Crash en Arctique – L’océan subit les activités humaines
La fusée Spectrum, développée par la start-up allemande Isar Aerospace, a décollé dimanche 30 mars depuis la base spatiale norvégienne d’Andoya, en Arctique. Quelques instants après son envol, elle a perdu le contrôle et s’est écrasée, explosant en mer. Malgré cet échec évident, l’entreprise assure que le test a « atteint ses objectifs ». Une communication bien rodée, même face à un crash en pleine nature.
Un monde en guerre. Un jardin en résistance.
Un jardin libre de la Normandie à l’Ukraine, de la terre à la mer.
Quand le monde n’est qu’un, des glaciers à l’océan, et que la nature murmure ce que les hommes oublient d’écouter…
Les êtres humains veulent s’échapper d’une Terre leur offrant le paradis pour se penser comme une civilisation supérieure, conquérante de l’espace.
Le monde : des enfants en péril, le chaos des guerres, des scientifiques élaborant des armes nucléaires et préparant la conquête de Mars.
Netanyahu utilise la technologie pour bombarder des zones civiles où vivent des enfants. C’est une société « intelligente » qui détruit l’innocence.
Une société « intelligente » qui entretient la pauvreté, l’ignorance, les crises humanitaires, les guerres.
La start-up allemande a déclaré avoir atteint ses objectifs. L’argent, cher au cœur de cette société, alimente des lignes mathématiques – les mêmes que celles du calcul des données Big Data – pour améliorer nos connaissances… sur l’impact de la destruction que nous mettons en place.
Le jardin de l’espoir
La véritable écologie, c’est ma grand-mère ukrainienne cultivant son jardin au milieu des mauvaises herbes, des longues orties, des vipères dormant sous les pierres chaudes, et d’une faune chantante.
De l’oiseau sur le rebord de la fenêtre à ceux perchés à la cime des arbres, du bruissement du ruisseau où des animaux vivent en toute liberté…
Petite, j’enjambais ce courant d’eau, voyais la vie présente, bruyante à souhait, ce doux murmure de la nature. Je laissais passer les serpents d’eau et de terre, me retrouvais dans ce jardin où, le soir, le feu crépitait – quelques brindilles et branches – et, au-dessus, la lessive bouillante.

Rien n’avait changé avec le temps. Ma grand-mère avait oublié les machines. Elle préférait nourrir toute la famille avec des légumes sains et naturels, en gardant sa porte ouverte et en écoutant les rires d’enfants.
Aujourd’hui, les portes sont fermées. Les enfants ne jouent plus dans le chemin. Les jardins sont ordonnés. Les oiseaux ne chantent presque plus, les vipères ont quitté les pierres.
Les essais nucléaires ont fait leur effet. Le monde a changé. La philosophie de la vie est vendue à la guerre – guerre contre la nature, guerre économique, guerre de la faim et de l’eau.

Macron vante cette nouvelle nation mondialiste et aligne en ordre les usines des marchands de canons.
Tout revient à la guerre qu’ils n’ont pas vécue. Les décideurs veulent la leur, pour marquer l’Histoire.
Pendant ce temps, quelque part, vit paisiblement un petit jardin. Il porte, tout entier sur son sol, l’espoir du monde.
L’espoir du monde marche à l’air libre
Notre corps est le sang et l’eau –
L’alliance avec la Terre mère.
Inviter toute la population à prendre une journée – ce temps pour rejoindre la nature. Toucher la terre, l’eau. Ressentir la vie.
Quitter les usines, bureaux, hypermarchés, villes de béton, où la nature a été exclue, et se sentir vivant auprès de la liberté.
Une journée pour réfléchir, comprendre, apprendre, partager, aller les uns vers les autres.
Une journée sans argent.
Délaisser les banques, un système destructeur. Sacrifier l’argent et non la vie.
Retrouver le sens de vivre, préserver la santé humaine et de la Terre.
Inutile d’aller manifester aux ordres de syndicats et politiques. Ceux contenant la liberté et la dirigeant.
Manifester librement, en paix, une marche vers ce qui nous permet de respirer.
Ni préfectures, ni camions de CRS, ni violences, ni politiques, ni larmes.
Quitter le système et rejoindre l’océan.

Marcher une journée. Les gens sont-ils prêts ? Pas vraiment.
Et, en France, une partie de la population est bien trop riche pour s’intéresser à la nature.
Une autre partie est tenue par les crédits bancaires.
Liker et partager sur les réseaux sociaux, promouvoir des personnalités qui se médiatisent, c’est simple – et cela nourrit tout un système qui tire profit de l’écologie.
Puis, ces mêmes personnalités vont voir Macron pour lui servir des théories qu’il connaît déjà, et toute la machine médiatique se met en route.
Pendant ce temps, le bouleversement climatique s’accélère et le système continue.

