La Palestine pose une question fondamentale – La Démocratie, système politique, est-elle la liberté ou l’élection de l’oppression ? 

©️ ONU

Le combat pour la liberté est celui de la vie

Protéger la vie, c’est aimer sincèrement, grandir à l’écoute de la liberté, grandir et faire grandir la nature en étant en symbiose avec les éléments en prenant conscience que l’humain n’est pas un dominant, mais la somme du monde vivant.

Du monde végétal, animal, marin, jusqu’à l’eau coulant dans notre corps, cette goutte venue de l’univers, l’humain possède en lui l’universalité de vivant.

Son devoir est de protéger la vie. Fabriquer de la vie, pas de l’argent. On possède en nous la solution pour résoudre la problématique civilisationnelle qui dit : l’homme est un cancer pour la planète donc pour lui-même. La marche de l’autodestruction doit céder la place à celle pour la paix, sa liberté de vivre.

Le but de la vie n’est pas de posséder du luxe, mais d’être libre et par la liberté tout naît.

Faire confiance à la liberté, le monde n’a besoin que d’elle. La Terre peut vivre sans l’homme, mais l’homme ne peut vivre sans la Terre. C’est la puissance de la liberté issue de la lumière et l’humain doit s’aligner sur son mouvement.

Photos ©️ LiberTerra

Quand l’industrie produit un enfer, les politiques en oppresseurs activant, accélérant ce qui détruit, le paysan cultivant naturellement la terre, utilise sa bonté et fait perdurer siècle après siècle l’humanité.

Ce n’est pas la technologie qui fait progresser l’humanité, ce sont ses actes quotidiens ancrés dans une culture du vivant, une culture de paix.

La Palestine, la douleur des enfants palestiniens, leur innocence que des hommes d’une violence inouïe brisent, tuent avec des armes technologiques, dévastatrices, sont les témoins de la liberté, du vital de la paix, de la lumière résistant et ils donnent ce message à chacun d’entre nous : un homme qui n’aime pas propage le chaos, construit le néant qu’il invente par la haine.

La liberté disparue, il ne reste que la ruine. Gaza en ruine par le cœur en ruine de celles et de ceux commettant un massacre à Gaza.

Être humain, ni gauche, ni de droite, être libre, et croire que celui qui promet la paix, aime. Les enfants de Palestine, les martyrs de Gaza promettent la paix comme aucun homme politique ne le peut, mais pour le voir, il faut aimer.

Reconnaître la Palestine s’inscrit dans une œuvre de paix, de justice pour son peuple, et répond à « rendre juste », l’appel de Nelson Mandela.

L’Espagne, l’Irlande et la Norvège ont reconnu officiellement mercredi 22 mai, l’État de Palestine. Aujourd’hui, la Palestine est considérée comme un État indépendant par 146 pays sur 193 États membres des Nations Unies.

Le 18 avril 2024, la France s’est déclarée favorable à l’admission de la Palestine à l’ONU et soulignant, « cette admission doit permettre la reprise d’un processus décisif et irréversible pour mettre en œuvre la solution des deux États et le renforcement de l’Autorité palestinienne dans les Territoires Palestiniens, à Gaza comme en Cisjordanie ».

La Palestine vit et vivra par la voix de la liberté et à travers elle, la communauté internationale comprend l’urgence de « rendre justice », ce que la Cour Internationale de Justice (CIJ) a prononceé vendredi 24 mai en répondant à la requête déposée par l’Afrique du Sud en exigeant l’arrêt des combats à Gaza de manière permanente.

La CIJ a souligné la situation humanitaire catastrophique dans la bande de Gaza, alors que l’ONU a révélé que près de 800 000 personnes ayant trouvé refuge à Rafah ont été déplacées de force au 18 mai 2024.  Des civils épuisés, affamés, des enfants traumatisés, dont ceux devenus orphelins, démunis, privés de leurs droits humains sont lancés sur les routes alors que les bombardements israéliens perdurent, transforment la terre en feu et le ciel en d’épais nuages noirs de poussières.

