Petite chronique  – Emmanuel instaure la démocratie en peau de chagrin, un jour de plus

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La France  – Emmanuel Macron blesse la démocratie chaque jour face à un peuple au silence.

Il exerce une politique toxique traumatisant et imposant un climat de peur par la violence politique et économiques, les violences policières, la préparation  de la guerre et l’ONU a lancé une alerte à plusieurs reprises.

Un système prédateur car destructeur fait du politique l’oppression, des manipulateurs, et ce depuis des décennies.

La France cultive la perversité narcissique, c’est une problématique dont la société n’a jamais voulu se défaire.

La violence en France, est cette obscurité planant, voilant en permanence la liberté.

Des politiques violents attachés à la finance produisant la guerre, sont en train d’ inonder le monde d’armement, insensibles à l’horreur, au chaos qu’elle instaure, ils agissent en exploitant ce qui détruit.

Un monde politique de mensonges brisant la paix, traumatisant la liberté – ils mettent en place la guerre capitaliste par les guerres de la faim, de la pauvreté, de la perte de la biodiversité, de la pollution industrielle, l’industrie de l’armement accélérée, l’épuisement des ressources naturelles et la crise majeure de l’eau  – ils ont enclenché un mouvement destructeur.

Gaza est témoin de la folie politique, de la réalité de l’ère capitaliste qui est primitive aux apparences trompeuses car la technologique est utilisée pour produire un armement toujours plus destructeur.

Primitive car ils utilisent le savoir pour détruire et non pour protéger la vie. Une économie de guerre pour produire la guerre accélère l’industrie de l’armement en disant vouloir protéger la paix quand les politiques n’expriment qu’une seule chose : l’humanité contre elle-même.

L’innocence brisée, les enfants sacrifiés à Gaza lancent un appel pour la réalisation de la paix universelle, montrent la beauté de la vie, et combien la politique détruit, saccage l’innocence.

La politique peut anéantir une population et finalement les puissants se soutiennent tous entre eux par le capitalisme, ce mondialisme qui n’est pas la solidarité internationale, mais qui fabrique des puissants allant vers leur propre implosion en mettant en souffrance le plus petit, en brisant des vies dans l’implacable indifférence du politique et de la finance.

Les puissants ont noyé leur cœur, le transforment en pierre, et les populations riches, comme en France demeurent à l’attraction de l’argent, de la cupidité, affaiblissant chaque jour les droits humains, les droits de la nature.

Produire, consommer, s’enrichir, l’infernal profit, ils ont mis des chaînes à la liberté, ont arrêté le progrès de l’humanité à l’accomplissement  du veau d’or bâtissant aujourd’hui la guerre capitaliste.

L’absurde comme Gabriel Attal, en nouveau noble, décidant une réforme sur le chômage, alors qu’il n’a jamais cherché véritablement un emploi dans le labyrinthe sans fin du numérique perdant des milliers de CV en mails, et les réponses automatiques, les algorithmes coupant les relations humaines, perdant le travail devenant une oppression, un état de précarité, de survie pour les plus vulnérables, quand en France plus de 70 % des emplois sont par réseaux, que l’égalité des chances n’existe pas, que les conditions de travail se dégradent, que le patronat est un outil de profits autant que l’homme est devenu l’employé.

L’héritage que retient le gouvernement, c’est celui de la bourgeoisie industrielle possédant des villes et sa population, les monarques ayant bâti leur fortune par la valeur de l’exploitation de l’homme en machine et des ressources naturelles. La bourgeoisie prospère du 19e siècle est le modèle économique d’un  gouvernement d’héritiers millionnaires et ceux devenus riches par le système politique écroulant la justice dans son sens noble de liberté.

Gabriel Attal ignore le monde du travail, placé 1er ministre par l’héritage dans une République monarchique et oligarchique. Millionnaire est un titre politique.

Des députés assis dans les Assemblées, obéissent au pouvoir, à la finance, leur liberté dont la valeur est égale à plus de  7 400 € par mois et leurs privilèges pour être la cour politique gardant le système, pendant que la population survie au smic, dans la précarité, des conditions de travail dégradées.

Les députés, les hypocrites pour un salaire. Le socialisme pour acteur de la comédie. Les socialistes Renaissance qui ont toujours été embourgeoisés, la cour du roi.

