Investir pour les femmes, c’est investir pour l’humanité – Emmanuel Macron fait le choix de la pauvreté

Investir pour les femmes, c’est investir pour l’humanité

Investir pour les femmes, c’est investir pour l’humanité. Cette phrase devrait être acquise. Mais, le capitalisme est ce mouvement sans limite conduisant à l’affaiblissement de la paix, ce qui a pour conséquence l’instauration de la violence. Elle devient dominante, ne laisse aucune chance à la justice, et même si son espoir demeure, des vies innocentes pourraient être brisées.

Peut-il exister une société respectant les droits des femmes et bâtissant la guerre ?

Un monde capitaliste est né à l’aube de l’Antiquité, sortant de terre par la première pierre fondant l’empire. Rome continue sous d’autres allures, la pensée de la guerre, fondement de la puissance de l’empire. Les femmes ont subi dès les premiers temps toute la cruauté des violences sexuelles en arme de guerre. Elles sont tombées sur les champs de bataille en dernier symbole d’humanité, mourant pour la liberté. 

Au cours des siècles, les femmes ont subi la plus grande oppression. Elles ont été tuées, blessées, prisonnières d’un système patriarcal destructeur. Elles se sont relevées, nous laissant pour héritage la force de leur innocence. Le combat présent pour les droits des femmes est celui hérité des guerrières d’hier, le drapeau blanc à la main, luttant pour les droits humains.

Les droits humains ne s’inscrivent toujours pas au cœur de nos sociétés

Les politiques n’ont aucune obligation de respecter la Déclaration universelle des droits de l’homme, et ils peuvent à tout moment la trahir, l’anéantir. 

Les guerres se dressent contre les peuples, et dominent par les funestes raisons politiques écroulant des vies innocentes. 

La guerre, arme destructrice et politique, comment ce monde pourrait-il aimer l’humanité, ne pas la diviser, respecter les droits des femmes ?

Les femmes subissent la plus grande oppression depuis ce temps inachevé des guerres. L’homme en ennemi de son propre frère conquérant sa gloire aux sang des armées, et prenant de la Terre ses ressources de bonté pour alimenter son orgueil de posséder des richesses en sable, quand la vie donne tout gratuitement par la paix découlant de sa matière formant les rivières, la source limpide.

La politique a été conçue par la volonté de posséder la Terre et l’humain, en emprisonnant en premier la liberté pour conquérir le monde par la puissance de la violence, l’ordre des maltraitances, le pouvoir de tuer. Le premier homme ayant levé la main pour tuer son frère a déjà déterminé la fin de la paix.

Le sang coulé, l’injuste a pris place. Dominer la mort en tuant la vie, l’absurde. L’homme avait alors inventé le néant, cet espace où il se perd. Il a créé sa propre prison, son autodestruction, et le ciel pâle émet une lueur nous donnant l’espoir de sauver l’humanité par la paix.

Il serait invraisemblable de penser un monde viable sans la présence de l’eau, et pourtant nos civilisations se sont construites en excluant un élément indispensable à la vie, la liberté. L’humain a ainsi créé un déséquilibre fondamental depuis l’Antiquité.

De l’Antiquité à nos jours, la peine perdure, un mouvement continue éloigne le monde de l’universalité de la paix. Comment une femme aurait-elle une chance de vivre au milieu du chaos perpétuel? 

L’espoir résistant, une simple flamme traversant la nuit, laissant le jour paraître à tout instant, les étoiles illuminées, l’univers au-dessus des guerres, maintient la Terre en vie, comme la flamme garde l’espoir.

Tout est en tout et rien ne peut être séparé. Les droits des femmes s’inspirent de la paix, de l’espoir  né avant nous, la nature nous offrant ses vertus, précédant nos pas, tout était en paix pour accueillir l’humanité. Il ne suffit que d’elle, la paix et la liberté libérée pour que naissent les droits des femmes, substance de l’humanité.

