Lutter contre la pauvreté – Des mots de l’art au journalisme : c’est possible

Clip – Jolie Musique – Fédora Hélène

Jolie Musique 

Jolie musique s’éveille à la vie
Quelques notes sublimes
La vie naît à ce jour
Merveille pluie de lumière

Revient l’éclat de la vie
Ce sourire sublime
D’enfants nés ce jour
Au cœur vêtu de lumière

La faim étend son linceul
Mes yeux à la misère pleurent
L’enfant le corps vide
Appelle le monde à aimer
Appelle le monde réconcilié

Je cours à perdre haleine
Je cours en espérance d’elle
Ma Terre au corps blessé
Ne donnant plus le blé
Aux enfants s’endormant
Aux rêves étincelants
Ne voulant qu’un peu de pain
N’attendant que ta main
Pour consoler la peine
Au même sang à ses veines

Sur les tables politiques se dressent les discours
Oubliant l’oiseau mendiant dans les cours
Quelques grains de bonté au verbe partager
Quand les artifices économiques brisent la paix
Au sommet des buildings de béton et de verre
Je ne vois plus que le reflet du ciel en mirage
C’est comme s’ils signaient la fin du voyage
Cette Hydre de leurs capitaux gagnant cet imparfait
Notre humanité conjuguée au passé à l’univers
Il nous faut que le jardin d’Eden, la liberté
Pour couvrir ce temps de chances, d’espérance
Que ne meure à ce jour les lettres révoltées
Quand l’histoire ne veut que sauver l’enfance
Ne voir que la vie, la beauté, l’innocence

Jolie musique s’éveille à la vie
Quelques notes sublimes
La vie naît à ce jour
Merveille pluie de lumière

Revient l’éclat de la vie
Ce sourire sublime
D’enfants nés ce jour
Au cœur vêtu de lumière

La faim étend son linceul
Mes yeux à la misère pleurent
L’enfant le corps vide
Appelle le monde à aimer
Appelle le monde réconcilié

Je cours à perdre haleine
Je cours en espérance d’elle
Ma Terre au corps blessé
Ne donnant plus le blé
Aux enfants s’endormant
Aux rêves étincelants
Ne voulant qu’un peu de pain
N’attendant que ta main
Pour consoler la peine
Au même sang à ses veines

Sur les tables politiques se dressent les discours
Oubliant l’enfant, l’oiseau mendiant dans les cours
Quelques grains de bonté au verbe partager
Quand les artifices économiques brisent la paix
Au sommet des buildings de béton et de verre
Je ne vois plus que le reflet du ciel en mirage
C’est comme s’ils signaient la fin du voyage
Cette Hydre de leurs capitaux gagnant cet imparfait
Notre humanité conjuguée au passé à l’univers
Il nous faut que le jardin d’Eden, la liberté
Pour couvrir ce temps de chances, d’espérance
Que ne meurent à ce jour les lettres révoltées
Quand l’histoire ne veut que sauver l’enfance
Ne voir que la vie, la beauté, l’innocence

© Fédora Hélène





Copyright © LiberTerra 2021 – Tous droits réservés – Tous droits de production et de diffusion réservés

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s