Israël fait savoir que le gouvernement n’a pas à respecter l’ordonnance de la CIJ et poursuit ses bombardements à Rafah. Samedi 25 mai, les bombes continuent à ruiner Rafah, blessent et tuent des enfants.

Comment la démocratie pourrait-elle être en Israël quand des vies innocentes à Gaza périssent chaque jour, que des enfants subissent le terrible de la violence des forces israéliennes sur Gaza.

La démocratie manipulée en système d’inversion devient l’oppression

Stéphane Séjourné, ministre français des affaires étrangères déclarant à l’Assemblée nationale qu’Israël est une démocratie, a démontré que la politique prend le nom de la démocratie en le vidant de sa définition de liberté, du droit de vivre des peuples, et elle devient une ombre figée par l’indifférence de populations riches pensant la démocratie en valeur de commerce, de puissance financière. Fabriquer de l’argent, séduire une bourgeoisie sans conscience, faisant du peuple un automate producteur, consommateur dans l’égocentrisme, la démocratie ne désigne plus que l’opulence de castes d’oligarques, de politiques jouant à la guerre comme avec des soldats de plomb et oubliant l’être humain.

Le gouvernement d’Emmanuel Macron cultive l’ambivalence, la manipulation, car reconnaitre la Palestine comme ayant le droit de vivre libre, c’est aussi reconnaître que sa souffrance est imposée par des bombardements massifs, la privation de nourriture, d’eau, de droits humains fondamentaux et qu’Israël exerçant une violence extrême dans la bande de Gaza, ne peut pas être une démocratie.

La démocratie est un système politique et séparée de la liberté, elle ne signifie plus rien, son nom est bafoué, et ne définit plus qu’un régime autoritaire, manipulant tout, s’alimentant d’un système d’inversion et ce qui nomme : démocratie, devient alors un régime autoritaire, le surnom de l’extrême droite destructrice.

Le capitalisme s’est fait le prince de la guerre en instaurant la pauvreté, en soumettant des populations par la maltraitance, la peur, la violence traumatisante. Tout de la politique est un mensonge, la liberté en deuil, le 80ème anniversaire du Débarquement en Normandie le 6 juin prochain sera la tristesse, des chefs d’État dressant la table de la guerre en Europe et à travers le monde seront à célébrer hypocritement la liberté, alors qu’il la brise.

Les discours seront géopolitiques  alors qu’à quelques pas de là, des enfants meurent sur les rivages de Gaza. Les plages normandes reflètent aujourd’hui au soleil couchant le sang de leurs blessures.

Mettre fin à la guerre, à toute guerre, c’est une urgence absolue pour mettre fin aux bombardements intensifs israéliens réalisant l’impensable : l’horreur que subit les civils à Gaza.

La Cour Internationale de Justice a rendu son ordonnance ordonnant à Israël d’arrêter immédiatement son offensive militaire, et tout autre action menée à Rafah. La CIJ demande également  de maintenir le point de passage de Rafah ouvert pour que l’aide humanitaire puisse arriver sans entrave auprès des Palestiniens.

Le 16 mai dernier, la Cour Internationale de Justice avait déjà attendu l’Afrique du Sud déclarant que la CIJ peut exercer son droit pour que ses ordonnances ne restent pas lettres mortes et pour que le peuple palestinien soit protégé.

La plaidoirie de l’Afrique du Sud est essentielle, elle a prononcé les mots déterminant les actions en faveur de la paix, de la justice pour le peuple palestinien, mais aussi pour l’humanité.

Comment pourrions-nous dire que la liberté est vivante au cœur de l’ambition mondiale pour hisser un avenir resplendissant par la croissance de la liberté à travers le monde, du progrès humain, si aujourd’hui les pays membres des Nations Unies ne s’unissent pas pour protéger le peuple palestinien, mettre fin à des actes génocidaires.

