Depuis une cinquantaine d’années , la société se transforme sous l’obligation des progrès scientifiques. Une tecnologie en piège par ce que l’ homme en fait. Des lobbies médicaux puissants comme celui de la pharmaceutique.
Ces chercheurs, professeurs en médecine sortis du bois pour nous dire, donner des interviews, tout nous expliquer, toutes leurs certitudes et incertitudes. Celui qui avait la confiance et qui est devenu selon certains, le « charlatan ». Puis, il y a c’est autre scientifique qui a un prix Noblel de médecine et qui est aussi qualifié de « charlatan » dans la presse en fonction des avis, de ceux qui réagissent.
Un coronavirus, et tous ces scientifiques sortent leurs rapports, se contredisent, démontrent leur révalité, leurs influences, leurs oppositions tenaces, et le politique , le médiatique se glissent dans la brèche.
Scientifiques , paroles d’évangile, qui savent tout et surtout savent peu, un peu comme nous car ils sont des êtres humains.
Certains qui forçaient l’admiration par leur métier, les associations dont il sont où étaient les présidents,et qui aujourd’hui écoeurent tout doucement par leurs déclarations, leur suffisance, leur froideur aux préchoirs.
Ils sont pour certains à leur image dans la presse, alors que deux minutes avant et cinq après , ils retourneront à leur silence, à leur carrière, à leur réseau et puissance car ils ont un pouvoir.
À certains de ces professeurs en médecine qui l’ont remercient toute sa vie car ils ont sauvé une vie, et oubliant leur inhumanité si étrange et si incohérente avec le métier qu’ils excercent.
À celui qui a opéré mon enfant à cœur ouvert et qui en 15 minutes m’a annoncé la nouvelle en me disant qu’il fallait opéré car sinon il serait mort avant ses dix-huit ans. Une phrase, il s’était fendu d’une phrase.
À ces 15 minutes dans son bureau de professeur où je me suis sentie tomber , où je n’avais plus de force sauf celle de l’amour.
Je me suis tenue à son bureau et j’ai regardé mon petit garçon de 5 ans, son visage à l’expression de sérinité, ses grands yeux bleux si merveilleux, sa générosité qui éblouie toujours nos vies.
Pour lui, je devais tenir seule face à cet homme froid qui m’annonçait sans humanité la nécessité d’opérer en urgence mon enfant car la mort était au bout du chemin avant ses 18 ans, selon lui.
La confiance absolue et confier mon enfant à ce scientifique pour que mon petit garçon puisse être soigné.
Puis, après l’opération, je revis ce professeur qui là en moins de 15 minutes me reçut pour m’annoncer que l’opération c’était bien passée.
Je n’ai pu dire un mot et je suis restée sans pouvoir parler pendant plus de 30 minutes, avant cette douleur de voir mon enfant et tout l’appéreillage médical nécessaire après l’opération sans avoir été prévenue ni soutenue par ce professeur .
Je ne pouvais plus et je devais toujours tenir, encore et encore et dépasser .
Puis, il a été ce médecin qui dans le silence que je tenais et ne donnant qu’un sourire fort de vie, m’a aidée à tenir le choc. Un jeune chirurgien qui avait participé à l’opération et qui chaque jour venait prendre des nouvelles de mon fils et prenait le temps d’un échange humain.
Il n’est pas professeur de médecine, il est anonyme et pourtant il est celui qui a opéré et apporté de l’humanité, un respect profond.
Le professeur lui ne viendra jamais voir mon enfant après l’opération ni moi-même et le chef de service était ce désagréable et autoritaire qui ne dit pas même pas bonjour.
Ce souvenir est revenu et ce qui est aujourd’hui, c’est uniquement le partage fraternel avec ce chirurgien et surtout la joie de vivre de mon enfant et d’avoir la chance de lui dire chaque jour combien sa vie est précieuse plus que tout et plus vrai que ne le seront jamais tous ces titres, ces pouvoirs, ces mécaniques « professeurs » qui ont appris et sauvent pour nous rendre muet par trop de chagrin.
C’est pourquoi après ce confinement où nous avons eu tous ces scientifiques, et leurs intérêtes politiques pour certains assis sur leur piédestal et dont certains ont fait du mal par leur certitudes, leurs titres, leur image, leur politique, Liberterra n’évoquera plus leur nom.
