“En pleine mer”

La réalité du monde est sous nos yeux : la beauté pure que nous offre la nature. La vie est là, libre et paisible. Pourtant, loin de cette harmonie, les puissants façonnent un avenir où la guerre devient l’économie, où la peur dicte les lois, où les discours de haine dessinent les contours d’un chaos voulu.

Leur empire ne repose pas sur des valeurs humaines, mais sur l’argent. Leur pouvoir se nourrit de la soumission des peuples à un système où la consommation remplace la liberté, où l’injustice est normalisée, où les inégalités s’aggravent pendant que des milliards sont investis dans l’armement.

Pendant que les crises humanitaires explosent, que des millions d’enfants n’ont pas accès à l’eau potable, que des familles sombrent dans la pauvreté, la machine économique poursuit sa course folle. Une guerre silencieuse ronge déjà nos sociétés.

Alors, faut-il encore craindre l’arme nucléaire, ou bien tout ce qui mène inexorablement à son usage ?

Un empire fondé sur l’argent et la soumission

Le pouvoir des élites ne repose ni sur la justice ni sur la démocratie, mais sur l’argent. Leur emprise sur les populations ne tient qu’à une chose : la soumission à un système économique qui broie les plus faibles et enrichit les plus puissants.

Faire l’effort de consommer à minima, c’est refuser d’alimenter cette mécanique infernale. Pourtant, jamais les populations ne feront collectivement ce choix pour la paix et la liberté.

Trump et les milliardaires ne tirent leur puissance que de la richesse qu’ils accumulent. Leur système est artificiel, une illusion entretenue par une consommation effrénée et une dépendance économique construite sur l’endettement et la spéculation.

Le pire, c’est que l’humain préfère enrichir des banques plutôt qu’enrichir sa propre vie.

L’illusion du progrès face à la misère grandissante

Pendant que nos rues se parent de véhicules électriques et de technologies de pointe, que l’intelligence artificielle promet un avenir plus “performant”, sous haute surveillance : l’humain surveille l’humain. Pendant que les crises humanitaires s’intensifient sur tous les continents.

Aujourd’hui, plus de 2 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable. Ouvrir un robinet et boire est un privilège. Nous ne sommes pas une société évoluée simplement parce que nous avons la capacité de raser une ville en quelques secondes par l’usage d’armes technologiques, nucléaires. Nous sommes une civilisation primitive précisément parce que nous le pouvons.

Les priorités sont inversées : les États investissent dans l’armement pendant que des millions de personnes souffrent de la faim. Trump, en un simple décret, peut plonger des familles vulnérables dans l’extrême pauvreté, priver des enfants de médicaments, de soins, d’éducation. Et les gouvernements suivent, négocient avec le pire : la déshumanisation.

La guerre est déjà là

Macron parle de paix tout en renforçant le budget de la Défense. Mais quelle paix impose la précarité, traumatise les familles les plus fragiles et laisse les plus riches accumuler toujours plus de pouvoir ?

Aujourd’hui, en France, des frigos restent vides pendant des jours. Des mères isolées s’enfoncent dans la détresse. Des étudiants sautent des repas. Le nombre de sans-abri explose. L’indifférence grandit, tandis que la population se rassure en mesurant la force nucléaire de son pays.

L’inhumanité est là, tout près, à deux pas de chez nous.

Agir : refuser la destruction

La résistance ukrainienne protège l’Europe, mais pendant ce temps, ailleurs, la consommation continue d’alimenter un système destructeur.

Et, les dirigeants mesurent-ils le sacrifice de civils ukrainiens subissant la brutalité de la Russie ?

Le partage des terres rares d’ Ukraine entre la Russie, les États-Unis et l’Europe – le deal cynique – une guerre géographique et géologique pour posséder des ressources naturelles, la promesse d’une énergie nucléaire puissante, cet objectif dévaste déjà la possibilité de futurs en paix.

Pendant que des enfants ukrainiens meurent sous les bombes, ailleurs, on consomme, on spécule, on nourrit un système économique qui fabrique la guerre.

Les politiques liés aux milliardaires pensent en milliers de milliards de dollars de gains.

Il ne suffit pas de condamner les guerres. Il faut cesser d’enrichir ceux qui les rendent possibles.

Chaque citoyen est responsable. Chaque acte compte.

Le vrai danger, ce n’est pas l’arme nucléaire, mais ce qui la précède

Les populations craignent l’arme nucléaire dévastatrice, alors que la Troisième Guerre mondiale a déjà commencé sur le plan économique et social.