Guerre de la faim – La famine créée par l’homme politique

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La famine à Gaza est créée par la main de l’homme, les crises humanitaires sont conçues par des politiques engageant la guerre pour proclamer leur puissance, pour posséder des territoires en pratiquant la politique de la ruine, de la terre brûlée, Gaza réduite en poussière, comme Netanyahu le réalise.

La Cour pénale internationale (CPI) a demandé des mandats d’arrêts contre des dirigeants israéliens dont Netanyahu, premier ministre, et contre des membres du Hamas.

Joe Biden pourrait lui-même être poursuivi par la Cour pénale internationale, a exprimé Patrick Baudouin, président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme, lors d’une interview à La Dépêche. « Il existe dans le droit international ce que l’on appelle le crime de complicité. Il s’agirait en l’espèce d’une complicité de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité » a-t-il déclaré.

Les ventes d’armes à Israël sont mises en cause du fait de leur utilisation dans des zones civiles à Gaza ayant pu blesser et tuer des civils à Gaza.

Les puissants de ce monde font les guerres selon une culture ancestrale avec laquelle l’humanité n’a rompu et il perpétue à travers le monde ce qui dévaste la vie. Se pose alors la question de la démocratie et de sa réelle existence de ce système politique, de son sens de liberté alors qu’elle apparaît contrainte, et que les politiques usent également de la violence policière contre l’expression de la démocratie qui n’est autre que la parole du peuple, de sa manifestation.

Les manifestations pacifiques d’étudiants pour la paix à Gaza n’ont pas été soutenues par la classe dirigeante, ont subi des violences policières, le barrage fait contre la liberté.

L’horreur étouffant de peine Gaza aurait dû saisir le monde et lever un élan universel de paix comme l’a initié l’Afrique du Sud exerçant par sa requête devant la CIJ et ses plaidoiries la juste demande d’un cessez-le-feu permanent, et la reconnaissance d’actes génocidaires perpétrés contre les Gazaouis privés de leurs droits fondamentaux.

Les petits corps d’enfants ensevelis au cœur du chaos sont couverts par la poussière des bombardements. Les bombes dévastatrices éclatant et détruisant des quartiers, celles restant immobiles au milieu des rues, les maisons effondrées marquant qu’à cet endroit vivaient des familles, jouaient des enfants. La vie y était forte et présente, et elle rappelle à l’histoire que le présent y demeure par la réponse de la guerre, de la barbarie blessant toujours ses pages, ne nous détachant pas d’une civilisation posant la guerre en première pierre.

Joe Biden doit savoir que les résistants et les hommes du D-Day se sont battus pour la liberté, pour que des hommes comme lui ne soient jamais élus présidents. Mais les peuples ont oublié et ils ont élus des oppresseurs, et aujourd’hui des bombes dévastatrices de 900 kg vendues à Israël par les États-Unis ont détruit des zones civiles à Gaza.

80 ème anniversaire du Débarquement en Normandie – la démocratie a été la résistance

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Lors du 80ème anniversaire du D-Day le 6 juin prochain, aucun politique présent ne représentera la liberté, mais ce qui la brise. L’armement est considéré comme étant le fleuron de l’industrie par ses avancées technologiques, par la puissance du nucléaire, mais l’humanité n’est pas née pour créer la bombe atomique, des armes toujours plus performantes pour tuer, l’IA en machine de guerre constituée par l’homme en mécanique perpétuelle de destruction.

Des armes autonomes, l’IA en intelligence destructrice, mais si l’IA constituait son propre état, déciderait-elle de tuer le monde qui lui permet de se développe, échapperait-elle au contrôle de l’humain pour le sauver de lui-même, et à ce moment du choix, l’intelligence robotique acquerrait le sens de liberté. L’intelligence peut-elle être sans la liberté ?

La première intelligence est celle de la vie, c’est l’intelligence de la création que l’on ne peut limiter à une définition, qui est en expansion constante par les dimensions infinies de sa valeur, dont celle du temps et en premier de la lumière, ce qui reste incompréhensible à l’homme en tant que données entières que l’on ne peut maîtriser.