Rome domine notre civilisation comme une oraison funèbre

Le temps est relatif. Une donnée complexe qui est au cœur de la relation entre l’homme et l’univers, et au cœur même de sa propre vie. Un espace-temps entre l’instant où l’on pense et le temps de l’action, et sans le temps premier de la pensée, qui est inquantifiable, il ne peut exister le temps de l’action. La pensée construit un savoir transmis de génération en génération, et par des données internes à l’être humain élaborant des stratégies de société à partir de zéro, sans qu’il y ait eu auparavant une pré-construction de l’humanité.

La force de l’être humain, c’est la spontanéité de ses connaissances et également une de ses plus grandes faiblesses car se constituant lui-même, il part d’aucune vérité pour aboutir à une vérité, qui au cours des apprentissages, des découvertes, de l’expérience peut s’avérer erronée.

Les femmes et les filles subissent la violence de siècle en siècle et celle-ci peut durer indéfiniment, si l’humanité ne remet pas en cause son savoir, la construction même de sa société et si elle continue à s’éloigner d’une réconciliation légitime par l’égalité de genre. En premier, nos sociétés se heurtent à ce qu’elles ont élaboré et compris comme des vérités.

Puis, il est une autre difficulté, c’est de ne pas considérer les hommes comme étant des ennemis, mais des frères, et de concevoir que certaines femmes elles-mêmes peuvent générer de fortes inégalités entre les femmes et les hommes, et que l’un et l’autre finissent par s’exclure et s’annuler.

Les violences faites aux femmes sont injustes pour toute l’humanité et contraignent notre monde à plonger dans l’obscur de lui-même.

Une civilisation antique se poursuit même si nos sociétés ont changé d’apparence, de noms, et que l’évolution industrielle et technologique a eu lieu. Les stratégies de guerre restent identiques, et par évidence le système des pouvoirs.

Le mouvement de l’humanité ne se rompt pas, il évolue de manière exponentielle. D’une invention simple, il passe à une conception complexe élaborée à partir des données premières, gardant un fil conducteur avec la source. De ce fait, il est très difficile de se détacher d’une conception politique ancestrale, puisqu’elle est la source-mère de la pensée ayant structuré les stratégies politiques et sociétales.

La première grande division de l’humanité a été directement liée avec l’acquis des ressources naturelles, posséder les cultures vitales pour la subsistance de l’humanité. Cultiver a permis la sédentarisation d’une humanité fondamentalement migrante, nomade.

L’organisation des sociétés s’est constituée autour des ressources naturelles et de la capacité de les maîtriser, de les produire, et de les distribuer. Partager de manière équitable les récoltes, respecter la terre, et le fait qu’elle n’appartient qu’à elle-même, aurait permis de bâtir un monde libre.

La politique véritable, c’est la parole de l’un à l’autre,  la communication des uns vers les autres pour élaborer la survie de l’humanité, les actions à mettre en place pour y parvenir et décidées dans un consensus d’entraide sans lequel l’humanité aurait certainement périt.

La solidarité est le fondement de la société, de l’humain unissant la spiritualité à la politique, donnant une dimension de sens à la vie, une valeur suprême à la vie. Le divin exprime le sublime de la vie, la force de la nature, l’immensité, l’amour en symbiose avec l’humanité, mais un homme ne peut s’approprier son immatérialité, devenir une dimension divine. 

Être humain et non divin. Des hommes politiques se sont inventés Dieu et sont devenus la folie consciente, la violence, l’autoritarisme, la tyrannie, la volonté d’un pouvoir absolu ordonnant toute la société.

Le patriarcat est cette dimension de l’homme se voulant Dieu, décidant de la vie et de la mort de ses semblables, constituant la hiérarchisation de la société en puissants et dominés, en riches et pauvres. Les femmes soumises au chef de famille, le paterfamilias.

