Liberté en péril quand Emmanuel Macron trahit le peuple – L’extrême droite à l’assaut de la démocratie

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Pour la Liberté : Refuser l’autoritarisme et agir pour la Justice climatique et sociale

7 septembre, un appel est lancé par le Nouveau Front Populaire à toutes celles et ceux qui croient encore en la liberté, en la justice, et en la véritable démocratie. Cet engagement sans compromis pour la dignité humaine trouve son écho dans l’héritage de Nelson Mandela, figure emblématique de la lutte contre l’oppression. Mandela nous a montré que la liberté ne peut être négociée, tout comme les droits des plus vulnérables, notamment ceux des enfants pauvres, victimes d’une violence politique et économique systémique.

Aujourd’hui, la France se trouve à un carrefour critique, avec la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre, un symbole fort du glissement vers une politique qui trahit les valeurs républicaines. C’est un saut dans le vide qui menace de plonger notre société dans un autoritarisme dissimulé derrière des apparences démocratiques. Face à cette menace, il est plus crucial que jamais de refuser la montée des extrêmes droites, qui exploitent la peur et divisent les populations.

Mais cette lutte ne s’arrête pas aux portes de la politique intérieure. Le monde fait face à une crise climatique sans précédent, et il est de notre devoir de défendre une politique écologique courageuse, capable de répondre aux immenses défis qui nous attendent. Il est urgent d’agir pour la justice climatique, pour préserver le vivant, et pour assurer un avenir durable à nos enfants.

En ce jour de manifestation, il ne s’agit pas simplement de protester contre une nomination, mais de revendiquer des valeurs profondément humaines. Celles d’une société équitable, respectueuse de la nature, solidaire des plus fragiles. Nous devons bâtir un monde où l’avenir est fondé sur la justice, la paix, et la liberté pour tous.

Un moment sombre pour la démocratie française 

. Nomination de Michel Barnier et la colère suscitée

C’est un jour de tristesse pour la France, presque de colère à l’annonce de la nomination de Michel Barnier, qui attire à lui-même toute l’hypocrisie politique séculaire d’une extrême droite bourgeoise trahissant l’ambition d’une démocratie directe, pour une République d’avenir, capable de répondre aux défis immenses du changement climatique dans un contexte de crises globales et civilisationnelles.

Le Nouveau Front Populaire exprime dans un communiqué à l’annonce de la nomination de Michel Barnier, qu’Emmanuel Macron « a réaffirmé son mépris total à l’endroit de millions de Français qui se sont déplacés massivement aux urnes. Le Président a délibérément décidé de tourner le dos à la logique de nos institutions en refusant de nommer la coalition arrivée en tête. » 

Le communiqué rappelle que le NFP a «  affirmé sa volonté de rechercher des compromis. »

Les choix du Président de la République aggravent les ruptures, et le socialisme de ses rangs, de députés macronistes manipulant en proclamant « leur cœur de gauche », jouant les faux humanistes, rappelle la nécessité de sincérité pour bâtir des futurs prospères et en paix. La trahison est un fléau faisant des mensonges politiques un régime autoritaire par la manipulation séduisant un électorat par la tromperie.

Le régime instauré a été un capitalisme-soviétique par le pouvoir de l’oligarchie, de milliardaires, par l’abandon des perceptives humanistes, universalistes pour bâtir un monde juste, équitable, en alliance avec la nature.

La politique a exclu la nature, car elle a commencé par exclure l’humain, ne comprenant pas l’osmose entre l’un et l’autre, le vital de toucher la terre, autant que de respirer pour vivre.

Le Nouveau Front Populaire a la responsabilité de poser la première pierre d’une gauche forte et unie, de maintenir son objectif de protection de la nature en osmose avec les droits humains.