La guerre apparaît comme primitive, ignorante de la valeur de la vie, de l’immensité de sa liberté, de son incapacité à l’entrevoir, et résumant la conquête politique à un désastre.

Le chant de la paix revient en secours

©️ LiberTerra

Vivre – D-Day – A chaque seconde vivre devenait cette espérance dépassant le terrible des bombardements et le chagrin pour les camarades morts en posant leurs premiers pas sur les plages normandes, devenait un élan de courage, de dépassement, d’humanité, une façon de les relever, de dire que la vie va gagner.

 Le 6 juin, ce n’était pas de lâcher des bombes, c’était de savoir si l’humanité pouvait vivre, pouvait sortir de la barbarie. Les bombes ont écrasé des villes en Normandie, ont laissé un long traumatise, ont inscrit que l’homme peut faire basculer le printemps dans l’enfer de la guerre, que la paix est vitale, et comment aurions-nous pu faire renaître la paix abattue par la barbarie nazie sans les cendres brûlantes des bombardements en Normandie.

Ne pas détruire pour conquérir la paix, ne pas mettre des vies innocentes en danger, les civils pris au piège dans leur maison s’écroulant, les murs de la liberté tremblant.

La paix universelle en résistance contre ce qui détruit, un monde fraternel par l’unité des peuples, conquérir la paix par la paix, donner naissance par le verbe naître et non détruire, puiser à la source de la Terre, de sa générosité, suivre le cours de cette rivière limpide en éveillant notre regard à cette promesse de vie que les enfants des guerres nous confient. Ils ont combattu la guerre par l’innocence.

Combattre le politique par la paix en faisant de l’innocence ce qui ne se brise pas, mais ce qui apporte au monde son droit de vivre. La source ruisselle sur la pierre des montagnes, elle traverse le long chemin de la terre sans se blesser et courant vive jusqu’au dehors, accueillant la vie en une symbiose parfaite des éléments soudés à la Terre et vivant à l’air libre. Une sphère de vie, le globe terrestre représente l’ingéniosité de l’harmonie, une goutte d’eau dans l’univers emplie de la richesse du vivant du ciel à la Terre.

Il n’y aucune frontière, aucun barbelé, mais une unité et l’humanité doit atteindre cette fraternité.

Le sens de la justice, c’est de protéger la vie et elle est innocence

Rafah 2024 ©️ ONU

L’innocence n’est pas brisée à Gaza, elle resplendit ! Elle resplendit grâce à la lumière des enfants palestiniens martyrisés, grâce au plus précieux : tous les enfants sont citoyens du monde, l’humanité.

Les politiques font des discours pour justifier leurs actes indignes tels que Biden, tels que les ventes d’armes à Israël, tels que le réarmement intensif à travers le monde, tels que les crises humanitaires, nutritionnelles fabriquées par la main de l’homme, tels que la famine qui entre dans Gaza.

Mais, les peuples unis pensent à l’humanité. Cette intelligence leur appartient. La bonté au cœur de leurs actes. Sauver à Gaza un nouveau-né en pratiquant un accouchement en extrême urgence alors que la mère de l’enfant a été tuée par un bombardement israélien.

Les peuples unis par la paix, la fraternité innée, peuvent créer un monde juste, solidaire, un statut de citoyen du monde pour chaque enfant où qu’il soit et qui qu’il soit.

Les peuples unis peuvent interdire les guerres et condamner les dirigeants ayant déshumanisés des enfants palestiniens, des femmes enceintes, des mères, des pères, des frères, des sœurs.

La Palestine révèle au monde quelque chose d’indicible : l’humanité

©️ UNICEF

On vit un moment décisif de l’histoire et aujourd’hui, c’est un enfant innocent qui nous le donne. Saisir cet instant pour fonder l’universalité de la paix est un devoir.

Il y a nos rêves et les rêves nous unissant en un rayon des uns aux autres en une longue marche. La paix considérée comme utopique car la liberté est traumatisée par des hommes ayant choisi un système et non la vie.