César dirigeant la société, ordonnant les guerres, décidant les massacres, formant l’esclavage, possédant les terres, les récoltes, faisant naître la famine, privant les pauvres de pain, annihilant l’humain, la bonté de la Terre. Le sel à l’aride brûlant les prairies fécondes et laissant un désert prendre place. Mais celui détruisant et faisant de la vie le sable, devient le sable.

Les politiques en César se sont fait les pions de Rome, les dictateurs imposant la finance tyrannique, l’injuste ayant pour ennemi la liberté. De guerre en guerre, des accords de paix aux marchands de canon, tout se vend à l’enfer des États en machines de guerre, vendant l’eau et l’air, faisant de la vie une marchandise.

Les forêts disparues, l’eau polluée, les rivières entravées, le ciel aux pluies acides arrosant les cultures, l’eau en détresse, la santé humaine atteint un seuil critique au rythme de la perte de la biodiversité. La crise de l’eau va confronter l’humanité à un immense défi, faire prendre conscience de la valeur de la vie.   

L’eau disparaissant, l’amour quitte le cœur des hommes

Le capitalisme à son apogée : les chefs des différentes puissances s’opposant, veulent s’affronter pour élire la puissance qui ordonnera le monde de demain, les futurs sous la pression nucléaire.

Une révolution climatique, le capitalisme arrive à son aboutissement : l’effondrement civilisationel

Les puissants industriels et oligarques, commandant les gouvernements, forgent la guerre au désert de leurs cœurs de pierre, accélèrent de facto la violence envers les femmes. 

Les violences sexuelles liées aux conflits, l’appauvrissement des femmes basculant dans une pauvreté durable à l’extrême pauvreté, et des enfants abandonnés par la violence politique, le monde construit son avenir par les actes de guerre produits par la politique.

 

Investir en faveur des femmes en valeur de paix, de liberté pour l’humanité

L’économie de guerre instaurée par Emmanuel Macron, acteur d’une République oligarchique, aggrave les conditions de vie de femmes et d’enfants, de mères isolées plongées dans la précarité par les fortes inégalités, injustices, les violences coercitives détruisant des vies.

En France, ce sont plus de 2 millions de femmes pauvres en 2022, selon l’Insee. Un taux calculé à l’échelle des ménages considérant le partage des ressources, et non sur le niveau personnel des femmes. 

Les femmes élevant seules leurs enfants, souvent survivantes de violences conjugales, subissent toute la violence de la société française très inégalitaire, très sexiste et fonctionnant sur une dominante bourgeoise du 19ème siècle par le nom de famille, la puissance financière, les héritages et corruptions.

Le Conseil National de la Résistance, les luttes ouvrières, les actions humanitaires, solidaires ont travaillé pour donner à la France une lumière de paix après deux guerres mondiales. Actuellement, le gouvernement d’Emmanuel Macron s’applique à détruire les acquis dont ses ministres ont profité par l’élan que les droits humains donnent à un pays.

Bruno le Maire a déclaré dimanche 17 mars dans les colonnes du Journal du Dimanche vouloir mettre fin à la « gratuité de tout pour tous » – laquelle n’a jamais existé, d’ailleurs  – alors que le sens de la vie, sa bonté, la générosité de la nature font le sens de gratuité. Sans la gratuité de la vie, Bruno le Maire n’aurait pu naître, ni aucun de nous.

Un ministre monarchique en représentant de commerce d‘une République oligarchique, qui cynique veut renforcer le pouvoir autoritaire de la politique reposant sur les discriminations, l’appauvrissement de populations, la confiscation des droits humains pour les plus vulnérables. Les droits humains, selon la pensée archaïque bourgeoise et politique, s’achètent.

Les puissants achètent leur liberté avec de l’argent, la valeur humaine disparaît, se soumet à la machine infernale du capitalisme ne servant que quelques milliardaires, et millionnaires héritiers n’ayant jamais travaillé pour obtenir leur fortune, à l’image de Gabriel Attal.

Les nobles du gouvernement réinventent la cour du roi, brassent du vent politique, coûtent un « pognon de dingue ». Leurs privilèges et intérêts qu’ils servent en premier, soumettant le peuple considéré en objet, en outil, en moyen de faire fortune.

