Les puissants ne gouvernent pas pour la paix, mais pour le pouvoir. La rhétorique guerrière, omniprésente dans ses discours, prépare une autre guerre : mentale, sociétale, une emprise totale. L’humain, enfermé dans une matrice économique et virtuelle qu’il a contribué à créer, subit des conséquences bien réelles : pauvreté, précarité, déshumanisation.
Menace sur la paix : le pouvoir politique face à la dérive dystopique
Le récent match France-Israël, disputé dans un Stade de France presque vide, a mis en lumière un profond décalage entre le peuple et ses représentants. Alors que seulement 15 000 spectateurs étaient présents, les tribunes présidentielles, elles, affichaient complet, rassemblant les figures politiques en quête de visibilité. Ce contraste saisissant illustre une fracture grandissante entre un pouvoir politique enfermé dans ses propres cercles et un peuple exprimant son mécontentement par l’absence.
Ce boycott populaire traduit un rejet symbolique face à des décisions politiques et diplomatiques perçues comme déconnectées de la situation catastrophique en Palestine, des préoccupations réelles des citoyens. En choisissant de ne pas remplir les gradins, les Français ont manifesté leur désapprobation d’une scène qui semblait davantage servir des intérêts politiques que le sport lui-même.
Le stade vide est devenu une métaphore : celle d’un pouvoir de plus en plus isolé, incarnant non plus l’unité et la représentation du peuple, mais un chaos institutionnel et une distance croissante avec les réalités du pays.
Quelques jours avant le match, un chirurgien britannique rentrant de Gaza a témoigné submergé par la peine devant le Parlement britannique. Il a confirmé les déclarations de l’ONU, par ce qu’il a constaté, par le témoignage d’enfants grièvement blessés par une attaque de drones les ciblant. Chaque jour des drones ciblent des enfants palestiniens et tirent sur les petits corps fragiles. C’est profondément inhumain, et de tels actes d’une violence inouïe blessent toute l’humanité.
Les politiques présents lors du match ont revêtu leurs beaux costumes qui n’ont été que le reflet d’un monde politique cultivant ce qui détruit en se revêtant de prestige, d’apparence et de titres. Ils sont à l’absurde, fabriquent un monde sans empathie, à l’ignorance des souffrances, ne versant pas une larme pour les enfants de Palestine.
Les politiques, hommes puissants, n’ont représenté que leur indignité face à un stade pratiquement vide en soutien avec la Palestine et les drapeaux en résistance se levant depuis quelques gradins.
Cette situation illustre bien la déconnexion d’une élite politique qui n’a jamais affronté de tels drames dévastant Gaza et qui manque d’empathie envers des souffrances.
Un 14 novembre triste et quelques supporters israéliens auraient frappés des supporters français.
La liberté en souffrance – La politique française au conservatisme autoritaire, obsolète signe sa propre faillite
Bruno Retailleau qui est l’antithèse de la liberté est ministre de l’Interieur sans que cela pose le moindre problème de conscience à Emmanuel Macron, à Aurore Bergé, au décideurs et donneurs d’ordres dans la gendarmerie et la police, avec le syndicat alliance, aux extrêmes droites, qui se parfaire dans cette définition tragique de la démocratie.
La France glisse lentement vers le fascisme avec satisfaction et silence. L’argent a déjà pris le pas sur les valeurs humaines, la conscience de la vie n’est plus un idéal, et on préfère les taxes, dettes, mensonges, réthorique de l’extrême droite catholique dans un pays pseudo laïque. Une laïcité toxique et hypocrite, intolérante, penchant à l’extrême droite catholique pour combler une bourgeoisie dominante, se voulant aristocratique, les citoyens privilégiés s’enrichissant par le maillage des corruptions.
Les systèmes bancaires destructeurs et Bruno le Maire n’a pas à rembourser tous les salaires qu’il a indûment perçus en ministre de l’économie des milliardaires, oligarques, obéissant aux lois humaines créant la pauvreté, une crise humanitaire. Planqué en Suisse, il ne pouvait comme certains allés en Russie flatter Poutine et gagner d’un coup beaucoup plus. Durant des années la cupidité leur a fait adorer Poutine, maintenant ils se tourneront vers Trump en l’appelant Messire pour favoriser les taxes aux marchands de tonneaux.
