Macron, influenceur militariste dans une France où les enfants souffrent

Macron se met en scène sur les réseaux sociaux lors d’un déplacement dans le désert d’Abou Dhabi, à l’occasion d’une démonstration militaire. Séance de gainage avec Tibo InShape et des militaires, vidéo diffusée par le président lui-même, puis participation à un repas de Noël avec les troupes. Une mise en scène viriliste, alors même que Noël célèbre l’amour et la paix universelle.

La démonstration de Macron semble très clairement plus théâtrale que stratégique. En mêlant gainage avec Tibo InShape et interactions festives avec les militaires pour Noël, il transforme un déplacement diplomatique et militaire en opération de communication centrée sur sa personne, presque un spectacle viriliste.

Macron donne l’image d’un divertissement politique pour réseaux sociaux, plus que d’un acte d’État réfléchi.

Macron et sa propagande militariste cherchent à donner l’illusion d’un président uni à la population, d’une France prétendument au sommet, exaltée par la joie morbide d’une guerre annoncée.

À quelques jours de Noël, célébration de l’amour, de la paix universaliste, le président manipulateur se met en scène en influenceur, jouant sur les réseaux sociaux américains qu’il prétend pourtant critiquer et vouloir réguler, tout en s’y soumettant. Valet des États-Unis, il mime l’indépendance qu’il a renoncée à exercer.

L’argent le galvanise, tandis que dix millions de personnes vivent dans la pauvreté, épuisées sous le poids d’une présidence d’extrême droite, marquée par la trahison de la démocratie.

La propagande macronienne s’incarne dans une posture masculiniste, celle d’un chef prêt à partir au front russe, la fleur au fusil, transformant la guerre en récit viriliste et en spectacle politique.

Noël en hommage aux enfants

Noël, trois millions d’enfants pauvres en France, seront les témoins du cœur de la paix, de ce que signifie la responsabilité de l’engagement politique. Œuvrer pour le bien commun, ce qui implique la gratuité, l’abondance de la bonté, et non une politique brutale déclarant que la pauvreté dépense un « pognon de dingue », quand en vérité elle enrichit scandaleusement des roturiers en politique qui ne servent que leur image et leurs intérêts. Des politiques qui anéantissent les droits humains bâtis sur des décennies de luttes dans le monde entier.

En 2025, la France compte dix millions de pauvres mis sous silence, écrasés par la chape de plomb d’une bourgeoisie politique qui incite à bafouer le cœur même de la solidarité française, ce lien qui fait unité et donne sens au peuple.

La France n’a pas su protéger des enfants victimes de graves maltraitances et d’humiliations, indignes de la deuxième puissance économique de l’Union européenne.

La France, fondatrice des droits humains

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, signée par le roi, sera le fondement des droits humains, enrichis par le monde entier et gravés dans le marbre de notre unité.

Nous perdons la République première : celle des idées, de la pensée, de l’idéal qui combat la guerre, la douleur qui anéantit, les fils mourants, loin des bras de leur mère.

Des enfants tressaillant de froid dans les champs de bataille, des rivières de sang devenant nos larmes.

Nous n’avons pas à convaincre les discours qui annoncent la guerre, mais à porter ceux qui signent la paix.

Trois millions d’enfants pauvres

Emmanuel Macron est face à son propre abandon de la paix, de la vertu de la France, de ce qu’elle représente, un phare dans la nuit, telle l’étoile. Elle éclaire les oubliés, naufragés à la mer, donnant leur vie pour trouver refuge sur une terre accueillant leur existence.

Elle réalise l’utopie, le rêve d’un enfant au froid et à la faim des campagnes, éloigné des belles lettres, des salons de culture, des pouvoirs, de l’unité se comptant en milliards, l’infini transformé en virtualité vertigineuse et destructrice : l’argent.

©️ LiberTerra

L’enfant, lumière et innocence

L’enfant est l’innocence pure, la naissance au cri du souffle de la vie. L’enfant précieux, sacré, incarne l’amour. Il donne au monde son existence suprême, l’accomplissement de la lumière brisant à jamais l’obscurité. Le néant n’existe pas. Il est créé par l’esprit de celui qui faillit, celui refusant le verbe aimer. Le chaos signifie que la mort absolue ne prend forme que dans ce gouffre de l’esprit.