Le gouvernement et les femmes y siégeant acceptent la violence envers les femmes mises en état de précarité par un système manipulé, pervers se servant de la pauvreté en arme politique. Pour Emmanuel Macron, les femmes précaires sont « illettrées », pendant que celles politiques au rang de la bourgeoisie et celles gagnant des corruptions, autant que les hommes, sont considérées pour leur valeur d’argent, leur capacité à renforcer des politiques sauvages mettant en souffrance des êtres humains.

Emmanuel Macron trahit le plan interministériel pour l’égalité entre les femmes et les hommes 2023-2027

«  Toutes et tous égaux », le plan interministériel donnant l’impression de s’inscrire pour réaliser l’objectif de développement durable des Nations Unies : Tous humains Tous égaux  – dont l’exigence première est la lutte contre la pauvreté.

Un plan gouvernemental mettant en valeur la lutte contre les violences faites aux femmes, en augmentation constante. La précarité expose les femmes à toujours plus de violences générées par des politiques usant de ce qui détruit, et favorisant les prédateurs, la loi du plus fort et du plus malhonnête.

Le deuxième axe du plan concerne la santé des femmes qui en France en 2024 est toujours en souffrance, et qui ne pourra que l’être toujours plus par les choix politiques d’Emmanuel Macron imposant aux hôpitaux publics : une détresse, comme les femmes précaires rencontrent des difficultés pour accéder à leurs droits à la santé.

En France, en 2024, des femmes enceintes sont à la rue, et des femmes, jeunes accouchées, se retrouvent dans la rue avec leur nouveau-né à la sortie de la maternité. (Article : France – Enfants à la rue, l’abri du désespoir).

Des politiques de violences ne peuvent lutter contre la violence, puisqu’elles la propagent. Le beau de la vie éteint. Le silence, Emmanuel Macron cultive le mépris envers le peuple, une démocratie en deuil. Les femmes sont laissées de côté, sur le bord de la route, surtout quand elles ne font pas partie des cercles politiques, de la bourgeoisie, des corruptions.  D’un coup, leur vie ne compte pas.

Les belles vies suspendues en plein vol, les prédateurs en loups politiques lâchés dans la cité, de la gauche caviar se ralliant à l’extrême droite, courant sur les bancs de la macronie, le pouvoir politique en rouage de l’État fait de femmes : les oubliées, des vies volées, les exclues des droits humains.

La révolte se tait, soumise à la peur de la violence des puissants, de la misère. 

Le cœur des justes brisé

 Pourquoi Emmanuel Macron respecterait-il l’humain, quand il ordonne ce qui écroule la générosité, la sincérité, enferme l’homme dans une norme, des algorithmes, nouvelle prison retenant la liberté.

Les femmes, mères isolées sous le seuil de pauvreté, subissent les pires violences dans le pays se disant le pays des droits de l’homme et creusant le fossé enterrant la paix, le droit de vivre, déshumanisant ces mères, ces femmes, belles de vie. 

L’État fait la promesse de maintenir des enfants dans la pauvreté, quand les lumières baissées, dans les salons privés, les puissants s’extasient devant leur inhumanité, imbus de pouvoir.

Les miroirs déformés, l’investissement en faveur des femmes précaires, survivantes de violences est quasiment inexistant. Le soutien à l’entrepreneuriat des femmes précaires est absent. Et, l’administration considère des femmes comme des matricules d’insertion ! Elles sont condamnées par la pauvreté appliquée par l’autoritarisme. 

Des femmes humiliées, abandonnées, niées, dont Emmanuel Macron ignore le nom, le visage, les rêves, la force de vivre, et qu’il plonge toujours plus dans la pauvreté. Sans scrupules, il arme son ministre Bruno le Maire pour renforcer les pressions, contrôles autoritaires. Un harcèlement, des violences psychologiques, financières légales, la politique du gouvernement est indigne. 

