Écologie – Coronavirus – Capitalisme – Quand une ligne suffit, quand un mot suffit pour se libérer

Il suffisait d’écrire une ligne juste celle d’une annonce, d’ un post et non autre information plus répétitives les unes que les autres, ajoutant des mots aux mots. Sans argent pour diffuser ceux-ci perdent tout leur sens, tout leur droit de vivre, tout leur droit d’être sincères.

Il fallait ceux à valeur de bien autre chose que d’être simples et donnés. Bien autres supports de communication, de tout ce qui fait la politique, les élections, les manifestations, les nouvelles espérances, le nouveau monde, l’après enfermé sur lui-même avant même d’avoir la chance d’éclore.

À l’autre bout du monde, le regard est différent, le sens est différent, la conception de la chance est différente.

Une personne pauvre acceptera des conditions de travail très difficiles si celui-ci lui permet d’envoyer de l’argent à sa famille. Il sera content d’avoir ce travail que nous, nous pouvons considérer comme loin d’être une chance.

Quand l’argent est le nerf de la guerre et pas de la paix.

Alors, il faut tourner son regard vers l’enfant, son enfant et ne voir que la lumière de la vie, sa beauté, son incroyable immensité et ce que le cœur de chacun devrait ressentir.

Il n’y aurait alors ni guerre ni pauvreté ni pollution ni hommes cruels ni hypocrisies ni mensonges ni produits ni consommation ni argent ni mots de souffrance ni ceux d’espérer

Il suffit d’aimer et la liberté coulerait de source.

La souffrance ne serait au cœur, aux pleurs en silence ou aux cris, il n’y aurait que la beauté de la vie, d’une naissance.

Aimer la vie reçue, sa propre vie aussi simplement qu’une fleur parmi une autre.

Cette utopie que notre humanité serait réconciliée avec en son centre ce soleil d’aimer.

Il faut regarder devant, avancer sans s’arrêter, on connaît la rime, sortir de France et voir ailleurs d’autres regards, entendre d’autres mots, être d’aucune nationalité que de posséder notre humanité et savoir que la liberté serait universelle et la justice partout.

La Terre n’a pas fini d’être un produit. Un jeu de mains en mains .

L’enfant n’a pas fini de grandir sur une terre d’argent et polluée, de manipulations.

De croire au renouveau, c’est croire à ce qui ne sera pas. Si l’homme avait dû être en fraternité cela n’aurait pas attendu des millénaires pour être.

Si a un coin de la Terre un cœur se lève à l’autre bout un autre pleure.

Il faudrait une unité et la compétition fait rage.

Bruno le Maire déclarait que la compétition était « Féroce » dans le monde de l’industrie en parlant des sites de Renault qui pourraient fermer en France.

« Féroce », le mot du ministre de l’économie. C’est ce que les hommes ont choisi pour définir leur système et pour le garder.

Alors, il peut y avoir le capitalisme vert aux élections, ils ne viendra que renforcer le capitalisme pour trouver les millions nécessaires à la construction du capitalisme vert qui coûtera énormément d’argent.

Les hommes en sont arrivés à confronter l’argent. Il y a l’argent qui sert le vert et non le végétal, et l’autre un capitalisme sans jardin chimique pour pouvoir tenir au milieu de la pollution des villes.

Faire du vélo au milieu de l’industrie, car il faudra d’autant produire, d’autant enfermer. On vivra dans ce qu’on appelle les villes connectées où tout doit être partagé d’autant pour ceux plus pauvres .

Un appartement partagé, juste le temps de dormir et de ranger sa tablette dans un casier pour toute affaire. Puis, un autre prendra la place le temps d’une pause.

Plus de souvenirs que ceux se tenant dans un sac. Ce sont les projets à hauteur de plusieurs millions pour réaliser le jour d’après numérique.

Les plaquettes du nouvel habitat vantent les mérites de ce qui est contraint, réduit aux célibataires ou à une famille avec un enfant dans un perfectionnisme vert, connecté, numérique, rangé en ligne dans des casiers.

D’un côté les résidences pour retraités et de l’autre des cubes hiérarchisés en fonction de l’argent et sous haute surveillance numérique.

L’application StopCovid est un début de ce système où le corps devient l’ennemi ou un humain devient un danger pour l’autre et où on parle de solidarité dans cet emprisonnement.

Des murs de béton et du vert conditionné comme l’air . Les smart cities aux promesses d’espérance de faiseurs d’argent et de solution intelligente pour pays riches.

Les politiques au feu vert quand les lobbies sont dans le féroce de la compétitivité.

Tous aux élections pour réaliser demain et faire croire que la planète sera sauvée.

Alors, s’eloigner de ce chaos grandiose et Aimer, protéger un enfant et vivre au cœur le bonheur de la Liberté et donner aux enfants un sourire.

Si chaque homme était à vouloir vivre cela profondément en lui, il ne détruirait pas et plus aucun voterai pour des politiques qui ont déjà perdues.