Quand des enfants meurent de faim, quand des civils subissent la brutalité de la guerre, la véritable menace n’est pas la bombe elle-même, mais tout ce qui mène à son usage.

L’individualisme, l’égocentrisme, la fierté d’accumuler des biens matériels en laissant périr des innocents… Voilà la première arme nucléaire. Voilà ce qui la construit.

Les dirigeants renforcent l’économie de guerre, augmentent les dépenses militaires, imposent toujours plus de taxes et d’impôts, mais tout cela ne mène qu’à une seule chose : le chaos.

Nous avons un choix. Un simple choix : arrêter d’acheter l’inutile et préférer la vie.

Plutôt que de multiplier les crédits à la consommation et d’appeler cela la liberté, souvenons-nous que des civils en Ukraine souffrent pendant que nous continuons à alimenter un système destructeur.

L’élection de Trump, la montée des réactionnaires, l’ascension des milliardaires ne sont pas qu’une question de votes. C’est tout un système financier inhumain qui les érige au pouvoir.

Sacrifier une année de consommation, de crédits, de placements bancaires. Cesser de prier le veau d’or.

Et tout pourrait changer, simplement en choisissant de respecter la vie.

Les plus riches portent une responsabilité immense. Avant qu’il ne soit trop tard. Avant que cette terre ne devienne un désert, et que seul le vestige d’une arme gise sous la poussière.

Ce n’est pas la guerre qui détruit l’humanité, mais la manière dont nous choisissons d’ignorer sa souffrance. La guerre est un acte politique qui convoite le malheur, fait de l’esprit : l’enfer.

Ce n’est pas l’arme nucléaire qu’il faut craindre, mais tout ce qui la rend inévitable. Pendant que les puissants construisent la guerre, des enfants meurent dans l’ombre d’un système qui broie l’humain. Il est encore temps d’agir. De refuser l’inacceptable. De choisir la vie.

La Terre et ses ressources : un bien commun manipulé

La Terre produit le blé, et l’expérience de la nature a enseigné à l’homme l’agriculture, le savoir-faire pour cultiver. Cependant, l’humain a transformé ces ressources naturelles en une marchandise, créant des prix pour ce qui devrait être un droit vital. Les politiques calculent des taxes sur l’accès à l’eau, à la nourriture, à l’énergie, au logement, à la santé – des besoins élémentaires. Des enfants meurent de faim, non parce qu’il n’y a pas de nourriture, mais parce qu’ils n’ont pas l’argent nécessaire pour l’acheter.

La guerre de la faim et de l’eau : un avenir sombre

En 2025, des dirigeants imposent une guerre bien plus dévastatrice que celle des armes : la guerre de la faim et de l’eau. Trump décrète le blocage de l’aide humanitaire à certains pays vulnérables, et la vie se réduit à des actions bancaires. Les puissances se réduisent à des menaces d’armements nucléaires, tandis que la majorité des populations restent inertes, et pire encore, applaudissent des politiques réactionnaires, de plus en plus présentes, même au gouvernement en France.

Les contradictions d’une politique internationale

Macron dénonce les agissements agressifs des nations réactionnaires tout en plaçant au gouvernement des ministres qui servent des intérêts contraires à la paix et à l’harmonie. Une politique qui appauvrit la paix n’offre aucune solution réelle. Ce n’est pas en servant d’intermédiaire entre Ursula von der Leyen et Trump qu’on construira une paix durable. Renchérir sur la complexité de la création d’une armée européenne ou augmenter la production d’armements ne suffira pas à préserver une démocratie qui, déjà, porte les cicatrices de ceux qui prétendent la défendre.

Un déséquilibre à renverser

Un déséquilibre profond s’est installé. Il est crucial de remettre de la cohérence dans les actions politiques, de valoriser les valeurs humanistes, l’empathie, et de restaurer une source d’harmonie. Il est urgent de prendre conscience de la responsabilité de chacun. La politique mondiale ne peut plus ignorer l’essence de la solidarité.

Vers un renouveau humaniste et écologique

Emmanuel Macron doit absolument former un nouveau gouvernement, engagé dans une politique humaniste et écologique. Ses choix doivent prioriser la paix, préserver les plus vulnérables, renforcer la volonté de créer une Europe autonome, durable, équitable : un phare de la liberté pour le monde.

Fédora Hélène

Copyright ©️ LiberTerra 2025 – Tous droits réservés – Tous droits de diffusion et de production réservés