Le bourgeois de Neuilly, à la vertu des milieux de Nicolas Sarkozy, de l’argent roi, sans idéal, la méchanceté à la pointe de leur mental, de réseaux, et  ils n’ont jamais compté que sur eux-mêmes comme des centaines de milliers de femmes le font chaque jour en résilience.

Politiciens sans limite, ils ordonnent en oppresseurs l’ordre social, et se moquent des vies innocentes qu’ils détruisent.  

Les objectifs de développement durable des Nations Unies sont devenus une utopie et risquent de ne pas être réalisés d’ici 2030. 

Emmanuel Macron et ses services  technocratiques ont dressé un décor constituant le vide

Aurore Bergé anime le vent, la communication, et elle serait dans l’incapacité de résister, de survivre sous le seuil de pauvreté, ou juste au-dessus après avoir subi des violences intrafamiliales durant des années dans une France effaçant des femmes, leur mémoire, leurs témoignages.

La politique a créé ce qui renverse la liberté. La violence en France, c’est la leur, les politiques sont responsables.

Marlène Schiappa a fait une démonstration de grande ampleur de communication en manipulations politiques, transformant l’espoir de femmes victimes de violences, en désespoir. Le gouvernement peut clôturer le ministère de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, en coquille vide.

La personnalité politique ayant œuvré pour la cause des femmes, la lutte contre les violences, c’est Yvette Roudy. Ils ont oublié. 

L’espoir nous laisse croire, la résistance nous révèle

On n’avancera pas vers la liberté pleine et entière de toutes les femmes, ainsi que vers la réconciliation et l’harmonie de la paix par la courtoisie politique de circonstance, mais par la résistance luttant jusqu’à son dernier souffle, car elle lutte pour la liberté.

ONU Femmes France sonne l’alarme – l’investissement fragile pour les femmes

L’intensité des guerres et des crises humanitaires ne laisse pas de répit à des millions de femmes affrontant aussi une crise climatique majeure, des catastrophes naturelles pouvant détruire des récoltes, les moyens de subsistance essentiels pour des femmes basculant de la pauvreté à l’extrême pauvreté à travers le monde.

Aujourd’hui, il est le devoir de protéger la vie, de faire attention en considérant les plus vulnérables comme étant ce qu’ils sont, très importants. Leur vie compte.

ONU Femmes alerte sur le faible investissement fait en faveur des femmes, et l’urgence d’investir pour réaliser les objectifs de développement durable qui sont une source d’inspiration car ils constituent la réalisation d’une universalité solidaire, cohérente, résiliente.

Les mettre en péril, c’est risquer de plonger l’humanité dans des futurs dominés par le chaos climatique et civilisationnel. 

Apaiser, c’est la solution que proposent les objectifs de développement durable. Nous n’avons pas d’autres choix que la paix, que le partage, qu’une économie nouvelle et saine fondée par la gratuité en alignement avec les ressources naturelles, leur générosité.

L’eau et l’air que l’on respire est gratuit. C’est l’invention de la finance qui a pollué ce qui est vital pour chacun d’entre nous. Conclusion, les gouvernements renforçant le pouvoir financier, et prenant le risque d’une 3ème guerre mondiale, mettent l’humanité au bord du précipice. 

Avancer vers ce qui détruit, à l’image du gouvernement d’Emmanuel Macron, c’est d’une gravité sans précédent.

Il ne faut pas attendre d’avoir que nos yeux pour pleurer, et ONU Femmes France alerte dans l’objectif d’aller vers la paix, l’élimination de la violence faite aux femmes.

L’investissement en faveur des femmes accuse un lourd déficit

Le déficit financier annuel pour réaliser l’égalité de genre est de 360 milliards de dollars. Les femmes en subissent les conséquences directes qui sont l’insécurité alimentaire, l’isolement, les violences et les discriminations toujours plus graves.

