Le capitalisme en nouvelle ère Elon Musk – La paix n’est pas pour demain

La paix crie famine

Elon Musk fait un salut fasciste appuyé, il y met toute son énergie, sa joie, il le fait deux fois, et il n’est pas antisémite.

Il soutient des mouvements d’extrême droite, encourage leur élection, rêve d’une Europe réactionnaire, radicale, et il n’est pas antisémite.

Une personne met un cœur pour la Palestine, pense aux enfants de Gaza en souffrance : elle est antisémite.

Et le monde courtise Elon Musk, car il représente à leurs yeux le moyen de gagner toujours plus d’argent.

Bernard Arnault, lui, est heureux ! Il trouve que l’ambiance est géniale aux États-Unis depuis l’élection de Trump.

Des files d’attente se forment devant des magasins élitistes pour acheter. Les gens s’endettent pour consommer. C’est formidable. On va pouvoir dépenser toujours plus d’eau pour fabriquer des babioles.

La moitié de l’humanité n’a toujours pas accès à l’eau potable régulièrement, mais les industries fossiles tournent à fond.

Des enfants de Gaza ont été assoiffés, des bébés sont décédés de déshydratation, mais on gagne en économie mondiale. Les milliardaires sont heureux, et les populations surconsomment à crédit.

Il est temps que la France devienne américaine. Qu’elle puisse être l’eldorado de l’Europe. Que les travailleurs soient heureux de tenter l’esclavagisme moderne, l’autoritarisme, de voter pour l’extrême droite. Ça les changera de l’hypocrisie de la gauche et des écologistes.

Regardez le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic : il adore Macron. Les bourgeois sont heureux en politique. Ils promettent des champs de pâquerettes, et ça bétonne à tout va pour la promotion immobilière.

Des pâquerettes au pied des murs en béton. Le capitalisme vert est en marche. Ils applaudissent Bayrou et, bientôt, ils feront une fête avec Total à Pau.

L’écologie dans les territoires : Emmanuel Macron était venu à Pau écouter et féliciter l’exposé de Total, aux côtés de Bayrou.

Les bons gros capitalistes, amis de l’aristocratie, les héritiers conservateurs, remerciant « nos ancêtres les esclavagistes et colonialistes », se foutent des enfants pauvres, victimes de guerre, plongés au cœur de crises humanitaires qu’ils renforcent. Ils applaudissent la nouvelle ère capitaliste qui s’ouvre avec la conquête de Mars.

Des milliards de financements publics sortent du système destructeur pour financer la conquête de la planète rouge. La robotique et l’IA ont aujourd’hui plus de valeur que l’humanité.

Il suffit d’une minorité de privilégiés par l’argent pour faire une société, et d’une minorité au milieu pour travailler à bâtir cette civilisation numérique.

Les gens du milieu le feront dans l’espoir de devenir très riches et donc libres. La peur de devenir pauvre achètera leur conscience et jusqu’à leur propre vie.

La corruption est institutionnelle. Elle fait partie de la politique, du système administratif, de ce qui maintient la puissance de l’État. Elle garantit les privilèges, les guerres internes de pouvoir, le mensonge.

La politique d’une violence inouïe conduit un ancien président, Nicolas Sarkozy, à être condamné à la prison.

Une société qui enferme tous. La liberté en illusion se consume. Les puissants y brûlent leurs ailes. Leur âme respire-t-elle ?

Ce monde a commencé.

Macron a planté dans le jardin de la démocratie : l’épouvantail 49.3

Les politiques autoritaires et réactionnaires sèment le chaos.

Depuis Sarkozy, la situation n’a cessé d’empirer, atteignant son paroxysme sous Macron. Le budget 2025, façonné par des dirigeants qui auraient dû être exclus de la politique depuis longtemps, risque d’aggraver encore la violence sociale.

Bayrou peut appliquer le 49.3. Mais ce ne sont pas les hypocrisies d’une gauche convertie au capitalisme qui changeront quoi que ce soit.

Le silence du peuple permet à des réseaux politiques de piétiner les droits humains fondamentaux et de mépriser la nature.
Un système destructeur aux lourdes conséquences.

Le silence des oiseaux

Une société qui enferme tous. La liberté, en illusion, se consume. Les puissants y brûlent leurs ailes. Leur âme respire-t-elle ?

Tout finit étrangement. Un long désert. Les enfants crient : « J’ai soif » de lumière, d’espérance, de liberté. Ils ne veulent pas des prisons dorées pour palais, mais juste la vie coulant d’une source fraîche. Elle, glissant sur les lourds rochers sans jamais s’arrêter, file vers l’océan, rejoint le monde depuis ce ruisseau de campagne.

Fragile, elle avance. Elle est l’enfant bravant les orages, ces bombardements tombant du ciel prisonnier, lui aussi, des hommes éteignant le bleu, semant le feu, les nuages de poussière, le noir des ténèbres.

La terre et les cendres, la paix ensevelie, les puissants ont fait de Gaza un exemple de leur chaos.

« Éternel, délivre-moi des hommes méchants! Préserve-moi des hommes violents. Qui méditent de mauvais desseins dans leur coeur, Et sont toujours prêts à faire la guerre ! » psaume 140 : 1-2

La liberté vaincra

Se délivrer de la politique ayant construit, en 40 ans, le terrifiant de l’administration comptant l’humain en numéro, codifié à des normes, codes, castes sociales, taxes, impôts. César en empire numérique : nous sommes des numéros d’immatriculation dans la matrice de l’État.

Nous sommes un numéro de compte bancaire, notre être virtuel dans l’espace de la finance contrôlant l’humanité, gardant les pauvres au désert, refermant la porte ouvrant sur la vérité.

Qui entend le ciel dans les prières de l’enfant perdu ? L’enfant, au milieu de la guerre. Au Soudan, il marche aussi, sur les chemins de pierres. Les balles traversent les murs d’un hôpital, plus aucun refuge. La faim tend la main pour un morceau de pain.

Une mer, un ciel, de Palestine au Soudan – les livraisons d’armes en cargaisons.

L’union par la force de la paix universelle n’est pas au programme des partis politiques. Tout le monde paie l’industrie du réarmement au moindre centime bancaire. Citoyens complices, nous sommes prisonniers du système.

Les puissants, en oppresseurs, se félicitent des contrats de vente d’armes. Emmanuel Macron rêve d’une Europe unie sous les couleurs d’une armée commune. L’enfant pauvre rêve à la paix.

La révolte au silence, plus un zéro en numéro bancaire. Plus de crédit, de consommation. Le silence des pauvres pour renverser la matrice.

Revenir humain.

Fédora Hélène

Juste la paix

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