Sans cet engagement, beaucoup trop de larmes seront versées. Les régimes autoritaires paraissent lointains, mais reviennent comme un cheval lancé au galop surgissant de l’ombre. Celle omniprésente, ne laissant pas la lumière avancer seule. Le clair-obscur de la France se révèle à nouveau, l’extrême droite s’installe au gouvernement d’Emmanuel Macron.

L’urgence climatique face à une politique aveugle

. Focus sur les crises climatiques et leur accélération, et la nécessité d’agir face à l’inaction politique

C’est le visage de la Terre qui change, ce sont les océans qui ont besoin d’être préservé en urgence, c’est le vivant en détresse, qui appelle l’homme à honorer son devoir de protecteur. Ce sont des populations qui aujourd’hui subissent l’accélération du changement climatique. Ce sont les chaleurs extrêmes de l’été 2024, enregistrant des températures dépassant 50° C durant trois jours au mois de juillet, et rappelant que c’est la Terre entière qui est impactée, donc chacun d’entre nous. 

Il y a une Terre, une humanité, ce que les politiques happés par le pouvoir, l’autoritarisme ne perçoivent pas. L’obscurité ne permet pas de discerner la lumière quand elle se loge au cœur d’un système politique destructeur. Celui incarné par Michel Barnier. 

L’hypocrisie politique : entre trahison et manipulation

. Exploration de l’héritage politique depuis les années 80, entre chiraquisme, sarkozysme, et montée de l’extrême droite.

Michel Barnier, sa nomination montre du doigt la faiblesse d’Emmanuel Macron, toujours aux crochets de l’extrême droite considérée comme acceptable, se jouant des bruits de la cour, les bourgeois imitant la noblesse, et n’ayant que du mépris pour les « gens d’en bas », ainsi que Michel Barnier a nommé les classes moyennes, précaires, et les pauvres, lors de sa première allocution de Premier ministre. 

Michel Barnier, votant contre la dépénalisation de l’homosexualité en 1981. Il avait 30 ans ! Son choix, respecte-t-il les valeurs humanistes, le respect des droits humains ?  En 2024, sans aucune légitimité, après plus de 40 ans de réseaux d’intérêts, il s’impose par cette ligne politique de l’intolérance, sans respect véritable de la démocratie, de l’égalité de genre, des droits LGBT+. 

LR, l’échec de la réactionnaire milliardaire, Valérie Pécresse, aux présidentielles et nullement en tête aux élections législatives, la nomination de Michel Barnier, est un acte politique inique. 

Emmanuel Macron accrédite par son choix d’un Premier ministre LR, les propos de Gérard Larcher, lors de la rentrée politique de la droite sous les pommiers dans un manoir en Normandie, disant devant ses troupes, que Macron leur était redevable, car ils avaient sauvé la république monarchique, lors du mouvement des Gilets jaunes. La violence policière inouïe, des manifestants grièvement blessés, mutilés, éborgnés, dans l’indifférence des rangs de droite, des donneurs d’ordre, de l’extrême droite accusant 40 ans d’entrisme, à la source RPR, dont LR est la conséquence.

Édouard Philippe déplie également son hypocrisie et félicite cette nomination, quand derrière le rideau des cabales, il se couronnait en futur roi aux trahisons. Lui annonçant sa candidature pour 2027, et attendant comme le renard, le fromage alléchant d’une présidentielle anticipée, qui aujourd’hui, laisserait place aux manipulations sans limite des extrêmes droites accédant au pouvoir par Emmanuel Macron. 

En 2024, l’extrême droite a fait un bond de 10 % de progression aux élections, la politique gouvernementale affaiblissant les droits sociaux, et donc humains, ne pouvait que laisser entrer, comme aujourd’hui, de manière grave, l’emprise d’une droite toxique et illégitime. 

Gabriel Attal félicite également la mascarade, Michel Barnier. La politique perd encore une fois sa dignité, et aux détours des mots courtois adressés à Michel Barnier, l’on trouve ceux de Ursula von der Layer qui regarde le fascisme grandir en Europe en se parant de discours sans valeur concrète, efficace pour protéger la liberté, qui est le fondamental de l’humanité. 