Mises en état de survie, elles sont régulièrement culpabilisées, humiliées, montrées du doigt. Le gouvernement d’Emmanuel Macron impose « marche ou crève ».

Pour des centaines de milliers de femmes, il n’existe aucun temps de repos, ni vancances. Elles élèvent seules leurs enfants sans recevoir la moindre reconnaissance. La charge mentale, les pressions qu’elles subissent continuellement sont inhumaines, car l’autoritarisme est inhumain.

Emmanuel Macron oublie de dire que dans le monde le travail non rémunéré des femmes se trouvant sans droits représente un profit d’au moins 10 800 milliards de dollars par an, selon Oxfam. L’étude révèle que les femmes et les filles à travers le monde, y compris en France, réalisent plus des trois quarts du travail de soin non rémunéré.

Dans le monde, les femmes effectuent 12,5 milliards d’heures non rémunérées de travail de soins par jour. Des mères isolées restent sans droits véritables, subissent le non-respect de leurs droits humains, et ne bénéficient pas de soutien pour des formations professionnelles, la reprise d’études, l’accès à un emploi sûr et durable.  

Elles sont niées, dévalorisées dans une société où la valeur de l’humain ne compte pas et où il ne représente qu’une valeur de rentabilité pour une industrie concevant la pollution de la planète, établissant la maltraitance de la vie.

Dans le monde, ces femmes donnant toute leur énergie avec foi et abnégation, toute leur honnêteté, représentent 42 % des femmes ne pouvant accéder à un emploi rémunéré du fait des lourdes charges quotidiennes qu’elles portent seules sans être rémunérées.

La réalité est que des hommes comme Emmanuel Macron, actionnaire du système, gagnent de l’argent par le travail de toutes ces femmes oubliées, effacées. Ce qui coûte un « pognon de dingue » comme il dit, c’est le non-respect des droits des femmes, c’est le système destructeur qu’il renforce.

Ce sont ceux qui accusent les pauvres qui sont les responsables de la pauvreté, de l’exploitation de l’humain, comme des ressources naturelles. 

Ancien banquier, comment Emmanuel Macron pourrait-il ignorer qu’il applique un système financier injuste, ruinant des millions de vies innocentes, dans le but de satisfaire la folie des milliards dans l’incompréhensible cruauté de l’injustice.

Dans le monde, les femmes représentent 80 % des travailleuses domestiques et 90 % d’entre elles n’ont pas accès à la sécurité sociale, et la législation nationale ne prévoit aucune limite d’heures de travail. Esclaves modernes pouvant subir toutes les violences dans l’indifférence du monde politique, des puissants, d’un système judiciaire les effaçant.

Le travail invisible, nié que des millions de femmes exercent à travers le monde en subissant les violences du paterfamilias, continue sans relâche, y compris dans les sociétés dites évoluées et riches.

Les femmes mises en état de pauvreté sont les premières à subir les graves inégalités, discriminations, sans que cela fasse réfléchir la conscience de politiques osant dire défendre la cause des femmes.

Une économie de guerre signifie une aggravation de l’inflation, de la hausse des prix des produits alimentaires, de l’énergie, du carburant, des charges des ménages qui vont s’accentuer par une diminution des dépenses publiques pour assurer la lutte contre la pauvreté, pour l’autonomisation des femmes.

Il est estimé que 75 % des pays vont réduire leurs dépenses publiques d’ici 2025 et sur le long terme. Ce qui met en danger le futur de millions de femmes et de filles. Ce seront des générations sacrifiées par les effets dévastateurs de la mise en place de politiques iniques vécues tout au long de la vie.

Plusieurs générations pourraient être durablement impactées par des politiques mortifères ayant pour référence un système financier international obsolète et injuste.

L’Europe vieillissante sera particulièrement touchée par les fortes inégalités, car elle maintiendra en premier les privilèges des riches à très riches par une culture ancestrale de la monarchie à la bourgeoisie tenant les pouvoirs.