Ici, sur Terre, seule la vie s’exprime, et de la simple cendre fleurit un jardin. Une Terre, une île dans l’espace, qui à son tour est vivant et transmet cette énergie de lumière donnant naissance à la possibilité de vivre sur Terre. Tout est en tout. La vie est féminine, la maternité absolue au-delà de nos simples connaissances.

Marie incarne cet univers vivant, cette force de vivre, cette possibilité de dépasser la mort, de comprendre la septième porte : la résurrection.

Jésus incarne la naissance éternelle. Il signe l’infini de la vie : l’amour.

La responsabilité de l’homme

L’homme doit faire œuvre de protection du vivant. Sa plus grande responsabilité est d’anéantir la guerre. Ce chemin de la guerre pris, l’humain s’est trompé. L’erreur civilisationnelle, depuis le début de l’Antiquité, est en continuité. L’Histoire ne recommence pas comme un jour sans fin, elle est continuité.

L’assurance est que ce chemin de violence sera pardonné, détruit à jamais par Dieu lui-même, accueillant la réalisation de la paix universelle pour tous, accomplissement de l’humain ayant réfléchi la parole du Christ.

« Il aura encore compassion de nous, il mettra sous ses pieds nos iniquités ; tu jetteras tous nos péchés au fond de la mer. » Michée 7, 19

Resplendir d’amour, plus un enfant blessé et tué par des bombardements massifs, des éclats d’obus, un tir, une explosion, la faim et le froid.

Dieu nous accorde son amour, la chance extraordinaire de bâtir la paix. C’est aujourd’hui, dans la connaissance nouvelle, scientifique et technologique, dans l’Histoire de millénaires, dans le risque majeur d’une guerre au péril nucléaire, que cet appel grandit, se fait lumière et appelle à manifester pour la paix jusqu’à plus soif.

Ainsi que Jésus entre dans Jérusalem et supplie l’homme politique de recevoir sa parole. Le pouvoir politique a choisi la condamnation à mort de Jésus.

Le deuil sacré et la consolation

Le deuil sacré que le Christ lui-même relève. Il sèche les larmes des enfants meurtris par la guerre. Il prend dans ses bras les enfants de Palestine, console à l’étoile nouvelle, unit Israël à sa pierre fondant son église. Il chérit les enfants d’Ukraine, priant si ardemment la paix, rêvant de Palestine à l’unité des peuples, à l’étoile de Bethléem chantant haut dans le ciel en ce temps critique.

Noël, la lumière universelle. Emmanuel Macron aurait dû y penser, réfléchir ce rayon des uns aux autres et se rendre auprès des enfants fragiles, vulnérables, traumatisés par la violence de la pauvreté, par une société d’indifférence vouée au culte de l’argent.

Les prédateurs qu’il dénonce dans son discours logent dans son monde de pouvoir politique. Il suit leur ombre, comme il est leur ombre.

Être craint par la puissance de la guerre est l’adage de la violence face à la violence en chaos ultime, laissant l’avenir misérable en conséquence de l’anéantissement.

La paix prime. La politique d’excellence crée, innove pour réaliser un engagement : la paix durable et universelle.

Emmanuel Macron a oublié la souffrance des enfants dans son propre pays. Comment pourrait-il incarner l’homme de la paix, le protecteur de la France ?

France – Noël en hommage aux enfants placés

Noël en hommage aux enfants placés, ceux au cœur en détresse que leurs forces transforment en joie, en sagesse, en témoins de lumière.

En France, plus de 400 000 enfants sont soumis à l’ASE, dont 224 700 placements effectifs hors du milieu familial à la fin de 2024, selon la Dress.

L’Aide sociale à l’enfance révèle une crise majeure touchant le pays dans son entièreté, car l’enfant est le plus précieux, le plus fragile. En France, des enfants sont en souffrance, subissent la brutalité de la politique, du système social et judiciaire. Institutions publiques interconnectées et sans indépendance promise par la République, que la grande bourgeoisie a transformée en monarchie reniant la démocratie.