Ils chantent tous la terre, nous chantons tous la Terre et sœur Emmanuelle donnait la main aux enfants.

Un de nous qui donne la main à un enfant fera dix mille fois plus pour sauver la Terre que tous les discours scientifiques, écologiques que notre société porte en abondance.

Donner la main sans argent à gagner, ni communication, ni publicité et laisser le cœur écrire les mots car s’il y a un langage, il est celui-ci et nul autre.

Un enfant grandissant dans la pauvreté n’entend que celui-ci et absolument pas nos langages d’une société intelligente.

Un enfant entend le langage de l’air pour respirer, celui de l’eau, et en union sans mots, en l’évidence d’une naissance, celui de l’amour.

Un jeune de 25 ans me disait « Quand j’étais petit, j’avais peur qu’il n’y ait plus de forêt et que l’on ne puisse plus respirer. J’avais vraiment très peur de ça. Toute ma génération a grandi dans cette peur de ne pas pouvoir vivre et vivre libre. On entendait cela aux infos, ce qui était véhiculé par les médias. On est tous devenus des putains de drogués et dans l’alcool, tous dépressifs car cette société nous a donné cette image de l’avenir, du sens, et transmettant que la valeur de l’argent. « 

Dire la vérité, c’est embêtant et des jeunes qui ne croient pas à l’écologie marketing, innovation, communication et autres mots du vide pour définir des Start-ups, big data, logiciels pour penser l’avenir et médias diffusés à coup de millions et millions d’euros.

Les médias ont véhiculé les mots de la peur, de l’acceptation d’un avenir limité ou il serait difficile de respirer car c’était déjà le cas il y a 25 ans.

Ce qui c’est passé ? Tout c’est aggravé. Et, les lobbies écologiques ont fait leur business et n’ont plus qu’à récolter ce qu’ils ont semé, l’argent et le désespoir.

Et, pas seulement eux mais également des politiques, financiers, publicitaires, « innovations » , et ceux se faisant appeler « Directeur des émotions » pour vendre par exemple un produit aux élections présidentielles à coup de millions et d’études du fonctionnement du cerveau à des fins de domination, d’élections en certitudes non fondées mais inventées et non portées à la connaissance de tous .

L’Institut Curie, dont un se revendiquait en « director emotion », selon lui. Nous vantant le business et les campagnes présidentielles dont celle d’Emmanuel Macron.

Au secours la liberté, sauve moi de ces hommes là et de ce qu’ils conçoivent être la réussite, le progrès, la science et cette perte de tout en réalité.

Macron en supra marionnette, l’alpha de millions d’euros d’investissements pour le plus grand leurre de l’histoire, le suffrage universel ! On élit une image qu’on pose à l’Élysée et nos vies se courbent les unes après les autres.

Pour moi l’élection d’Emmanuel Macron s’est arrêtée à tous ces blessés graves, à tous ces jeunes ayant subi des violences atroces qui ont eu pour conséquence d’avoir perdu un œil, d’avoir eu le crâne fracassé par des policiers comme cette jeune femme à Marseille et qui n’entendront jamais Emmanuel Macron, cette République, leur demander Pardon, leur apporter réparation, droit de se reconstruire de manière apaisée en leur donnant leurs droits humains de justice par la reconnaissance première de leur dignité, de leur humanité.

Un système cruel et on pense qu’il nous sauve d’une pandémie.

Il nous tient par la peur et la souffrance et manifestations après manifestations, les militants, manifestants n’ont rien obtenu.

Et, quand la population obtient, l’État reprend de l’autre. L’État ne donne rien et on paie cher le droit d’apprendre à lire et à écrire.

Dès l’enfance ont subi l’endoctrinement, le devoir d’obéir à la règle ou d’être exclu. On apprend à l’école qu’on est riche ou pauvre, favorisé ou défavorisé, intelligent ou jugé stupide. Correspondant à la statique attendue par l’établissement bourgeois ou celui populaire.

On devient un résultat, une note, un problème, une norme, et on doit choisir qui on sera.

Tu veux faire quoi ? Non, tu n’y arriveras pas; non, tu ne peux pas. Non apprendre à lire et à écrire ce n’est pas gratuit.

Puis, il faut s’exprimer et internet est venu au monde. Une chance d’écrire, de parler, de chanter, de voir, de lire, d’être en mouvement et il a fallu que des prédateurs y aient leur profil, la haine sa place, les politiques s’en mêlent, que l’argent intervienne, que la haute surveillance domine, que la police s’y infiltre.

Adultes incapables d’être libre, il faut qu’ils interdisent aux autres de l’être.

Ce sont les réseaux sociaux qui captent, donnent un semblant de liberté et qui récupèrent les millions gagnés. Ils sont des sites publicitaires ou chacun fait sa publicité. Nous sommes chacun un produit et pire sur des sites fonctionnant par des influenceurs de produit.