Le luxe français, Brigitte Macron se mettra en haute couture en copie d’ Anne-Aymone Giscard, mais sans être une femme d’affaire, mais juste dépendante de réseaux d’intérêts en copinant avec Mimi Marchand pour réel niveau de la pseudo élite latiniste sulfureuse, entre snobisme, codes et normes, apparences et titres, les Macron cochent les cases.
On avait Carla Bruni pour fausse note et Suisse pour décor à l’Elysée, le sarkosisme ne lâche pas la rampe, leurs réseaux au pouvoir tant Macron est incapable d’être un homme libre. Le courage de gouverner est plus confortable à l’abri du système sans fin, de la perversité, du mensonge et de l’omerta. Des journalistes du sérail dînent dans de chics brasseries parisiennes organisant les réceptions mondaines entre propagande et barbouzes, cigares et whisky, oligarques, monde de la culture au pouvoir aristocratique et articles s’écrivant à l’encre des corruptions.
L’idéal bourgeois, le confort fasciste, les belles tables fortunées, les ministres la serviette au cou goûtant les meilleurs vins, servis en marquis, sénateurs, députés, on pique-nique au champagne, on s’endimanche, on parle hautain, il est nécessaire que l’argent sonne entre les mots, la pause et le sourire faux. Ainsi va les cercles aux inventions de pouvoir, le prix de la laïcité à Sophia Aram, elle a été si servile pour le pouvoir.
Ils s’autoproclament dans leur entre-soi, France Inter, la bourgeoisie bien pensante et vieillissante gardant en parade le rouge-brun. La génération qui n’a jamais affronté les épreuves déchirantes de la guerre, de crises humanitaires, ceux n’ayant jamais eu faim et qui soutiennent Netanyahu dans leur ambiguïté.
Le microcosme parisien, la gauche caviar en faux prophètes humanistes et la droite archaïque se donnent la main plongeant dans le même pot de confiture. Une architecture assez pratique pour les barbouzes trainant dans les médias, leur répertoire téléphonique navigue de l’un à l’autre.
Ainsi, les socialistes s’accordent à droite côté portefeuille, côtoient les mêmes restaurants chics en QG, entre riches, publicitaires en conseillers politiques, magouilles au rond point des Champs-Élysées. Paris triste, en ville touristique, perd de son âme à subir des décennies de mensonges politiques, les corruptions à haut niveau d’un microcosme cultivant la culture du viol en droit monarchique, le show-business en profite si bien, et les médias ont depuis si longtemps oublié la liberté.
La Palestine peut être en souffrance, la rentabilité des guerres est préférable aux larmes. La pseudo élite suffisante a choisi de soutenir Netanyahu, un génocide n’est pas un problème pour eux, ni le sang qui tâche leurs mains. C’est le privilège des rois, la conscience n’existe pas. Ni le bien, ni le mal, que le pouvoir et détruire en fait partie. Vive le roi et l’humanité devient absurde, sans sens, sans existence, mais l’Élysée continue, une matrice l’État et son panache de fonctionnaires appliquant point par point jusqu’à la fin, le dernier fil, la dernière aiguille, n’importe quel ordre politique faisant de l’humain, l’objet.
Les tyrans modernes et le sadisme des faibles à qui ils donnent un pouvoir et le politique possède son œuvre.
La France archaïque, très conservatrice, fabrique de prédateurs, où la femme est dépossédée de son corps, de son esprit, ne reçoit aucune considération, sauf quand elles acceptent le jeu. Dans les cercles de pouvoir, très peu d’entre-elles se sont réellement battues pour mettre fin aux violences sexuelles et sexistes, aux violences conjugales. La majorité est complice d’agresseurs, de manipulateurs. La violence inouïe de la politique actuelle se rappelle que c’est cet ordre des choses qui résume les heures de gloire.
De Gaulle, l’idolâtrie des extrêmes droites, et une Vème République monarchique qui arrange tout le monde, elle permet toutes les corruptions en col blanc et aristocratique. Papon, ministre de Giscard. Le fascisme est à l’Elysée depuis bien longtemps. Les « gens d’en haut » et les « gens d’en bas », selon le premier ministre de Macron célébrant la démocratie en deuil. La conception de la société pensée par les types cloîtrés dans les placards à balais du pouvoir de décennie en décennie. La stupidité donne en politique les meilleurs places. Pire ils sont, mieux ils persistent dans ce milieu prédateur.