Grave violation des droits de l’enfant

Des milliers de jeunes adolescentes confiées à l’ASE ont été prostituées, victimes d’une exploitation sexuelle dramatique alors qu’elles étaient censées être sous la protection de l’État. Selon un rapport parlementaire et des alertes d’avocats spécialisés, ce phénomène témoigne de défaillances graves des services départementaux de protection de l’enfance, qui n’ont pas assuré la sécurité élémentaire de ces mineures confiées aux institutions.

Pire encore, un enfant de 8 ans a été tondu dans un foyer de l’ASE par des éducateurs, dans ce qui a été filmé et diffusé, suscitant une profonde stupeur et une plainte pour « violences volontaires sur mineur par personne ayant autorité ». Depuis cette tragédie, le silence se brise. Des faits similaires ont été commis à l’encontre de jeunes enfants en bas âge. Combien d’enfants sont victimes de cet acte d’une lâcheté insoutenable ?

Ces violences institutionnelles, loin d’être de simples faits divers, constituent une atteinte intolérable aux droits fondamentaux de l’enfant, reconnus tant par la Convention internationale des droits de l’enfant que par la législation française qui impose à l’État une obligation de protection et de prise en charge dignes de tout mineur confié.

Ces révélations s’inscrivent dans un contexte plus large de crise profonde de l’ASE, soulignée par une commission d’enquête parlementaire qui déplore des moyens insuffisants, une supervision défaillante et une exposition accrue des mineurs à des risques graves, y compris l’exploitation sexuelle, l’absence de prise en charge sécurisée et même des morts tragiques.

L’inaction politique et morale

Dans une démocratie dite protectrice des droits, il est insupportable que des enfants placés par la justice ou les services sociaux soient exposés à la prostitution ou victimes de violences au sein même des structures chargées de leur protection. Ces enfants ont droit à l’intégrité physique, à la sécurité, à la dignité et à la protection la plus stricte des droits universels, aujourd’hui gravement bafoués.

La France et ses heures sombres. Hier, des femmes étaient tondues en signe de honte et de domination ; aujourd’hui, ce sont des enfants qui subissent des humiliations traumatisantes, brisant leur innocence. Ces violences symboliques, répétées à travers le temps, révèlent un mécanisme de honte collective inscrit dans la mémoire sociale, perpétué par l’indicible indifférence des pouvoirs politiques. L’ASE, censée protéger, devient le lieu où se rejoue ce cycle, et devrait être définitivement dissoute pour rompre cette chaîne d’injustice.

Ces faits ne sont pas seulement le reflet d’échecs individuels, mais d’une faille systémique au cœur de l’institution. L’ASE apparaît aujourd’hui incapable de remplir sa mission fondamentale : garantir la sécurité, l’éducation et le bien-être des mineurs confiés. Cette défaillance structurelle laisse les enfants à la merci de réseaux d’exploitation, de violences physiques et psychologiques, et d’un environnement où le contrôle et la surveillance font défaut. Elle révèle aussi une indifférence institutionnelle et sociale : alors que des alertes sont régulièrement émises par des professionnels, des associations et des juristes, la réponse politique reste insuffisante, tardive ou purement symbolique.

Ce constat accablant souligne l’écart vertigineux entre le droit proclamé des enfants à la protection et la réalité quotidienne de leur vulnérabilité. L’inaction face à ces abus transforme des structures censées être des refuges en lieux de danger et met en lumière une crise morale et éthique de la société tout entière : celle qui tolère, normalise ou ignore la souffrance des enfants placés.

Emmanuel Macron a failli à sa mission première : défendre la vie des enfants.

L’ASE, Betharram, la violence que la grande bourgeoisie au pouvoir savait. On ne divise pas les enfants en souffrance sur un même territoire. La laïcité instrumentalisée, dévoyée, argumentée par des discours politiques de haine.

La laïcité, ce n’est pas l’effacement, c’est une valeur de liberté. Éteindre Noël n’éclaire jamais la paix. La France s’isole dans une laïcité vidée de toute tolérance et sens juste, comprise comme un moyen de véhiculer la haine.