La sécurité est de la même manière un produit et pour se faire il fallait vendre la violence. Il fallait avoir un ton de politique sécuritaire pour faire marcher le business des boîtes faisant de la sécurité.

L’argent investi dans les caméras intelligentes s’imposant dans le monde entier pour garantir qu’une chose la domination des états.

Des millions d’habitants ne peuvent être contrôlables sans le numérique et la peur qu’il génère. De ce fait, les populations restent les serviles et les états à leur Olympe.

Nous ne connaissons que ce système et il ne changera pas car celui du jour d’après à valeur d’écroulement.

Vous concevez une alimentation saine et locale, et pour qu’elle soit efficace, il faut qu’elle est un impact mondial car une terre, un ciel, une mer, donc la pollution n’a pas de limites.

Mais être un, être ensemble pour le bien de la Terre et de notre humanité serait alors l’écroulement du système actuel.

La fin des lobbies alimentaires et des yaourts traversant en contenaire la Chine jusqu’en France pour être vendus.

Toutes les grandes firmes alimentaires ne pourraient plus vendre si une économie solidaire, locale s’élaborait de manière réelle.

Ce qui aurait pour conséquence la chute de nombreux pays vivant sous la contrainte absolue du capitalisme et donc des millions de personnes se retrouveraient à l’abandon, à vivre une terrible pauvreté et n’ayant plus ce qui permet d’acheter un peu de nourriture.

Et, il est que les chaînes qui produisent sans fin de la nourriture de mille et une manière, ne la destinent pas aux ouvriers la fabriquant mais à ceux l’achetant.

Donc si demain ces chaînes alimentaires s’arrêtent, cela ne sauvera rien car des millions d’hommes, de femmes, d’enfants seront privés du minimum qui leur permet de tenir.

Quand on fait un potager en France, on ne nourrit pas celui qu’on a rendu pauvre par nos villes intelligentes. Et, nos villes de plus en plus intelligentes auront besoin de plus en plus d’argent car il faudra bien que les start-ups gagnent à une hauteur plus élevée que leurs investissements.

Nos transformations ne résoudront pas un déséquilibre grave.

Les milliers de milliards sortis des banques pour tenir ces mêmes banques n’ont pas résolu la pauvreté.

Anéantir la pauvreté et la préservation de la planète viendra d’elle même.

Les enfants grandissent dans un monde où on leur apprend que la vie est en danger permanent et l’impact de la pandémie sera dans 20 ans à son sommet.

Il y a 25 ans , les enfants avaient peur de ne plus pouvoir respirer, demain les enfants auront peur de leur propre corps et de l’autre ?

« En septembre, à l’école, on pourra jouer et faire des câlins à nos amis ?« , un enfant de 9 ans

« L’école, c’est pour avoir des amis. Si c’est pour rester loin de nos amis, ça sert à rien d’y aller. C’est pour apprendre et se faire des amis. » Marie 10 ans.

De plus, le confinement assoupli qu’on appelle le « déconfinement » est toujours cette incohérence avec ces étendues de plages avec des piquets, ou interdites de s’asseoir alors qu’on est des centaines dans des supermarchés, transports en commun, espaces publics, trottoirs.

Le non port du masque devient une verbalisation, alors qu’il n’y a que quelques jours, il était quasiment impossible d’avoir un masque et qu’il est des masques en fonction de l’argent !

Et, plus il est cher plus il est censé protéger.

25 euros le masque en tissu avec flitres sur des sites spécialisés en matériel médical, et il y a celui fabriqué maison et ceux des mairies qui obligent de toute manière à en acheter !

Par contre pas un seul policier sera équipé de masques à donner plutôt que de verbaliser.

Féroce comme dit Bruno le Maire !

Aujourd’hui, un enfant voudrait juste jouer et que l’argent cesse de lui voler sa liberté.

Impossible et les plus grands discours n’auront que cette réponse.

Prendre le temps d’être avec ses enfants le plus possible, d’être à apporter du bonheur à un enfant, c’est faire bien plus qu’une goutte d’eau dans l’océan et là l’argent n’existe pas si ce n’est pour répendre le mot impossible.

Prendre le temps d’aimer et comprendre que ce n’est pas l’humain qui va concevoir le monde de demain mais la Terre.

C’est elle l’immensité de la vie, nous pour l’instant, trop d’hommes l’ont trahi pour que nous puissions nous unir à notre Terre mère.

Quand chacun de nous protégera la naissance plus que tout, nous pourrons alors dire que nous sommes unis à la Terre pour vivre.

En attendant, l’humain n’a pas cette puissance et chaque jour où un enfant cherchera à manger, à boire, tout le travail qui sera fait pour grandir nos sociétés en progrès orgueilleux et cupide, compititivités « féroces » et argent, ne vaudra que le clou qui tue sur une croix.

Sauver la liberté, c’est tout sauver quand elle est celle de l’énergie de la vie.

© Fédora Hélène

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