La guerre flatte le pouvoir – Priorité absolue : préserver la paix dans un monde en danger
La France devient une province d’une Europe sous la tutelle des États-Unis en préparant la guerre avec le pire capitaine conduisant le navire. Les millions de pauvres en multiplication, le seul événement politique que Macron ait réalisé.
Il a su également tenir la promotion LR, et son choix, Jérôme Peyrat en conseiller – pourrait-on dire par ironie en violences conjugales – pendant que Macron nommait la cause nationale pour la lutte contre les violences faites aux femmes. Les réseaux de droite à l’entrisme de l’extrême droite.
Le visage sombre de la politique : quand détruire devient une démonstration de puissance
Les barbouzes dans le système, ils ne peuvent que compter parmi les amis de moralisateurs autoproclamés en manipulateurs habiles, courtisant les foules droitières, la manif pour tous et leur sectarisme pour se faire élire. Les manipulations avec la religion catholique, l’emprise et les pauvres seront toujours les derniers. L’abbé Pierre a été ce brillant manipulateur usant de la grande vulnérabilité de population à cause du nationalisme gaulliste laissant des bidonvilles aux portes de Paris jusqu’en 1970. L’abbé Pierre prédateur et l’omerta, les hommes de pouvoir vendant le mensonge, abattent la vérité, coulent la sincérité, et ne deviennent que des imposteurs.
La politique n’est pas la paix, la compassion, les valeurs humanistes, le respect de l’humain. Le patriarcat y domine, la misogynie, et ils ne servent que leurs intérêts en rivalité, attisant la haine, une vision obscure du monde où il est nécessaire d’être un oppresseur. La politique détruit.
Le gouffre LR et leurs turpitudes, l’UMP et sa honte infinie, qu’ils représentent avec l’entrisme lepeniste.
Comment Emmanuel Macron qualifierait ces faits de violences conjugales :
Un homme des cercles politiques, est ce tyran domestique qui attaque une mère devant ses enfants en la menaçant avec un couteau, le pointant vers elle, avançant, et lui disant : « je vais te tuer », avec un regard exprimant la mort, une rage, une haine terrible. Fait dit devant la police, le procureur d’alors informé, et aucune plainte prise.
ONU Femme France rappelle que les violences conjugales ont augmenté de 10 % entre 2022 et 2023.
Le patriarcat oublie que les violences conjugales et sexuelles sont des crimes. Il est juste de le rappeler aux quelques politiciens « amis » avec un prédateur, barbouze, escroc et faussaire notoire.
Ce qui sauve la vie, c’est l’amour, la paix, c’est la sincérité de vivre – Jérôme Peyrat, des cercles du RPR à LR, en passant par Emmanuel Macron, condamné pour violences conjugales, se souviendra de Périgueux en Dordogne et des violences conjugales inouïes commises par un de ses contacts. Il se souviendra que la vie, c’est l’eau d’une rivière, pas la politique en manipulation sans aucun respect de l’humain. C’est une mère et ses enfants que la conscience demande de protéger et non le prédateur.
Comment le pouvoir pourrait-il être le protecteur des droits humains fondamentaux, respecter les Conventions internationales pour les droits des femmes, le droit international humanitaire qui condamne fermement les violences conjugales et sexuelles, s’il côtoie des prédateurs ? Un système destructeur ne peut arrêter ce qu’il génère.
La perversité narcissique et l’omerta ne peuvent être les conducteurs de nos sociétés. La justice se nourrit de l’esprit de la paix et aujourd’hui elle se confronte constamment à l’antithèse de la valeur de liberté portant la conscience de la vie. Nous avons besoin d’un renouvellement de la classe politique, d’une renaissance par le fondamental de l’existence, un bien commun : l’esprit.
La capacité de créer des futurs prospères par les valeurs humaines est en chacun de nous. La politique actuelle ne sera pas porteuse d’un avenir serein au niveau national et international. L’élan de la liberté, d’actes innovants, concrets dessineront la chance de fonder un monde plus juste, où existe réellement l’égalité de genre, où se réalise l’objectif des Nations Unies : zéro violence faite aux femmes et zéro tolérance pour les agresseurs. ODD5
Priorité absolue : préserver la paix dans un monde en danger
La politique n’est pas la paix, mais le pouvoir. Elle sera la paix par ceux donnant leur vie à la liberté, pour préserver sa dimension première, la vie.