ONU Femmes France souligne que le marché du travail demeure discriminatoire, et que l’évolution professionnelle des femmes reste entravée par les charges quotidiennes, telles que le soin des enfants, l’aidance, les tâches domestiques.

En cas de violences conjugales et de défaillances du conjoint violent, les femmes assurent l’équilibre et le soin quotidien des enfants, le suivi scolaire, les différentes activités. Elles élèvent seules leurs enfants dans des conditions très éprouvantes. 

En France, le classement sans suite de 80 % des plaintes pour violences conjugales, sans oublier l’effacement de leurs témoignages, conçoit que des femmes soient la propriété du « mari », et qu’elles soient divorcées ou mariées, le calvaire de la précarité continue dans une société patriarcale préférant l’apparence à respect des droits des femmes pour toutes les femmes, et non pour une minorité appartenant aux cercles des pouvoirs. 

Les témoignages jamais écoutés, jamais respectés, des femmes en résilience sont niées, isolées, et tous leurs efforts sont non reconnus. Des femmes mises en état de survie, une justice réparatrice inexistante, leur parcours professionnel entravé par de graves violences coercitives. Des survivantes se retrouvent démunies, sans aucun soutien concret, efficace pour réaliser leurs projets, créer une entreprise, devenir financièrement autonomes avec l’accès à un salaire décent, et non la précarité à vie.

En France, le monde du travail est en proie à de fortes inégalités, car s’impose aussi un système de réseaux, par le nom de famille, la séparation des classes sociales entre elles, et ce dès l’école, et le fait qu’un travail s’achète. Il faut avoir les moyens d’investir pour bénéficier d’un emploi décent, durable, d’un salaire permettant de vivre et non de survivre.

Des femmes précaires, souvent mères isolées, sont lancées dans l’arène des violences économiques, et peuvent habiter à plusieurs heures d’un centre économique diversifié. Les charges locatives étant moins élevées dans des zones isolées.  

Tout l’architecture économique s’engouffre dans un tourbillon capitaliste, un fonctionnement archaïque et dominé par la problématique de l’héritage marquant toujours un système monarchique. La politique du gouvernement aggrave toujours plus les discriminations. 

Il est un semblant d’investissement pour les femmes, une façade pour décor et Céline Mas, Présidente d’ONU Femmes France a souligné que « Les organisations féministes sont en premières lignes dans la lutte contre les inégalités et la pauvreté des femmes. Malheureusement et malgré les données disponibles, elles ne reçoivent que 0,13 % du total de l’aide publique au développement ! ».

L’absence d’engagement significatif de la part de l’État, alors que la solidarité est le poumon des associations féministes et Céline Mas souligne qu’« ONU Femmes France collecte des dons toute l’année. La générosité de nos membres et mécènes est déterminante. Elle assure à l’association la capacité de lutter durablement contre les discriminations et de répondre rapidement aux situations d’urgence. Chacune et chacun peut s’engager à son niveau pour avoir un impact positif ensemble ».

Toute la société doit travailler pour lutter contre les discriminations, les violences faites aux femmes, et pour bâtir une humanité une et unie. La France doit concevoir l’unité par ce qui est naturel et humain, une humanité. Ce ne sont pas les quotas, diktats, taxes, normes qui créent ce qui est humain. La liberté est l’équilibre premier. 

Une société marquée par une politique de guerre ne peut respecter les droits des femmes, les droits humains, être l’expression de la paix. Revenir vers ce qui est juste et « rendre juste », ainsi que Nelson Mandela l’a plaidé par la voix de la liberté. 

Fédora Hélène

Emmanuel Macron a une grave responsabilité, il écroule des vies innocentes, entrave le développement des femmes précaires, mères isolées.

« Les organisations féministes sont en premières lignes dans la lutte contre les inégalités et la pauvreté des femmes. Malheureusement et malgré les données disponibles, elles ne reçoivent que 0,13 % du total de l’aide publique au développement ! »  alerte Céline Mas, Présidente d ‘ONU Femmes France.