C’est également l’intervention d’Aurore Bergé sur France Inter, assurant que Michel Barnier n’est pas lepéniste, comme Jérôme Peyrat des réseaux chiraquiens affirme son éloignement avec l’extrême droite ! Aurore Bergé aurait-elle du mal à assumer qu’elle représente la nouvelle vague d’extrême droite ? Et, elle affirme ce qu’elle semble ignorer :  tout du vécu de ceux depuis plus de 40 ans dans des réseaux politiques courtisant l’extrême droite. Les grossières manipulations cachant la réalité politique, les mensonges bernant la population, qui n’est pas dupe ! 

Du chiraquisme au sarkozysme – une France bloquée ! L’entrisme de l’extrême droite depuis les années 80. Les pions chiraquiens peuvent difficilement oublier ! 

La dissolution programmée, calculée au cœur des trahisons

Ils attendaient tous avec impatience la dissolution tardant, quand en juillet 2023, Christelle Dubos, pion marcroniste en son temps, flattant Edouard Philippe et Macron, se vantait des investitures et se rêvait députée Horizons ! Les arrivistes de l’archaïque droite, guettent celui se rapprochant du pouvoir pour 2027. 

La droite sort des placards pour féliciter l’extrême droite Michel Barnier, comme les millionnaires du gouvernement s’y plient. Bien évidemment, on ne pouvait pas rater : Rachida Dati postant son message de circonstance sur X, loin de la réalité politique. Elle, qui ne serait pas en politique sans Sarkozy, et qui cultive son arrivisme voulant devenir la future maire de Paris. Lucie Castets ne pouvait pas être nommée, Première ministre, face aux turpitudes indignes, séduisant la droite, et tournant autour de Sarkozy, qui sans Pasqua serait toujours maire de Neuilly. 

La droite, une bourgeoisie suffisante que courtise Macron, dans sa culture politique, quand se fait l’ombre du giscardisme, et qu’il ne pouvait alors que citer Pétain.  L’empreinte de l’histoire de France et de ses heures sombres, les corruptions, et secrets, la réalité de la « mafia » politique cachée au peuple, la bourgeoisie droitière faisant de Papon, un ministre sous Giscard ! 

Qui aurait dit alors que l’extrême droite logeait rue du giscardisme ? Le néocolonialiste, l’époque du tout permis, de l’argent roi, les politiques figeant la société dans un ordre hiérarchique classant les citoyens en « gens d’en haut », et « gens d’en bas », pour reprendre l’expression sectaire de Michel Barnier, un système garantissant les privilèges à la noblesse, les faux prophètes républicains, au sang des injustices. 

Emmanuel Macron se trompe de temps et conjugue au passé

Le monde traverse une transformation profonde, et pourtant, l’archaïsme politique de la France continue de creuser le fossé menant à sa chute. Tandis que les crises s’accumulent, les vieilles structures de pouvoir restent figées dans des schémas dépassés. Il est aujourd’hui crucial de bâtir une résilience collective capable de répondre aux défis contemporains. Ce n’est qu’en adoptant des politiques progressistes, tournées vers la justice sociale et écologique, que la France pourra éviter le déclin et s’inscrire dans un avenir plus durable et équitable.

Les victimes silencieuses : les pauvres et les oubliés de la République

Un changement global s’opère et bouleverse notre monde, traversant les crises humanitaires, les conflits armés, et la détresse des populations vulnérables. À l’heure actuelle, 55 conflits ravagent la planète, laissant des cicatrices profondes, notamment sur les enfants de Gaza, victimes des violences incessantes. La guerre au Soudan, au Congo et en Ukraine ajoute à cette liste sombre de tragédies qui interpellent notre conscience collective. Ces drames appellent à une prise de conscience urgente et à un engagement résolu pour la paix, la justice, et la solidarité internationale.