La paix doit être l’objectif prioritaire dans une volonté d’universalisme et les voix du peuple doivent s’élever contre les puissants en tyrans modernes accrochés à leur folie inventant l’espace du néant, l’amour fuyant et disparaissant.
La valeur de la vie est abandonnée en France, l’argent a bien plus de valeur en politique. Les barbouzes, escrocs politiques, prédateurs et manipulateurs en tout genre ont encore de beaux jours devant eux dans une France au fascisme latent qui ne souhaite pas être dérangée dans sa richesse aux ventes d’armes, en deuxième puissance mondiale, plus il y a de conflits armés, plus elle gagne.
La paix en ruine , la guerre en rentabilité, mais sans aucun doute les tyrans modernes seront aux premiers rangs des messes de Noël, tous plus hypocrites les uns que les autres et se disant que c’est quand même facile de manipuler toute une population en glissant pour stratégie de communication : immigration, argent, patriarcat, racisme, discriminations, Français de souche, sécuritaire, misogynie, culture des violences conjugales et sexuelles, humilier les pauvres et le nom premier : guerre. Les publicitaires placent ces mots clés dans les discours et slogans et le tour est joué, des citoyens votent sans réfléchir, le machisme en vedette.
À l’aube de 2027, la grande parade des escrocs politiques se met en scène, tandis que la propagande donne l’extrême droite gagnante. Pourquoi dépenser des millions dans une campagne présidentielle, quand il suffit de s’appuyer sur la volonté de Macron de prolonger son règne oppresseur ? Une majorité de Français, désormais apathiques, a déjà accepté l’autoritarisme comme un fait accompli.
Les partis de gauche ont déçu, le NFP n’a plus véritablement de sens, ni d’entente. Soit le peuple se relève et se libère des partis jouant leurs propres intérêts, ou la France coule dans le fascisme, les citoyens pensant que cela ne change rien à leur quotidien, que le bien-être humain et l’environnement ne sont que des choses secondaires. L’industrie en âge d’or détruisant chaque jour un peu plus la nature et la liberté. Le capitalisme vertigineux sans limite où seul l’argent a une valeur. Peu importe les crises humanitaires créées par l’homme, du moment que les banques s’enrichissent.
La bourgeoisie a déjà fait son choix, ce sera un monde dystopique, l’esclavagisme moderne renforcé au profit des riches et très riches. L’économie de guerre morbide est lancée et Bruno le Maire fait fortune en Suisse, comme le meilleur ami de Macron, son témoin de mariage, Marc Ferracci et l’économie en système destructeur au snobisme de ces hommes qui n’ont jamais lutté pour la liberté, qui ont toujours été à la paresse de l’argent, des réseaux, qui n’ont pas affronté la réalité de leur autoritarisme. Ils parlent de guerre, mais ils ignorent ce que signifie un territoire en guerre, survivre sous des bombardements intensifs comme en Palestine et au Liban. Ce sont ces hommes jamais adultes, jamais responsables et vivant par leurs privilèges dorés, en étant protégés par le système et jamais face aux conséquences de leurs actes.
Il serait d’appeler ces hommes et femmes politiques à se faire l’ami et non l’ennemi du peuple, des plus fragiles.
Le pouvoir ouvrier, celui qui connaît la réalité d’une politique appliquée par l’ignorance des puissants, est un espoir d’opposition forte et sincère pour défendre les droits humains fondamentaux, revenir à la solidarité, à ce qui est juste. Les hommes et les femmes de combats pour le droit de vivre et non de survivre.
La révolte des justes est attendue par l’appel de la paix, la résistance.
Emmanuel Macron « reprendre le contrôle » de l’Europe, un projet « ambitieux » dit-il .
Créer l’Europe fédérale, possédant une armée européenne indépendante, c’est à dire fonder un empire européen en troisième bloc international face à deux puissances constituées en empire, puisque la politique est en premier géopolitique, c’est à dire face aux États-Unis et à la Russie, peut être souhaitable et dans une perspective de quitter l’OTAN, mais Macron parle en tant que président de la France, ce qui ne représente pas un pouvoir face à Trump et Poutine à la tête d’un empire. D’ailleurs, l’Europe ne compte pas dans leurs paramètres décisionnels.