La paix est possible et qui oserait prier pour les enfants de Gaza et dire à ces enfants : la paix ne sera pas.

La Palestine vivra car le monde a besoin de vivre. C’est une question d’humanité, et la reconnaissance de la Palestine comme État indépendant est essentiel, ce que n’a pas compris Stéphane Séjourné, ministre français des Affaires étrangères. Il inscrit une ambivalence, quand la paix exige une entièreté représentant la valeur suprême de la vie.

La condamnation des attentats du 7 octobre tuant des vies innocentes, commettant des actes barbares, c’est condamner toute cruauté et donc les actes génocidaires commis à Gaza.

Stéphane Séjourné fait de la démocratie un système politique, ce qu’elle est, car elle se dissocie de la liberté quand elle se sépare du peuple, ce qui est le pouvoir politique fondateur de la guerre.

La démocratie ne peut être véritable que par l’unité des peuples œuvrant pour l’universalité, être citoyen du monde. Elle ne peut être par la séparation, des pouvoirs ancrés dans l’industrie de l’armement, faisant du système défense une priorité, alors que l’armement ne protège pas l’humanité, mais la défait.

Le communiqué conjoint des ministres des affaires étrangères de la France, de l’Allemagne et de la Pologne dans le cadre de l’Agenda de Weimar pour une Union européenne forte et géopolitique souligne qu’au moins 2 % du PIB est consacré à la défense. La mobilisation des fonds « de manière stratégique pour bâtir les forces et les capacités nécessaires à notre défense collective » par le financement commun dont les possibilités seront présentées au Conseil européen de juin à la lecture d’un rapport.

Une Europe de défense, de mobilisation industrielle pour la production intensive de réarmement, de politique de défense dans l’éducation visant à former l’Union européenne en empire, en bloc constituant une armée commune qui pourrait devenir indépendante de l’OTAN.

Créer une nouvelle ambition de puissance indépendante et européenne par la volonté de dominer l’Europe au-delà même de l’Union européenne actuelle. L’Ukraine entrant dans l’Union européenne, c’est placer UE aux frontières de la nouvelle alliance Russie-Chine et de pays du Moyen-Orient et de l’Afrique qui révèlera sa liberté durant les décennies à venir par sa jeunesse ouvrant une nouvelle ère.

Le projet d’une armée européenne commune fédère les pays de l’Union européenne en diverses provinces, et la France deviendra plus une province de l’Union européenne qu’un pays au sens entendu durant des siècles. La France compte devenir la dominante par la puissance de son industrie de l’armement la plaçant deuxième au niveau mondial.

Le nucléaire pourrait être un atout majeur, comme l’industrie du luxe pour la propulser au premier rang des décideurs, comme Emmanuel Macron est positionné par les oligarques milliardaires, par un système financier international, par son ambition propre de se constituer chef de l’Union européenne.

La configuration du monde géopolitique va profondément changer par la progression de l’Afrique, par les alliances nouvelles, par le bouleversement de l’Occident face à ces défis immenses dont la réelle dominante est l’effondrement climatique.

La Terre va conduire le destin de l’humanité ce qu’elle avait oublié et l’homme va devoir s’adapter à un état de survie dans les décennies à venir puisque les politiques écologiques et de résilience sont lourdement impactées par les fausses promesses, mensonges politiques. Les puissants ont conçu l’argent comme moteur de la société, la valeur du plus riche, de l’exclusion, de la cupidité. Le peuple s’y soumet en grande partie car séduit par l’attractivité de l’argent, par l’absence de conscience et faire de l’argent devient une valeur de vie.

La valeur même d’un pays se calcule par sa puissance financière, ses capacités commerciales, de férocité industrielle, de maltraitance du peuple mis en état d’esclavage moderne, les élections présidentielles manipulées par partant de la raison de l’argent qu’i n’est plus un moyen d’échange, mais une quête de l’absolue richesse considérée comme la réussite par excellence.