Il est impératif de se convaincre de la nécessité de la paix, car elle sauve des vies. Une vérité simple, mais oubliée par les nations jouissant d’une richesse excessive. Pendant que leurs élites politiques, souvent issues de la bourgeoisie, vivent dans le luxe et l’opulence, elles imposent, avec mépris et indifférence, une pauvreté froide et déshumanisante aux familles vulnérables et à leurs enfants. Cette déconnexion entre les privilégiés et les souffrants renforce les inégalités et entretient des systèmes injustes qui nient la dignité humaine.

En France, aujourd’hui, des enfants dorment dans la rue. Des jeunes et des femmes subissent l’extrême pauvreté, et décident de sortir du système, disparaissent des statistiques. Ils sont effacés, la matrice ne les enregistre plus. 

Ils font le choix de ne pas se signaler auprès du Samu social. Ce qui signifie une souffrance profonde. Il s’agit pour eux de garder ainsi un dernier espace de liberté. Des citoyens vivent une perte de confiance en les institutions, et résistent par cet anonymat absolu dans l’espoir de s’en sortir. Ce sont des lycéens sans domicile, des mineurs isolés, n’ayant que la rue pour secours. 

Les regards discriminants qui se posent sur eux, la peine qu’ils dépassent chaque jour, cette force de l’espérance. 

Aujourd’hui, la nature en détresse et les plus vulnérables, toujours plus éprouvés, ont besoin que le peuple se lève pour la paix. Emmanuel Macron ne se grandit pas en nommant Michel Barnier. Les conséquences d’une politique déconnectée des réalités actuelles affectent la vie elle-même : une vie dont le sens et la valeur sont trop souvent oubliés. Il est temps de prendre soin de la vie, de notre planète, de notre humanité. Prendre soin de la paix, de la liberté, et de millions d’enfants dans le monde, y compris en France, qui subissent une violence politique et économique extrême.

Réflexion sur les enfants, les précaires et les invisibles, exclus du débat politique et laissés dans l’ombre.

Il faut commencer par parler des plus fragiles, et non des politiques, de leurs manipulations, à la fête de la médiocrité qui se déroule actuellement à l’Élysée, car ce sont les pauvres qui ont de l’or dans les mains, qui ont la capacité de renverser les injustes pour établir un mouvement de paix. 

Les pauvres humiliés, leurs rêves et projets dévalorisés, leur liberté blessée, connaissent la valeur de la vie, ce que devient une société préférant le fascisme séduisant, exploitant sans limite les ressources naturelles et l’humain. Ils connaissent le bonheur précieux de respirer, d’aimer les choses simples et vraies, et de faire de la Déclaration universelle des droits humains, une réalité. Depuis sa création, les politiques l’ont confinée dans l’utopie, quand les humanitaires, les artisans de paix, ceux engagés posent une à une les pierres de sa construction, son édifice, socle de la dignité humaine. 

Le pouvoir politique, loin de réaliser les promesses de dignité humaine et d’égalité, les trahit souvent en les conférant à une élite. Il est d’appeler à une prise de conscience collective et à une remise en cause des priorités actuelles. 

Quand la science progresse, mais que la politique régresse

Analyse du décalage entre le progrès scientifique et l’immobilisme politique, notamment sur les enjeux écologiques.

Il est une chose importante que les systèmes politiques, en particulier ceux influencés par des idéologies autoritaires et réactionnaires, n’analysent pas, c’est la progression vertigineuse de la science et de la technologie en l’espace de 50 ans, et le retard considérable qu’accuse la vision politique, la conception d’opportunité. La politique observée par Emmanuel Macron semble incapable de suivre le rythme. Il y a une urgence à aligner les visions politiques avec les défis et les opportunités actuels, notamment en matière de justice climatique, de durabilité, et des droits humains. 

