LA PRESSE, C’EST COURT SURTOUT SANS LES SOUS… QUE CEUX DES AUTRES

Mathieu Pigasse, un golden boy, parait-il. Un banquier ? Top de top.

DG à la Lazard, celle comme la Rotschild ,la JP Morgan, la Barclay’s et autres conglomérats financiers de la vie et mort des entreprises -et donc des salariés « trimards ».

Matthieu Pigasse a parait-il sauvé des journaux, avec feu Pierre Bergé. Tel n’est nullement le cas car le banquier averti, jouant sur la Loi Perben II, a investi des fonds (qu’il n’avait pas) sous plan de sauvegarde et défiscalisés en cas de perte. En d’autres termes pour les non initiés, pas un € ne lui sera réclamé en cas de perte et pire, il peut vendre ses parts et se « refaire ».

C’est le cas pour « Le Monde » et pour « Libé » qui permet, pour ce dernier de mettre au chaud Serge July, désormais pourfendeur des manifs qui lui permirent pourtant d’éclore en 1968 avec Sauvageot, Geismar et Cohn-Bendit. C’était avant les Church’s puis Weston ou l’épisode Guigou. Plus de 100 M€ pour Pigasse, plus de 30 MM€ pour Niel et 45 MM€ pour Drahi, l’ensemble et triumvirat financier toxique. Pour ceux qui paient leurs forfaits et banques en ligne.

©Liberterra

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