Aurore Bergé, ministre de l’ Égalité, ne défend pas les droits des femmes. Participer à l’appauvrissement des plus vulnérables, c’est lourd de sens et ce n’est pas sans conséquence pour la paix.

Aujourd’hui, le gouvernement d’Emmanuel Macron s’attelle à mettre en souffrance plus de 2 millions de femmes pauvres en France. Ce qui signifie que des enfants risquent d’être traumatisés par la pauvreté durant des années de leur vie.

Dans le même temps, Gabriel Attal met en place des niveaux dans les classes, quand le gouvernement investit dans la pauvreté à vie pour les classes modestes.

Étrangement, les enfants de famille riche à très riche ne subissent pas la politique mortifère du gouvernement, et sont dans des établissements scolaires privés et privilégiés. 

Diviser les femmes et les enfants en riches et pauvres, c’est la négation de la Déclaration universelle des droits de l’homme, et du Conseil National de la Résistance.

Emmanuel Macron sera au 80 ans du Débarquement de Normandie, en menant une politique de guerre contre la paix.

Il marquera l’histoire, mais comme il le pense. La chute libre de la liberté, un système capitaliste destructeur, 2024 a besoin de toute urgence des forces de la paix.

Emmanuel Macron fait basculer la France dans l’ombre du fascisme.

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Une réflexion sur “Investir pour les femmes, c’est investir pour l’humanité – Emmanuel Macron fait le choix de la pauvreté

  1. Le XXIème siècle est devenu un espace-temps uniquement binaire. Il faut faire adhésion au clan du progressisme à n’importe quel prix ou à celui du conservatisme à tout prix. Tout sens d’observance, de critique ou/et d’interrogation envers l’un ou l’autre est suspicieux pour l’autre et l’un. Il faut prendre parti ! Sinon vous n’êtes rien. Quant à la dictature elle peut s’installer sans la sonorité des bottes. Il suffit d’engendrer la désinformation et dénigrer les fondements mêmes de l’école de la République comme à diffamer la laïcité.

    Plus le diable en a plus il en veut asseoir.

    C’est l’ignorance qui conduit au chaos
    Et non la véritable connaissance et les réels savoirs…

    Faire un peu est toujours mieux que de ne rien faire. Loulia Navalnaïa – Veuve d’Alexeï Navalny

    Louis Aragon écrivait « L’avenir de l’homme est la femme » Jean Ferrat en fit une chanson. ’’La femme est l’avenir de l’homme’’

    […]-[…]

    Pages 16 à 19

    Lorsque la passion déborde, le réel et véritable sens de la vie se noie. La vie est comme un livre. Ne saute aucun chapitre et continue à tourner les pages… Tôt ou tard tu comprendras pourquoi chaque chapitre était nécessaire. Trop de logique inhibe l’être sensible… Trop de sensibilité intériorise l’esprit logique. De maintenir l’équilibre entre ces deux états autoriserait juste cette extraordinaire capacité d’être humain dans le Monde Naturel Vivant.

    Entre lys & lianes

    Hauts hurlements sortis des nuits d’intérieur

    Ô cris étouffés de derrière les portes

    Porteuses d’aventures nient de ci de là

    Non, non, ce n’est point le vent qui claque.

    Verbes aux ruines des passages déjà nommés

    Visages d’un dieu à la robe couleur de sang

    Discours suivi par les démons d’argent

    Ils portent le tranchant à la place du buis.

    « Nous voulons un monde meilleur ! »

    Souverainisme, populisme, nihilisme, poujadisme,

    Ismes faxés par des guides de malheur,

    Regards attitrés à la virade des égocentrismes.

    Retour vers des prises de gardes sans épiques,

    Titres versés aux balbutiants sans égards,

    Dans le halo des temps kaléidoscopiques,

    Confusion des priorités attire vils étendards.

    Préface

    Pourtant jadis, https://lamarante-des-artisans-francais.com/2024/02/09/dheurts-en-demeures-a-tous-nos-maux/

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