Le progrès scientifique a émergé dans une société qui l’ignore souvent, confrontée brusquement à une technologie en rupture avec des mécanismes ancestraux. Cela a créé un important décalage entre les découvertes scientifiques et l’évolution globale de la société, une situation qui persiste, exacerbée par la droite conservatrice aux valeurs patriarcales. Le progrès, autrefois synonyme de développement humain, a pris un sens purement commercial, orienté vers la production industrielle dans un but de profits et de rentabilité, au service d’une minorité. Ce modèle trompe l’idée même de progrès, qui aurait dû être d’utiliser nos connaissances pour concevoir une industrie respectueuse de la nature et de l’humain, et capable d’éviter le changement climatique en adoptant une économie saine, fondée sur le partage.

Les marchands s’enrichissent de la misère du monde et les politiciens s’enrichissent de l’ignorance qu’ils imposent. 

Le progrès scientifique a été compris comme une manne financière, la possibilité de profits exceptionnels. Il est devenu de l’or pour l’industrie et non pour l’humanité. Un drame, car l’humain et la nature ont été exclus pour satisfaire une minorité dans les sphères du pouvoir. 

Un appel à l’action : choisir la liberté et la paix

La démocratie est manipulée et trahie bien au-delà de la France, et si les américains sont désespérés et votent Trump, les conséquences seront lourdes pour la France ayant dangereusement hissé les extrêmes droites. 

Le peuple a un choix à faire : avoir confiance en la liberté et la choisir avec ardeur, massivement ! Défendre la liberté, lutter pour elle, c’est cueillir ses fruits, demain. L’abondance doit être pour l’humanité en alliance avec la nature. C’est bâtir un futur porteur de prospérité : enrichir le cœur de l’humanité, faire vivre l’universalité. 

Les politiques doivent œuvrer pour l’équilibre entre le bien commun à l’humanité, être citoyen du monde, et préserver la richesse culturelle de chaque pays, sa langue, sa culture, ses arts. Le mondialisme solidaire, bâtir la confiance, le partage des connaissances, aligner le mouvement politique sur celui de la paix.

Le militarisme, c’est s’armer contre l’autre qui représente une potentielle menace, car les sociétés fonctionnent en opposition, selon les guerres de la Rome antique. Nos systèmes ont adopté une richesse par la possession de territoires par la guerre, l’assimilation de populations, l’anéantissement de cultures étrangères à Rome.  

Nous devons entrer dans une nouvelle ère qui fera de la confiance le dialogue prioritaire, de la fraternité, le but recherché. 

L’oppression, la répression, le sécuritaire, la haine envers les migrants, la division des populations par l’arme de la pauvreté, tout ce qui rassemble Michel Barnier, Macron et les extrêmes droites, ne doit plus avoir cours, maintenir une emprise.  

La politique de Macron est passéiste. Le capitalisme s’inscrit dans un système qui a créé l’esclavagisme, le colonialisme, l’appauvrissement de populations, la violence politique, capable du pire.

Choisir la liberté et sa paix, c’est le choix de vivre ! Le 7 septembre, fait de ce jour, un grand jour ! 

 La France mérite un avenir radieux, loin du fascisme et de l’illégitimité de Michel Barnier. Le 7 septembre, la liberté nous appelle ! Manifestez, indignez-vous ! C’est le peuple, et en particulier les plus vulnérables, qui détient la véritable richesse, jamais un pouvoir oppresseur ni l’autoritarisme. La France a besoin d’un nouveau souffle, libérateur, pour sortir de plus de 40 ans de corruption.

Se rassembler dans la rue est crucial, car ce n’est pas l’indifférence d’Emmanuel Macron qui compte, mais bien la mobilisation pour la paix, pour une société nouvelle, et pour les droits humains pour tous. Emmanuel Macron est l’avatar d’une droite réactionnaire. La gauche doit s’unir de manière sérieuse pour libérer la France de l’emprise d’un fascisme naissant.

Fédora Hélène

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