Nous resterons aux scientifiques désireux de protéger notre Terre en alliance avec notre humanité, ceux qui se font l’écho en nous , dont leurs paroles correspondent à nos émotion, à notre volonté, à ceux avec qui on ressent l’envie de partager, d’être solidaire. On écoutera notre cœur puisque c’est lui qui bat et nous donne vie.
On sera proche des médecins rencontrés sur le chemin de la vie et ce médecin, me confiant pendant le confinement, « Tout le monde s’en fout de nous. C’est chez les étudiants en médecine qu’il y a le plus de suicides. Cela fait des années que l’on se bat et que la presse s’en fout quand on sort du cadre de l’info dont il faut parler. Mais en réalité, ils se foutent de nos vies, tous ! » Et, je lui ai répondu, « Non, pas moi, je ne m ‘en fous pas » . Ce dont je me fous, c’est de faire de l’argent et ne veux pas être aux compromissions, aux ombres de la politique, à croire en ce qui n’existe pas, à l’image, à correspondre à une apparence et dire ce qu’ils veulent entendre. Je ne veux ni flatter ni gagner.
Nous sommes ces grains de sable continuellement manipulés à devoir faire confiance à ces élites scientifiques, à les croire aveuglément, à les remercier sans cesse alors qu’il est également à voir qu’ils sont des être humains qui ont pour certains d’entre eux pris un pouvoir surdimenssionné et souvent en lien avec la politique.
Ils sont à leurs contraintes et s’imposant en raison incontestable.
Il est de se libérer dans ce jour d’après d’un pouvoir nocif.
Un pouvoir qui interdit et qui se fait l’absurde. Ces plages fermées où il n’est pas la liberté de s’asseoir alors que sont des kilomètres de distance sans personne sur les plages où ne sont pas la raison de l’argent par le tourisme.
Puis, il est tous ces gens que l’on jette dans les transports en commun car là, il est l’argent à gagner.
Conseils scientifiques, professeurs, politiques, Conseils de défense, brigages, masques serpillères gratuits par le pouvoir politique, leurs incohérences, leurs mensonges, leurs manipulations, la vie a besoin de souffler de tous ces gens qui entrent dans nos vies au quotidien et avec qui nous ne partageons rien et qui nous respectent jamais .
Être en cohésion, donner du sens
J’ai découvert le film de Gert-Peter Bruch réalisé sur Raoni, grand chef du peuple Kayapo qui lutte avec force et courage depuis les années 1970 pour sauver la forêt amazionienne.
Une image m’est restée en mémoire. À la fin du documantaire, Raoni prend du sable qu’il file entre ses mains et dit que notre civilisation, nos pays riches finiront comme ce sable. Il n’en restera que du sable. Cela m’a particulièrement émue car il y avait une grande simplicité dans ces mots, une clarté et que je faisais ce même geste et que mes pensées rejoignaient les siennes. Ils disaient mes mots et moi les siens.

Loin de tous diplômes, de toute entrave, mais nourrit d’espérance pour que notre humanité vive en osmose avec notre Terre, Raoni posséde la connaissance juste. Et, c’est cela posséder, c’est transmettre et non s’approprier, prendre ce qui est à l’universalité.
Dominer, ce n’est pas de construire des immenses tours de verre où ne se reflète que notre propre reflet enfermé entre les murs, où est le ciel sur une façade de verre mais non à la liberté de notre regard .
Notre société ne voit qu’elle-même et pense qu’elle domine par ses progrès scientifiques, médicaux alors qu’elle est le temps qui a le plus détruit et qui risque de nous perdre.
Nous avons dissocié notre humanité de notre propre nature .
Nous l’avons contrainte à être un progrès mécanique, technologique et nous avons donné des titres, des pouvoirs oubliant que le seul pouvoir qui domine, est celui qui préserve la vie.
Bien des scientifiques sont à la démarche de ne pas respecter cette source de vie et sont seulement à vouloir la dominer artificiellement dans des laboratoires fermés où du jour au lendemain, ils s’opposent, se déchirent entre eux, sont au chaos qu’ils ont généré et se préoccupant pour certains que de leur image dans les médias alors qu’il n’y a même pas 0, 001 % de la population mondiale qui retiendra leurs mots, leurs noms, leurs images et qui d’ailleurs en sera même pas informée.
Alors que Raoni, comme d’autres portant la parole des peuples autochtones tranpercent nos sociétés , traversent les frontières et déploient le savoir de la fraternité, de la solidarité.

