Black – out féminin
#VIOLENCESCONJUGALES
#VIOLENCESSEXUELLES
Un carré noir en photo de profil pour lutter contre les prédateurs, les violeurs, voleurs de vies innocentes.
Un carré noir pour dire NON aux violences faites aux femmes et aux enfants
Un carré noir en hommage aux femmes luttant de toutes leurs forces durant la pandémie.
Infirmières, aide-soignantes, personnels de ménage, préparatrices en pharmacie, caissières, journalistes, mères, mères isolées.
Toutes à protéger la vie, à sauver, soigner, être présentes debout chaque jour en ne comptant que sur elles-mêmes
Donnant leur sourire, leur douceur, leur joie de vivre, leur courage, apaisant, consolant ceux fragiles, s’occupant des enfants jour et nuit , 7 jours sur 7
Carré noir en respect aux femmes portant tant de souffrances, de chagrins et remerciant ce bonheur de vivre battre en leur cœur.
Femmes engagées, mobilisées et toujours en première ligne.
Elles étaient des manifs pour sauver l’hôpital public, pour sauver leur famille, pour lutter contre la pauvreté
Carré noir sans les femmes, la vie n’est pas.
Aimer plus que tout la vie, tout dépasser et être émerveillée au soir en regardant l’enfant endormi, cette sérénité, profonde paix.
Ce jardin du corps tranquille qui se repose loin des violences vécues. À ce soir paisible, bercer d’un air doux, d’un chant calme
À ce matin au chant du premier oiseau avant le lever du jour ; la fenêtre entrouverte libérant l’espérance, libérant l’eau des larmes coulant en fine pluie, une goutte d’eau sur le front , une goutte d’eau de la peine qui vient à être consolée.
Puis, il est un miroir et le visage de deux prédateurs unis qui agressent la même femme, de ces airs diaboliques des manipulations, violences sexuelles en mâle dominant et la glace reflète deux prénoms, Vincent et Philippe.
Un spouçon de vie entre leur corps de violences et bat le cœur de leurs entrailles fermées à la pierre qui ne laisse passer aucune lumière.
Violeurs, voleurs de vies innocentes, jouant en tristesse au bord du lac si calme, cette femme qui vous poussiez, que vous étouffiez du poids de votre corps qui pleurent que vous ayez fait cela de sa vie.
Le corps inconscient de cette femme que Vincent écrasait sous lui, le corps blessé sous son poids de misère.
Ce corps qui ne bouge plus, les yeux fermés, Vincent revois cette femme, le sombre, le noir de la pièce, ton ventre la poussant lui barrant la porte.
La sortie, sortir de cette agression que tu décidais en tentative de viol.
Cette masse, cette ombre, 1 m 95, tu te vantais de ta taille en arme, de ton corps de violence, de tes mots barbares, tes mots humiliant le corps d’une femme.
Alors, il était d’écrire pour vivre.
Philippe en visage pervers, caché derrière le masque de Vincent, deux prédateurs ensemble, et la politique sournoise parure des médiocres qui flattent et pervers narcissiques, méprisent hautains, assis sur les lauriers d’un mentor, vieux baron politique, fier de son manipulateur.
Vincent, Vincent, entends-tu tes mensonges t’inventant un cancer en phase terminale pour t’excuser de ta violence sexuelle, riant de tes scènes.
Toi mimant un acte sexuel contre la maire de ta ville, tu l’humiliais, tes propos salaces à son encontre car elle est une femme. Puis, tu m’agressais.
Non, non, entends- tu mes non ?
Entends la violence de Philippe, tu te faisais son ombre pesante, violeurs, voleurs de vie.
Non, non se répétant épuisé. Je ne tenais plus debout, je luttais pour ne pas m’endormir, je n’avais bu qu’un thé que tu m’offris.
La justice a pu lire les plaintes, les témoignages et retournant à cette culture patriarcale qui vous laisse impunie, elle n’a pas pris le temps de vous mettre face à vos actes et vient la pandémie.
Combien de prédateurs resteront impunis ? Il était déjà les dysfonctionnements graves de la justice française, de sa perversité à l’égard des victimes que dénonçait le Conseil de l’Europe en 2019.
Prédateurs, la justice fait comme vous, elle abandonn e et humilie les victimes et ne condamne que l’innocence.
Il n’est qu’au prix des luttes que la justice est obligée de reconnaître au petit bonheur la chance quelques prédateurs.
Vincent, Philippe, vous êtes passés entre les gouttes, mais ce n’était que celles d’eau des yeux en larmes de votre victime, de celle survivante.
Carré noir, Vincent est en soutien sur une liste en opposition à la maire qu’il humiliait.
La gauche verte bourgeoise se disant solidaire affiche un prédateur en le sachant.
Tous savaient sa violence sexuelle bien avant la victime. Mais, il ne faut pas déranger l’hypocrisie, les bons notables de ce 19 ème siècle qui surnage, le riche et le pauvre.
Non, non, entends-tu ces Non quand tu agressais ? Ceux qui s’écrivent toujours, NON.
Demeure au masque de tes hypocrisies, la commedia dell’arte se joue aux élections. Le monde change et ta prédation va rejoindre ton miroir où se mire le néant.
Ton candidat politique à l’hypocrisie fière qui sait que tu es un agresseur et qui se rit comme tu le faisais quand tu agressais, sois à ton orgueil, tu vas avoir besoin de parures, de tes manipulations pour avaler les mots, la vérité comme ces ogres se tenant aux forêts lointaines.
Notre monde change, l’amour restera au cœur lui ayant bâti un berceau.
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