La lâcheté occidentale achetant la liberté de confort par l’argent, et laissant la misère prospérer, regardant insensibles le pauvre suffoquer, les politiques s’émerveillent de leur pouvoir, les ailes se tissent de narcissisme et se brûlent aux tourments de leur égo, ce soleil n’éclaire que l’oppresseur.

Social-traite, le socialisme embourgeoisé

Le socialisme était et il a vécu en premier par les combats ouvriers. Il serait par principe non un politique, mais le peuple. Un politique se définissant socialiste, ça n’a aucun sens. Le socialisme n’est pas un parti, c’est une révolution appelant à fonder la démocratie. Ce que fait le PS, c’est l’union des droites. Hollande, le trait d’union entre Sarkozy et Macron. Donc, le socialisme se relèvera de ses cendres par et pour le peuple.

La chute de la démocratie en France –

L’ Observatoire international des prisons (OIP) – section française – a constaté la diminution de ses subventions quand Anticor n’a pas obtenu le renouvellement de son agrément.

Les politiques tentent de ralentir leur inextricable chute en imposant l’autoritarisme. Une 5ème République qui touche à sa fin car des hommes ont pris d’elle son obscurité.

La monarchie a fondé la France et la République en est issue. Elle n’est pas libre.

Emmanuel Macron, tenant par une République oligarchique, sait que le pouvoir se renforce quand le peuple est silence.

La continuité d’un système laisse le risque grandissant qu’il revienne à sa source, l’oppression.

La Rome antique perdure et prendra un nouvel essor au 19e siècle dans lequel la France, et l’Europe se sont figées. 

Ainsi, les mots de Victor Hugo sont d’actualités à travers le monde : «Le peuple est un silence, je serai l’immense avocat de ce silence. Je parlerai pour les muets

Constater sans agir, discourir sans faire, c’est toujours donner du pouvoir à l’indifférence conduisant les dictatures vers leur ascension.

Où sont les avocats de paix, la voix dans les Assemblées désertées par la démocratie ?

Renaître, donner au jour cette chance qu’accorde la vie à chaque lever du soleil, l’homme ne peut la ternir, ni la prendre à autrui.

L’argent inventé interdit au jour de se lever. Il prend les rayons de lumière et les détourne vers ce qui n’existe pas.
L’argent permet les guerres, d’affamer des enfants, mais la paix, seul notre cœur le peut.

Souvent, les gens disent mais comment faire pour surmonter la dette, avoir une économie toujours plus riche, et les gouvernements montrent toujours du doigt les pauvres et ils les accusent. Les droits sociaux sont alors condamnés.

Mais, comment condamner celui qui ne possède rien de marchands, et d’innocenter celui qui possède tout ?
Comment veux-tu retirer à celui qui n’a aucun bien matériel si ce n’est lui retirer le droit de vivre. Si tu retires au riche l’argent, il lui reste la vie, mais si tu retires au pauvre le pain, il lui reste la mort.

Les gouvernements comprennent alors que la guerre est monnaie courante et qu’à chaque instant elle ôte la vie, et qu’il suffit de maintenir la pauvreté pour faire progresser la finance.

La guerre détruit, et les conquêtes ne creusent que les tombes. La paix, patiente, attend le nouveau jour, que l’homme comprenne ce qu’il a sous les yeux chaque matin.

Ce n’est pas le riche qui nourrit un enfant, c’est la terre, c’est celui qui la cultive, et pour bien le faire, il ne faut pas de l’argent, il faut du savoir.
Ce n’est pas mettre fin à l’argent qui écroulera le monde, c’est mettre fin au jour.

Le ministère de l’économie est celui de la pauvreté. L’État ne devrait être que le protecteur du droit de vivre. Un homme dirige toute une population, impacte des millions de vie. Le système  politique prend sa puissance par ce qui détruit.

Un président gère les intérêts de la finance, pas ceux du peuple.
Seul le jour peut éclairer chacun de manière équitable.


Pourquoi l’homme a-t-il eu besoin de créer autre chose que la vie qu’il possède ?

La désobéissance au gouvernement d’Emmanuel Macron devrait être le seul devoir, comme à la politique tout entière, dont le programme est toujours l’argent.

Appauvrir, priver de nourriture, faire que des enfants se couchent le ventre vide en vivant dans un pays riche, comment ces politiques pourraient-ils combattre la famine, la guerre de la faim menée par Israël contre les Gazaouis.