Et, le problème de Macron, c’est qu’il forme sa propre antithèse, ce qui conduit invariablement à penser qu’il sert l’ambiguïté, une manipulation par le discours se différenciant de ses actions politiques.
Soit Macron est influençable, une victime de son environnement politique proche, soit il est un rouage d’un système obsolète, injuste et dangereux pour la démocratie si on la comprend comme protectrice de la liberté. Sauf qu’elle est un instrument politique, et pas la réalité de la liberté.
La politique, théâtre du pouvoir : vers un futur sans paix ?
2027 est à deux pas et pour le moment ce qui progresse c’est le fascisme, et non une Europe progressiste avec les bonnes intentions humanistes ayant la volonté de réaliser les droits humains, la Déclaration universelle des droits de l’homme, en alliance avec la protection de la nature.
Bouleverser l’économie, Macron n’est pas cet homme libre et créatif, et il reste dans l’étau d’un capitalisme sans limite et dévastateur. Il développe une bipolarité, comme Trump et Elon Musk, axant leur volonté de contrôler les nouvelles technologies, en devenir les maîtres au niveau mondial, et dans le même temps, ils cultivent une régression majeure de la société en termes de droits humains, des droits des femmes et de préservation de la biodiversité, de l’océan, lequel est le défi essentiel du 21e siècle.
Macron ne tient pas la solution, ni la mise en œuvre de son discours au Sommet de la communauté politique européenne. Sa métaphore de l’herbivore et du carnivore, une bipolarité du monde, qui n’est pas naturelle, un système dominant et dominé, quand la réconciliation définit le corps de l’humanité qui ne peut être divisé, ce qu’il semble proclamer, alors que sa politique divise le monde en riches et pauvres, qu’il est un acteur de pouvoir et non de paix, qu’il plonge 11 millions de personnes dans la pauvreté en France, qu’il manipule la dette, qui est un artifice bancaire utilisé en politique pour brimer le peuple. La population devient redevable à l’État, doit rembourser la matrice, qui impose ainsi l’absolutisme économique.
C’est l’absurde, la prospérité virtuelle, et l’économie de guerre s’inscrit dans un mental de guerre, qui aujourd’hui terrasse des populations vulnérables.
Les métaphores utilisées par Emmanuel Macron sont-elles puisées dans le haut perché de ces hommes qui s’ennuient, au snobisme du verbe, dans la volonté d’ignorer les plus vulnérables qui affrontent la réalité de l’économie de guerre qui commence par une emprise mentale traumatisante. Les manipulations métaphoriques quand dans les milieux politiques naviguent des hommes d’une violence inouïe passant du subjonctif de l’imparfait aux actes les plus bas, au langage de voyou.
Le problème est un système prédateur qui persiste au niveau international, y compris en Europe, où la majorité des politiques sont les « carnivores ». C’est la valeur de pouvoir en système d’inversion que comprend la politique.
L’humain posséde la capacité d’être le protecteur de la vie, c’est le pouvoir acquis par le savoir et la conscience. Mais la politique en continuité depuis l’antiquité se positionne dans un mental provoquant l’instable, celui qui possède la capacité de détruire.
La pauvreté, une arme politique
Au lieu de s’occuper de Trump, qu’on regarde en face la corruption en France, où le système politique destructeur a créé une crise humanitaire, une aggravation des conditions de vie des plus vulnérables, plus d’un million de mères isolées sous le seuil de pauvreté, des enfants traumatisés par la pauvreté, plus de 11 millions de pauvres dans le pays des milliardaires et millionnaires par la perversité du système.
En France, la démocratie est conditionnée par des lobbies. La Franc-maçonnerie en est un exemple. Difficile d’être élu Président sans être franc-maçon. Le lobbie de l’Ena, HEC, Sc-Po rattachés eux-mêmes à d’autres cercles de pouvoir interagissant entre eux. Le même principe se retrouve dans les réseaux judiciaires, agissant pour les intérêts de différents lobbies, dont la politique. La Franc-maçonnerie est un vecteur puissant puisqu’on le retrouve en point commun entre différents cercles.