Préserver l’océan, c’est protéger la vie.
Pourquoi demander aux décideurs qui déclarent préparer la guerre, et à ceux qui l’a font, d’agir en protecteurs du monde vivant ?
Le faire, c’est accepter qu’une part d’obscurité demeure et que les fausses promesses écologiques persistent.
On ne peut attendre d’un système destructeur qu’il apporte la paix.
Des politiques qui ne protègent pas des enfants victimes de violences conçues et voulues par cette Hydre du pouvoir – telles que la pauvreté, l’humiliation par la faim – ne préserveront pas une rivière, si pure et innocente soit-elle.
Une population emprisonnière de l’argent ne sera ni l’espoir, ni l’action innovante et concrète.
La trêve hivernale achevée, combien de familles seront expulsées de leur logement, mises à la rue, et vivent dès à présent dans la peur ?
Les familles précaires, les travailleurs pauvres au SMIC ne font qu’un repas par jour, s’alimentant de produits industriels de basse qualité – tandis que les industriels s’enrichissent sur le dos des pauvres.
Ce ne sont pas les très riches qui mangent à crédit, leur santé affaiblie.
Ce ne sont ni Macron, ni son gouvernement, ni les sénateurs et députés, ni les pseudo-élites qui ont faim, qui ont le frigo vide.


La justice en détresse pour l’humain et la nature.
M. Darmanin, ministre de la justice, est indifférent à la cause humanitaire. Il concentre ses efforts sur la promotion les manipulations d’extrême droite.
Les manipulateurs d’un gouvernement de mensonges. Et la majorité de la population est inerte. Ils acceptent un Premier ministre scandaleusement incompétent et menteur. Acceptent cette supercherie, mauvaise pièce de théâtre servie par une armée de fonctionnaires zélés.
Une République qui se veut monarchiste sans en avoir la grandeur.
Et, le peuple en silence gave ces rois.
Le ministre de l’économie fait ses comptes d’apothicaire, protège les très riches et répartit les taxes, y compris celles imposées sur les produits alimentaires.
La pêche industrielle génère taxes et profits, pendant que des enfants ont faim et sont traumatisés par la précarité.
Macron applique des décisions politiques traumatisant toute une jeunesse pauvre.
Il ne conçoit pas d’avenir en paix. L’océan et l’humain sont aujourd’hui confrontés à des futurs chaotiques.

Arrêter l’argent –
Pas de pauvreté – ODD 1 – Zéro taxe sur l’alimentation pour le consommateur. Le droit de s’alimenter sainement et durablement est vital.
L’industrialisation de l’alimentation abîme la santé globale de la Terre et de l’humain – One Health.
Le jardin de l’espérance
Le jardin de l’espérance est au cœur de chacun.
« Le temps de la Terre, les aiguilles de l’horloge planétaire, le monde suspendu à l’éphémère, l’humain amoureux de la vie éternelle.
Le temps que l’on ne maîtrise pas, que l’on invente. Une date de naissance de l’humanité flotte dans l’air du temps, reprenant le sens de notre apparition dans le jardin d’Eden. C’est ici au cœur de la nature que s’est réfugié le paradis. On reçoit tout de la vie. Sa générosité illimitée, cette pluie de perles précieuses, translucides, reflètent la lumière. Nos yeux s’ouvrent, le jour nouveau est la promesse, la paix. » Extrait de l’article :
Ce qui ne sauve pas un enfant ne préservera jamais une rivière
Ce matin, le jardin a ouvert sa porte. Il vit toujours, quittant la Normandie pour l’Ukraine, cette campagne oubliée qui se réveille au bruit des sirènes. La guerre est revenue.
Le bruit assourdissant des villes européennes se poursuit. Ils n’écoutent plus le chant des oiseaux. Ils n’entendent pas non plus le fracas des bombardements. Tout se passe autour d’eux. Des mondes tournent en rond, interconnectés par la puissance politique, les royaumes financiers et les peuples séparés.
Le jardin, véritable intelligence, a compris le monde et vit en osmose. Il n’a pas modifié la nature, il a su s’adapter et perdurer. L’intelligence de la résilience réside dans cet espace, où l’air sent bon, où flottent les odeurs de la terre et le parfum de la rose. L’âme comblée.

Une économie saine et partagée est possible. Une science ouverte renforce également le partage en associant partenaires privés et publics, citoyens, étudiants et jeunes.
La technologie peut, elle aussi, permettre une amélioration des connaissances, être un soutien pour initier des solutions.
Ce qui est essentiel, c’est de fonder la paix et d’œuvrer en son cœur. Placer les droits humains au centre des préoccupations.
Ce qui ne sauve pas un enfant, ne protège pas l’innocence, ne préservera jamais une rivière.
Fédora Hélène


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