Comment les États-Unis pourraient-ils ne plus soutenir Israël, puisque la pauvreté, les fortes inégalités, discriminations érigent la puissance de gouvernements ? Comment Emmanuel Macron tiendrait-il ses promesses faites aux oligarques milliardaires si demain la pauvreté n’est plus ? 

L’administration servant uniquement à protéger l’État, que feraient les députés et sénateurs sans le privilège de l’argent ?  Pour un salaire, ils se plient, font des lois et des lois inapplicables, sauf celles des 40 réformes en 20 ans, brimant la justice et la liberté. Emmanuel Macron l’a bien compris, la liberté est l’ennemie.

Fédora Hélène

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Une réflexion sur “Petite chronique  – Emmanuel instaure la démocratie en peau de chagrin, un jour de plus

  1. Temporalités

    Je forme un vœu, éternel, que de ne jamais croire au gargarisme des promesses messianiques, en méthode d’usurpateurs.
    Là, où le diktat exerce une filature
    A brimer, puis enfermer les oiseaux lyres
    Basse besogne contre autres statures
    Au fichtre nom de déplorables diatribes.
    A se gorger des affriolantes parures
    Comme engeance sans contre-mesures
    Piètres sobriquets sans pause ni refuge
    Je m’éloigne de vos complaintes vermifuges.
    Ma mémoire n’y résistera qu’aux pensées des géants de sollicitudes…
    Chaque homme est seul et tous se fichent de tous et nos douleurs sont une île déserte – Daniel Cohen
    « … les adeptes du capitalisme sont le plus souvent indûment conservateurs, et rejettent les reformes de son fonctionnement technique qui pourraient en réalité le renforcer et le préserver, de peur que celles-ci ne se révèlent n’avoir été en réalité que les premiers pas conduisant à son abandon » Keynes [1926] 1931 : 294
    La moindre suggestion de réformes, y compris jusqu’à présent celles indispensables à la survie de l’espèce, est considérée par la finance comme une manière de se ranger aux côtés de révolutionnaires qui entendent changer le système au détriment de ses propres intérêts. La guerre encore et toujours seule solution envisagée pour les questions compliquées. Les hommes se sont toujours montrés incapables de tirer les leçons de l’histoire, nous rappelait Hegel dans son introduction à la philosophie de l’histoire : « On recommande aux rois, aux hommes d’État, aux peuples de s’instruire principalement par l’expérience de l’histoire. Mais l’expérience et l’histoire nous enseignent que les peuples et gouvernements n’ont jamais rien appris de l’histoire, qu’ils n’ont jamais agi suivant les maximes qu’on aurait pu en tirer » Hegel [1822-1823] 1965 : 35
    Nous avons été incapables, en des dizaines de milliers d’années, de nous débarrasser de la guerre. Quand nous échouons à parvenir à la solution d’un problème politique un tant soit peu compliqué, nous retombons toujours sur elle comme seule manière de résoudre les difficultés du moment. Nous excellons, en revanche à rebâtir sur les décombres fumants de nos dévastations. Hegel lui-même, il faut le souligner, considérait que la guerre jouait son rôle positif en tant qu’elle permettait de raviver à l’occasion l’esprit d’un peuple quand celui-ci s’étiolait.
    « Pour ne pas les laisser s’enraciner et se durcir dans cet isolement, donc pour ne pas laisser se désagréger le tout, et s’évaporer l’esprit, le gouvernement doit de temps en temps les ébranler dans leur intimité par la guerre ; par la guerre il doit déranger leur ordre qui se fait habituel, violer leur droit à l’indépendance, de même qu’aux individus, qui en s’enfonçant dans cet ordre se détachent de tout et aspirent à l’être pour-soi – et le clan – inviolable et à la sécurité de la personne, le gouvernement doit, dans ce travail imposer, donner à sentir leur maître, la mort » Hegel [1807] – 1941 : 23.
    Paul Jorion – Le dernier qui s’en va éteint la lumière.
    L’image starisée des politiques de vernis ne sera jamais le murmure autorisant les accords du chant entre le pauvre et le riche, le maître et l’esclave, l’ordonnateur et le serviteur. Le paradoxe culturel est la faillibilité de l’épreuve matérialiste. Et dans cette incompréhension généralisée l’antivirus de la philosophie politique a été érigé par les règles du corporatisme exacerbé, du productivisme endiablé, de l’identité de la coterie, du ségrégationnisme vénère, du nationalisme paroxystique de clans identitaires et groupes extrémistes.

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