Noël, au-delà du christianisme : une fête de l’universel humain

Noël célèbre, dans la tradition chrétienne, la naissance d’un enfant pauvre, vulnérable, sans pouvoir ni richesse. Ce récit fondateur dépasse le cadre strictement religieux : il pose un principe universel, la dignité absolue de toute vie humaine, dès sa fragilité.

Dans toutes les cultures, la naissance symbolise l’espérance, la continuité, la promesse d’un monde possible. Noël s’inscrit ainsi dans une longue tradition humaine de fêtes du solstice d’hiver, marquant la victoire de la lumière sur l’obscurité, de la vie sur la mort.

Universalisme : la valeur de l’être humain ne dépend ni de son origine, ni de sa classe, ni de sa religion.

La paix n’est pas un vœu pieux annuel : c’est un combat quotidien contre la misère, l’exploitation, la corruption et la déshumanisation.

L’enfant au centre : une figure universelle de protection

La figure de l’enfant de Noël interpelle toutes les sociétés : Un enfant sans abri, menacé, dépendant de la solidarité des autres.

Cette image fait écho aujourd’hui aux enfants victimes de guerres, de famines, de déplacements forcés, de violences institutionnelles.
Noël devient alors un miroir brutal : que faisons-nous réellement pour protéger l’enfance ?

Noël est une lumière de réconciliation, de solidarité, d’amour. Ses valeurs sont universelles.

Noël rappele l’unité, la démocratie. Chaque vie compte. Noël, c’est accueillir.

Les mairies devraient organiser une veillée de Noël inspirée du sens de fraternité, d’accueillir, d’espérance.
Aller à la rencontre des uns et des autres. Noël est une célébration qui se doit d’être concrète, innovante, en communauté ouverte.

Noël face aux fractures contemporaines

En ce mois de décembre, le secrétaire général de l’OTAN, le chef des armées en France, la cheffe de MI6 annoncent « l’expansion du chaos », la guerre.

Plus que jamais, Noël appelle chacun au courage de la paix.
Penser aux enfants confrontés aux conflits armés, à la peur et l’exil.

Penser aussi à nos propres enfants ceux que l’on expose à l’avenir sacrifié sur l’autel des intérêts politiques, économiques et militaires.

Cette année, Noël appelle à être différent, à marcher vers la paix.

Ukraine

Noël montre un repère simple et précieux : l’enfant.

En France, des milliers d’enfants placés sont en souffrance, victimes de graves violences dans des foyers et des familles d’accueil.

Des enfants sont victimes de prédateurs dans une société marquée par une compétitivité extrême, une concurrence permanente et des rapports de force. Sous la pression constante, les méthodes de chantage et les dialogues de haine deviennent des instruments pour dominer, plaçant la perversité au sommet des pouvoirs.

Le jeu politique en influence, en communication virtuelle sur les réseaux sociaux, où la parole des citoyens est effacée au profit narcissique du pouvoir politique, renforce la fragilisation de la démocratie et accentue l’entre soi. Emmanuel Macron est dans sa bulle dorée, dans son monde du président parfait qui n’existe pas.

La guerre festive en propagande politique

La guerre devient festive en communication politique niant l’atrocité de la guerre, la blessure profonde qu’elle inflige à l’humanité.

Macron devient le héros militariste aux commandes du réarmement, y compris nucléaire. On fête Jupiter en oubliant qu’il rend fou ce qu’il veut perdre.

Le plus fragile est abandonné. L’enfant est oublié. Il devient le fils qu’une mère doit accepter de sacrifier. Le traumatisme immédiat touche le cœur des mères entendant cette déclaration officielle du chef de l’État major des armées. Macron est alors secondaire. Il anime, manipule le discours humaniste, copie sans cesse sans jamais créer, le mouvement de la guerre.

Dans un mécanisme giscardiste, il enchaine le développement d’un pays à l’ultra libéralisme, celui oubliant la résistance, chassant les ouvrièrs et ouvrières combattant pour la liberté et plaçant au pouvoir la bourgeoisie acceptant que Maurice Papon soit nommé ministre de Giscard.

Macron vit dans la nostalgie d’une France d’après guerre qui n’a pas su faire table rase du système politique, de la hiérarchie sociale, du marchand bourgeois sans foi n i loi et de l’extrémisme qui a conduit au pire.