Le pouvoir attire les pires, jamais les meilleurs. Quand on connaît le sens de la vie, de la liberté, on ne devient prisonnier d’un pouvoir où règne le mensonge. La lumière de la vie suffit pour vivre et nul besoin de l’artifice de l’obscurantisme politique pour exister.
Un artifice qui rapporte beaucoup d’argent. Les escrocs politiques font légion, et plus ils manipulent l’art du mensonge, des trahisons, plus ils sont violents, plus ils brillent en politique et dans les réseaux de pouvoir.
Lors des États généraux de la justice, une magistrate a fait le constat qu’en plus de 20 ans aucune réforme de la justice n’a fonctionné. Elles ne le peuvent puisque le noyau est le pouvoir et non la paix.
Les jeux entre francs-maçons et diffirents lobbies, le carriérisme, ce qui est nommée les « corruptions », « méthodes de barbouzes », le système fonctionne par l’opacité, les influences, un système de chantage où ils se tiennent les uns et les autres en étant très individualistes et non solidaires. Ils ne protègent qu’eux-mêmes en protégeant les turpitudes et corruptions des milieux de pouvoir totalement dépendants de la politique.
Un pays sans justice est un pays sans paix. Il y a beaucoup de souffrance en France. Et, le gouvernement actuel, c’est l’extrême droite sans avoir été élue. 14% au 1er tour des législatives, et Macron en fait la 1 ère puissance du pays ! Le dictateur de base, pas besoin de le chercher ailleurs, il est bien logé en France.
La seule chose que regarde la majorité, c’est l’argent à faire avec le système, peu importe que des vies soient détruites. C’est le pouvoir et non la paix qui domine, fait de l’humanité une absurdité, du monde lui-même un caillou perdu dans l’univers.
Macron sera le 1er à négocier des accords économiques avec Trump pour le plaisir de l’argent, pendant que le taux de pauvreté va augmenter, que le fascisme sera la règle. Un pays très conservateur, car c’est le système qui tient les corruptions. Les lois sécuritaires et immigration, c’est leur cinéma qui maintient la masse des électeurs des extrêmes droites.
Priorité à la paix : un appel aux peuples face à la dérive du pouvoir
Le Commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, a adressé à l’Assemblée générale des Nations Unies un message tragique sur la situation catastrophique à Gaza, l’obstruction de l’aide humanitaire et les attaques visant l’UNRWA. Il a déclaré « Une année du bombardement le plus intense d’une population civile depuis la Seconde Guerre mondiale et la grave restriction de l’aide humanitaire ont transformé Gaza en une horreur dystopique ».
Un monde forgé par la guerre, ce mot si cher aux discours de Macron, prépare la guerre mentale, l’emprise, l’humain enfermé dans la matrice qu’il a inventé, mais dont les conséquences tragiques sont bien réelles pour des millions de personnes. Un monde virtuel conditionné par une simulation, un jeu virtuel au clap de fin, la mort. L’amour disparu, anéanti, c’est la promesse du monde vivant dans l’esprit de puissants faisant de la barbarie, un moyen, un atout. Netanyahu est soutenu en habile joueur et les enfants de Gaza ne sont plus que des objets que l’on peut éliminer pour aboutir à l’objectif d’empire dominant.
Guerre contre guerre, et l’Europe devient elle-même un enjeu géopolitique majeur dans la conquête de territoires comme des dés jetés sur un plateau représentant une Terre artificielle.
La guerre se joue, la paix ne se pleure pas. La souffrance de Gaza est le témoin du futur qui attend l’humanité : un monde dystopique.
La paix doit être l’objectif prioritaire, portée par une volonté d’universalisme authentique. Les voix du peuple doivent s’élever, brisant le silence imposé par des tyrans modernes, accrochés à leur folie et inventant un espace du néant où l’amour s’efface peu à peu. Mais ce néant n’est pas inéluctable : chaque voix, chaque acte en faveur de la justice et de la solidarité peut rallumer l’étincelle de l’amour et de l’espoir. Si nous refusons d’être des spectateurs, nous pouvons encore reconstruire un monde où la paix triomphe de la division et de la haine.
Aimer la liberté, lui donner ses lettres de noblesse s’inscrivant en un droit d’existence : la vie.
Fédora Hélène


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