Ce chemin politique capitaliste s’allie avec un régime autoritaire, s’attache au fascisme, devient l’ordre établi autant que le soviétisme enterre l’être dans une fonction à vie, un endoctrinement faisant de l’homme le rouage comme il l’est dans l’empire capitaliste.

Lorsqu’Emmanuel Macron fait du commerce international avec la Chine, que les accords sont purement d’intérêts et au service d’une industrie oligarchique dominant en France, il n’est plus un démocrate et la France quitte les rivages de la démocratie en acceptant l’esclavage moderne par alimenter l’industrie. Être une démocratie, ce n’est pas seulement le proclamer de l’intérieur, mais le respecter en actes de l’intérieur vers l’extérieur du pays.

Démocratie – Le peuple a pensé la justice

LiberTerra

La démocratie, c’est prendre conscience de « rendre juste », alors que la politique proclame les fortes inégalités, méprise la Déclaration universelle des droits de l’homme, conçoit la pauvreté, applique l’injustice.

Les élections présidentielles au rythme des millions d’investissements ne peuvent être laissées libres, et elles sont victimes de la manipulation de émotions, des fausses promesses électoralistes, de l’opacité du monde politique.

Le peuple vote pour celui qu’il ne connait pas, vote pour un président, quand il devrait élire un gouvernement, faire le choix du premier ministre, et cela serait toujours insuffisant pour écrire que nous sommes en démocratie car la pauvreté ruine légalité, est une arme politique contraignant le droit de vivre à un pouvoir politique, à l’espérance d’élire cette fois-ci le « sauveur » politique qui ne viendra jamais. La démocratie donne le pouvoir au peuple et non à un chef d’État. Le système est inversé.

La démocratie serait-elle d’élire ce qui détruit ? Si nous reprenons Israël, la démocratie serait-elle ce qui commet un massacre à Gaza, tue des enfants ?

Si la démocratie signifie la légitimité de commettre un génocide, alors ce système politique est destructeur, manipulateur, l’imposture. C’est la liberté qui est source de vie et non la démocratie prêchée par des politiques autoritaires, par l’esprit politique manipulateur, dangereux.

Des politiques jouant sur la scène internationale avec le masque de démocrates qu’ils ne sont pas. Ainsi, la démocratie existe-t-elle quand des gouvernements vendent des armes en Israël, quand le monde politique est une machine de guerre qui produit un armement massif, nucléaire, vit en conflit permanent, ne reconnaît pas les droits de la nature, ne s’aligne pas sur sa bonté, fait de la Déclaration universelle des droits de l’homme, l’utopie.

Plus rien n’est réel et seule la politique domine l’humanité comme un sortilège donnant à l’homme que le choc, ce que je recherche l’homme politique. Le choc de sa propre existence se heurtant au choc des pouvoirs, et l’histoire de l’humanité se réduit à un seul, sa vie devenant l’attraction comme s’il était ce Dieu que l’on peut admirer, voir et toucher, ce mensonge faisant du divin un produit exploitable, l’idolâtrie du chef, du roi, de l’élu formant les murs contre la liberté.

L’homme n’est pas libre, un président est cet homme prisonnier de la virtualité du pouvoir, celui avançant en pion du système, aveuglément soumis au pouvoir, mais qui de lui ou de la matrice est puissant ?

Emmanuel Macron saurait-il vivre libre ? Saurait-il se détacher d’oligarques marionnettistes ? Saurait-il vivre sans être manipulé autant qu’il manipule ? Pourrait-il avoir le courage de regarder la réalité du pouvoir politique, de redevenir humain, de ressentir la douleur de la pauvreté, l’extrême violence des conflits armés, la peur des bombardements, le choc de la faim, de la soif, le chagrin de l’enfant tué par des bombardements ?

Le politique ne vit pas la réalité politique, ne voit pas l’effondrement civilisationnel qu’elle engendre pour futur de l’humanité.

Les peuples unis, la paix grandie, l’amour célébré, la fraternité en renaissance, la liberté vit au cœur de l’humanité. 

Fédora Hélène

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