Macron semble oublier ce que Jacques Chirac, dernier président digne de ce nom, a déclaré.

L’honneur politique, c’est le combat pour la paix et la liberté

L’honneur de la politique s’est donner à chaque enfant la chance de vivre libre et en paix, de réaliser ses rêves, de poursuivre ses études , de s’épanouir dans le monde qui est le sien dans la valeur du bien commun, du patrimoine mondial universel.

Le devoir politique s’inscrit dans la protection de la paix pour offrir aux enfants un monde juste, équitable et durable.

L’État n’a pour mission que le respect absolu de la Déclaration universelle des droits de l’homme, de s’engager à réaliser les droits humains dans leur unité , à préserver la liberté, force vitale d’un pays. Sans ce cœur battant plaçant la vie au sommet des décisions, la France perd son âme, sa raison d’être le phare de la paix éclairant une terre refuge où cohabitent des citoyens venus du monde entier.

La France s’est construite par l’universalisme. Nous sommes tous issus de l’exil. Nos ancêtres ont été confrontés aux guerres, à la pauvreté, aux persécutions, aux crises alimentaires, faisant de nous , l’incessant voyage.

La crise climatique provoque de nombreux déplacements forcés internes où à l’extérieur des frontières. Nos sociétés se transforment, sont internationales, interconnectées et le peuple russe fait partie de cette unité.

On peut combattre la politique de Vladimir Poutine, le régime politique en place, mais pas l’histoire, la culture et le peuple de Russie. La Russie ne peut être la terre exclue et ennemie. Le travail complexe pour la paix est celui crucial de la réconciliation.

Ce n’est l’oubli des souffrances, c’est la chance de transmettre aux enfants un avenir d’abondance possible par une humanité réconciliée.

Un président ne peut appeler au sacrifice d’enfants devenant soldats ; il doit lutter pour la paix jusqu’au bout de ses forces. Ce n’est pas la mise en scène d’une séance sportive qui fera l’affaire, mais une réflexion profonde, essentielle, digne de celle qui a donné à la France la Résistance, l’exceptionnel, des hommes à l’image de Jean Moulin.

Comparaison internationale et silence français

En Hongrie, des milliers de manifestants ont exigé la démission de Viktor Orban pour les défaillances de l’ASE et des faits de maltraitance à l’égard des enfants placés.

En France, il ne sera même pas une simple marche en silence. Un silence lourd symbolisant celui de gouvernements à l’effondrement moral d’une République qu’ils n’ont jamais respectée.

Enfant placé, enfant orphelin

À Noël, des enfants placés sont des prisonniers, l’innocence condamnée. Ils bénéficient de moins de droits que des coupables condamnés et incarcérés. Des enfants privés du droit de correspondance avec leurs proches, une personne chère à leur cœur. Ils ne pourront écrire une simple carte de Noël, ni passer un appel téléphonique. Ils ne pourront pas passer Noël auprès des leurs qui les chérissent, qui leur donnent le vital : l’amour.

Des enfants sont enfermés dans des traumatismes par le système politique, judiciaire et social français.

Certains magistrats ont perdu leur conscience et signent ce qui détruit le bonheur d’un enfant, ses droits fondamentaux, son droit de vivre en paix, d’être aimés et respectés.

À Noël plus que jamais, la justice est appelée à devenir véritable, par la paix et le respect absolu des victimes, et en premier lieu de l’enfant vulnérable.

La guerre est là, accablant le plus fragile, avant même le feu de bombardements massifs.

Ukraine

Noël et le contraste des puissants

En outre, pendant qu’à Noël des enfants placés seront enfermés, sans même le droit de correspondre avec l’extérieur, Nicolas Sarkozy, sous contrôle judiciaire, mentor de Darmanin et de Macron, passe ses vacances en Guadeloupe.

Chacun son soleil, n’est-ce pas Emmanuel Macron ?

Le soleil brillant à travers le monde, pour chaque enfant dont la Terre s’est faite l’écrin sacré, avant que l’homme n’invente la guerre.

Soyons la paix, le monde nouveau, le berceau de la lumière, la vie.

Fédora Hélène

Regards d’enfants

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