrifier leurs enfants pour ses visions géopolitiques. Une brutalité politique inouïe, portée par un président qui n’a jamais connu ni la précarité, ni l’engagement militaire, ni la nécessité de travailler pour étudier.

On glorifie son parcours d’étudiant modèle, mais ce fut surtout l’enfant privilégié d’un système qui fabrique les futurs dominants : discours creux, rhétorique brillante, manipulation institutionnelle, diplômes façonnés pour produire l’oppresseur idéal.

Il est devenu millionnaire au cœur d’un modèle prédateur, un modèle où les frontières entre affaires, influence et État s’effacent dans un brouillard opaque.

Allez, vas-y Manu : ouvre donc les portes et laisse voir ce qu’il y a dans ce milieu : les arrangements d’arrière-cour, les affairistes dopés à la finance, les oligarques installés dans les salons dorés du pouvoir, ceux qui tiennent l’État comme on tient une rente.

Pendant ce temps, des familles qui ne demandent qu’une vie simple, stable, digne, s’écroulent à cause de décisions prises loin d’elles, sans elles.

Ce pouvoir ne croit plus en la paix : il investit dans la peur, le discours guerrier et la résignation.

Pendant ce temps là, des politiques à l’image de Rachida Dati se prélassent dans l’argent facile.

Macron l’oppresseur du Touquet, avec son clan politique devenu laboratoire du néofascisme contemporain.

Alors que des milliers de familles peinent de plus en plus à simplement payer leurs factures d’électricité, que de nombreux citoyens craignent l’hiver, on découvre que Rachida Dati, figure politique de premier plan, aurait perçu, selon les juges et les médias, des honoraires extrêmement élevés venant de géants de l’énergie ou de l’industrie automobile.

Ainsi, l’enquête publiée en 2025 suggère qu’elle aurait touché ≈ 299 000 € de GDF Suez (rebaptisé Engie) en 2010-2011, alors qu’elle siégeait au Parlement européen, tout en défendant des positions législatives favorable au secteur gazier. 

Par ailleurs, dans le cadre de l’affaire autour de Carlos Ghosn, les magistrats estiment que Mme Dati a perçu jusqu’à 900 000 € entre 2010 et 2012 d’une filiale de Renault‑Nissan, pour des “prestations de conseil” dont l’existence même est aujourd’hui fortement contestée. Ce contrat survient alors qu’elle est à la fois avocate et députée européenne, ce qui rend toute mission de lobbying strictement interdite.

Le contraste est criant : d’un côté, des familles réduites à rationner leur chauffage, à faire des arbitrages douloureux dans leur budget; de l’autre, des responsables politiques, censés représenter l’intérêt général, engrangeant des centaines de milliers d’euros dans l’opacité et l’impunité, en s’affranchissant de tout contrôle véritable. Ceux qui, dans ces hautes sphères, bradent l’intérêt public, protègent des intérêts privés, voire s’enrichissent grâce à des décisions politico-économiques, souvent dramatiques pour les plus fragiles sont, à ce stade, encore en position de pouvoir, inamovibles.

Cette situation incarne une forme de cynisme institutionnalisé : des “escrocs” en ministres, élus sous le couvert de la “république”, alors qu’ils détruisent de fait le tissu social, ruinent des vies ou condamnent des familles à la précarité. C’est ce décalage insupportable entre le discours républicain : justice, égalité, solidarité et la pratique réelle : favoritismes, conflits d’intérêts, enrichissements occultes, impunité. Et pendant ce temps, pour les plus modestes, tout va mal : l’électricité, le logement, les factures, les injustices quotidiennes.

Macron sort sa magie : attractivité

Macron brandit le mot magique : « attractivité ». Il proclame que la France, sous son mandat depuis 2017, a vu naître « plus de deux millions d’emplois », gage, selon lui, d’une relance économique salutaire.  Pourtant, si l’emploi a bien augmenté : environ 2,4 millions d’actifs supplémentaires depuis début 2017 selon certaines analyses. 

La réalité derrière ces chiffres est beaucoup plus nuancée : une part notable de ces « emplois » relève du non‑salariat, de l’apprentissage, de l’intérim ou de contrats précaires, loin de l’emploi stable et digne qu’on imagine. 

Pendant ce temps, le taux de chômage reste obstinément élevé : 7,7 % en 2025, soit environ 2,4 millions de personnes sans emploi au sens du BIT.  Loin d’être un gage de sécurité ou d’émancipation, cette “attractivité” s’est traduite pour beaucoup par des emplois fragiles, mal payés, au Smic, dans des secteurs précaires,,exactement le contraire d’un sérieux redressement social. Ce ne sont pas des “victoires” pour les travailleurs, mais les manipulations économiques d’un système qui continue d’écraser les plus vulnérables, tout en alimentant les discours de victoire d’une République absurde.

La fausse promesse de « réindustrialisation »

Quand Emmanuel Macron et ses partisans agitent l’idée d’une “réindustrialisation” de la France, ils présentent ça comme un projet de renouveau, de reconquête d’un rang perdu. Mais la vérité est implacable : l’industrie en France ne pèse plus que ≈ 10 % du PIB, un niveau comparable, voire inférieur, à celui de pays que l’on classe souvent comme “arriérés” industriellement dans le discours politique ; ce recul n’est pas anecdotique. 

Depuis plusieurs décennies, la part de l’industrie dans la richesse nationale s’est effondrée passant de près de 25 % dans les années 1970 à un peu moins de 14 % en 2024 (industrie tous secteurs confondus). 