Il est également en équation avec ce que nous ressentons, la médecine chinoise traditionnelle qui ne semble pas avoir le droit d’être tout comme les herboristes. Seuls ceux obéissant aux profits pharmaceutiques, en puissants loobies semblent être reconnus.
Nous pouvons penser qu’il est une erreur de faire confiance à une médecine qui se restreint et qui est également un profit, une puissante rentabilité et le prestige des titres et avec des liens politiques forts et inquiétants.
Un monde scientifique qui se divise, se querelle, et se coule dans des rapports de force et de paraître.
Apprenons à nous liberer de ces milieux et retrouvons les vrais médecins anonymes qui sauvent des vies, écoutent, partagent et sont profondément humains sans intérêts de gloire, de fortune, de leur image.
Apprenons à écouter des scientifiques tel que Aurélien Barrau, Hubert Reeves, le professeur Francis Eustache, travaillant sur la mémoire, à soulager les victimes souffrant de stress-post traumatique comme nous pouvions écouter le professeur Cabrol et il fut un magnifique échange lors d’une conférence sur la greffe cardiaque. Puis, il était également le professeur Georges Mathé avec qui furent des partages mémorables.
Allons vers ceux qui ont une lumière dans leurs yeux, avec ceux sachant allier la connaissance scientifique, la dimension de l’art en alliance qui s’unit comme Sting a su le faire pour l’Amazonie.
Cet inséparable de notre Terre, de notre humanité et cet élan de liberté, de solidarité profonde et créatrice tel que Johnny Glegg a su le chanter.
Libérons-nous de ce carcan des élites qui nous étouffe, qui paralyse la France depuis de trop longues années. De ceux qui s’autorisent à penser comme le disait Coluche avec justesse.
Nous voulons vivre, être ces grains de sable à l’océan. Ceux qui ne savent rien de l’immensité et qui ne savent qu’une chose, qu’il la porte en eux par le verbe aimer, liberté. Et, ce peu de nous qui passe tant que notre cœur bat, il serait tant de lui donner ce bateau héros qui l’amène sur un autre rivage que celui qui nous entrave.
Nous ferons le jour d’après, celui espérer depuis notre tendre enfance quand on regardait par la fenêtre les murs se dressant , les adultes et leur colère, leur tristesse et ce qui reste de leur enfance quand un instant ils oublient l’impossible .
Nous sommes nés avec cette liberté, et ce n’est que sa rage que nos pas marquent, et de n’être plus sage, mais en paix et vaincre le nauvrage de notre amour battu d’avance dans un monde qui écrit en capital, l’argent et les rois.
Regarder ce sable qui couvrira nos nations alors file entre nos doigts chaque grain de son histoire et dans cinq ans personne peut dire où seront nos frontières poussées par le vent du bouleversement.
Il est de reprendre nos rêves et de dire à nos enfants que rien est en péril quand ils ne peuvent plus voir leurs grands-parents, entendre juste une voix car des puissants ont décidé du contraire de ce qui est se soutenir mutuellement.
Des milliards de vies sur Terre, ils en ont fait des milliards de billets de papier d’acier frappé d’argent et ils demandent à la police de veiller sur leur trésor au cas où les peuples deviendraient des oiseaux quittant le nid et s’envollant de leurs propres ailes loin des barreaux.
Allons, voilà la terre, voici les scientifiques et cet enfant qui ne sait pas et pourtant il conte notre avenir plus juste que les plus grands car il est d’apprendre pour savoir et savoir pour apprendre.
Écrire avec le sable un immense SOS, ce 2020 en effet miroir .
67 000 morts par an en france du fait de la pollution, selon des chercheurs allemands publiant dans la revue European Heart Journal . Il est dommage que tous les professeurs qui s’expriment dans les médias actuellement ne semblent pas avoir élevé leur voix , manifestations, actions, mobilisations face à ce chiffre glaçant.
© LiberTerra
© Fédora Hélène
Depuis la nuit du samedi 9 au dimanche 10 mai, où une tempête toucha la France, il est des vents forts et froids sur notamment les côtes normandes. Le sable a par endroit passé outre les barrières mises par l’homme et des bancs le long des promenades aménagées se retouvent recouvert par le sable. Des barrières fermant l’accès à d’ immenses étendues désertes et le sable s’est invité sur le goudron.



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Tu sais si je peux me permettre de dire en tutoiement que je n’arrive pas à suivre tant tes longs textes !! C’est dommage ça y est bing pendant mes transports tram justement pas assez de batterie 💋 bisou
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