Ce qu’on vend comme un “plan de réindustrialisation” apparaît en réalité comme un vœu pieux sans assise réelle ni inversion de tendance. Malgré les discours, la “reprise industrielle” tarde : la part manufacturière reste marginale, des pans entiers de l’industrie sont sinistrés, des usines ferment, des bassins entiers sont abandonnés. 

Le mensonge est double. D’un côté, on flatte l’imaginaire nostalgique d’un passé industriel glorieux pour vendre l’espoir. De l’autre, on continue la course au low-cost, à la sous-traitance, à la désindustrialisation silencieuse tout en prétendant redonner emploi et dignité industrielle. Le résultat ? Une France paupérisée, abîmée par de fausses promesses, coincée entre un discours de relance et une réalité de déclassement économique.

©️ LiberTerra

L’art d’Emmanuel Macron : transformer l’espoir en désespoir.

C’est éprouvant pour de nombreux citoyens qui n’aspirent qu’à vivre en paix. Le droit de vivre en paix et en sécurité, de réaliser des projets, de s’épanouir professionnellement, socialement, de vivre une stabilité méritée s’effondre.

L’injustice dévaste le précieux de la vie, elle détruit des existences, laissant derrière elle un pays fragmenté, heurté, où tant de citoyens ne rêvent plus que d’une chose : respirer enfin. La France a un besoin urgent d’être pacifiée, de retrouver une véritable sérénité, une union qui ne soit pas un slogan mais un refuge. Or cette paix ne renaîtra qu’à une condition : que s’opère, sans délai, un renouvellement profond de la classe politique. Car cette classe est devenue un calvaire pour la démocratie. Elle est arrogante, déconnectée, saturée d’ego et de calculs, elle étouffe la confiance publique, abîme le débat, détruit le sens même de solidarité, d’humanité. Il est temps que les responsables cessent d’être un fardeau pour le peuple et que la République se délivre de ceux qui la trahissent. Une nation ne peut guérir que si elle se libère de ceux qui l’ont blessée.

Les jours nouveaux

Môme de La Courneuve, toujours l’une des villes les plus pauvres de France, je rêve de liberté. Marcher à travers la foule des manifestations contre le fascisme. Voir les gamins de la rue, ceux qui portent l’espoir, ceux que nos anciens ouvriers et résistants, aujourd’hui disparus, n’auraient jamais accusés, tandis que les boomers de CNEWS, érigent leurs rancunes et racisme au rang du Rassemblement national.

Ces ingrats, qui applaudissaient la pédocriminalité intellectualisée, tolérée dans leurs émissions télévisées, cette culture du viol et de la violence sexuelle déguisée en « liberté », ont dévasté l’innocence. Ils ont laissé des enfants au piège des maltraitances, enfermés dans le silence, abandonnés par une société qui aurait dû les protéger.

Je suis l’un deux, cette adolescente brisée. Mon corps évanoui, mourant. Un prédateur d’une cinquantaine d’années, bourgeois de la noblesse catholique du 16 e arrondissement, et moi, 15 ans, 16 ans, 17 ans, et le calvaire des agressions sexuelles, et son poids sur moi. Je disparais. J’avais 15 ans. La vie m’a sauvée.

Les larmes brûlent encore mes yeux. Les violences intrafamiliales, la précarité… je connais l’obscurité de la France, cette France où les vitrines luxueuses ne sont qu’un trompe-l’œil, masquant les vies brisées d’enfants que personne ne protège. Et pourtant, chaque jour, je tente de sourire, de renaître, de garder un éclat d’innocence avant que la majorité n’atteigne son plein sens, toujours sous l’emprise d’adultes cruels et indifférents.

Les violences coercitives sont le véritable instrument du pouvoir politique et culturel en France. Emmanuel Macron s’en est emparé, manipulant cette arme contre les plus fragiles. Un président qui promet aux enfants la guerre, qui transforme l’avenir en menace. Qu’il s’éloigne de nous, de nos vies, de nos cœurs blessés qu’il continue de traumatiser sans vergogne.

La peur, c’est l’emprise. Macron joue à l’abri de l’Élysée. Il ne fait pas face aux guerrières : des mères . Lui qui n’aime pas la jeunesse. Lui qui n’a pas vécu la sienne et défoule sa haine sur un peuple qu’il méprise. Son indigne Brigitte à son bras, est-ce pour lui qu’il a souhaité la CIIVISE ?

Faut-il dire : adieu France ?

Peut-être qu’on se pose cette question quand on a tout donné, quand on a pleuré toutes les larmes, quand on a cru à la justice, à la dignité, à la promesse d’un pays qui protège les siens et qu’on voit tout cela broyé par la violence politique, la pauvreté qui gagne, les humiliations, l’indifférence, la corruption qui règne en souveraine.

Mais dire adieu France, c’est aussi céder ce qui nous appartient encore : nos rues, nos mémoires, nos combats, nos voix, nos rêves d’enfants de Seine-Saint-Denis ou d’ailleurs. C’est laisser aux bourreaux, aux menteurs, aux prédateurs, aux cyniques, ce qui fut construit par des générations entières de mains ouvrières, de résistants, de révoltés, de femmes et d’hommes qui ne savaient pas renoncer.

On ne dit pas adieu à un pays parce qu’il est blessé. On dit adieu à ceux qui le défigurent. On dit adieu aux violences qu’ils imposent, aux injustices qu’ils orchestrent, aux guerres qu’ils rêvent.

Mais à la France, la vraie, celle des humbles, des survivants, des insurgés, on dit : tiens bon.

Si la France vacille aujourd’hui, c’est parce qu’elle attend encore ceux qui refusent la soumission et l’effacement. Ceux qui refusent de tourner le dos à la liberté.

Macron a oublié. On est le peuple de la révolution, pas de la soumission.

Fédora Hélène

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